« Nous devons envisager l’état présent de l’univers comme l’effet de son état antérieur, et comme la cause de celui qui va suivre. Une intelligence qui, pour un instant donné, connaitrait toutes les forces dont la nature est animée et la situation respective des êtres qui la composent, si d’ailleurs elle était assez vaste pour soumettre ces données à l’analyse, embrasserait dans la même formule les mouvements des plus grands corps de l’univers et ceux du plus léger atome : rien ne serait incertain pour elle, et l’avenir, comme le passé, serait présent à ses yeux. »
— Pierre-Simon de Laplace, Essai philosophique sur les probabilités (1814)Pierre-Simon de Laplace, est un mathématicien, astronome et physicien français.
Difficile de refuser de réfléchir après un tel postulat. Et réfléchir est de mettre en activité nos neurones. Vous verrez que cette activité nécessite un entraînement minimal. Voici donc, le « club nautilus » neuronal.
Remarquez que pour la recherche « technique » il est probablement excellent de « sortir de sa tête » et de rester empirique; mais il est nécessaire qu’on revienne à la raison, pour évaluer l’ensemble des données.
Ce qui suit, est un simple « concept hypothétique » de l’évolution de l’univers qui débute par :
1) Un point géométrique unidimensionnel au départ de l’histoire du l’univers, au lieu d’une « corde virtuelle» de Alan Gutt ou d’un « instanton temporel» de Hawking-Turok ou autres concepts complexes et imaginaires…et surtout: sans participation de la notion de « forces fondamentales ».
2) Ce point unidimensionnel n’a pas d’autre choix que d’être un « rien » affublé d’une potentialité, sinon il est « néant »; ce qui ne peut pas « être », logiquement ou devient « impossible », mathématiquement.
3) La potentialité de ce point se manifeste en énergie « non nulle » (scalaire non nul?) qui s’amplifie jusqu’à sa limite définie par la différence de puissance entre « centripète » et « centrifuge » (Ou de tout autre notion composée de deux opposés complémentaires dont l’une tire son origine de l’autre, source d’une différence énergétique entre les deux). Ici, j’ai choisi « centripète/centrifuge pour expliquer une augmentation d’énergie et l’apparition d’une surface (espace vectoriel?), au moyen d’une rotation constante sur soi-même (centrifuge), obligatoire lorsqu’on se sert de la notion du « point ».
L’augmentation d’énergie dans la surface croissante est simple à comprendre. Un distance est une succession de points, Lorsqu’une distance se « rallonge » (centrifuge), apparaissent des « points » additionnels; et ces « points » ont obligatoirement un taux d’énergie « non nul », sinon ils ne pourraient pas « être ». Une surface qui s’ajoute des « points », augmente donc la quantité d’énergie qui l’anime. La vitesse de rotation peut alors augmenter sans violer la loi de « conservation de l’énergie »; car il y a bien « conservation d’énergie », mais elle est en croissance constante.
Note: Le sens de rotation est « positif »; c’est-à-dire, dans le sens des aiguilles d’une montre. La forme de la goutte est l’effet de la « conséquence » centripète qui retient et donc « tire vers l’arrière » du mouvement. C’est donc, « la pointe » de la goutte qui « avance » en entraînant le reste.
4) La surface se déchire et la partie « centrifuge » projetée dans tous les sens, donne à la surface de l’ère de Planck, une distance additionnelle qui est une « profondeur ». Nous sommes passés de la 1ère dimension, le point, à la deuxième, la surface, pour atteindre la troisième, le volume. Il est étonnant que nous ne sortions même pas de la géométrie d’Euclide.
5) La vitesse des « points » composant la demi-surface initiale « centrifuge » (un monopôle leptonique) est celle des neutrinos (spin ½, charge nulle. Fond de rayonnement actuel à 1,9 kelvin); celle de l’énergie maximale atteinte lors du « déchirement » est la vitesse de la lumière ©.
L’autre demi-surface (centripète) (monopôle magnétique) s’est repliée sur elle-même, dans l’ère de Planck produisant une nouvelle surface (d’un diamètre maximal de 10^-35m/2) remplie d’énergie « centripète » qui reprend la « fuite du centre ». La « centrifuge » devient, cette fois-ci, « conséquence » de la « centripète »; mais elle permet toujours d’augmenter l’énergie de la nouvelle surface, en continuant sa rotation.
6) Lorsque l’expansion du volume espace-temps est suffisant (diamètre de 10^-15 m) pour recevoir l’énergie « champ d’action » de la nouvelle surface « centripète » de l’ère de Planck, celle-ci s’introduit dans l’espace-temps, transformant sa caractéristique « centripète » (monopôle magnétique) en caractéristique « gluonique = retenir = garder uni » tout en provoquant une « inflation » spontanée de notre univers.
La puissance de cette nouvelle caractéristique a une « portée énergétique » de 10^-15 m. Sa puissance de « couplage » est 100 fois plus intense que celle du « couplage » électromagnétique. Mais à son arrivée dans l’espace-temps, il n’y a aucun « couplage » de possible; sauf celle du » monopôle neutrino » (électronique) avec l’onde magnétique. Ce qui fait de l’univers entier, un photon en expansion. Par contre la caractéristique « gluonique/magnétique » garde l’espace-temps « unifié », malgré l’inflation instantanée. Les particules composants cette surface « centripète » peuvent être interprétées comme étant la particule exotique nommée le « Parton » (celui de Feynman en 1969); qui est en fait, un gluon (plusieurs gluons peuvent simultanément occuper un même état quantique). Il « interagit » exclusivement avec les quarks (qui sont, aujourd’hui, considérés aussi comme des partons) qui ne peuvent pas s’additionner pour occuper un même état quantique.
Lorsque l’espace-temps en expansion dépasse cette limite du diamètre de 10^-15 m, la « portée énergétique/gluon » se « déchire » pour produire deux particules très massives (un quark Top « 175 GeV, 35,000 fois la masse d’un quark Up »; durée de vie 10^-24 secondes, et un anti-quark Top).
Qu’est-ce qu’un anti-quark?
Imaginez que le S sur le sigle Yin/Yang, plus haut, est une ligne de « patineurs » qui tournent autour d’un patineur central pivotant sur lui-même. Une moitié des patineurs sont tournés pour faire face à l’orientation de la rotation , et l’autre moitié doit également faire face au sens de rotation. Mais les deux groupes sont installés « face contraire ». En ajoutant un patineur à chacun des bouts, éventuellement, la ligne se coupera en deux . C’est le Big bang que nous avons décrit.
La ligne représentant la partie « centripète » s’est repliée sur elle-même; donc la moitié de la ligne originale reste unie en une ligne qui se met à tourner autour de « son » propre patineur central. Mais une différence est remarquable. Avant la scission de la ligne originelle, tous les patineurs de cette partie centripète patinaient vers l’avant. Après la scission, une moitié de ces patineurs sont obligés de patiner « de reculons » pour pivoter autour du patineur central. Ces patineurs de « reculons » sont des anti-patineurs. Cette image explique l’origine des antiparticules.
Dans notre univers, chacune de ces particules/antiparticules est enveloppée par une déformation « gluonique » personnelle de l’espace-temps. L’époque « tardive » de cette première génération de quarks/antiquarks est également celle qui produit le Boson Z (91 GeV et charge électrique nulle) issu de collisions entre électrons et positrons. Le Z peut, entre autre, se désintégrer en quark/antiquark, en fait, dans 70% des désintégrations (Sauf en quark/antiquark Top parce qu’il n’a pas suffisamment d’énergie pour le faire).
7) Ces deux particules de 1ère génération, produiront, à l’interne (au-dedans de leur volume propre) une deuxième génération de particules moins massives en se déchirant comme « l’énergie centripète/parton (de Feynman 1969) » l’avait fait. Le quark Top produit un quark Bottom et un boson W; l’anti-quark Top produit deux autres particules massives.
8) Arrive, maintenant, la troisième génération de particules qui, elles aussi apparaissent à l’interne des particules-mères précédentes. Ce qui est à être remarqué est que chacune des « déformations spatiales » contenant une particule massive se retrouve à l’intérieur des « déformations spatiales » de la génération précédente ainsi de suite. Le tableau final nous présente trois générations de déformations spatiales imbriquées les unes dans les autres (Comme la structure des déformations de l’espace-temps contenant galaxies, étoiles et planètes.
9) Pendant toutes ces transformations de particules, celles-ci interagissent les unes avec les autres produisant une annihilation de la majeure partie des particules d’où ne sortira que la proportion d’une seule particule sur l’annihilation de milliards de particules/antiparticules. Les particules « survivantes » continueront d’interagir. Elles se joignent, se frappent, se frôlent etc. Les frôlements leur donne une augmentation de vitesse. Les vitesses des particules deviennent différentes.
10) Lorsque deux particules se joignent, le centre de gravité de leur déformation spatiale respective se joigne également et augmente la « puissance de cette nouvelle déformation. Celle-ci devient alors plus susceptible « d’attraper » d’autres particules. Deux genres de regroupement de quarks, entre quelques autres, réussissent à atteindre un niveau de stabilité interne qui échappera, dorénavant à l’influence directe de l’expansion de l’univers pour interagir avec l’influence électromagnétique. Ce regroupement se compose de deux quarks Up (charge élect +2/3 ) et d’un quark Down (charge elect -1/3). Regroupement appelé Proton dont la durée de vie est d’au moins 10^29 ans; ce qui est plus long que l’âge actuel de notre univers. Un proton peut se transformer (non spontanément) en neutron en « se faisant intégrer » un électron avec émission d’un neutrino électronique. Le processus est réversible spontanément de sorte que le neutrino n’a une durée de vie que d’environ 15 minutes.
11) La masse du proton : En plus de ces trois quarks de valence et des gluons, le proton est constitué d’une « mer » de paires de quarks-antiquarks virtuels qui « bouillonnent » dans les gluons (ou dans la soupe gluonique où baignent les quarks Up et Down). La masse du proton provient principalement de la masse de ces paires virtuelles. La masse du proton est environ 1 836,15 fois celle de l’électron. Il n’est donc pas surprenant qu’un proton capture un électron dans son champ gravitationnel. Par contre, l’électron possède une charge négative tandis que le proton est positif. L’électron ne s’insère donc pas dans le proton et son énergie négative se contente « d’envelopper » le proton. Le premier atome de tous est « créé » : l’atome d’hydrogène.
12) L’ajout de la masse de l’électron augmente la masse du proton; mais ce n’est pas suffisant pour justifier la capture d’un neutron pour produire le deuterium (Isotope de l’hydrogène). On doit alors se rapprocher de l’électromagnétisme. Le magnétisme associé aux spins nucléaires (nucléons=proton) détermine un rapport gyromagnétique qui peut-être positif ou négatif. Il est positif pour le proton et négatif pour le neutron.
Qu’arrive-t-il si vous dirigez l’une vers l’autre, deux boules auxquelles vous donnez une rotation contraire à chacune? Aussitôt qu’elles se toucheront, leur rotation contraire va les « coller » l’une à l’autre et elles continueront leur rotation individuelle. Si vous faites la même expérience en donnant une rotation identique à chacune des boules, aussitôt qu’elles se toucheront, elles se propulseront l’une de l’autre, à cause de l’impulsion « contraire » qu’elles reçoivent au point de contact. C’est la base de « l’attirance » de charges électriques contraires (+ et -). Donc un neutron de charge électrique neutre n’a aucun problème avec, ni la charge négative de l’électron, ni la charge positive du proton. Il n’y est pas sensible; par contre, s’il touche le proton, leur « rapport gyromagnétique » (spin) contraire va les coller l’un à l’autre et les deux se retrouvent entourés d’un nuage électronique. L’ensemble produit est un atome de deutérium.
13) Nous ne « fabriquerons » pas tous les atomes, mais le processus reste le même; et c’est le ½ spin de ces particules qui permet d’accumuler les protons et neutrons pour produire d’autres atomes (J’ai vérifié « géométriquement »). Les électrons seront capturés et « s’installeront » sur sept paliers énergétiques successifs qui semblent être la structure gravitationnelle usuelle à l’extérieur d’un noyau d’atome. De plus cela ressemble étrangement aux paliers successifs que l’on peut apercevoir en grossissant une photo de la galaxie d’Andromède (la plus proche de nous):
L’atome du deutérium étant beaucoup plus massif que le neutron ou le proton, n’aura pas de difficulté à « capturer » des protons ou des neutrons, produisant ainsi d’autres atomes légers ou d’autres isotopes. Les atomes lourds, pour la plupart, seront produits à l’intérieur des étoiles.
Bon! Avons-nous rencontré jusqu’ici une force magique quelconque qui agit à distance comme le ferait une force « divine », notion derrière la force de gravité de Newton?
Non, je ne crois pas.
Mais ceci n’est qu’un concept qui devra recevoir confirmation d’une vérification mathématique (scientifique); sinon, je ne l’adopterai jamais comme étant une « réalité ». Ce n’est qu’une possibilité logique pour l’instant qui explique bien que, finalement, TOUT N’EST QUE MOUVEMENT!
Amicalement
André lefebvre
Monsieur Lefebvre,
Est-ce possible d’envisager le mouvement sans introduire la notion de « temps » ? Attention, je n’ai aucune connaissance mathématique. Aussi, j’apprécierais que votre explication soit compréhensible à un néophyte. Merci.
mjl
Je n’ai aucune connaissance mathématiques non plus. Donc je vais tenter de vous rejoindre. 🙂
Il est impossible, selon moi, d’envisager le temps sans le mouvement. Avant que le mouvement apparaisse dans l’univers, il n’y avait pas d’espace puisque c’est le mouvement d’un point à un autre qui défini la « distance; et sans « distance », il ne peut y avoir d’espace.
Avant que le mouvement n’apparaisse dans l’univers, il n’y avait pas de temps puisque c’est le mouvement d’un point à un autre qui détermine la « durée » ; et que sans « durée » il ne peut y avoir de temps.
J’ajouterais que lorsque vous regardez un coucher de Soleil, le Soleil est couché depuis déjà huit minutes. Ce que vous voyez est du « passé » et non du « présent ». Évidemment ceci est causé par la vitesse de la lumière; donc, la vitesse d’un mouvement détermine la distance selon sa durée et sa durée selon sa distance. Une vitesse est toujours le rapport entre « durée » et « distance »; exemple km/hre. Et comme un mouvement a toujours une vitesse…
Conséquemment, la « distance » et la « durée » sont exactement la même chose vue de deux optiques différents; exactement comme la lumière qui peut être vue sous la forme d’onde lumineuse ou de la particule appelée photon.
C’est pourquoi notre univers est appelé univers d’espace-temps; comme on pourrait dire que la lumière est une lumière onde-particule.
Amicalement
André Lefebvre
Monsieur André Lefebvre; comme on pourrait dire que la lumière est une lumière onde-particule ,donc si je puis lire ceci c’est que je suis à l’instant du trait-d’union donc l’instant zéro. C’est juste ce petit instant qui foke les , pédagogues , psy , sexo intello mathématitien etc.etc.
Comme je l’ai déjà écrit , j’ai été , je suis donc(l’instant zéro) et je serai.
Monsieur Lefebvre , j’ai vu ARAPAO et croyez-moi qu’ils en font des FREE-GAMES , jusqu’au »VATICAN ».
Jean-Marie De Serre.
Bonjour!
Oui d’accord mais, ce point, il vient d’où…? Je ne sais pas si l’humain a les capacités cognitives (qui sont quand même limitées) ou pourra développer l’équipement pour trouver les réponses. À suivre. Nous vivons peut-être dans un univers infini et éternel où ce que nous appelons la ‘matière’ change d’état, au moment présent, au gré des forces agissantes. Ce qui m’intrigue est: quelle est la provenance de l’énergie; et de la conscience.
Un point unidimensionnel est indécelable. Par contre « il est ». Aussi longtemps qu’il ne se manifeste pas il ne produit pas la deuxième dimension (surface) et il demeure un « état ».
Ce point est de valeur presque nulle. « Presque » parce qu’il est une « potentialité » de qui lui donne une valeur « non nulle » Comme par exemple: « Zéro positif ».
Sa manifestation est une « réaction » à son « état » de potentialité; mais pour « réagir », il lui faut prendre « conscience » de son « état » potentiel. Apparaît alors une « conscience non nulle ». Cette prise de conscience crée un dilemme soit: « Être ou ne pas Être ». Ce questionnement est une « inquiétude » qui est la nature première de l’énergie non nulle qu’elle fait apparaître.
À partir de là, rien ne peut empêcher que l’univers devienne ce qu’il est aujourd’hui. De plus, il ne peut pas être autrement.
Amicalement
André Lefebvre
Monsieur Gilles H , ce point , c’est le point »G » , et je ne sais si Madame Lise Dion l’a trouvé.
Quelle est la provenance de l’énergie; et de la conscience. Premièrement on met un deux points: entre deux idées. Le point virgule , c’est pour une énumération. Deuxièmement , je ne sais pas moi non plus à l’endroit de tout cela , mais redites-moi.
Jean-Marie De Serre.
Monsieur LARTISTE12 , j’ai ouie dire récemment que TI-BEN16 , avait très souvent mal à la tête………….Est-ce que son conseiler »ÉMINENT » , n’est pas à la hauteur du + Cardinal de Richelieu ?666666666 en 2012 ? Pourtant au Vatican , ils doivent avoir sûrement la Haute-vitesse………..
Jean-Marie De Serre.
Un ami québécois viens de me donner le lien de ce post : « Comprendre la vie évolutive de l’univers » et vous poursuivez « sans force magique ». Armel Larochelle, un québecois, lui dirait « sans force du tout ». Il met en effet en avant une notion de Résistance Universelle.
Passez donc sur Google cette expression :
resistance universelle site:science-univers.qc.ca
Une résistance exige l’application d’une force.
Amicalement
André Lefebvre
« Une résistance exige l’application d’une force. » Si vous le dites Monsieur la science infuse….
J’adore ce genre de répartie intelligente.
Merci
Monsieur Lartiste12 , est-ce que ce Josicklioda Royal , est un Français ?
Jean-Marie De Serre.
Je ne sais vraiment pas. Mais sa répartie ne serait pas plus intelligente.
Amicalement
André Lefebvre
« Une résistance exige l’application d’une force »
Pas si la résistance, n’étant pas une force mais seulement résistance, engendrait la force d’attirance.
Quand une personne convoitée sexuellement résiste, elle n’exerce aucune force, mais celui qui la convoite est attiré de plus en plus, non ?
“Une résistance exige l’application d’une force ”
Prenons des vases communicants. Est-ce la résistance du vide qui attire le liquide pour qu’il s’égalise ou est-ce le poid du liquide qui pousse le vide pour prendre sa place ?
« Résistance du vide qui attire… » Dois-je ajouter quelque chose???
Merci
Amicalement
André Lefebvre
@André
Toujours aussi perspicace. J’aurais dû me rappeler que vous résistez au concept de Résistance Universelle. Et que, pour vous, il y a deux sortes d’électricité: la positive et la négative. Alors qu’il y a seulement une différence de tension dans l’électricité. Manichéen va ! Bien sur que le « vide » n’existe pas, c’était pour faire « image ».
Cordialement.
« Mais ceci n’est qu’un concept qui devra recevoir confirmation d’une vérification mathématique (scientifique); sinon, je ne l’adopterai jamais comme étant une « réalité ». Ce n’est qu’une possibilité logique pour l’instant qui explique bien que, finalement, TOUT N’EST QUE MOUVEMENT! »
« Tout n’est que mouvement », ce n’est pas là Armel Larochelle qui vous contrediras –> mouvement site:science-univers.qc.ca
Il semblerait qu’Einstein était sûr de son concept avant toute vérification expérimentale. Quand il a eu entre les mains la confirmation de son approche, il s’est écrié « c’est formidable ». Mais ce n’est pas de la vérification en soi dont il parlait mais de la qualité des photos qu’il avait en main.
Certains resteront toute leur vie femelle et auront besoin de preuve tangible… Ce n’était pas le cas d’Einstein.
Si on se fie au temps que cela a pris pour accepté Galilé, on en a pour 400 ans…..Imaginez un peu la révolution que d’admettre que la gravitation n’est pas ce pourquoi on a coulé des milliers d’étudiants qui n’arrivaient pas à déformer leur gros bon sens. Et combien d’autres certitudes fausses ?
On est beaucoup plus près du « cul de sac », en physique et astrophysique qu’on ne l’était à l’époque de Galilée. Ça risque d’être moins long.
Amicalement
André Lefebvre
@Joslicklioda Royal : Certains resteront toute leur vie femelle et auront besoin de preuve tangible , c’est mon cas et il y a eu Saint Thomas avant moi.
Monsieur F-F B-B , ce n’est que depuis 2 ans qu’une grande partie des »HUMAINS » qui ne savaient pas , commencent à savoir. === Croyez-moi Monsieur B-B , que les »ÉTUDIANTS » apprennent vite , le 10/08/2012.
Monsieur André Lefebvre , je suis propriétaire d’un cul-de-sac , je ne sais si c’est de la physique ou de l’astro , mais il n’y a eu aucun pesticide depuis minimum 20 ans(sauf localisé sur l’esclépiade) à cause que la J/sus-Christ de Municipalité de Tingwick , qui n’entretient plus son 66 pieds de larger de route. Pourtant , je leur avait donné le terrain et c’est à eux de l’entretenir , qu’une de mes avocates m’a dit. === Pour le phosphate en harmonie avec le fumier , j’ai pas de problème. === À quoi va servir les 2 milliards dépensé pour aller voir s’il y a des Martiens sur Mars ? Ou plus tard si Vénus n’a plus vraiment de bras ? C’est quoi cette gagne de mentalement atteint là ?
Monsieur Lefebvre , je vais le vendre un jour le »CUL-DU-SAC » , et j’espère à des jeunes qui le respecteront autant que je l’ai fait depuis 1970. === C’est sûr que tu passe pour un »CAVE » en 2012 , mais j’espère.
Il est urgent de protéger la »TERRE , GAÏA ».
Jean-Marie De Serre.
Pardonnez Monsieur B-B , pour F-F , croyez-moi monsieur : qu’il y a eu avant 2009 et après 2009.
Bonne fin d’après-midi ,
Jean-Marie De Serre.
J’avais commenté, ce qui ne semble pas passé : « Le » sinon, je ne l’adopterai jamais comme étant une « réalité » » sonne à mon manque d’intelligence comme un « jamais sans ma mère », mère qui dresse le père comme un antagoniste (ce qui met du même coup par terre la notion d’UNIvers au profit d’un DUivers) alors qu’il n’est que sans force face à la toute puissance maternelle. »
Par ailleurs l’image utilisée du « cul de sac » rappel beaucoup plus la situation intra-utérine d’un foetus, pas de quelqu’un qui est vraiment né.
« Pour le phosphate en harmonie avec le fumier , j’ai pas de problème. » ??? J’ai pu entendre (lire) un québécois qui disait : « Une erreur désastreuse de notre siècle, fut d’abuser du phosphore, comme élément simple. Il est le bioactiveur puissant et dangereux des fertilisants modernes. »
Pour ma part, j’ai simplement constaté qu’à des teneurs élevées en phosphates des plantes pouvaient correspondent des taux d’avortement bovins plus élevés. Et comme cela a été publié à plus de 800 mille exemplaires, un membre de l’Inra (Institut national de recherche agronomique) français m’a demandé de me dédire sinon… Ainsi j’ai découvers ce qu’était le terrorisme intellectuel… (celui-là même qui nous maintient dans le cocon ?)
A propos de jardin, de bout de terrain que l’on entretient (où de cul de sac ;=)), Armel Larochelle avait (a toujours ?) le sien qu’il a considéré comme un bout de paradis :
Passer sous Google : jardin site:science-univers.qc.ca
http://science-univers.qc.ca/horticulture/chalet.html
On note en filigrane l’effacement des rubriques relatives au don de son terrain, ce qui fut un échec patent…
Santé, Josick
@ Josickcliodal Royal , pour le phosphate , en quelle année et dans quel coin le taux d’avortement plus élevés ? Le Québec est un immense laboratoire , maintenant c’est le transgénique partout. M’en donné la science va l’échapper le virus qui tueras tout presque tout. Il est prêt.
Pour le terrain donné à la Municipalité , il y a un règlement qui dit très précisément à l’endroit de l’entretient. === Par contre quand tu as 6 conseillers avec aucune compétence à l’endroit des lois et des règlements et une DG qui interprête les règlements comme elle le veut bien depuis depuis 20 ans et pire depuis le nouveau Code d’Éthique et de Déontologie de Charest , pas sûr que l’on va me rendre justice cette année encore.
Je n’ai pas tapé l’Inra , mais si c’est ce que je pense cela doit être les »PATRONS » de Santé Canada et de l’ACIA. === J’adore quand on parle de fleurs et de jardins. J’ai vu votre lien………
Bonne fin d’après-midi ,
Jean-Marie De Serre.
Eh bien, pour cette étude réalisée en 1979, je réalise qu’elle s’est faite dans…. un cul de sac, fin de la terre, « Finistère », département breton. Dans ce département, il n’y avait quasiment plus d’avortement dit brucellique, maladie déclarée légalement contagieuse, mais cela avortait toujours autant. L’objectif pour les autorités était probablement de pointer du doigts une ou d’autres petites bêtes que l’on aurait pourchassé, faisant ainsi tourner laboratoire d’analyse. J’étais pour ma part décidé à trouver une piste sérieuse pour une générale réduction de ce problème (si l’on ajoutait les pertes néo-natales, c’est 120 mille veaux qui étaient alors estimé perdu annuellement pour les quatre départements bretons).
La chance nous (j’étais avec un collègue) a souri lorsque, suite à la lecture d’un article relatif au bio, j’ai eu l’idée de comparer les teneurs minérales des plantes avec la courbe d’avortement pondérée que nous avions établie sur plusieurs années à partir des déclarations officielles faites par les agricultures. Il y avait une courbe générale : un maximum d’avortement mi-février et un minimum mi-aout (une forme de SAD -seasonal affectif disorder- découverts sur les bovins avant même sa découverte chez les humains ? En tout cas, l’INRA s’est gaussé disant alors que nous avions là fait que redécouvrir l’existence des saisons). Ce qui nous a parlé, ce sont les variations observées sur cette courbe générale : par exemple, à un printemps humide, et donc des taux élevés de phosphate dans les plantes (analyse de la station INRA locale), correspondait un gonflement de la courbe des avortements. Et inversement pour un été sec (1976 alors).
Or une activité microbienne intense des sols (ce qui est recherché tant par l’agriculture officielle traditionnelle que par le bio) conduit à obtenir des plantes avec des taux de phosphate plus élevé… Et nous de constater qu’alors, plus d’avortement… Voilà, tout simplement !