Il y en a beaucoup qui vantent le miracle économique chinois, en particulier pour démontrer qu’une économie dirigée est plus efficace qu’une économie libre. Certains iront même jusqu’à appeler ça une dictature éclairée. Le Président Obama s’est même plaint que ce serait plus facile pour lui s’il était président de la Chine. J’ai déjà souligné les failles de l’économie dirigée auparavant, mais je vais y revenir aujourd’hui.
Il est vrai que, si on ne s’attarde qu’aux métriques macro-économiques, la Chine semble sur le point de devenir LA puissance économique mondiale. Cependant, les apparences peuvent facilement être trompeuses. Je vous demanderait donc de considérer ce reportage australien sur le phénomène des villes fantômes en Chine.
Voyez-vous, si la croissance de 8% du PIB de la Chine semble phénoménale, cette croissance est fantoche. Elle est soutenue par la construction de villes que personne n’ira habiter. La Chine est en train de développer une bulle immobilière qui semblera comme une bombe atomique, comparativement avec celle des États-Unis en 2008. Mais considérant que la Chine a une économie dirigée, ça ne devrait cependant pas être une surprise, puisque tout ça concorde exactement avec la présomption fatale de Hayek. Lorsque l’économie est gérée du haut vers le bas, elle est orientée vers des impératifs politiques plutôt que les désirs des consommateurs. Le résultant étant qu’en Chine, on construit des millions de logements hors de prix pour des millions de chinois qui s’entassent comme des sardines dans des appartements de deux pièces.
Comme je l’ai déjà souligné, le rôle d’une économie est de répondre aux besoin des consommateurs. À quoi ça sert de fabriquer des choses que personne n’achètera? À quoi cela peut-il servir de construire des maisons et des condos qu’aucun des habitants n’a les moyens de se payer? Mais pour le gouvernement chinois, tout ce qui compte c’est de gonfler son PIB. Qu’importe si ça améliore les qualité de vie de ses citoyens ou pas. Ce n’est pas sans rappeler la défunte URSS qui elle aussi, paraissait si bien sur papier que des éminents économistes comme Josef Stiglitz en faisaient l’éloge, mais qui s’est avéré un désastre économique. Ce n’est pas un accident, ça se reproduira chaque fois qu’on essaiera d’établir une économie dirigée, parce que les dirigeants seront toujours déconnectés des besoins des consommateurs et obéiront toujours à leur propres impératifs personnels. Il semble que la race humaine n’apprend pas facilement de ses erreurs. Nous persistons à essayer de contrôler le marché alors qu’il ne requiert pas ce genre de contrôle. Tout ce que le marché requiert, ce sont des entrepreneurs à l’écoute de leurs clients.
Merci de cette information sur la Chine. Ainsi, 64 millions de logements seraient inoccupés! Cela peut valablement signifier que ces logements ne vaudraient rien sur le marché chinois. Je suppose que le prix d’un logement chinois vaut en moyenne 50000 dollars US. Selon cette valeur moyenne, l’erreur « comptable » chinoise serait de 3200 milliards de dollars. La crise des subprime avait coûte 700 milliards de dollars à l’Etat US.
Le coût de l’erreur « comptable » chinoise serait donc 4 fois supérieure au coût US de la crise des subprime. J’ignore quelles pourraient être l’incidence de cette erreur comptable sur l’économie chinoise, et sur l’économie mondiale. Mais, en effet, on peut se demander si la croissance chinoise est fantoche.
Une économie dirigée produit des marchandises sans clientèle. C’est à dire des marchandises sans valeur. Elle produit donc de la perte et détruit de la richesse.
Les origines de la faillite du Nouvel Ordre Mondial.
Il n’y a pas de liberté sans règles (lois), et il n’y a pas de règles sans justice (équité, honnêteté et conscience).
La liberté sans règle, comme le réclame le capitalisme dans le libéralisme, n’est rien d’autre que la loi du plus fort, une DICTATURE et l’asservissement des peuples.
Ce capitalisme dans le libéralisme est pourvoyeur de pollutions, de corruptions, de perdition, de dettes et de conflits dont la racine est toujours sa cupidité et sa voracité.
Le capitalisme dans le libéralisme, n’est pas la liberté donnée à chaque acteur de l’économie de marché, mais seulement à ceux qui en accumulent le plus de profits et qui font partie de la nomenklatura. Les autres sont constamment astreints par des normes, des conditions (salaires, prix, conditions de travail, fiscalité, prélèvements sociaux), sur lesquelles ils n’ont aucun pouvoir…
C’est pour cette raison que le capitalisme dans le libéralisme s’harmonise avec une parfaite osmose avec le capitalisme dans le communisme, pour la bonne raison qu’il n’y a rigoureusement aucune différence !
Le capitalisme dans le libéralisme n’est pas autre chose qu’une corruption généralisée, une absence de justice et donc de liberté et, inévitablement, une voie de perdition.
Le triomphe du capitalisme dans le libéralisme n’est rien d’autre qu’une victoire à la Pyrrhus, à terme une calamité !
Le dogme du capitalisme dans le libéralisme a volontairement occulté ce qui est le plus conforme aux lois de la Nature, comme je l’explique dans le dernier article de mon blog :
http://temple-hermes-thoth.blogspot.com/2011/03/limposture-du-capitalisme.html
Et qui est tout simplement l’ÉCONOMIE.
Ce que l’inculture et l’ignorance, dans laquelle sont volontairement maintenues les masses, finissent par faire tomber dans l’oubli et l’obscurantisme…
Si, selon ce qu’en disait le bon Dr Rabelais (1483 – 1553), science sans conscience n’est que ruine de l’âme, la finance dans la corruption généralisée est la décadence assurée…
@Le Gaulois Libre
Dans votre texte, remplacez le mot « libéralisme » par le mot « étatisme ». En effet, le libéralisme est fondé sur le respect des règles, le respect du contrat, le respect des promesses, le respect de la propriété d’autrui. Le mot « libéralisme » est utilisé par les étatistes pour tromper l’opinion. Le libéralisme respecte toujours la volonté de l’autre sans jamais le contraindre. Je dis bien « jamais » le contraindre en quoi que ce soit. Sinon, ce n’est pas du libéralisme. Alors, votre adversaire s’est affublé du mot « libéralisme » pour vous tromper. Votre adversaire est l’étatisme. Le libéralisme est innocent des crimes que vous dénoncez. C’est l’étatisme qui en est responsable.
Le plus fort est l’Etat. Et nous subissons tous cette loi du plus fort, cet asservissement du peuple par l’Etat. L’Etat fabrique des illusions pour tromper et obtenir la paix sociale. Par sa fabrique incessante d’illusions, l’Etat fait croire au peuple, à ses sujets, qu’il serait bienfaisant. L’Etat est un monstre froid et cupide.
Alors le libéralisme n’est qu’une utopie et une chimère qui n’a jamais existé dans les faits, comme le démontre la réalité tant dans les démocraties que dans les pays totalitaires, mais il est vrai que de là où je me tiens je ne vois pas véritablement la différence…;-)
C’est bien David continue d’étudier tout ce qui profite a la thèse du libéralisme mais j’attends ton antithèse et ta synthèse finale.
Bonne continuation.
En attendant, j’arrive pas a m’explique pourquoi un président bénévole d’un conseil d’administration compte les centimes davantage que s’il s’agissait du sien, Ça me revient souvent après la lecture un de tes articles. Le type est névrosé mais il s’est entoure d’autre névrosé avec lui. Au final, ce n’est pas un contre exemple, car leur extrême radinerie est plutôt nuisible a long terme et les bons gestionnaires s’en vont dégouter.
@Le Gaulois Libre
C’est vrai. Le libéralisme existe très peu dans un monde d’Etats hypertrophiés. Un Etat qui ponctionne la moitié des richesses produite pour les redistribuer est un Etat hypertrophié, très loin de l’idéal libéral.
Le libéralisme est un modèle de gouvernement qui fut exprimé au 17e siècle par John Locke. Depuis trois siècles, de grand philosophes libéraux contribuèrent aux idées libérales. La déclaration des droits de l’homme de 1789 est le pur produit des cercles libéraux du 18e siècle. Le libéralisme est d’abord, une philosophie du Droit. L’Etat est au service du citoyen. La constitution des USA est , elle aussi, un produit des idées libérales.
Le libéralisme fut combattu par les conservateurs qui voulaient imposer un ordre moral. Le libéralisme fut combattu par la gauche qui voulait le triomphe de l’utopie socialiste.
Aujourd’hui, la liberté des échanges commerciaux est autant le produit de la philosophie libérale que le produit de la science économique.
@ Le Gaulois Libre
D’où tenez-vous vos informations sur le libéralisme? Car je dois vous dire que votre petit exposé n’est qu’un ramassis de clichés. GDM vous a très bien répondu, mais je me permet d’y mettre mon grain de sel.
Comme le mot l’indique, le libéralisme se porte à la défense des libertés individuelles. Vous avez parfaitement raison qu’il ne peut y avoir de liberté sans lois, donc le libéralisme doit forcément reposer sur un cadre légal et la règle de droit. Il est fondé expressément sur le droit d’autrui et la non-agression. Le coeur même du libéralisme repose sur l’usage de la force et où et quand il devrait être permis de l’appliquer. Selon la doctrine libérale, la force ne peut être utilisée qu’en légitime défense contre une agression. Ce qui implique tout le contraire de la loi du plus fort.
La pollution et la corruption sont des violation du droit de propriété et seraient condamnables dans une société libérale. Les dettes sont le résultat d’une politique monétaire contrôlée par l’état et les banques. Quant au conflits, si votre philosophie est basée sur la non-agression, comment pourrait-il y en avoir? La guerre n’est profitable à personne, sauf aux marchands de mort et aux politiciens corrompus. Il y a beaucoup plus de profits à faire en commerçant paisiblement avec ses voisins, qu’en leur faisant la guerre. Quant à la cupidité, personne n’est à l’abris. Tout le monde est cupide. Seulement, le libre-marché prend cette cupidité et l’oriente vers la production de biens nécessaires à la société plutôt que vers la recherche du pouvoir. On ne peut devenir riche dans une économie libre qu’en répondant aux demandes des consommateurs.
Nous ne vivons pas dans une société libérale. Nous vivons dans une société corporatiste où les producteurs sont constamment spoliés par l’état et les groupes d’intérêt. Où des politiciens avides de pouvoir distribuent des largesses et des faveurs aux plus offrants. Ce n’est pas ce genre de société que nous voulons non-plus.
Remplacez « libéralisme » par « corporatisme » et vous avez absolument raison. Les deux sont des avocats de la suprématie de l’état sur l’individu.
Je vous recommande d’aller lire ceci, si vous désirez vraiment en savoir plus sur les véritables idées libérales et le véritable rôle de l’état dans une société libre.
@ Paul Napoli,
Je ne suis pas sûr de comprendre la question, si question il y a. Généralement, mes comparaisons portent sur la gestion publique vs la gestion privée et dans ses comparaisons, il est évident que les incitatifs à une saine gestion sont largement absents au public comparativement au privé.
@Philippe David.
Oh, c’est une réflexion qui me « trotte dans la tête » depuis que j’ai lu ton article: 7 principes de bonne gouvernance.
En particulier ton point 5. Personne ne dépense l’argent des autres aussi judicieusement que le sien.
Ces bénévoles du CA me disent qu’ils sont responsable de cet argent et ils semblent avoir davantage peur de faire un impair que de perdre leur propre argent. Ils sont ages, retraites, et catholiques. Il faut regarder aussi la mentalité des gens et leur culture. Tout n’est pas aussi simple …
Le libéralisme est une philosophie qui a aussi ses utopies. Le tout est d’en être conscient sinon on en devient l’esclave.
@ Paul Napoli
Admettons que ce genre d’exception est rare et que dans toute chose il n’y a jamais d’absolus. Mais règle générale, la meilleure personne pour savoir disposer de votre argent est vous-même.
Et comment vous expliquez les villages fantômes espagnols?
http://www.lefigaro.fr/immobilier/2008/04/08/05002-20080408ARTFIG00261-les-espagnols-pris-a-la-gorge-par-la-crise-immobiliere-.php
@ Terez L.
Les Espagnols ont eu une bulle immobilière aussi en 2008. Ils ne s’en sont pas encore remis. Trop de crédit facile dans ce cas-ci.
@Terez L.
Une bulle immobilière est peut-être la cause des difficultés dans ce secteur en Espagne. Une bulle immobilière est une même erreur simultanée d’un nombre suffisant d’acteurs de ce marché.
Bien oui, en Espagne, c’est une bulle et en Chine, c’est parce que l’économie est dirigée. Votre jupon dépasse M. David!
@Le Gaulois Libre
Je partage plusieurs de vos points de vue. Merci pour le lien vers votre site fort intéressant. Vive la simplicité volontaire et sus à tous ces imposteurs qui veulent notre peau en prétendant vouloir notre bien.
@ Terez L
En Chine aussi c’est une bulle, je le mentionne dans mon billet. Et en Espagne aussi, c’est parce que l’état a tout fait pour favoriser l’accès à la propriété à ceux qui n’en avaient pas les moyens.
Non, là vous généralisez, comme il vous arrive souvent. En Espagne, il semble que ce soit des promoteurs corrompus aidés par des élus locaux, bref, le privé quoi!
http://www.lepoint.fr/actualites-immobilier/espagne-une-crise-d-une-autre-nature/1085/0/318752
@ Philippe
J’aimerais savoir si tu as des ststistiques qui indiquent le taux d’occupation des maisons en évolution avec le temps. J’avais déjà évoqué le problème des séparation de couple qui fait pression sur l’immobilier. Un couple qui se sépare apporte aussi le besoin de trouver un second foyer, donc plus de maisons avec moins de monde dedans. Puis les personnes agées, c’est la même chose. Elles aiment beaucoup plus demeurer seule dans leur maison parce que c’est pluséconomique que d’aller en centre d’accueil à payer des mensualités dont un salarié moyen n’aurait pas les moyens de se payer. Entre $1500 et $2000 par mois, c’est du foin ! Alors une personne par maison, c’est fréquent. Ça fait plus de pression sur le marché des maisons neuves. Méchant problème à venir avec le vieillissement de la population. Il est certain qu’à un moment donné, beaucoup de maisons seront libres avec personne dedans pour les occuper, et qui ne trouveront pas preneur, parce qu’à la fin,une personne ne peut pas occuper deux maisons… Un autre fiasco, ce sont les iles construites de toute pièce à Dubaï. Ça tombe tout à l’eau… Est-ce que c’est l’état ou le privé qui est dans le trouble ? Comme en Chine, l’état ou le privé ?
@ Terez L
Notez les caractères gras dans cette citation de votre commentaire:
Vous prenez la peine de dire que les méchants spéculateurs étaient aidés par des élus locaux, mais vous sautez tout de suite à la conclusion que c’est la faute du privé. Aveuglement volontaire, ou mauvaise foi?
Mais vous avez raison sur un point, c’est beaucoup plus compliqué que ça. La bulle immobilière en Espagne a débuté lors de l’intégration à la zone Euro. Les taux d’intérêts de la Banque Centrale d’Europe étant très bas à l’époque, ça a fait chuter les taux hypothécaires rapidement de 11% à 3.5%. En même temps, le parlement espagnol a voté une loi libéralisant l’accès à la propriété et a institué des déductions fiscales favorisant aussi l’accès à la propriété. C’est ça, madame, qui a encouragé la spéculation dans le marché immobilier et a été exacerbé par le fait que, puisque l’Espagne ne contrôlait désormais plus sa monnaie, les taux d’intérêt ont été maintenus trop bas trop longtemps parce que la BCE ne fixe pas ses taux en fonction du seul marché espagnol.
La demande accrue a artificiellement stimulé l’industrie de la construction. Puisque la construction est toujours à la traine de la demande, plusieurs projets de construction étaient encore inachevés quand la bulle a éclaté et que les prix ont chuté, d’où les villes fantômes.
http://www.creditwritedowns.com/2009/02/spain-who-is-responsible-for-the-property-bubble.html
Les banques centrales ne sont pas des institutions du libre-marché, ce sont des institutions corporatistes ou socialistes. (Marx favorisait cette institution d’ailleurs)
Le cas de la Chine est totalement différent. Les villes fantômes là-bas sont en réalité le fruit d’un vaste plan d’infrastructure keynésien dont le seul but était de combattre la récession. En deux mots, c’était la WPA de Franklin D Rosevelt, pompée aux stéroides. Au lieu de juste construire des ponts vers nulle part, on construit des maisons et des condos que personne n’habitera. C’est ça que ça donne une économie dirigée.
L’explication de la bulle immobilière par un bas taux d’intérêt ne me convainc pas. Pourquoi ce secteur d’activité et pas un autre? Cette bulle immobilière a-t-elle eu lieu dans les autres pays de l’euroland?
Je crois plutôt à une erreur partagée par un certain nombre d’investisseurs. Et surtout lorsque cette erreur est aussi commise par l’Etat qui veut « stimuler » ce secteur. Toute stimulation de l’Etat arrive soit trop tôt et détruit la reprise, soit trop tard, et c’est un investissement perdu. Vous mentionnez une loi espagnole « libéralisant l’accès à la propriété ». Je penche plutôt vers une explication de la bulle par cette loi plutôt que par les taux d’intérêt.
Si votre explication des villes fantômes chinoises est exacte, ce serait un signe inquiétant d’ incompétence économique des dirigeants chinois. Peut être certains d’entre eux seraient trop habitués à des plans marxistes de production planifiée.
Le public étant une composante importante de l’économie actuellement, on peut toujours trouver une composante publique quand ça ne marche pas bien. Et comme la période est délicate pour les économies occidentales, c’est une partie de plaisir. 😆 Le problème arrive avec l’exemple chinois. Et a partir de la on peut observer la mauvaise foie ou les incohérences de raisonnement. Pas grand intérêt de lire tout cela. C’est de la propagande ou de l’idéologie pure au choix. Autant réfléchir par soi même que d’avaler ces demi-vérités ou d’essayer de corriger 50% des affirmations.
Amen !
@ Terez
‘Non, là vous généralisez, comme il vous arrive souvent. En Espagne, il semble que ce soit des promoteurs corrompus aidés par des élus locaux, bref, le privé quoi!’
Je crois que vous ignorez la partie de votre proposition qui ne soutient pas votre parti pris contre l’entreprise privée. Vous dites vous-même dans votre commentaire ‘LES ÉLUS LOCAUX’.
Philippe a tout a fait raison. L’économie est dirigée, que ce soit dans le secteur immobilier ou les autres secteurs. Les gros projets immobiliers permettent au secteur financier de multiplier des chiffres à l’infini avec toutes sortes d’instruments dérivés plus farfelus les uns que les autres, mais si Moodys dit que c’est AAA ou A+, tout baigne dans l’huile.
Tout ceci est de la fiction, des bouts de papier avec des signatures.
En ce qui concerne l’économie de la Chine, celle-ci va planter lorsque les pays de l’Ouest vont réduire leur consommation, ce qui va arriver.
Mais à mon avis l’économie est jusqu’à un certain point une distraction, quelque chose que l’on ne peut prédire ou contrôler parce que trop d’éléments sont déjà entr e les mains d’un petit groupe et qu’au bout du compte l’économie est constamment manipulée dans un sens ou dans l’autre.
Monsieur , Aimé Laliberté , » LES ÉLUS LOCAUX » , on travaille aussi la-dessus , quelque part au centre de » L’UNIVERS » , je vous redirai après le 29 septembre 2011. === Madame Terez L , c’est bien que vos soyez-là et même três bien comme je l’ai peut-être déjà dit. — J’aimerais par contre , voir s’afficher les »PETITES PITOUNNES » de Radio-Canada ou TVA qui font BLA,Bla,bla’, sur le Blogue des 7 du Québec………………..
J.M.D.S.
Pardonnez ce hors-sujert, puisque je veux parler contre la guerre en Lybie et les photos publiées par François Marginean ne me donnent pas le coeur de publier chez lui (vraiment terrible la radioactivité sur l´être humain !)
« Libye : l’aviation française détruit au moins cinq avions »
(titre d´un article du Figaro)
D´abord on vent les avions, les munitions et les chars à Kadafi (n´oublions pas que ce n´est pas lui qui fabrique son matériel de guerre qui lui est donc vendu) et ensuite on détruit ce matériel de guerre probablement pour que le dictateur qui viendra après lui, puisse dépenser beaucoup d´argent du peuple arabe et Lybien à racheter les avions et les chars détruits, à la France, à la Grande Bretagne ou aux Etatsunis; justement les pays qui forment coalition contre les arabes. Si ce n´est pas dégoûtant, écoeurant même; qu´est-ce ?
C´est une guerre contre les arabes, pas contre un dictateur, bien évidemment, une guerre pour l´argent et contre les Arabes et le Nationalisme Arabe. Du vrai racisme impérialiste anti-arabe et du TOUT-LE-FRIC-POUR-NOUS-AU-NORD-OUEST-RIEN-POUR-LES-COLONISÉS . Il est évident que ces insurgés qui acceptent l´aide des nations colonisatrices vont être bien pires que Kadafi ou que n´importe quel autre dictateur puisqu´ils dépendent directement des actions militaires de la coalition impériale et de son aide et ne seront donc jamais indépendants ni libres dans une nation dépendante et esclave du colonialisme.
@ gdm
Dans un premier temps, comme je l’ai expliqué, le gouvernement espagnol a fourni quelques incitatifs fiscaux pour encourager l’accès à la propriété qui ont canalisé le crédit facile dans le secteur immobilier. C’est écrit dans le document que j’ai fourni en lien. Ensuite, plusieurs autres pays d’Europe on connu des bulles immobilières dont l’Islande, l’Irlande, le Royaume-Uni et la France, mais pas aussi spectaculaire que celle de l’Espagne. Les manipulations des taux d’intérêts par les banques centrales ont pour effet de causer des distortions dans la structure du capital et causent des bulles. C’est l’argument central de la théorie autrichienne des cycles économiques.
Tout à fait.
@ Paul Napoli
Êtes-vous allé voir le reportage en lien avec mon article? 10 de ces citées fantômes ont été construites en l’espace d’un an. Les termes de crédit ne sont pas favorables à la création d’une bulle immobilière en Chine. Il faut pouvoir payer la moitié du prix à l’achat pour pouvoir avoir une des 64 millions de propriétés vacantes présentement en Chine. Pas exactement l’environnement idéal pour le « house flipping ». Le prix des propriétés ne peut donc pas être gonflé par la spéculation comme aux États-Unis et en Espagne. La bulle chinoise est d’une toute autre nature. C’est effectivement une « gaffe » de planification centrale.