Gouverner, c‘est faire croire. (Se gouverner soi-même est donc de « se faire croire ». Plusieurs y parviennent; c’est indéniable).
Il est plus sûr d‘être craint que d‘être aimé. (Mais être « craint » n’est pas être « respecté ». Il ne faut pas l’oublier).
Gouverner, c‘est mettre vos sujets hors d‘état de vous nuire et même d‘y penser. (On comprend mieux, alors, la Démocratie actuelle).
Que pour être efficace il faut cacher ses intentions (On peut alors être efficace jusqu’À CE QUE L’ON PASSE À L’ACTION. Après, tout se retrouve dans les mains des médias et tout se retrouve au point no 1).
Contenter le peuple et ménager les grands, voilà la maxime de ceux qui savent gouverner. (Nous avons définitivement des « spécialistes » à ce sujet. Quel soulagement de le constater).
Les grands hommes appellent honte le fait de perdre et non celui de tromper pour gagner (On voit que les « grands hommes » ne s’en privent pas et sont effectivement « gagnants »).
En politique le choix est rarement entre le bien et le mal, mais entre le pire et le moindre mal. (On parle ici d’élection, c’est évident).
Il faut estimer comme un bien le moindre mal. (Il s’est certainement glissé une erreur lors des dernières élections. À moins que ce conseil ne s’adresse qu’à la médecine. D’ailleurs, le moindre mal était très malade).
Le temps n‘attend pas, la bonté est impuissante, la fortune inconstante et la méchanceté insatiable (…il a oublié la connerie qui est universelle).
Une des premières choses de l‘homme, c‘est sa fureur pour la nouveauté, deux grands mobiles font agir les hommes ; la peur et la nouveauté. (La peur intérieure et la nouveauté extérieure. Tout est sous contrôle pour l’instant).
La fortune ne change que pour ceux qui ne savent pas se conformer au temps. (Ou aux planifications secrètes établies).
Il y a de bonnes lois là où il y a de bonnes armes. (L’abolition de l’armement devrait alors abolir les lois; mais c’est le contraire qui se passe, Curieux!).
Les hommes ne savent être ni entièrement bon, ni entièrement mauvais (Il savent être fameusement « cons », cependant).
La calomnie (ainsi que la médisance) irrite les hommes et ne les corrige pas. (Mais elle fait la UNE).
La crainte de perdre engendre les mêmes passions que celle d‘acquérir, car les hommes ne tiennent pour assuré ce qu‘ils possèdent que s‘ils y ajoutent encore. (La Démocratie a certainement peur de TOUT perdre, d’après ce que je vois).
Tout le mal de ce monde vient de ce qu‘on n‘est pas assez bon ou pas assez pervers. (D’après les nouvelles internationales, le Bien va prédominer très bientôt. On est suffisamment pervers pour y arriver).
On fait la guerre quand on veut, on la termine quand on peut. (C’est exactement le cas en Lybie actuellement, Les « révolutionnaires » font la fête devant l’immeuble de Kadhafi parce qu’ils l’ont investi (12.25hre- le 23 du 08-2011) et qu’il s’y déroule des combats en ce moment même. C’est à se demander : Qui est en train de combattre? Est-ce les forces spéciales de l’OTAN qui n’ont pas mis les pieds à terre??? Mais j’oubliais; ce sont probablement les « instructeurs » de l’OTAN qui enseignent « comment faire »).
La soif de dominer est celle qui s‘éteint la dernière dans le coeur de l‘homme (Sauf chez ceux qui n’ont pas de cœur, évidemment; pour eux elle ne s’éteint jamais; même qu’elle semble se réincarner)
Il y a deux manières de combattre, l‘une avec les lois, l‘autre avec la force. La première est propre aux hommes, l‘autre nous est commune avec les bêtes. (Ce qui ne relève pas, dans la classification des espèces, les membres de l’OTAN, on se doit de le souligner).
Une chose est cependant évidente : Machiavel est très à l’ordre du jour. Ce qui est normal puisqu’on enseigne sa « philosophie » à l’université.
Curieux tout de même que celle de Platon et Socrate ne soit plus qu’un « détail » historique???
Amicalement
André Lefebvre