Suite à l’article Une cure de grippe aviaire et mercure, je vous propose ce documentaire sur les vaccins. On refuse souvent de se l’admettre, mais nous avons été victimes de propagande et de désinformation. Notre jugement en est affecté. La majorité de la population et surtout les professionnels de la santé comme les médecins et les infirmières sont mal informés et prennent pour acquis que les vaccins sont bénéfiques et largement sans danger. On part avec l’hypothèse de départ que les vaccins sont nécessaires et que la santé de nos enfants et des autres est menacée s’ils ne sont pas vaccinés. On vous fait sentir coupable, irresponsable et à la limite criminel si vous refusez de faire vacciner vos enfants. On vous regarde avec l’air scandalisé, avec un regard méfiant et incrédule, comme si vous étiez dérangé.
Pourtant. Les ingrédients contenus dans les vaccins sont loin d’être rassurants et il n’y a personne au monde qui peut nous assurer hors de tout doute qu’ils sont sans danger un coup injectés dans le sang de nos enfants. Les dernières recherches qui ont été effectuées sur les effets du thimérosal, un dérivé du mercure utilisé dans certains vaccins comme préservatif, remontent à 1929, aux États-Unis. C’était la première recherche sur le sujet… et la dernière d’ailleurs. Oui, en 1929 et sur 27 personnes seulement. Depuis, aucune agence de la santé gouvernementale n’a effectué d’analyses sur le thimérosal. Si vous vous demandez ce que le mercure cause comme dommage au cerveau et à ses neurones, même en quantité infinitésimales, je vous conseille fortement de visionner cette courte vidéo de quatre minutes (en anglais, mais les images valent mille mots, vous comprendrez tout) du département de biologie et biophysique de la faculté de médecine de l’Université de Calgary:
Ceci aide à mieux comprendre les effets dévastateurs que peut avoir le thimérosal, un dérivé du mercure, avec les doses répétées et cumulatives que les enfants reçoivent maintenant.
Une enquête du gouvernement américain admet maintenant le lien possible entre l’autisme et les vaccins. Les cas d’autisme sont passés de 1 enfant sur 100 000 il y a vingt ans, à 1 enfant sur 175 aujourd’hui, chiffre du Centers for Disease Control and Prevention. Les doses vaccinales ont augmentées de trois fois aux États-Unis. Lorsque les effets cumulatifs des quantités de thimérosal que les enfants reçoivent à travers la trentaine de vaccins furent finalement mesurés en 1999, la FDA a découvert que les jeunes enfants recevaient plus de 100 fois les doses maximales sécuritaires fixées par l’Agence de protection de l’environnement des États-Unis (EPA) dès l’âge de 18 mois. (Source)
Il y a une liste des ingrédients que les vaccins contiennent que vous pouvez consulter ici. En plus du thimérosal, vous découvrirez d’autres ingrédients dont je vous mets au défi de trouver un médecin qui vous assurera qu’ils sont totalement sans danger, avec les études et recherches pour le prouver.
Voici quelques uns de ces ingrédients:
– des organismes génétiquement modifiés (OGM),
-des organismes clonés,
-des virus vivants,
-des fluides, fluides, organes et sang d’animaux,
-du formaldéhyde,
-de l’hydroxyde et sulfate d’aluminium,
-du MSG,
-du sulfate d’ammonium,
-des tissus de fœtus avortés humains,
-sorbitol
Rappelez-vous qu’au Québec, il n’y a rien qui vous oblige à faire vacciner vos enfants. Pourquoi prendre une chance? Prenez le temps de voir ce documentaire pour vous faire une meilleure idée à propos de tout cela. Tout est entre vos mains. Vous êtes responsables.
Personnellement, après toutes ces années de recherches, de lecture, j’en suis venu à la conclusion que je ne ferais JAMAIS vacciner mes enfants. Le principe de précaution entre en jeu car la preuve n’a jamais été véritablement établie que les vaccins sont inoffensifs. En fait, toutes les raisons de croire le contraire sont là. Nous croyons qu’ils sont bénéfiques, parce nous avons intériorisé la propagande et la désinformation, alors qu’il n’existe aucune preuve de cela.
.
SILENCE, ON VACCINE
Un film qui soulève bien des questions et qu’on essaie de dénigrer par tous les moyens. Les médias l’ont banalisé et discrédité.
http://www.dailymotion.com/video/x8lwte_silence-on-vaccine-part-14_news
http://www.dailymotion.com/video/x8lyba_silence-on-vaccine-part-24_news
http://www.dailymotion.com/video/x8lybo_silence-on-vaccine-part-34_news
http://www.dailymotion.com/video/x8lyxb_silence-on-vaccine-part-44_news
Par rapport au syndrome du guillain barré et le vaccin contre la grippe saisonnière. Les dernières études ont démontré un risque potentiel variant de 1 sur 1 million à 1 sur 10 millions de personnes vaccinées. Il faut garder en tête que la grippe saisonnière risque beaucoup plus de causer un syndrome du guillain barré que le vaccin. Par ailleurs, il est important de garder en tête que ce syndrome est le plus souvent réversible c’est-à-dire que la plupart des gens recouvrent leur état de santé antérieur après quelques temps. Enfin, je concluerais qu’il faut avoir une pensée un peu utilitariste en matière de vaccination c’est-à-dire qu’il faut évaluer combien de personnes seront sauvées par le vaccin comparé à celles qui auront des effets secondaires bénins et les quelques rares personnes qui auront des effets graves. Si 532 personnes ont vraiment eu ce syndrome, il y a très fort probablement des milliers et milliers de personnes qui ont été sauvées par le vaccin.
Je suis résidente en médecine et pour ton information Jennyfer. Tout ce que je sais pour le vaccin H1N1 c’est que les autorités de santé canadienne peuvent en venir à obliger le personnel oeuvrant dans le système de santé à défaut de quoi, les employés peuvent se retrouver avec un congé sans solde indéterminé. Pour moi, ce choix m’apparait logique en temps de pandémie. D’abord nous sommes plus à risque d’attraper la grippe étant dans les milieux fréquentés par les gens infectés. Aussi, la grippe H1N1 est associée à un risque plus élevé de complications (ventilation mécanique aux soins intensifs, décès) chez les enfants mais aussi chez les adultes de 20-50 ans (ce qui diffère de la grippe usuelle). Le tiers des cas aux soins intensifs lors de la 1ère vague n’avait pas de condition de santé sous-jacente (ils étaient en bonne santé) et l’âge moyen des cas était dans la vingtaine. Enfin, je vous dirais que si vous ne vous faites pas vacciner pour vous faites le pour les autres. Oeuvrant auprès des patients vous représentez un vecteur pour eux et pouvez donc transmettre la grippe à quelqu’un qui peut être très vulnérable (déjà malade d’une autre condition grave, déficit immunitaire, sidéen, bébé de moins de 6 mois, etc…). Sachez aussi que plus de gens se vaccinent meilleur est notre chance d’atteindre une immunité de masse ce qui protège donc aussi les personnes vulnérables. Si vous connaissez une personne vulnérable dans votre entourage, vous pourriez vous vacciner en pensant à elle…
Au Canada, nous avons l’autorisation légale de forcer une personne atteinte de tuberculose active à se faire traiter. Cette loi fait fi de la charte des droits des hommes sous la principale raison que le droit à la santé de la population a prépondérance sur la liberté de la personne en cas de tuberculose active. Les gouvernements sont libres de passer une loi spéciale à la dernière minute s’ils jugent que la sécurité de la population est en danger.
La raison pour laquelle les médecins traitants n’ont pas la chance de distribuer le vaccin H1N1 au Canada est d’assurer un contrôle adéquat de la distribution des vaccins. C’est relativement dommage si l’on voit tous ces gens que j’aurais pu vacciner lors de ma clinique la semaine passée sans qu’ils aient à faire la file d’attente dans l’un des rares centres de vaccination. Par contre, il faut savoir que le vaccin n’est offert qu’à une certaine population à risque à chaque semaine car nous recevons les doses de vaccin sur une quantité limitée à chaque semaine (limitation secondaire à la production qui prend un minimum de temps à faire et le temps de l’homologuation). Peut-être serions nous pousser à passer outre les recommandations et vacciner tout le monde…
J’ose donc maintenant publier un texte que j’ai écris la semaine dernière. Puisse cela vous éclairer avec des informations plus crédibles.
Il est extrêmement frustrant de voir la désinformation circulant dans les médias, de regarder les mauvais documentaires faits sur le sujet et surtout de constater que cela puisse avoir un si grand impact auprès des gens (particulièrement les québécois). Actuellement, on estime qu’environ 30-50% des québécois ne se feront pas vacciner. Je suis particulièrement inquiète de voir que le taux de participation de la population au vaccin sera inférieur au niveau souhaité. Toute personne qui a étudié (voire effleuré) l’épidémiologie sait que pour qu’une campagne de vaccination soit EFFICACE (voire rentable a/n économique mais aussi au niveau de santé de la population), nous devons réussir à vacciner un certain pourcentage de la population. Il a été estimé que le taux de gens vaccinés devrait être de 50 à 70 % pour limiter la propagation du virus au états-unis (le canada aurait opté pour 75%). Si nous n’atteignons pas cela, nous n’aurons peut-être que réussi à protéger ceux qui se sont faits vaccinés sans plus sans avoir réussi à limiter la propagation du virus ni avoir protégé les gens qui ne peuvent l’être (les bébés en bas de 6 mois ou les gens allergique aux oeufs par exemple) par ce qu’on appelle l’immunité de masse…
En aout 2009, des experts aux États-Unis ont créé un modèle prévisionnel de ce qui risquait de se produire cet automne et les premiers faits sont déjà venu prouvé des prédictions de ce modèle.
Le virus H1N1 n’est pas plus virulent que celui de la grippe espagnole de 1918-1919 (heureusement car ce dernier a tué 60 millions de personnes). On estime que 30-50% de la population en sera infecté (ce qui correspond aux taux de définition de pandémie). Ils ont également estimé que 50-100 % des lits de soins intensifs seraient occupés par les cas de H1N1 alors qu’actuellement au Québec, nos lits de soins intensifs sont occupés à 80% par d’autres cas. Nous savons que la grippe saisonnière tue environ 30 000 à 40 000 personnes chaque année aux états-unis et le modèle prédit de 30 000 à 90 000 décès causés par H1N1 (ce qui peut aller au triple des décès de la grippe saisonnière). Le H1N1 actuel est donc plus virulent que la grippe saisonnière. Le modèle a prévu le pic du nombre de cas infectés de la mi-novembre jusqu’à la mi-décembre.
On sait que la 1ere vague de pandémie survient toujours à un moment de l’année ou on ne s’y attend pas. Ce qui fut le cas en mars dernier. La 2e vague d’une pandémie a très souvent lieu plus tôt à l’automne. Le modèle avait prédit que la grippe reviendrait en Septembre ce qui a été le cas au Canada.
Une autre caractéristique fréquente des pandémies de grippe c’est le pic de cas qui survient en mai à chaque pandémie (ce que nous avons eu cette année avec H1N1). Le virus H1N1 est différent de la grippe habituelle. Au printemps dernier, le virus s’est montré facilement transmissible entre les individus (plus transmissible que le virus saisonnier). Il y a eu des cas sévères chez les moins de 65 ans (ce qui est peu fréquent avec le virus saisonnier). Le taux de mortalité entre H1N1 et celui de la grippe saisonnièere est pareil mais le H1N1 a un impact plus grand car il a donné beaucoup plus de cas (probablement par sa transmission facile) ce qui a donc donné plus de nombre de décès causé en une saison par le H1N1 que la grippe saisonnière le fait en un hiver.
Nous savons que statistiquement nous avons habituellement une pandémie à tous les 40 ans (conséquemment au fait que le virus mute continuellement) et que cela fait 41 ans que nous n’en avons pas eu (la dernière étant la pandémie de Hong Kong en 1968). Ceci explique donc en partie la paranoya dans laquelle nous planons depuis quelques années (si on se souvient de l’inquiétude par rapport à la grippe aviaire il y a 3-4 ans).
Selon trois études différentes (faites lors de la 1ère vague de H1N1 en 2009), l’âge moyen atteint par le H1N1 avait entre 21 et 32 ans. On sait qu’en général 90% des gens qui meurent de la grippe saisonnière avaient plus de 65 ans ou étaient âgés de moins de 2 ans (ce qui explique pourquoi on visait surtout ces gens là annuellement). Avec le H1N1, la courbe montrait des taux de mortalité plus élevé chez le groupe des 20-50 ans (alors que les plus de 65 ans était moins à risque de décéder). Dans le 2\3 des cas aux soins intensifs, les gens avaient une maladie sous-jacente mais le 1\3 des gens avait une très bonne santé. On a rapidement identifié que la grippe H1N1 donne une dégradation plus rapide, de nombreux sujets évoluant vers une insuffisance respiratoire en moins de 24 heures et nécessitant alors une hospitalisation immédiate en unité de soins intensifs. Les antiviraux ayant une efficacité faible font en sorte qu’il est trop tard assez rapidement. Nous avons pu voir que le traitement antiviral donné dans le 48h suivant le début des symptômes était le plus efficace. Les gens les plus à risque de complications étaient les femmes enceintes, les obèses, les anciens fumeurs ou fumeurs actifs, les gens avec maladie chronique, les enfants et les adultes de 20-50 ans.
À l’heure ou j’écris ce texte, trois jeunes (de 11, 13 et 15 ans) sont décédés en Ontario. On considère que le meilleur moyen de se protéger contre la grippe H1N1 est de se faire vacciner contre celle-ci et vous verrez pourquoi les autres moyens sont moins bons dans les lignes à venir.
En général, un vaccin prend 5-6 mois à produire car il faut d’abord identifier comment est le virus et le produire en laboratoires et nous venons à peine de recevoir le vaccin que la 2e vague de H1N1 est déjà arrivé. Je ne crois pas que nous pouvons nous permettre de prendre le risque de regarder passer la pandémie juste pour attendre de compléter la 3e phase d’étude qui prend environ 1 an à faire (phase habituellement nécessaire pour homologuer un vaccin). C’est une évaluation de risque/bénéfice que l’équipe d’expert a eu à faire.
Le vaccin du H1N1 est un vaccin constitué de virus inactivé (mort). Il a été cultivé sur des embryons d’oeufs (tout comme l’est le vaccin de la grippe saisonnière depuis bien longtemps) ce qui explique que les gens allergiques aux oeufs ne peuvent le recevoir. Le vaccin contient aussi un agent conservatif : le thimerosal (qui contient du mercure). Il faut savoir que cette dose de mercure est une microdose, ce qui est bien moindre que ce que vous ingérez en mangeant du thon 2 fois par semaine. Il est toutefois possible qu’il agisse différement étant injecté dans les veines par contre son innocuité (sécurité) est déjà bien prouvé chez les enfants et les femmes enceintes. En fait, ce composant se retrouve déjà dans les vaccins de la grippe saisonnière et celui de l’hépatite B.
Enfin, le Canada est un des pays qui a décidé d’acheter un vaccin avec adjuvant pour un choix économiques mais aussi éthique, vous comprendrez pourquoi. L’adjuvant en question est en fait de la vitamine E et du squalène (que l’on retrouve dans les poissons). L’adjuvant est en fait une substance qui va stimuler la réponse immunitaire. On le retrouve dans plusieurs vaccins dans les pays européens depuis 1997. Environ 20 millions de doses de vaccins contenant cet adjuvant ont été donné depuis ce temps-là et jusqu’ici aucun risque élevé d’effets secondaires graves n’a été déclaré. C’est la première fois que l’on retrouve cet adjuvant dans le vaccin contre la grippe. Ce que les organisations désirent en faisant cela c’est de pouvoir donner la moitié de la dose pour obtenir la même réponse immune. Le vaccin ne pouvant être produit plus vite (cela prend 5-6 mois à produire au moment ou on identifie le virus responsable (soit en mars dernier pour l’épisode actuel)), l’adjuvant fait en sorte que le double des gens peuvent être vaccinés avec la même quantité de vaccin produite. Plusieurs pays ont donc opté pour cette stratégie pour ces raisons qui me semblent adéquates. De plus, pour une raison obscure (nous n’avons pas encore compris pourquoi scientifiquement), on sait que l’ajout de l’adjuvant aux vaccins aide à couvrir une plus grande variabilité de virus. C’est-à-dire que si le virus H1N1 venait à muter dans les semaines à venir (ce qui est possible), le vaccin pourrait nous protéger mieux grâce à cet adjuvant.
Il faut savoir que l’adjuvant n’a jamais été testé chez la femme enceinte ce qui fait en sorte que nous conseillons aux femmes en premier trimestre de recevoir le vaccin sans adjuvant (disponible au Canada la semaine prochaine). Nous conseillons aussi les enfants de 6 mois à 3 ans de recevoir 2 doses de la forme sans adjuvant. Les experts n’ont pas encore statué pour les femmes enceintes du 2e trimestre. Nous attendons de voir si nous avons assez de doses sans adjuvant pour celles-ci. Nous conseillons aux femmes en 3e trimestre de recevoir le vaccin sous la forme avec adjuvant (risque moins élevé du vaccin par rapport au risque élevé de complications chez femme enceinte 3e trimestre). Les enfants de 3 à 9 ans devront recevoir deux doses avec adjuvant en dedans de 21 jours. Nous invitons également les gens qui croient avoir fait la grippe H1N1 à se faire vacciner simplement parce que 90% des possibles cas de H1N1 n’ont pas été confirmé par le test laboratoire du H1N1 et nous ne pouvons donc pas être surs que ces gens soient réellement immuns au virus H1N1.
Les dernières études faites sur le vaccin de la grippe ont montré un risque de syndrome du guillain barré de 1 sur 10 000 000 de doses administrés (ce qui donne donc moins d’une personne au Québec) alors que le risque d’avoir un SGB en étant infecté par la grippe elle-même est beaucoup plus élevé que cela. Vous avez plus de chance de faire ce syndrome avec la grippe qu’avec le vaccin.
Il faut enfin savoir que le gouvernement a prévu plusieurs phases de vaccination par groupe de personnes à risque dans la population car nous avons des doses limitées qui arrivent chaque semaine.Le choix a donc été de protéger les personnes les plus à risque d’abord, c’est-à-dire les travailleurs de la santé, les femmes enceintes et les enfants. En fait, la vaccination des enfants dès le début de la campagne possède un triple avantage : ils font partie du groupe à risque de complications, ils sont également des vecteurs importants de microbes dans la société et les 3-9 ans doivent recevoir 2 doses dans une période de 21 jours (en les vaccinant maintenant nous avons des chances qu’ils recoivent la 2e dose nécessaire avant le pic de pandémie de mi-novembre). Pour les adultes, une dose est nécessaire pour obtenir une protection immunitaire suffisante.
La vaccination pour la grippe saisonnière a été retardé en janvier 2010. Cette décision m’apparait fort logique étant donné que le risque du H1N1 est grandement supérieur à celui de la grippe saisonnière actuellement. Il faut aussi se dire que nous avons une certaine mémoire immune de la grippe saisonnière qui ne change pas énormément de visage à chaque année.
Pour ceux qui ne croient que tout ca n’est qu’un coup de marketing et bien vous avez le droit de penser cela. Sachez toutefois que cela reste une question de valeur personnelle si vous préférez risquer la santé de vos enfants simplement parce que vous ne voulez pas rendre heureuse une compagnie pharmaceutique. Vous devez surtout savoir que vous serez personnellement confortable de le voir intubé aux soins intensifs ou mort du H1N1 de part le fait que vous ne l’avez pas fait vacciner.
Pourquoi se faire vacciner ?
Parce que vous êtes dans le groupe à risque de complications du H1N1
– Enceinte
– Enfants
– Gens de 20-50 ans
Ceux qui sont malades le sont plus sévèrement et meurent vite sans que l’ont puisse faire quoi que ce soit.
C’est le meilleur moyen de se protéger contre H1N1
Il offrirait potentiellement une protection estimée à 90% ( ce qui est nettement supérieur à celle du vaccin de la grippe saisonnière)
Si nous obtenons un bon taux de vaccination dans la population, il nous conférera une immunité de groupe qui protégera les personnes qui n’ont pu être vaccinées (bébé de moins de 6 mois, femmes enceintes qui n’ont pas pu recevoir le vaccin à temps, gens allergiques aux oeufs, etc…).
Ou se faire vacciner ?
Informez vous auprès de votre CSSS de votre région. Il y a également un site web pour les sites de vaccination de grande masse qu’il y aura dans plusieurs villes.
Règle générale :
Les gens qui ont un rhume sous contrôle peuvent se faire vacciner. Ceux qui font de la fièvre devraient retarder leur vaccintion. Les femmes qui allaitent peuvent se faire vacciner sans danger.
Il faut aussi savoir que le vaccin donnera une réponse immune satisfaisante (vous protégera efficacement) qu’après 10-14 jours suivant la vaccination.
Je crois que ce qui importe c’est de vous renseigner aux bonnes personnes. Une opinion critique est formée à partir de ce que vous prendrez ou laisserez par rapport aux informations qui vous seront données. Faites attentions aux gens qui n’ont pas de formation et qui énoncent des études qui ne sont pas toujours très valables. Cela prend des années pour qu’un médecin soit apte et à l’aise à critiquer une étude de facon scientifique et juste pour ensuite l’appliquer dans sa pratique. Je suis perplexe par rapport à d’autres intervenants de la santé qui n’ont en général peu eu la chance d’avoir ces formations.
Enfin, si je puis vous donner un seul conseil : Faites votre propre opinion et prenez votre santé au sérieux. Mettez les peurs irrationnelles ou croyances non fondées de côté, elles n’ont pas leur place dans une décision qui doit être basée sur le rationnel et son amie la logique.
N’oubliez pas de lire attentivement le guide d’autosoins que vous devez avoir reçu à la maison. On y donne entre autre le conseil de rester à la maison 7 jours suivant le début des Sx pour éviter la propagation du virus. Le liquide-désinfecteur pour les mains est aussi efficace que le lavage des mains si vous avez les mains sèches (si humides lavez-les à la place).
« Par rapport au vaccin de l’hépatite B, il faut savoir qu’aucun lien entre le vaccin et le guillain barré ou la sclérose en plaque n’a été établi à ce jour. »
FAUX
Allez dire ça au tribunal de cassation de Nanterre France qui a condamné GSK pour avoir vendu le vaccin et qu’il ait été directement mis en cause dans le cas de la sclérose en plaques de la plaignante , qui se bat depuis plus de 10 ans devant les tribunaux. Pour votre information, le tribunal a condamné GSK a verser 396 000 € à la plaignante, je ne crois pas que les tribunaux français aient particulièrement la réputation d’être sévères avec les laboratoires, c’est plutôt exactement le contraire qui serait vrai.
Le tribunal a dit dans son délibéré que GSK
est reconnu responsable pour « présomptions précises, graves et concordantes » à propos d’une jeune fille qui a la suite de deux injections d’EngerixB en 1998 souffre d’une sclérose en plaques?
« Si 532 personnes ont vraiment eu ce syndrome, il y a très fort probablement des milliers et milliers de personnes qui ont été sauvées par le vaccin. »
Et bien justement il se trouve précisément que NON. Il y a PLUS de victimes de CE vaccin en 1976 que de la maladie elle-même, à tel point que le gouvernement américain a suspendu la vaccination. Tout comme c’est exactement le même genre d’histoire avec la variole.
« Vous devriez vous informer de sources plus crédibles. »
Pouvez vous me dire quelles sont LES sources que VOUS considérez comme crédibles ?
Si je vous cite par exemple l’OMS concernant la variole considérerez vous que je fabule ? Si je vous cite le CDC ou Santé Canada , considèrerez vous que je ne suis qu’une paranoiaque doublée d’une conspirationniste ? Si je vous cite le Docteur Girard en France , qui est pharmaco épidémiologiste en France, et expert médical auprès des tribunaux , direz vous que je délire ?
Mes sources crédibles sont principalement mes livres de médecine, les données de mon ministère de la santé, la direction de la santé publique et mes collègues médecins. Je crois que de toute opinion il faut en prendre et en laisser. Qui vous dit que Dr Girard n’est pas schizophrène ou qu’encore il est complètement dans le champ comparé aux milliers d’autres personnes crédibles qui ne pensent pas comme lui ? Vous ne savez que réfuter en apportant d’autres points sur d’autres sujets…
Il faut savoir que pour l’épisode de 1976 au USA. Ils ont cessé la vaccination car ils ont fait l’erreur de sonner l’alerte trop tôt en vaccinant tous ces gens car le virus n’a pas eu de transmission soutenue entre les humains ce qui est nécessaire pour avoir une pandémie. Ce n’est pas à cause des cas de syndrome de guillain barré comme vous le pensez.
Pour ce qui est du cas à Nanterre, ce cas demeure isolé parmi les millions de gens qui ont été vacciné. Le risque de sclérose en plaque s’il est présent demeure très très rare et surtout moindre que les risques encourues par la maladie de l’hépatite B. Il n’y a jamais rien que du bon ou du mauvais dans tout ce qui importe c’est de peser le pour et le contre dans chaque chose, les bénéfices et les risques.
« Le tétanos et la tuberculose par exemple ne peuvent assurément pas être prémunies par aucun vaccin puisque ces deux maladies, quand on les attrape et qu’on en réchappe, ne produisent rien qui permettent de ne plus les attraper par la suite; ( comme la rougeole, la varicelle, ou la rubéole par exemple ) Le tétanos quant à lui, fait environ une 50 aine de morts bon an mal an, en France. Parce que le vaccin ne protège pas plus que le BCG ne protège de la tuberculose, d’une part. Et d’autre part parce que sérum ou pas, la première chose à faire quand on a une plaie à risques ( terre ou rouille proche ) c’est de désinfecter quitte à le faire à l’eau et au savon si on a rien d’autre sous la main; le chlorure de magnésium semble aussi donner d’excellents résultats, ayant été découvert par un médecin au moment de la première guerre mondiale, il l’a testé sur des soldats blessés dont beaucoup mourraient de la gangraine ou de scepticémie. »
D’abord, je ne sais pas qui vous êtes pour dire que le tétanos ne peut être prémunie par un vaccin. Il est vrai que l’infection en soi n’est pas immunisante, ce qui signifie qu’il est possible d’être infecté plusieurs fois. Le tétanos est en fait une infection causée par une bactérie qui produit des toxines. Ces toxines vont se fixer sur les récepteurs dans le corps et produire un spasme soutenu progressif des muscles. La maladie évolue alors inexorablement vers l’arrêt respiratoire par spasme laryngé et/ou spasme de la musculature respiratoire. Une fois la maladie installée, le traitement est long et difficile, c’est-à-dire qu’il est très difficile de réverser la situation. Le vaccin anti-tétanique n’est pas supposé offrir de protection directement contre la bactérie, qui en soi n’est pas une menace, mais contre la toxine. Il se compose d’une forme inactivée de cette toxine qui va stimuler le système immun à produire des immunoglobulines qui vont bloquer ces toxines avant qu’elles ne se fixent sur un récepteur. Le vaccin du tétanos est reconnu efficace pour une durée d’environ 10 ans ce qui fait en sorte que l’on doive avoir un rappel à tous les 10 ans. La première chose à faire quand on a une plaie c’est de la nettoyer. Aussi, si notre vaccin a été donné il y a plus de 10 ans, il faut recevoir par injection les immunoglobulines contre la toxine du tétanos qui vont venir bloquer les toxines et ainsi empêcher d’avoir le tétanos. En 1940, nous avons 40-50 décès/an alors que 1-10 cas en 2006. Au Québec, il y a quelques années nous avons d’ailleurs eu un cas d’un petit garcon décédé après avoir été mordu par chauve-souris et qui n’a pas recu les immunoglobulines à temps… Je ne puis pas me prononcer sur le chlorure de magnésium qui n’est pas un concept utilisé dans le monde de la médecine actuelle. Je n’ai pas d’études valables sous la main pour pouvoir en parler de façon crédible. Faites attention aux études qui ne sont pas valables scientifiquement sans quoi on peut faire dire n’importe quoi à des chiffres… Je me fais encore une fois une grande réserver par rapport aux gens qui énoncent des études alors qu’ils n’ont aucune formation leur permettant d’analyser convenablement des études. Cela prend des années pour qu’un médecin soit compétent pour cette tâche.
« Pour la coqueluche, cette maladie peut être mortelle dans de rares cas, soit de très jeunes enfants (nourrissons ) soit des vieillards le plus souvent; rares cas de personnes souffrant d’insuffisances respiratoires importantes. » « Par ailleurs de l’aveu même de mon médecin, mes enfants ayant tous fait une coqueluche (aucun n’est mort je vous rassure) bien des coqueluches passent inaperçues, on tousse, parfois des semaines et puis ça s’arrête . Mais ça peut durer 3 mois. Les personnes vaccinées contre la coqueluche , au mieux toussent un mois. Ce qui veut dire qu’elles développent bien la maladie tout de même et sont contaminantes pour les autres; donc le vaccin semble plus propager la maladie que prémunir les personnes vaccinées et leur entourage.»
Pour ce qui est de la coqueluche, je ne vois pas justement pourquoi nous ne voudrions pas protéger les nourrissons et les vieillards à moins qu’ils n’aient aucune valeur à vos yeux ce qui est j’espère pas le cas de tout le monde. En France entre 1999 et 2000, la coqueluche est la première cause de décès par infection bactérienne communautaire chez les nourrissons ayant entre 10 jours de vie et 2 mois. De plus, au Canada, la proportion de cas de coqueluche chez les adolescents (de ≥ 15 ans) et les adultes est passée de 9,6 % en 1995 à 31,3 % en 2004. Elle est rarement mortelle chez l’adulte. Elle peut survenir chez des individus préalablement vaccinés ou qui ont déjà été infectés, mais en ce cas, le tableau clinique est atténuée. L’adulte représente un réservoir important de la maladie et une source majeure de transmission de l’infection aux nourrissons. Il est donc le plus souvent responsable de la contamination de nourrissons trop jeunes pour avoir eu une vaccination complèteIl faut aussi être réaliste par rapport au fait que plusieurs personnes ne peuvent se permettre de garder leur enfant à la maison jusqu’à l’âge de 3 ans pour plusieurs raisons. Il faut savoir respecter la décision de ces parents comme celle de ceux qui les gardent à la maison. L’allaitement pourrait protéger contre les infections de la coqueluche mais aucune étude n’a encore ciblé de facon séparée ces deux concepts. En 1940, nous avions eu environ 20 000 cas de coqueluche alors qu’en 2006 nous avons eu 5000 cas.
« La rougeole et les oreillons sont des maladies infantiles le plus généralement bénignes , avec une séquelle rare pour les oreillons concernant les garçons qui peut être la stérilité. La rougeole fait des ravages dans les populations d’origine Africaines ; il est possible que leur patrimoine immunitaire ne soit pas correctement conçu pour résister à cette maladie, mais le taux de mortalité des enfants en Afrique due à la rougeole est aussi très probablement lié aux carences alimentaires majeures pour certains enfants. Une rougeole bien soignée reste bénigne. La rubéole n’est pas dangereuse pour la personne qui l’attrape, sauf si c’est une femme enceinte dans le courant du premier trimestre de la grossesse, et la maladie peut générer des malformations sur le bébé. Mais alors pourquoi vacciner toute la population et ne pas proposer le vaccin aux jeunes femmes susceptibles d’avoir des enfants dans les 10 ou 15 ans à venir ? Par ailleurs les vaccins ROR semblent essaimer des pandémies de rougeoles, notamment, ce qui est assez logique puisque ce vaccin est sur une souche vivante… »
Par rapport au fameux RRO qui fait tant de tapage médiatique… Ce vaccin immunise contre la rubéole, la rougeole et les oreillons. Il ne faudrait pas conclure que ces affections ne sont que bénignes car elles peuvent toutes donner des présentations très graves. En effet, les oreillons augmente le risque de stérilité chez le jeune garçon. La rubéole congénitale qui infecte les bébés de premier trimestre peut donner des malformations majeures permanentes comme une malformation cardiaque, des cataractes, la surdité, un retard mental, ou même la mort du fœtus. En vaccinant les enfants, nous les protégeons de l,infection. Ces enfants qui seront plus tard soit des femmes enceintes seront donc protégées pour leur bébé à venir et les hommes qui seront possiblement les conjoints de ces femmes enceintes pourront les protéger indirectement (en évitant d’être un vecteur de la maladie) si elles n’ont pas été vaccinés avant la grossesse ou si elles ont eu une faible réponse immune au vaccin dans l’enfance… La rubéole peut aussi donne des hémorragies et des infections cérébrales graves. Enfin, pour ce qui est de la rougeole elle donne en général une éruption cutanée bénigne. Par contre, elle représente un risque de complications à plusieurs niveaux dont neurologique (infection cérébrale). Nous savons que le nombre annuel de cas de Rougeole est passé de 200-300 000/an à environ 200 cas par année, la rubéole est passé de 5000 cas à < 30 cas/an et les oreillons de 43 500 cas/an à environ 200 cas/an.
Plusieurs personnes vont mentionner une étude sur le RRO faite en 1998 au Royaume Uni. En effet, des chercheurs avaient soulevé une association entre le vaccin et des cas d'autisme. À la suite de cette étude par contre, plusieurs études rigoureuses ont démontré l'absence de lien entre le vaccin et l'autisme. En 2004, 10 des 13 chercheurs de l'étude faite en 1998 ont rétracté leur conclusion concernant un lien possible de causalité avec le vaccin RRO.
« La polio… la polio est une maladie fortement invalidante, communiquée par l’eau polluée. On peut stopper totalement l’évolution paralysante de cette maladie et retrouver une mobilité totalement normale avec le chlorure de magnésium en agissant vite. Pourquoi alors a t on généralisé des vaccins, alors que les campagnes de vaccinations ont été suivies très souvent de pandémie de polio très dangereuses , notamment avec les vaccins oraux ? »
L'infection du système nerveux central par la polio, la plus sérieuse, complique environ un cas sur cent. Elle entraîne une méningite et s'accompagne, dans la moitié des cas, d'une lésion des motoneurones de la corne antérieure de la moelle épinière qui définit la poliomyélite. Il en résulte une paralysie flasque asymétrique intéressant le plus souvent les membres inférieurs. Il existe aussi un syndrome post-polio qui donne une faiblesse dans les années après avoir contracté la maladie. Les cas de polio ont énorméement diminué suite au vaccin tel que nous pouvons presque statuer à une éradication sur le continent nord-américain. Par contre, le virus demeure très présente dans d'autres pays (Niger, Pakistan) et personne ne peut dire avec certitude que son enfant ne voyage pas plus tard. Faire attention car le nouveau vaccin est différent du vaccin oral dont certains gens parlent encore. Ce vaccin était un vaccin oral vivant atténué (que les gens prenaient pas la bouche) et il y aurait eu excrétion de virus avec transmission fécale-orale ayant donné de cas de poliomyélite. Il fut donc retiré il y a longtemps. Le vaccin que nous avons actuellement ne peut donner des cas de polio étant inactivé (mort) et donné par injection. Le contact avec le virus est immunisant mais on devrait être exposé aux trois virus pour y être immuns ce qui est risqué… Le vaccin que nous avons est trivalent, il protège contre les trois souches de poliovirus. Il n'existe pas de traitement curatif de la poliomyélite. Nous avons eu en 1955 1500 cas de polio alors qu'en 2006, aucun cas rapporté.
« La diphtérie… On a constaté une régression de la maladie tout à fait similaire dans des pays ayant pratiqué une vaccination systématique obligatoire et dans des pays n’ayant pratiqué aucune vaccination. Bien entendu, dans les pays vaccinés on a prétendu à tort que la vaccination avait fait ses preuves. Comparons notamment le Japon et l’Allemagne qui n’ont fait aucune campagne de vaccination avec le Canada qui en a faite une dans les années d’après guerre. La chute du nombre de cas et de cas mortels est tout à fait comparable dans ces trois pays, alors qu’un seul a fait une campagne de vaccination. »
Maladie qui provoque l'asphyxie par obstruction des voies respiratoires et crée toxines qui peuvent atteindre le coeur et provoquer la mort par atteinte cardiaque ou arythmie.
Elle était encore la plus grande cause de mortalité infantile à la fin du XIXe siècle avec des milliers de cas chaque année (9000 cas par an au canada en 1930 alors qu'en 2006 nous avons eu 0-1 cas/an) 1 Dans certains pays, on associe en partie la recrudescence des cas à l'absence de vaccination des enfants ou revaccination chez les adultes.
« Le cas de la vaccination contre l’hépatite m’a toujours laissée perplexe. On se propose de vacciner en effet des nourrissons pour une maladie qui se transmet par le sexe ou le sang. Ce qui veut dire que les groupes à risques sont les personnes à partenaires sexuels multiples, les toxicomanes , et les personnes ayant subit une opération avec transfusion d’avant les années 80.
L’hépatite B est une maladie du foie qui peut être plus ou moins difficile; le risque majeur est une cyrrhose ou un cancer du foie qui provient pour 5% des malades parfois 30 ou 40 ans après avoir contracté la maladie; en vaccinant des nouveaux nés, ne nous prépare t on pas des milliers de cas de cancer du foie pour dans 40 ans ? Personne n’en sait rien, nous n’avons pas 40 ans de recul pour ce vaccin. L’hépatite A a un pronostic assez semblable, la seule hépatite vraiment grave c’est l’hépatite C et il n’existe aucun vaccin contre. »
Au québec, nous avons opté pour vacciner les préadolescents de 10-11 ans contre l'hépatite B car certains débutent leur activité sexuelle dès cet âge et les consommateurs de drogues intraveineuses peuvent parfois débuter très jeune… Le risque de cirrhose et de cancer du foie est notable. Par ailleurs il importe de savoir que la femme infectée par l'hépatite B à 90 % de chances de transmettre l'infection à son bébé ce qui n'est pas bénin. Si nous n'avons pas de recul de 40 ans pour déterminer si cela aura un effet à long terme sur les cancers du foie il plait à tout esprit logique de croire que si nous réduisons les cas d'hépatite B par l'immunisation nous réduirons très probablement les cas de cancer du foie attribués à l'hépatite B.
« Il est question par exemple de vaccins contre la varicelle. En quoi cette maladie est dangereuse ? Comme pour la rougeole, ne va t on pas faire pire avec le vaccin que sans ? »
Le principe régissant la vaccination contre la varicelle est en fait de limiter les complications liées à la varicelle qui est en soi relativement bénigne. En fait, la varicelle produisant des dizaines de lésions pancorporelles excoriées permet l'entrée de d'autres bactéries dont le staphylocoque ou le streptocoque qui ont un potentiel létal élevé.
À mon avis, avoir un esprit ouvert c'est aussi écouter ce que les gens qui sont contre nos idées ont à dire. Je me fais prudente par rapport aux gens qui sont catégoriquement contre les vaccins le plus souvent pour des raisons non fondées ou encore des croyances personnelles. La décision de se faire vacciner ou non devrait principalement reposé sur une rationnelle et non sur l'émotivité, la paranoya, la peur ou de fausses croyances ou informations. Informez-vous aux bonnes personnes. Il faut cesser de blâmer des mauvaises décisions du passé et se dire qu'on a appris de nos erreurs et regarder de l'avant.
L’ennui c’est que la rapidité avec laquelle vous avez répondu me fait dire que vous n’êtes pas entre temps allé lire UNE SEULE ligne de ce que le Docteur Girard a pu écrire ou dire où que ce soit.
Moi je veux bien croire les sources dont vous me parlez, mais pour peu que j’ai accès à ces sources. Je ne vois pas au nom de quoi je devrais croire les yeux fermés ce que peut dire quiconque qui travaille dans le domaine de la santé, parce que précisément , ce faisant , je demande à une personne d’être juge ET partie.
Juridiquement ce n’est JAMAIS la bonne manière d’avoir une opinion OBJECTIVE. Toutes les sources auxquelles vous vous référez peuvent être soumises à des liens d’intérêts divers et variés , tout comme ceux de l’OMS, de Santé Canada, du CDC , de l’Institut de Veille Sanitaire en France, de la Direction Départementale des Affaires Sanitaires et Sociales en France, de l’ AFSSAPS en France et divers autres organismes officiels reconnus par tous les médecins. Hors je me propose de vous mettre sous le nez ces sources là qui étayent mes propos, vous ne voulez même pas les voir; je dis que cette démarche est profondément anti scientifique , tout bonnement.
Je voudrais d’autre part attirer votre attention sur une chose par rapport aux longs commentaires que vous avez écrit précédemment.
Cela ne vous choque pas qu’au nom soi disant du bien public on viole littéralement les droits individuels des personnes ? Remarquez, les SS, Hitler et Goebbels non plus ça n’avait pas l’air de les déranger en 1940.
Vous établissez comme un DOGME absolu et indéniable que les vaccins SONT efficaces. Hors l’ennui voyez vous c’est que depuis plus d’un siècle de nombreux médecins se sont insurgés sur le fait précisément que cela n’était pas prouvé , et notamment si vous prenez le vaccin de la grippe saisonnière, RIEN ne prouve qu’il soit efficace à ce jour. RIEN. C’est même le contraire que cela tendrait à prouver , à savoir que non seulement il ne serait pas efficace mais qu’en plus il aurait des effets secondaires non négligeables.
Vous jouez sur l’argument que je trouve détestable de la culpabilité pour inciter les gens à se faire vacciner. Si je vous demandais donc de signer à toutes les personnes que vous vaccinez une attestation comme quoi vous prendriez à votre charge personnelle tous les frais inhérents à un effet secondaire du vaccin, accepteriez vous de prendre un tel risque dans la mesure où selon vos propres dires, il n’y aurait qu’un risque sur 10 millions ? Je crains que non..
Parce que excusez moi mais si vous savez un tout petit peu ce que sont les statistiques, reconnaissez que en 1976, si il y a eu 40 millions de vaccinés mais 4000 plaintes justifiés pour effets secondaires consécutifs au vaccin DONT 532 cas de SGB et parmi eux 30 morts, on est à un taux de risque bien plus élevé que 1 sur 10 millions. 1 sur 10 millions veut dire qu’il y aurait eu seulement 4 personnes touchées aux USA et il y en a eu exactement 1000 fois plus; si vos chiffres sont aussi appoximatifs que ça comprenez donc que l’on reste un peu sceptiques sur les autres affirmations gratuites que vous avancez.
Carolyne,
La vaccination est un mythe enseigné dans les facultés de médecine de toutes les universités de la planète.
Le « mythe » a tout de même démontré des preuves/faits/chiffres durent à réfuter. Ce n’est pas comme si je disais que des grenouilles étaient tombé du ciel sans qu’on en ait des preuves…
Je ne vais pas aller lire ce que Dr Girard a dit ailleurs. J’ai lu les perles que vous avez mis sur la page et ça m’a suffit. Je crois que quand 100 personnes vous disent que vous êtes drôles et qu’une seule dit le contraire, forcément vous devez être drôles… Alors si Dr Girard pense que les vaccins ne sont pas bons, il y a des tas de gens aussi crédibles qui croient le contraire et logiquement je vais les croire. Il faut parfois faire gaffe à cette façon de déduire car plusieurs personnes peuvent être dans le champ le hic est que les expériences passées ont montré que la position de la majorité des gens pour les vaccins est la plus sécuritaire.
Ce n’est pas une question de décider les yeux fermés. Si vous croyez que les médecins sont les professionnels qui sont les plus aptes pour vous parler des vaccins ils vous diront les pour et les contre et vous prendrez votre décision (qui sera très respectable si elle est fait avec des vraies informations et dans la rationnelle) et vous ferez avec. C’est de votre santé qu’on parle. Si vous mourrez de la grippe H1N1 après ca en sachant que le vaccin était disponible pour vous, ca sera votre affaire.
Carolyne,
Oui, c’est des chiffres inventés que tu cites, des preuves fabriquées, des statistiques truquées, des études biaisées et non scientifiques, des faux témoignages.
C’est exactement ce que je te dis, c’est un MYTHE, de la FOUTAISE, un MENSONGE.
L’efficacité du vaccin de la grippe saisonnière ne peut être discutée que sur une base annuelle. Ce vaccin est fait selon les dernières souches de vaccin qui furent présentent les mois avant la saison hivernale. Il se peut qu’on se trompe ou qu’encore le virus mute entre temps et que le vaccin soit donc moins effiace d’une année à l,autre.
Je considère que les gens non vaccinés qui travaillent en santé sont un vecteur et donc représente un danger pour les gens les plus malades de la société. Par contre, il y a eu un tel taux de participation de la part du personnel que possiblement les quelques personnes vaccinées dans le personnel seront probablement tolérées et donc non forcées de se vacciner.
Les compagnies pharmaceutiques sont chargés de prendre en charge les risques inhérents de leur produit. C’est pourquoi elles payent des sommes astronomiques quand elle font des erreurs. Je crois que vous ne comprenez pas le fait que si l’on donne un effet secondaire grave à 1 personne sur 10 000 000 on en sauve des milliers d’autres…
Mes affirmations sont beaucoup moins gratuites que les pages web non crédibles que vous semblez lire. Ceci dit, je vous laisser avec vos croyances non fondées, j’aurai à tout le moins tenter de vous informer de façon plus juste.
Par ailleurs, le vaccin de 1976 était différent du vaccin de la grippe saisonnière qui est annuellement modifié. Le risque de SGB avec ce dernier est donc très probablement différent de celui associé au vaccin de 1976. SVP ne pas confondre les choses.
Caroline…
Tu peux répéter ta propagande tant que tu veux, cela ne changera rien à la situation, Il n’y a pas deux vérités. Il n’y en a qu’une.
Le gouvernement fédéral du Canada a accepté d’idemniser GSK pour tout dommage pouvant résulter du vaccin H1N1. Aux USA, les fabricants et ceux qui administrent le vaccin ont reçu une immunité de poursuite.
La réalité n’est pas telle que tu la décrit.
Ils ont eu cette immunité exceptionnellement parce que la 3e phase d’étude n’a pu être remplie car nous ne pouvons nous permettre de regarder la pandémie passer alors que les constituants du vaccin sont déjà connus et ont déjà été testés antérieurement suffisamment.
Caroline,
Le nombre de sclérose en plaques en France n’a pas augmenté de UN cas suite à la vaccination , la moyenne annuelle enregistrée par la Sécurité Sociale (qui par ailleurs est un organisme PUBLIC et qui envoie régulièrement aux assurés qui cotisent pour le financer des publicités déguisées pour les laboratoires, puisqu’ils recommandent vivent la vaccination) est passée brutalement de 25 000 déclarations par an à 80 000 déclarations annuelles. Le nombre de scléroses en plaques présumées dues à cette vaccination pourrait donc être de plusieurs fois 55 000 personnes ( au moins deux années consécutives le taux est resté si haut, sans que la Sécurité Sociale qui indemnise ces malades en longue durée aussitôt à 100% n’ait cru bon de se demander POURQUOI il pouvait y avoir autant de cas de plus que les années antérieures ) sans compter tous les autres cas de maladies fortement invalidantes musculaires ou neuro musculaires que personne ne sait soigner dont les cas ont aussi augmenté dans ces années là de manière conséquente.
Donc on estime au mieux qu’il pourrait y avoir 100 000 personnes concernées en France, dans les hypothèses les plus « optimistes » . Pour 30 millions de vaccinés. Ca fait pas mal plus que 1 pour 10 millions de personnes vaccinées ça .
Pour votre information :
SmithKlineBeecham a déclaré : « La vaccination contre HBV, obligatoire pour certains groupes à risques, mériterait d’être étendue à une plus large population, la plus jeune notamment, la vaccination des sujets à haut risque n’ayant eu, semble-t-il, AUCUN IMPACT impact aux Etats-Unis sur l’incidence de la maladie ». (le Concours médical, vol.15 n°4, 1993).
Puis, dans le Concours médical n°8 de 1993 ( vol.115) le Dr Christian Sicot écrit : « Si l’on prend l’exemple des Etats-Unis, l’incidence globale des hépatites aigües B depuis l’instauration de la vaccination n’a pas diminué mais progressé, passant de 55 à 63 cas pour 100 000 entre 1981 et 1987. Ce résultat décevant n’est pourtant pas inattendu : la couverture vaccinale des groupes à risques reste insuffisante ».
L’ennui c’est que entre le 1er Juillet 1990 et le 31 octobre 1998, le Vaers, système gouvernemental de saisies des effets adverses des vaccins a dénombré 24 775 cas dont 9673 cas graves et 439 décès , et ce rien que pour le vaccin de l’hépatite B. Le rapport bénéfice risque pour cette maladie semble donc pencher en faveur de ne pas se faire vacciner au vu de ces résultats catastrophiques.
Pourriez vous avoir l’amabilité de nous dire si par hasard on vous avait donné ces éléments pour vous informer des bienfaits des vaccinations dans leur ensemble ?
Caroline,
Un charlatan a toujours une bonne histoire pour masquer la vérité, comme Rockefeller qui vendait du Snake Oil.
NB : je ne tiens pas les chiffres dont je vous parle du Docteur Girard mais d’autres sources que j’ai recoupées, ça fait bientôt 17 ans que je lis des livres sur ce sujet et que je discute avec des centaines de médecins qui me confirment mes très sérieux doutes sur la soi disant protection que les vaccins seraient censés apporter, que j’assiste à des conférences sur ce sujet.
En toute honnêteté Caroline, si vous ne vérifiez même pas ce que j’avance plus haut, je ne pourrais que me conforter dans mes positions anti vaccinations, mais TOUTES les vaccinations, et pour le vaccin AH1N1, c’est littéralement du jamais vu dans les autorisations de mise sur le marché , c’est à dire que , et vous le reconnaissez dans plusieurs de vos commentaires implicitement, c’est LA POPULATION que l’on prend pour des cobayes. Vous aimez jouer à la roulette russe à ce point avec la santé de millions de personnes ?
Rien que les confusions multiples et contradictions perpétuelles qui ont été dites à propos des femmes enceintes me laissent plus que songeuse. Que direz vous aux femmes dont les bébés seront morts nés dans quelques semaines ou aux femmes dont les bébés naitrons avec des malformations sévères dues au thimérosal ou au squalène ? Que vous ne saviez pas ? Vous auriez grandement tort, voyez vous puisque vous avez vu Silence on vaccine ici ( si je ne m’abuse, à moins que vous ne vous soyez même pas donné la peine de voir ce documentaire ) . Vous voyez comment ça peut faire quand on veut culpabiliser les personnes de faire ou ne pas faire une chose comme vous l’avez fait plus haut ? J’ai utilisé ce moteur à dessein , histoire que vous vous mettiez deux secondes à la place des personnes auprès de qui Bolduc et Poirier et des gens comme vous font pression auprès de la population.
Parce qu’enfin, si j’ai si tort, alors , il doit être aisé de m’opposer d’autres chiffres que ceux que j’avance, ou de me montrer les études hors de tout doute qui prouvent que les vaccins ont vraiment éradiqués une quelconque maladie.
Les études dont on parle le plus en médecine et dans les cours sont des études financées par qui ? Est on sûr à chaque fois que ces gens là ne sont pas obligés de dire ce qu’ils n’ont pas trouvé pour ne pas perdre tous les crédits pour tout autre type de recherche ? Qui finance majoritairement la recherche médicale Caroline ? Entre nous ?
Caroline ,
Que pensez vous de ce documentaire là ?
@Caroline et Sophie
Caroline, merci de vous préoccuper de la santé de la population, mais j’ai bien peur que votre certitude démontre bel et bien que vous n’avez pas vu ce documentaire ni lu les riches commentaires ici. Je ne vois juste pas comment on peut en arriver à être aussi certain de l’innocuité de ces vaccins à la lumière de toutes les informations crédibles disponibles.
Comment pouvez-vous être aussi certaine que le thimérosal (mercure) directement injecté dans le sang – bien au contraire du mercure ingéré de vos cannes de thon (quel exemple misérable de toute façon, puisque le mercure à n’importe quelle dose est toxique, sans compter les doses multiples et cumulatives); le squalène qui a causé le Syndrome de la guerre du Golfe (des dizaines de milliers de morts et des centaines de milliers de personnels militaires rendu malades à vie), l’aluminium, les virus atténués, etc, ne sont sans danger? Comme Sophie le dit, c’est la roulette russe, et vous le conseillez aux gens?
J’ai honnêtement bien moi peur du H1N1 pour moi et la population en général, que du vaccin A/H1N1 à moitié testé et pour lequel les pharmaceutiques ont reçu l’immunité judiciaire… au cas où les vaccins feraient des ravages, vous savez, comme en 1976 aux États-Unis. Et oui, parce qu’il y a des précédent en plus de tout cela, ce n’est pas comme s’était la première fois qu’on nous faisait ce coup-là. Et vous savez quoi? de 50 à 300 fois plus de gens sont morts des vaccins que du virus de la grippe porcine d’alors.
Ah, vous me direz, ce ne sera pas comme ça cette fois-ci. On fait plus attention de nos jours.
Vous avez raison. Cette fois-ci, on a donné l’immunité judiciaire en cas d’effets secondaires. Fantastique. Cela est TELLEMENT RASSURANT. Parce qu’en 1976, cela avait couté cher au gouvernement et aux compagnies pharmaceutiques. C’est parfait, parce qu’au moins cette fois, si votre enfant, votre mère ou vous-même décédiez ou deveniez paralysé à vie, ou autistique, vous ne pourrez pas poursuivre en Cour ceux qui sont responsables de ce gâchis. N’est-ce pas absolument merveilleux?
Pour le reste, à la lumière de toute l’information accumulée depuis des années de recherches et de mon bon sens, il est clair que pour protéger le mieux la population est de l’informer complètement pour qu’elle puisse juger par elle-même de ce qui est la meilleure méthode pour assurer la santé. J’appuie fortement la réponse que Sophie vous a donné. Votre commentaire se veut bienveillant, mais est truffé de contradictions et de demie vérités. Pensez-vous vraiment que le vaccin est la meilleure façon de lutter contre un virus, alors que nous avons passé à travers des millions d’années en développant notre système immunitaire. Pourquoi ne pas encourager les gens à se maintenir en pleine santé avec un système immunitaire fort au lieu de se faire injecter une potion magique comme les pilules qui règlent tout, une mixture contenant une quantité impressionnante d’ingrédients toxiques, de virus, de métaux lourds, de formaldéhyde, de pus d’animal, d’OGM, organismes clonés, MSG, etc?
Probablement que la chose la plus efficace pour lutter contre le virus de la grippe est la vitamine D, C, magnésium/calcium, du soleil et être heureux. À vous de voir vraiment, avec votre spécialiste.
Mais de mon point de vue, je vois votre invitation à la population comment étant beaucoup plus comme étant la roulette russe que nous qui disons prudence, vous seriez mieux de vous informer vraiment bien et de considérer d’autres alternatives plus sécuritaires que ces vaccins bâclés en vitesse, à demi-testés, que des milliers de docteurs, infirmières et spécialistes refusent de s’inoculer.
Bien à vous,
François M.
En provenance directe du site de l’Organisation Mondiale de la Santé (http://www.who.int/vaccine_safety/topics/adjuvants/squalene/questions_and_answers/fr/index.html):
« Pourquoi certains pensent-ils que le squalène dans les vaccins entraînerait un risque ?
* Quelques personnes ont essayé de voir un lien entre les problèmes de santé présentés par les anciens combattants de la guerre du Golfe et la présence possible de squalène dans les vaccins qu’on leur avait administrés.
* Un rapport publié a avancé que certains des vétérans, qui avaient reçu des vaccins contre le charbon, avaient développé des anticorps antisqualène qui ont provoqué leurs incapacités.
* On sait désormais qu’il n’y avait pas de squalène dans ces vaccins et des articles publiés ont indiqué des faiblesses techniques du rapport original. »
Je me demande bien à quels articles ils se réfèrent. Évidemment, ils n’ont pas mis les liens ou les sources qui nous auraient permis de les vérifier. Se pourrait-il que ce sont des articles financés à la base par les pharmaceutiques ???
A+
Pingback: Les raisins de la colère « Jeanne Émard
Décidément, j’ai de la difficulté avec les liens. Voici le lien à nouveau pour l’OMS concernant le squalène: http://www.who.int/vaccine_safety/topics/adjuvants/squalene/questions_and_answers/fr/index.html
Si ça ne fonctionne pas, cliquez sur l’onglet français qui vous dirigera sur la page en question.
Ensuite, sur cette page, il y a un lien « plus d’informations » concernant les le squalèn sur le squalène sur lequel vous cliquez et qui pointe vers: http://www.anthrax.osd.mil/resource/qna/qaAll.asp?cID=319
Il y a un autre lien sur la page de l’OMS portant sur cette étude:
Detection of antibodies to squalene : : III. Naturally occurring antibodies to squalene in humans and mice
Cette étude n’est pas libre d’accès, il faut payer 31.50 $ US
pour l’obtenir. Décidément !!!
Je tenais à souligner cette information. J’ai mes doutes. Je vais quand même la lire et tirer mes propres conclusions.
Paix et amour.
Merci Sophie pour te contribution ici. J’ai commencé à me poser des questions sur les vaccins quand ma fille a fait une réaction à son vaccin de 4 mois. Je suis allée à la bibliohtèque lire sur le sujet et quelle fut ma surprise de voir les ouvrages qui ressorntent quand on tape le mot vaccin dans le moteur de recherche de la bibli. 90% de ces ouvrages dénoncent la vaccination et son mythe. J’ai décidé de ne plus consommer les vaccin, ni pour moi ni pour ma fille. Cependant dans mon milieu je suis rare à avoir cet avis mais je me rend compte que tout le monde croit aux vaccin sans fondement. Quand on se met à chercher un peu on se rend compte de ce gigantesque dogme, Pasteur etc.
J’aimerais savoir si vous êtes au Québec. Quand je lis que vous avez parlé à des médecins, ont-ils vraiment été réceptifs? Je ne voit pas à quel professionnel de la santé parler de ça. Malgré que la majorité des ouvrages contre la vaccination ont été rédigés par des médecins, je crois qu’en pratique actuelle la majorité es médecin sont corrompus ou « brainwashés ». Je n’ose pas en parler à notre méecin de famille, surtout après l’épisode de la réaction de ma fille. Il a continué à la vacciner avec le même vaccin à 6 mois… maintenant je crois que je n’irai meme plus le voir.
Est-ce que quelqu’un connait des médecins contre la vaccination? Sans les nommer ici pour ne pas es dénoncer, j’aimerais p-ê communiquer avec vous par courriel privé afin d’en discuter.
J’oubliais, à Caroline la « résidente en médecine », je dois vous avouer que la manière dont vous prenez position ici vous enlève toute crédibilité. Votre statut de résidente en médecine ainsi que vos sources singulières(« mes livres de médecines ») font de vous quelqu’un de totalement biaisé. Si vous alliez voir justement tous les ouvrages qui ont été rédigés pour dénoncer la vaccnation, plusieurs par des médecins, qui citent des centaines d’études provenant de médecins et de docteurs en multiples disciplines (microbiologie, épidémiologues…) simplement en mettant le nez dans votre bibliothèque municipale plutôt que dans votre centre de formation en médecine, vous commenceriez peut-être à avoir des questions intéressantes pour vos professeurs…
PS je ne suis pas une adepte de la biologie totale ni une « grano ». J’ai moi-même une formation universitaire de deuxième cycle et je travaille en informatique. Tout ce que vous voulez de plus rationnel. Parlant de rationalité, rapportant vos propos, ne serait-il pas rationnel d’admettre que les ouvrages qu’on vous propose lors de votre parcours de médecine sont peut-être biaisés?
En bout de ligne on doit peut-être se demander ce qui se cache derrière la vaccintion si officillement l’efficacité du principe vaccinaliste n’est pas prouvé. Facile à répondre quand on pense à l’énorme industrie derrière la vaccination. Si la majorité des praticiens trouvent profiteu$e la vaccination systématique, dites-moi alors quel serait l’intérêt de ceux qui le dénoncent sinon le simple bien-être des citoyens. Cette simple question me permet de décider que jamais plus je ne vais consommer les vaccins.
à Caroline
Je vis en France. Les médecins qui m’ont parlé défavorablement contre les vaccins sont tous des homéopathes, ( la très grande majeure partie d’entre eux sont opposés aux vaccins et passent une partie de leur temps à tenter de détoxiner leurs patients qui ont été vaccinés ) des acupuncteurs, ou des ostéopathes. Je vous conseille donc de farfouiller dans cette direction. Pour ne pas prendre de risques inutiles, vous profitez d’une occasion d’une visite dont vous avez besoin chez un médecin pour une pécadille ( genre un certificat médical ou un rhume dont vous vous tireriez d’affaires toute seule sans problèmes ) et vous posez quelques questions innocentes, histoire de tâter le terrain.
Autre possibilité : par relations. Si dans vos connaissances vous avez des personnes qui sont aussi convaincues que vous , cherchez à leur demander par qui elles se font soigner. Autres pistes : les magasins d’alimentation naturelle . Leur demander s’ils connaissent un bon homéopathe par exemple.
Bonne chance et bon courage dans vos recherches.