On nous annonce des vaccins pour l’automne…. Trois…
Un pour la grippe saisonnière, et deux autres pour le A(H1N1) …
On n’y va pas avec le dos de la seringue!… À ce rythme là, en embrassant tous les porcs, on a des chances de sauver l’industrie porcine en les inoculant par un petit baiser sur la rose bête, avec un brin d’amour. Ça aide…
En France
C’est le Journal du dimanche (JDD) qui l’assure dans son édition de samedi, le gouvernement français souhaite mettre en place une « campagne de vaccination obligatoire contre la grippe A/H1N1 pour tous les Français de plus de 3 mois à l’automne pour un coût total d’un milliard d’euros. »
Pour ce faire, l’Etat passerait une commande de 100 millions de doses de vaccin contre la grippe A (H1N1) à trois groupes pharmaceutiques: GlaxoSmithKline , Sanofi et Novartis, précise le journal. Les premières doses de ce vaccin en cours de préparation pourraient être disponibles dans un délai de quatre à six mois, soit au milieu de l’automne, a annoncé le groupe Glaxo il y a deux semaines. « C’est à l’automne que l’on saura exactement comment évolue ce virus », déclare un porte-parole du ministère de la Santé au JDD. « Nous nous appuierons sur trois piliers : les masques, les antiviraux et les vaccins. » TF1
100 millions de doses… À partir de l’âge de trois mois? … Plus tard on se plaindra qu’ils ont des difficultés à se concentrer à l’école. Après ça, c’est la grande leçon du «sois vert et tais-toi»…
À ce rythme-là, on ne pourra plus distinguer les drogués de la rue du citoyen «propre» qui suit les consignes des États vendeurs-pushers accrédités.
La route sanguine, développement des artères du pays
À se demander si, rendu à ce point, les gouvernements ne sont pas en train de découvrir – pour contrer la crise économique – une nouvelle forme de regain économique dans la ligne des travaux d’infrastructures.
Au Canada, on crée du «travail artificiel» en faisant peau neuve au béton, aux routes, aux artères des villes, et des aqueducs caduques.
Il doit y avoir un génie qui, quelque part, s’est dit qu’après tout il n’y avait pas que la matière à forer… L’humain doit bien avoir une mine…Ah! La vastitude de son ignorance et de sa crédulité envers ce fortiche qui a pu inventer la pilule à trois trous.
Bang! Archimède a vu monter l’eau dans son cerveau…
L’armée blanche au travail
Trois vaccins pour les canadiens : deux pour la souche A (H1N1) et l’autre pour la grippe dite saisonnière qui contient généralement deux souches. Et au hasard, car – comme Loto-Québec, on ne peut pas augurer la lettre sortante… Ni les chiffres. Alors on tire au hasard à coups de seringues.
Ce qui fait que cette campagne créera énormément d’emplois. Des milliards de dollars.
Il y a de quoi remettre en santé l’économie, mais faussement. Comme d’habitude… Car tout est au faux. Au moins la moitié des mensonges des politiciens sont faux.
Les vérités, elles, sont comme les contenus des vaccins : ils contiennent des traces de poison tel le mercure et autres substances néfastes.
C’est à se demander si la langue de porc dans le vinaigre ne serait pas moins polluante pour notre corps. En la suçant de manière à ce que le jus se glisse sublingualement, je ne dirais pas non.
À qui donc appartient ce corps?
Le citoyen est-il devenu un cheptel de porcs pour une poignée de cochons?
On dirait que les compagnies Big Pharma s’apprêtent à nous glisser dans la fente de leur tirelire.
Le but? Découvrir d’autres médicaments pour le porc et le cochon. Mais pas pour les mêmes raisons.
Ces nouveaux sorciers, coiffés à droite, cravatés au centres, et décentrés du bon sens, me froussent.
Le statut de la liberté
Obligés? Ce serait le vase qui fait déborder la goutte…
On commence à avoir nos libertés individuelles s’effriter à petits pas de «c’est bon pour vous» et pour la «fucking» santé publique.
On veut bien être santé, mais on ne veut pas être un troupeau pour l’État.
La réponse serait non. Pas de vaccin.
Je préfère être tué par un porc que par un cochon de tirelire avec son crâne fêlé pour s’empiffrer de notre monnaie.
Les cochons ont l’art d’aller camoufler leurs revenus dans des pays-abris-fiscaux.
La putain et le financier
Dans l’entretemps, le cercle de la besace de l’intelligence des dirigeants est en train d’acheter le concept comme une putain achète de la silicone en se le fourrant sur les seins pour vendre son corps au coin d’une rue. Le gros mange des yeux, l’entrée de son repas copieux..
C’est donc dire que toutes ces infrastructures «organiques» – nos os, nos veines, notre cœur, nos artères, à force d’étirer la couverture sur la maladie – cette santé mal nommée, est en train de ronger encore les revenus des particuliers.
On avait les vases communiquant, on a maintenant les cochons communiquant.
On s’entreverse…
La niaiserie et la bêtise de l’État et de ses SS ( sections sanguinaires) n’a plus de fin. Comme la soif des banques.
Finalement, nous sommes tous une bulle pour l’État : suffit de la goinfrer de n’importe quoi : peur et servitude font un beau dessert…
Les grandes missions des adultes
Les adultes sont vraiment ennuyants… Mais s’ils restaient ennuyants, cela ne causerait pas tant de dommages. Ils deviennent sérieux… Sérieux de quoi?
Je pense que si on veut vivre longtemps et en santé, il vaut mieux s’adonner à ce bon vieux jeu de l’enfance : tremper une rondelle de plastique dans un mélange d’eau et de savon, et souffler dedans.
Comme ça, au moins, on voit dans l’air les bulles magiques. Ça fascine les enfants.
Si les politiciens et tous ces gens sérieux à cheveux blancs cessaient d’être des adultes chimifiés dans leur foi, secs comme la paille, on aurait un monde meilleur.
La merde de cheval, c’est du frais. Ça pue mais ça engraisse les champs.
La merde snobinarde et vaniteuse, c’est sérieux.
Mais c’est une rangée de cadavres en décomposition, avec des titres et des projets et une religion – mélange de foi-sciences – de chiffres manipulés, dénuée de pragmatique et de logique réelle, avec une recette de la vie dans laquelle les ingrédients pour prolonger le produit sont comme ce fromage qui dure au moins un an.
L’Alzheimer commence là où la sériosité malsaine a tué l’enfant.
Une fois drogués du pouvoir, de l’argent, à travers l’immensité de l’Univers, ce sont des vers qui se sont infiltrés dans une toute petite planète.
Il vogue un fruit pourri dans l’univers… Nous y vivons… Pour le moment.
Faudra bien trouver un «savanticide» pour déloger la Bête de notre habitat…
On étouffe dans ce pommier bleu.