LE CONTEXTE GÉNÉRAL
Nous vivons à l’ère de l’impérialisme stade suprême du capitalisme. L’impérialisme connait des crises économique, financière, monétaire, politique et militaire et, pour survivre, les puissances impérialistes guerroient entre elles et agressent les peuples du monde ainsi que le prolétariat international dans chaque pays impérialiste ou néo-colonisé (1).
Quatre alliances internationales majeures se disputent l’hégémonie sur les marchés, sur les sources de matières premières et les zones d’exportation des capitaux en vue de spolier la plus-value ouvrière, unique source de profits. L’Alliance de coopération de Shanghai dirigée par la Chine et son alliée l’Alliance de coopération Eurasiatique (Russie) sont les alliances montantes; l’ALENA, cœur de l’Alliance atlantique, dirigée par les États-Unis d’Amérique est en déclin tout comme l’Union européenne, en cours de restructuration dirigée par l’Allemagne et la France (2).
L’ère des révolutions nationales démocratiques bourgeoises, amorcée avec la révolution anglaise (1649) et poursuivie par la révolution française (1789), puis la révolution chinoise (1949) a décliné avec la révolution bolchévique (1917) qui a marqué le début des révolutions socialistes prolétariennes et le commencement de la fin des révolutions nationales démocratiques bourgeoises et le déclin de l’impérialisme.
Depuis la victoire de la révolution iranienne environ (1979), les luttes de libération nationale ne sont plus que l’exception dans quelques pays néocoloniaux, semi-féodaux et semi-agraires d’Orient et d’Afrique. Ailleurs dans le monde, là où les rapports de production capitalistes prédominent, aucun préalable démocratique bourgeois, nationaliste ou populaire ne s’interpose dans la lutte titanesque qui oppose le prolétariat et les grands capitalistes; le travail et le capital; le socialisme et le capitalisme. Les deux classes sont face à face et, pour le moment, le prolétariat semble désorganisé et bien démuni face à son ennemi apparemment tout puissant…mais attention…
Le Canada, comprenant l’État-nation du Québec, est un pays impérialiste de puissance moyenne totalement intégré à l’ALENA, à l’OTAN et à l’Alliance atlantique en déclin sous l’hégémonie étatsunienne. C’est dans ce contexte économique, politique, idéologique et militaire mondial que le nationalisme en général et que la question nationale canadienne – comprenant la question québécoise – doivent être analysées, expliquées et comprises.
LA QUESTION NATIONALE CANADIENNE ET QUÉBÉCOISE
Que ce soit au Canada ou dans tout autre pays à travers le monde, chaque classe sociale a ses propres intérêts à défendre, son propre point de vue à promouvoir et sa propre praxis à développer en ce qui a trait au nationalisme et la question nationale.
L’Acte de l’Amérique du Nord Britannique (AANB), qui tient lieu de constitution canadienne depuis 1867, a scellé l’alliance de la bourgeoisie canadienne d’origine britannique et de la bourgeoisie canadienne d’origine française et elle a mis un terme à l’oppression nationale de la nation québécoise. Dans le cadre de l’AANB, les tâches nationales démocratiques bourgeoises furent satisfaites aussi bien pour le Canada que pour l’État-nation du Québec et dès lors la bourgeoisie québécoise s’arrogea le droit à l’autodétermination jusqu’à et y compris la sécession. Le fait qu’elle n’invoqua ce droit qu’un siècle plus tard ne change rien à ce constat. Cette classe dominante s’empara de l’administration de son État-nation et conquit peu à peu le contrôle de son économie nationale capitaliste marchande, puis capitaliste industrielle, puis capitaliste financière. Aujourd’hui, cette bourgeoisie francophone impérialiste brade les ressources naturelles du sol du Québec, pressure les nations autochtones, exploite le prolétariat québécois francophone et anglophone et soutien l’armée canadienne dans ses tâches de soutien aux agresseurs européens et américains, en Libye notamment (3).
À partir de 1945 environ, la bourgeoisie québécoise a remis en cause le partage des dividendes tirés de l’exploitation des ressources, de la force de travail et des revenus fiscaux glanés au peuple québécois. La moyenne bourgeoisie d’affaires et d’industrie (PME), alliée à la petite bourgeoisie cléricale et intellectuelle, imagina la tactique du « chantage à la souveraineté » afin d’obtenir un nouveau partage des revenus fiscaux et des compétences gouvernementales de la part du gouvernement fédéral et en faveur de sa grande bourgeoisie impérialiste francophone et anglophone.
Au cours de la période 1945-1976, la phase de la « Révolution Tranquille », la moyenne et la petite-bourgeoise québécoise, au service du grand capital impérialiste québécois, utilisèrent l’appareil d’État pour doter le « pays du Québec » d’infrastructures économiques, industrielles, de transport et de services sociaux visant à assurer l’exploitation des ressources et surtout de la force de travail dans les meilleures conditions pour son expansion et pour accueillir les investissements impérialistes, particulièrement ceux d’origine américaine.
Au cours de la période 1976-1995, les mêmes classes au service de la même classe capitaliste monopoliste francophone ont utilisé l’appareil d’État pour recueillir et administrer le crédit, l’épargne et le capital financier en circulation au Québec afin d’assurer leur intégration de classe dans l’ensemble économique et financier continental nord-américain (l’ALENA). Aujourd’hui, leurs dirigeants (politiques, industriels et financiers) négocient un traité de libre-échange avec l’Union européenne et visitent la Chine pour s’aboucher avec cette nouvelle puissance impérialiste montante.
Après avoir cédé pendant cinquante années au « chantage à la souveraineté », suite à trois référendums ayant mené au rejet populaire des projets manigancés d’accords constitutionnels pour le repartage des bijoux de familles entre cliques de voleurs, les capitalistes monopolistes québécois ont dû se résigner au statu quo constitutionnel. Présentement les capitalistes monopolistes canadiens – comprenant leur section québécoise francophone – stimulent le chauvinisme national afin d’accaparer les ressources du grand Nord canadien jusqu’au-delà de la terre de Baffin, arrachées aux Premières Nations autochtones et inuit. Ils confrontent leurs amis impérialistes étrangers pour le contrôle du passage du Nord-Ouest qu’il présente comme une lutte populaire.
La classe capitaliste monopoliste canadienne – comprenant sa section québécoise francophone – est fortement préoccupée par les crises économiques, financières, industrielles et militaires qui secouent l’Alliance atlantique face à ses concurrents d’Europe et d’Asie (4). La classe capitaliste monopoliste canadienne et québécoise n’a que faire des querelles à propos du partage des oripeaux nationaux québécois. Aussi, le mouvement nationaliste québécois s’étiole et se fragmente en de multiples sectes et clans plus ou moins pratiquants et orthodoxes abandonnés par leur classe de tutelle.
La classe ouvrière canadienne – comprenant sa section québécoise laissée à elle-même par la trahison des clercs gauchistes, opportunistes et révisionnistes – a cependant été peu contaminée par l’idéologie nationaliste chauvine des aristocrates ouvriers, de la bourgeoisie et de la petite-bourgeoise en faveur d’un Québec fort ou indépendant dans un Canada uni ou fractionné.
La classe ouvrière canadienne comprenant sa section québécois se tient à distance de ces arguties et de cet activisme nationaliste qui ne s’attaquent nullement à la contradiction fondamentale de notre époque, celle qui oppose le travail salarié, socialisé et organisé et le capital privé et anarchique; la contradiction entre les forces productives disponibles mais sous-utilisées et gaspillées, dont le développement demeure entravé par la propriété capitaliste privée des moyens de production dilapidés.
Aucune étape ne se pose en préalable à l’insurrection de la classe prolétarienne, ni « libération » nationaliste bourgeoise, ni réforme démocratique bourgeoise, ni démocratie populaire, ni alter-mondialisme libertaire; que la libération du prolétariat et avec lui du peuple tout entier. Oui, un autre monde est possible, le monde du socialisme. Le parti de la classe ouvrière a pour unique tâche et pour unique programme politique d’organiser la classe ouvrière sous tous les aspects de la lutte des classes afin de renverser le pouvoir de la classe capitaliste monopoliste et son système économique, politique et idéologique impérialiste décadent, quel que soit l’ethnie ou la langue d’usage de ces impérialistes (5).
« IMPÉRIALISME ET QUESTION NATIONALE » L’IMPÉRIALISME QUÉBÉCOIS. Couverture couleur, 90 pages, 18 cm X 21 cm. 5$ l’exemplaire + 5$ pour frais de poste.
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(1) Le lecteur pourra consulter les parties un et deux du document aux adresses suivantes : Partie 1 http://les7duquebec.com/2012/06/13/le-nationalisme-a-t-il-un-avenir-international/ et Partie 2 http://les7duquebec.com/2012/06/20/le-nationalisme-a-t-il-un-avenir-international-2em-partie/
(2) L’Union Européenne, est constituée de 27 pays européens soumis à l’hégémonie de l’Allemagne et de la France partenaires prépondérants. L’ALENA ou Accord de libre-échange nord-américain regroupent les États-Unis, le Canada et le Mexique. La Communauté économique eurasiatique regroupe quelques pays de l’ancienne URSS sous l’hégémonie de la Russie (Kazakhstan, Biélorussie et autres ex-républiques). L’Alliance de coopération économique de Shanghai regroupe sous l’hégémonie de la Chine, non seulement la Russie mais aussi le Kazakhstan, l’Iran et quelques pays aspirants comme le Brésil et l’Inde. etc. que l’on identifie souvent comme le BRIC. http://fr.wikipedia.org/wiki/Union_europ%C3%A9enne
(3) Canada et Québec en Libye http://www.lapresse.ca/international/dossiers/crise-dans-le-monde-arabe/201109/25/01-4451274-mission-canadienne-en-libye-une-facture-de-60-millions-depuis-six-mois.php et Le gouvernement du Québec brade les ressources naturelles et l’électricité à vil prix : http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/352982/le-plus-important-projet-ferrifere-au-quebec-progresse-a-grands-pas?utm_source=infolettre-2012-06-21&utm_medium=email&utm_campaign=infolettre-quotidienne
(4) Raul Zibechi (2012). La nouvelle alliance militaro-industrielle entre l’Inde et le Brésil. http://www.pressegauche.org/spip.php?article10054
(5) Vincent Gouysse. (2010). Le réveil du dragon. 459 pages. http://www.marxisme.fr Vincent Gouysse. (2009). Crise du système impérialiste mondial. 230 pages. http://www.marxisme.fr
« La classe ouvrière canadienne – comprenant sa section québécoise laissée à elle-même par la trahison des clercs gauchistes, opportunistes et révisionnistes – a cependant été peu contaminée par l’idéologie nationaliste chauvine des aristocrates ouvriers… »
C’est judicieusement exact et il est fort utile de bien le dire. Un fait socioéconomique de fond, aux vastes répercussions sociopolitiques, a, par contre, profondément influencé la classe ouvrière canadienne et québécoise pendant la période que vous évoquez: la tertiarisation. L’impact de celle-ci sur le traitement de la lutte des classes dans le nouveau parc prolétarien contemporain se donne complètement a la recherche et a la réflexion actuelle de critique sociale…
Avant de faire le ménage dans le monde entier, il faut d’abord le faire chez soi, dans sa propre cour. Et pour bien réussir, cela suppose qu’on a toute liberté pour le faire. D’où la nécessité de l’indépendance nationale.
Le prolétariat mondial, comme toute construction humaine, commence toujours par la pose d’une première pierre et ne saurait être l’effet d ‘une génération spontanée.
Prétendre le contraire est un leurre.
@ RB
J’ai tellement de respect pour la foi que je n’exige pas d’elle qu’elle s’appuie sur une quelconque vérité…
pjca
@ PL
Bien d’accord. Je me suis fait bien des ennemis à dire souvent que l’analyse marxiste doit être revue dans le contexte d’une société d’économie tertiaire, quand les travailleurs ne sont plus interchangeable, mais complémentaires et que la solidarité ne repose pas sur ce que les gens sont ou font, mais sur ce qu’ils ont.
Lutter contre l’injustice prend un autre sens et exige une nouvelle stratégie, quand les alliances sont toujours précaires et que les grands dangers sont la corruption et la zizanie. Le rôle de l’argent doit aussi être revu.
http://nouvellesociete.wordpress.com/2009/02/07/le-grand-derangement/
http://nouvellesociete.wordpress.com/2009/05/30/hommage-a-largent/
PJCA
@ FR
Pouvez-vous me dire une seule chose que le Québécois lambda pourrait faire dans un Québec indépendant qui lui est interdite dans un Québec fédéré au Canada ? Je vote OUI à la souveraineté, mais je n’en attends qu’une piqûre de motivation pour la culture, sur les autres plans rien ne changera ou ne changera que pour le pire le temps de réajuster. De toute façon, c’est le concept même de souveraineté qui est édulcoré par l’interdépendance qu’exige l »évolution du monde. 70% des lois de la France sont déja conçues a Bruxelles et la crise actuelle est en train d’en finir avec les bribes d’autonomie qui demeurent.
http://nouvellesociete.wordpress.com/2008/08/29/un-quebec-au-canada/
pjca
Monsieur Pierrejcallard , j’actualise , Monsieur Jean-François Belliard 22 mai, merci mais j’ai encore le feu au cul , cibouerre ELyan , je n’ai pas dit cibouerre.
Monsieur Allard , jai lu 07-02-09 , le gand dérangement , le 30-05 -09 , hommage à l’ARGENT et 29-08-08 Un Québec Canada et quelque part on parlait d’un certain Libert ? Monsieur Allard hou , la la, quel chemin parcouru…………………………………………………………….. . Rien encore à redire encore faut que je relise , et pour me reposer les méninges je vais sur »ARAPAO ».
@Gillac , en quelque part , une pharmatienne ne peut pas être compétente au Ministère des transport , d’ou l’enquête récente , YES , bonne analyse. Pour appuyer votre thèse , car j’en fais une aussi au sujet de ceux qui dirigent les Gouvernements << Du Municipal au Clérical '' , que : une vieille DG , ne peut pas être une GMA* , DG et secrétaire Municipale et inspecteur en batiment pas intérim et être compétente et n'être autre chose que l'innocence et l'ignorance en plus.
Monsieur Viger 23 juin , publicité de Jean Charest = choix de responsabiiité. Ti-Jean et Zivon Vallière et Pauline , c'est quoi la joke du nouveau Code de Déontologie et dÉthique de après 2009 ? Pour me planter ?
J'attends un courriel de la Municipalité de Tingwick , j'espère que leur avocate ne m'a pas oublié…………..
P.S. Je déteste perdre du temps à attendre pour rien. === Jean Charest , Stephen Harper et Yvon Vallière , auriez-vous l'obligence de dire à la Municipalité de Tingwick de donner suite et ce rapidement ?
Jean-Marie De Serre.
La Municipalité a donné suite. Reste à voir. === Je croyais avoir affaire à une adversaire en la Personne de Maître Pelletier , mais je crois qu’elle est là pour faire la part des choses entre moi et la Municipalité…
Pourquoi n’en est-il pas ainsi entre les Étudiants et le Gouvernement ? Je crois qu’un temps d’arrêt et une médiation a déjà été proposé , qu’est-ce qui empêche cela ?
Jean-Marie De Serre.
Je crois que je me suis encore planté et ce qui se passe ici se passe dans le coin de Jean Charest et de Yvon Vallière.
J’attends la réponse de Mélanie , Je suis désolé Madame Mélanie Pelletier , pourquoi ce brusque changement de ton ?
Je suis très d’accord avec la Municipalité , mais est-ce que le Maire Paul-Émile Simoneau est au fait ?
La Municipalité ne m’a d’ailleurs pas demandé mon avis non plus et comme je vous paye aussi……….
Madame Mélanie Pelletier , je croyais que vous étiez intervenante entre la Municipalité et moi genre une Médiatrice.
Ayoie ! si ce n’est pas le cas. Je vais parler au Maire Simoneau et je verrai ce que me dira sa »FEMME ».
Comme vous êtes jeune , vous ne savez peut-être pas que derrière un Grand homme il y a une femme.
Personnellement , j’aime mieux dire »À côté d’un grand homme , il y a une »FEMME ».
Mes documents sont rendus à la Municipalité , et comme personne n’a pû m’aider à la Municipalité , ni vous non plus ,
si les documents sont pas correct , ben cé quoi on fait avec cela ? La CPTAQ , m’a conseillé d’en parler à la MRC , donc je devrai
en parler au préfet en personne. Son père était très correct dans le temps de même que celui de la DG.
On dit tel père tel fils , mais pas nécessairement tel père tel fille , le 28/juin/2012 : 13:24.
Madame Pelletier , êtes-vous l’avocate de la Municipalité à la place de Monsieur Pard ?
Est-ce moi le feseurs de demandes excessives ?
Espérant réponse rapide ,
Bon Après-Midi , Madame Pelletier,
Jean-Marie De Serre.
P.S. C’est important madame Pelletier que vous répondiez à toutes mes questions
avant que je vous fasse parvenir mes documents. Sinon c’est mon avocat qui vous les feras parvenir .
Si vous êtes médiatrices ce seras autre chose , si non des avocats Madame j’en connais en masse et pour que la DG
se ramasse à Sherbrooke , ALLO. C’est quoi la joke , la Municipalité ne m’a pas aidé en aucune façon ni vous non plus.
Je suis désolé Madame Mélanie Pelletier , pourquoi ce brusque changement de ton ?
Je suis très d’accord avec la Municipalité , mais est-ce que le Maire Paul-Émile Simoneau est au fait ?
La Municipalité ne m’a d’ailleurs pas demandé mon avis non plus et comme je vous paye aussi……….
Madame Mélanie Pelletier , je croyais que vous étiez intervenante entre la Municipalité et moi genre une Médiatrice.
Ayoie ! si ce n’est pas le cas. Je vais parler au Maire Simoneau et je verrai ce que me dira sa »FEMME ».
Comme vous êtes jeune , vous ne savez peut-être pas que derrière un Grand homme il y a une femme.
Personnellement , j’aime mieux dire »À côté d’un grand homme , il y a une »FEMME ».
Mes documents sont rendus à la Municipalité , et comme personne n’a pû m’aider à la Municipalité , ni vous non plus ,
si les documents sont pas correct , ben cé quoi on fait avec cela ? La CPTAQ , m’a conseillé d’en parler à la MRC , donc je devrai
en parler au préfet en personne. Son père était très correct dans le temps de même que celui de la DG.
On dit tel père tel fils , mais pas nécessairement tel père tel fille , le 28/juin/2012 : 13:24.
Madame Pelletier , êtes-vous l’avocate de la Municipalité à la place de Monsieur Pard ?
Est-ce moi le feseurs de demandes excessives ?
Espérant réponse rapide ,
Bon Après-Midi , Madame Pelletier,
Jean-Marie De Serre.
P.S. C’est important madame Pelletier que vous répondiez à toutes mes questions
avant que je vous fasse parvenir mes documents. Sinon c’est mon avocat qui vous les feras parvenir .
Si vous êtes médiatrices ce seras autre chose , si non des avocats Madame j’en connais en masse et pour que la DG
se ramasse à Sherbrooke , ALLO. C’est quoi la joke , la Municipalité ne m’a pas aidé en aucune façon ni vous non plus.
C’est écrit 2 fois mais pardonnez , je suis en cibouerre , mais pas encore en »CIBOIRE », et ne le deviendras jamais.
Jean-Marie De Serre.
Je ne sais rien des problèmes de municipalités veuillez me pardonner.
POUR TOUS les autres qui se sont comis ici je dirai que nous allons nous attarder soigneusement à cette question de la tertiairisation du prolétariat industriel et de la redistribution de la plus value entre différentes sections de capitalistes et quelques miettes pour les aristocrates ouvriers occidentaux en cours de paupérisation.
Faire le ménage dans notre nation québécoise monsieur c’est de mettre tous ces capitlaistes nationaleux francophones ou et anglophones à la porte – ca inclus la multimillionnaire MAROIS et ce pauvre Charest – et tous les chauvins qui souhaiteraient que je ne sois pas solidaires et camarades de mes frères francophones – autochtones – inuits – anglophones – immigrants récents. Ma fratrie transgresse les frontières artificielles de votre pré-carré d’exploités. SORRY.
Robert Bibeau
Monsieur Robert Bibeau , les problèmes des Municipalités , sont les mêmes que ceux de nimporte quel Gouvernement. Par contre où je trouve le pire c’est que tu connais tout le monde du coin et les pas propres ne peuvent pas se cacher longtemps.
Les dirigeants manquent de respect envers le citoyen et le citoyen ne peut rien faire pour s’en sortir s’il n’a pas d’argent ni la santé , pour durer le temps de toutes leurs fourberies qu’ils fout pour s’en sortir. Ils s’inventent des Codes et des règlements qui vont carrément à l’encontre de l’Éthique et de la Déontologie…………
Jean-Marie De Serre.