Archives quotidiennes : 7 août 2012

Comprendre la vie évolutive de l’univers sans forces « magiques »!!!

 

« Nous devons envisager l’état présent de l’univers comme l’effet de son état antérieur, et comme la cause de celui qui va suivre. Une intelligence qui, pour un instant donné, connaitrait toutes les forces dont la nature est animée et la situation respective des êtres qui la composent, si d’ailleurs elle était assez vaste pour soumettre ces données à l’analyse, embrasserait dans la même formule les mouvements des plus grands corps de l’univers et ceux du plus léger atome : rien ne serait incertain pour elle, et l’avenir, comme le passé, serait présent à ses yeux. »

— Pierre-Simon de LaplaceEssai philosophique sur les probabilités (1814)Pierre-Simon de Laplace, est un mathématicien, astronome et physicien français.

Difficile de refuser de réfléchir après un tel postulat. Et réfléchir est de mettre en activité nos neurones. Vous verrez que cette activité nécessite un entraînement minimal. Voici donc, le « club nautilus » neuronal.

Remarquez que pour la recherche « technique » il est probablement excellent de « sortir de sa tête » et de rester empirique; mais il est nécessaire qu’on revienne à la raison, pour évaluer l’ensemble des données.

Ce qui suit, est un simple « concept hypothétique » de l’évolution de l’univers qui débute par :

1)      Un point géométrique unidimensionnel au départ de l’histoire du l’univers, au lieu d’une « corde virtuelle» de Alan Gutt ou d’un « instanton temporel» de Hawking-Turok ou autres concepts complexes et imaginaires…et surtout: sans participation de la notion de « forces fondamentales ».

2)      Ce point unidimensionnel n’a pas d’autre choix que d’être un « rien » affublé d’une potentialité, sinon il est « néant »; ce qui ne peut pas « être », logiquement ou devient « impossible », mathématiquement.

3)      La potentialité de ce point se manifeste en énergie « non nulle » (scalaire non nul?) qui s’amplifie jusqu’à sa limite définie par la différence de puissance entre « centripète » et « centrifuge » (Ou de tout autre notion composée de deux opposés complémentaires dont l’une tire son origine de l’autre, source d’une différence énergétique entre les deux). Ici, j’ai choisi « centripète/centrifuge pour expliquer une augmentation d’énergie et l’apparition d’une surface (espace vectoriel?), au moyen d’une rotation constante sur soi-même (centrifuge), obligatoire lorsqu’on se sert de la notion du « point ».

L’augmentation d’énergie dans la surface croissante est simple à comprendre. Un distance est une succession de points, Lorsqu’une distance se « rallonge » (centrifuge), apparaissent des « points » additionnels; et ces « points » ont obligatoirement un taux d’énergie « non nul », sinon ils ne pourraient pas « être ». Une surface qui s’ajoute des « points », augmente donc la quantité d’énergie qui l’anime. La vitesse de rotation peut alors augmenter sans violer la loi de « conservation de l’énergie »; car il y a bien « conservation d’énergie », mais elle  est en croissance constante.

Note: Le sens de rotation est « positif »; c’est-à-dire, dans le sens des aiguilles d’une montre. La forme de la goutte est l’effet de la « conséquence » centripète qui retient  et donc « tire vers l’arrière » du mouvement. C’est donc, « la pointe » de la goutte qui « avance » en entraînant le reste.

4)     La surface se déchire et la partie « centrifuge » projetée dans tous les sens, donne à la surface de l’ère de Planck, une distance additionnelle qui est une « profondeur ».  Nous sommes passés de la 1ère dimension, le point, à la deuxième, la surface, pour atteindre la troisième, le volume. Il est étonnant que nous ne sortions même pas de la géométrie d’Euclide.

5)      La vitesse des « points » composant la demi-surface initiale « centrifuge » (un monopôle leptonique) est celle des neutrinos (spin ½, charge nulle. Fond de rayonnement actuel à 1,9 kelvin); celle de l’énergie maximale atteinte lors du « déchirement » est la vitesse de la lumière ©.

L’autre demi-surface (centripète) (monopôle magnétique) s’est repliée sur elle-même, dans l’ère de Planck produisant une nouvelle surface (d’un diamètre maximal de 10^-35m/2) remplie d’énergie « centripète » qui reprend la « fuite du centre ». La « centrifuge » devient, cette fois-ci, « conséquence » de la « centripète »; mais elle permet toujours d’augmenter l’énergie de la nouvelle surface, en continuant sa rotation.

6)      Lorsque l’expansion du volume espace-temps est suffisant (diamètre de 10^-15 m) pour recevoir l’énergie « champ d’action » de la nouvelle surface « centripète » de l’ère de Planck, celle-ci s’introduit dans l’espace-temps, transformant sa caractéristique « centripète » (monopôle magnétique) en caractéristique « gluonique = retenir =  garder uni » tout en provoquant une « inflation » spontanée de notre univers.

La puissance de cette nouvelle caractéristique a une « portée énergétique » de 10^-15 m. Sa puissance de « couplage » est 100 fois plus intense que celle du « couplage » électromagnétique. Mais à son arrivée dans l’espace-temps, il n’y a aucun « couplage » de possible; sauf celle du  » monopôle  neutrino » (électronique) avec l’onde magnétique. Ce qui fait de l’univers entier, un photon en expansion.  Par contre la caractéristique « gluonique/magnétique » garde l’espace-temps « unifié », malgré l’inflation instantanée. Les particules composants cette surface « centripète » peuvent être interprétées comme étant la particule exotique nommée le « Parton » (celui de Feynman en 1969); qui est en fait, un gluon (plusieurs gluons peuvent simultanément occuper un même état quantique). Il « interagit » exclusivement avec les quarks (qui sont, aujourd’hui, considérés aussi comme des partons) qui ne peuvent pas s’additionner pour occuper un même état quantique.

Lorsque l’espace-temps en expansion dépasse cette limite du diamètre de 10^-15 m, la « portée énergétique/gluon » se « déchire » pour produire deux particules très massives (un quark Top « 175 GeV, 35,000 fois la masse d’un quark Up »; durée de vie 10^-24 secondes, et un anti-quark Top).

Qu’est-ce qu’un anti-quark?

Imaginez que le S sur le sigle Yin/Yang, plus haut, est une ligne de « patineurs » qui tournent autour d’un patineur central pivotant sur lui-même. Une moitié des patineurs sont tournés pour faire face à l’orientation de la rotation , et l’autre moitié doit également faire face au sens de rotation. Mais les deux groupes sont installés « face contraire ».   En ajoutant un patineur à chacun des bouts, éventuellement, la ligne se coupera en deux . C’est le Big bang que nous avons décrit.

La ligne représentant la partie « centripète » s’est repliée sur elle-même; donc la moitié de la ligne originale reste unie en une ligne qui se met à tourner autour de « son » propre patineur central. Mais une différence est remarquable. Avant la scission de la ligne originelle, tous les patineurs de cette partie centripète patinaient vers l’avant. Après la scission, une moitié de ces patineurs sont obligés de patiner « de reculons » pour pivoter autour du patineur central. Ces patineurs de « reculons » sont des anti-patineurs. Cette image explique l’origine des antiparticules.

Dans notre univers, chacune de ces particules/antiparticules est enveloppée par une déformation « gluonique » personnelle de l’espace-temps. L’époque « tardive » de cette première génération de quarks/antiquarks est également celle qui produit le Boson Z (91 GeV et charge électrique nulle) issu de collisions entre électrons et positrons. Le Z peut, entre autre, se désintégrer en quark/antiquark, en fait, dans 70% des désintégrations (Sauf en quark/antiquark Top parce qu’il n’a pas suffisamment d’énergie pour le faire).

7)      Ces deux particules de 1ère génération, produiront, à l’interne (au-dedans de leur volume propre) une deuxième génération de particules moins massives en se déchirant comme « l’énergie centripète/parton (de Feynman 1969) » l’avait fait. Le quark Top produit un quark Bottom et un boson W; l’anti-quark Top produit deux autres particules massives.

8)      Arrive, maintenant, la troisième génération de particules qui, elles aussi apparaissent à l’interne des particules-mères précédentes. Ce qui est à être remarqué est que chacune des « déformations spatiales » contenant une particule massive se retrouve à  l’intérieur des « déformations spatiales » de la génération précédente ainsi de suite. Le tableau final nous présente trois générations de déformations spatiales imbriquées les unes dans les autres (Comme la structure des déformations de l’espace-temps contenant galaxies, étoiles et planètes.

9)      Pendant toutes ces transformations de particules, celles-ci interagissent les unes avec les autres produisant une annihilation de la majeure partie des particules d’où ne sortira que la proportion d’une seule particule sur l’annihilation de milliards de particules/antiparticules. Les particules « survivantes » continueront d’interagir. Elles se joignent, se frappent, se frôlent etc. Les frôlements leur donne une augmentation de vitesse. Les vitesses des particules deviennent différentes.

10)   Lorsque deux particules se joignent, le centre de gravité de leur déformation spatiale respective se joigne également et augmente la « puissance de cette nouvelle déformation. Celle-ci devient alors plus susceptible « d’attraper » d’autres particules. Deux genres de regroupement de quarks, entre quelques autres, réussissent à atteindre un niveau de stabilité interne qui échappera, dorénavant à l’influence directe de l’expansion de l’univers pour interagir avec l’influence électromagnétique. Ce regroupement se compose de deux quarks Up (charge élect +2/3 ) et d’un quark Down (charge elect -1/3). Regroupement appelé Proton dont la durée de vie est d’au moins 10^29 ans; ce qui est plus long que l’âge actuel de notre univers. Un proton peut se transformer (non spontanément) en neutron en « se faisant intégrer » un électron avec émission d’un neutrino électronique. Le processus est réversible spontanément de sorte que le neutrino n’a une durée de vie que d’environ 15 minutes.

11)   La masse du proton : En plus de ces trois quarks de valence et des gluons, le proton est constitué d’une « mer » de paires de quarks-antiquarks virtuels qui « bouillonnent » dans les gluons (ou dans la soupe gluonique où baignent les quarks Up et Down). La masse du proton provient principalement de la masse de ces paires virtuelles. La masse du proton est environ 1 836,15 fois celle de l’électron. Il n’est donc pas surprenant qu’un proton capture un électron dans son champ gravitationnel. Par contre, l’électron possède une charge négative tandis que le proton est positif. L’électron ne s’insère donc pas dans le proton et son énergie négative se contente « d’envelopper » le proton. Le premier atome de tous est « créé » : l’atome d’hydrogène.

12)   L’ajout de la masse de l’électron augmente la masse du proton; mais ce n’est pas suffisant pour justifier la capture d’un neutron pour produire le deuterium (Isotope de l’hydrogène). On doit alors se rapprocher de l’électromagnétisme. Le magnétisme associé aux spins nucléaires (nucléons=proton) détermine un rapport gyromagnétique qui peut-être positif ou négatif. Il est positif pour le proton et négatif pour le neutron.

Qu’arrive-t-il si vous dirigez l’une vers l’autre, deux boules auxquelles vous donnez une rotation contraire  à chacune? Aussitôt qu’elles se toucheront, leur rotation contraire va les « coller » l’une à l’autre et elles continueront leur rotation individuelle.  Si vous faites la même expérience en donnant une rotation identique à chacune des boules, aussitôt qu’elles se toucheront, elles se propulseront l’une de l’autre, à cause de l’impulsion « contraire » qu’elles reçoivent au point de contact. C’est la base de « l’attirance » de charges électriques contraires (+ et -). Donc un neutron de charge électrique neutre n’a aucun problème avec, ni la charge négative de l’électron, ni la charge positive du proton. Il n’y est pas sensible; par contre, s’il touche le proton, leur « rapport gyromagnétique » (spin) contraire va les coller l’un à l’autre et les deux se retrouvent entourés d’un nuage électronique. L’ensemble produit est un atome de deutérium.

13)   Nous ne « fabriquerons » pas tous les atomes, mais le processus reste le même; et c’est le ½ spin de ces particules qui permet d’accumuler les protons et neutrons pour produire d’autres atomes (J’ai vérifié « géométriquement »). Les électrons seront capturés et « s’installeront » sur sept paliers énergétiques successifs qui semblent être la structure gravitationnelle usuelle à l’extérieur d’un noyau d’atome. De plus cela ressemble étrangement aux paliers successifs que l’on peut apercevoir en grossissant une photo de la galaxie d’Andromède (la plus proche de nous):

L’atome du deutérium étant beaucoup plus massif que le neutron ou le proton, n’aura pas de difficulté à « capturer » des protons ou des neutrons, produisant ainsi d’autres atomes légers ou d’autres isotopes. Les atomes lourds, pour la plupart, seront produits à l’intérieur des étoiles.

Bon! Avons-nous rencontré jusqu’ici une force magique quelconque qui agit à distance comme le ferait une force « divine », notion derrière la force de gravité de Newton?

Non, je ne crois pas.

Mais ceci n’est qu’un concept qui devra recevoir confirmation d’une vérification mathématique (scientifique); sinon, je ne l’adopterai jamais comme étant une « réalité ». Ce n’est qu’une possibilité logique pour l’instant qui explique bien que, finalement, TOUT N’EST QUE MOUVEMENT!

Amicalement

André lefebvre

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