Mieux vaut le dire d’entrée de jeu, il serait préférable de cesser de prendre l’avion vers les États-Unis pour les temps à venir. C’est la consternation dans les aéroports américains depuis que la TSA (Transportation Security Administration), l’Agence nationale américaine de sécurité dans les transports qui fut créée après les événements du 11 septembre 2001, a introduit ces fameux scanneurs corporels et surtout, de nouvelles procédures de fouilles corporelles.
La raison évoquée par les autorités américaines, canadiennes et de nombreux autres pays européens est la sécurité. Il faut assurer la sécurité des passagers contre des attentats terroristes. Cela s’est accentué et justifié davantage depuis l’attentat bidon d’un étudiant nigérien de 23 ans, Umar Farouk Abdulmutallab, qui avait supposément tenté de détoner une bombe à bord du vol 253 de Northwest, en partance d’Amsterdam vers Détroit, le 25 décembre 2009.
La sécurité et les risques d’être tué dans un attentat terroriste
Au nom de la « sécurité », on demande à la population de se soumettre docilement à des fouilles perverses ou à poser nu pour des agents du gouvernement tout en se prenant une dose de radiation. Il serait alors peut-être bon de mettre les choses en perspective avant de sombrer dans l’hystérie collective et de réclamer plus de ces coûteux scanners dans les aéroports. Pour évaluer le bien-fondé de cette dite « sécurité » qui ne fait que reculer nos droits et libertés, il faut analyser les risques véritables de terrorisme qu’encourent les voyageurs aériens. Pour ce faire, cet article est des plus éloquents: LES CHIFFRES RIDICULES DU TERRORISME.
Voici ce qu’on peut y trouver:
– Ces dix dernières années, aux États-unis, il n’y a eu que six attentats ou tentatives d’attentat terroriste à bord d’un avion : les avions du 11 septembre, la bombe dans la chaussure de Richard Reid en 2001 et enfin la bombe dans le slip sur le vol NWA 253 en décembre dernier.
– Sur la même période, aux Etats-unis toujours, il y a eu 99 320 309 vols commerciaux qui ont atterri ou ont décollé (chiffres TSA). Si on divise par six, cela fait un attentat ou une tentative d’attentat tous les 16 553 385 envols ou atterrissages.
– Mis bout à bout, ces vols ont parcouru environ 69 415 786 000 miles nautiques (111 713 878 704 Km). Il y a donc eu environ un incident terroriste aérien aux Etats-unis tous les 11 569 297 667 miles parcourues. Cela équivaut à environ 1 459 664 fois le tour du monde, 24 218 allers-retours entre la Terre et la Lune ou deux allers-retours vers la planète Neptune.
– Si on estime une vitesse de vol moyenne de 425 miles/h (env. 600 Km/h), nos avions ont donc passé 163 331 261 d’heures en vol. Il y a donc eu environ un incident terroriste aérien aux Etats-unis toutes les 27 221 877 heures de vol. Ou si vous préferez, un incident terroriste tous les 1 134 245 jours de vol. Ou encore, un incident terroriste toutes les 3 105 années de vol.
Il y avait un total de 674 passagers, sans compter l’équipage ou les terroristes, sur les vols où se sont produits ces incidents. Sur la même période, il y a eu 7 015 630 000 passagers de vols commerciaux aux Etats-unis.
Ces dix dernières années, un passager aérien avait donc une chance sur 10 408 947 d’être sur un vol affecté par un attentat terroriste. Par comparaison, aux Etats-unis, vous avez environ une chance sur 500 000 d’être frappé par la foudre. Je ne vois personne se mobiliser pour faire installer des paratonnerres dans tous les lieux publics.
En 2005, le « Center for Disease Control » aux USA a publié les statistiques suivantes:
1 chance sur 126 de mourir d’une crise cardiaque
1 chance sur 169 de mourir d’un cancer
1 chance sur 400 d’avoir une malade cardiaque
1 chance sur 520 d’attraper un cancer
1 chance sur 1 245 de vous faire assassiner si vous viviez dans une grande ville dans les années 1990
1 chance sur 2 900 de mourir dans un accident
1 chance sur 7 000 de mourir dans un accident de voiture
1 chance sur 9 200 de vous suicider
1 chance sur 12 400 d’attraper la maladie d’Alzheimer
1 chance sur 18 100 de mourir assassiné
1 chance sur 21 004 de mourir du SIDA
1 chance sur 43 000 d’attraper une hernie
1 chance sur 88 000 de mourir dans un attentat terroriste
1 chance sur 1 500 00 d’être victime d’un attentat terroriste contre un centre commercial, partant du principe qu’il y aurait un attentat par semaine et que vous consacrez deux heures par semaine à faire vos courses.
1 chance sur 55 000 000 d’être victime d’une attaque terroriste contre un avion de ligne, partant du principe qu’il y aurait une attaque par mois et que vous prenez l’avion une fois par mois.
Voilà qui devrait mettre les choses en perspective. Pas encore convaincu? Voici une autre statistique qui fait réfléchir. Le Wall Street Journal a publié un article, accompagné d’un complément, qui traite de ce sujet en analysant quelques surprenantes statistiques. Depuis l’an 2000, les probabilités de mourir d’un acte de terrorisme à bord d’un vol commercial américain sont de 1 sur 25 millions. Les probabilités d’être frappé par la foudre sont de 1 sur 500 000. C’est bien cela, on a cinquante (50) fois plus de chances d’être frappé par la foudre que de mourir dans une attaque terroriste à bord d’un avion. N’est-ce pas révélateur?
Par conséquent, si les autorités et les médias hallucinent littéralement sur la « menace » terroriste au point de terroriser la population entière et de lui imposer des mesures de sécurité liberticides et criminellement envahissantes, où est le branle-bas de combat pour prévenir et protéger la population de la foudre? Où sont les dispositifs de sécurité et les pages premières de journaux?
De plus, les « terroristes », ils ne sont pas cons. Du moins, pas tous. Même si une sécurité pouvait être efficace à 100% et sans failles, ce qu’il est impossible à atteindre, les terroristes choisiront de faire exploser leurs engins ailleurs! S’ils ne peuvent monter à bord d’un avion, ils les feront exploser dans l’aéroport même, dans un autobus, un centre d’achats ou tout autre endroit public. Le résultat sera le même! Pourquoi prendre le risque de monter à bord d’un avion? Il y a énormément d’endroits encore plus sensibles et stratégiques.
Si une bombe venait qu’à exploser dans un centre d’achats, devra-t-on y installer des scanners corporels et instaurer des fouilles manuelles par des agents du gouvernement ou de compagnies privées de sécurité?
Tout le monde y passe
Cette histoire concerne tous les voyageurs aériens, partout dans le monde. Mais la situation est plutôt explosive et extrême aux États-Unis ces derniers temps. C’est qu’on ne permettrait pas à un étranger de prendre une photo à nu de soi ou encore de se faire toucher partout sur le corps par un inconnu. Seulement que l’idée de voir votre femme, votre jeune enfant ou votre vieille mère se faire palper par un individu inconnu ou de se faire prendre en photo complètement nu pourrait en mener plusieurs à la violence ou à des poursuites judiciaires pour attouchements sexuels ou même pédophilie.
Les scanners corporels – utilité et effets sur la santé
Ces scanners sont-ils réellement utiles, efficaces et sans danger pour la population? Voici quelques faits intéressants:
– Les scanners corporels sont un gaspille d’argent, selon un expert israélien de la sécurité aérienne. Rafi Sela a expliqué au gouvernement canadien qu’il avait perdu des millions de dollars en installant ces machines « inutiles » dans les aéroports à travers le pays. «Je ne sais pas pourquoi tout le monde se précipite pour acheter ces machines coûteuses et inutiles. Je peux surmonter les scanners corporels avec assez d’explosifs pour abattre un Boeing 747», a-t-il déclaré aux parlementaires d’une étude sur l’état de sécurité de l’aviation au Canada. «C’est pourquoi nous ne les avons pas installés dans notre aéroport « , a déclaré Sela, se référant à l’aéroport international David-Ben-Gourion à Tel Aviv, qui est parmi les plus sévères dans le monde au niveau de la sécurité. Sela, ancien chef de la sécurité de la Israel Airport Authority et un vétéran de 30 ans dans la sécurité aéroportuaire et de la technologie de défense, a aidé à concevoir la sécurité à Ben-Gourion.
– Les scanners corporels ont «des effets mutagènes». Un professeur en biochimie d’une université californienne a déclaré que l’affirmation de l’administration Obama selon laquelle les scanners corporels ne posent pas de risques pour la santé des voyageurs aériens, est une «erreur».
– Les scanners corporels pourraient être dangereux, selon des scientifiques. Ces scientifiques américains ont averti que les scanners à rayons X qui sont utilisés pour contrôler les passagers et les équipages des compagnies aériennes dans les aéroports à travers le pays, peuvent être dangereux: «Ils disent que le risque est minime, mais statistiquement, quelqu’un va développer un cancer de la peau, dû à ces rayons X», a déclaré le Dr. Michael Love, qui dirige un laboratoire de rayons X dans le département de la biophysique et la chimie biophysique à l’Université de médecine de Johns Hopkins University.
– Les scanners dans les aéroports sont tout aussi susceptibles de vous tuer qu’un terroriste à la bombe faisant exploser votre avion dans le ciel, un éminent chercheur a révélé. Ces machines controversées ont été installées dans les principaux aéroports à travers le monde, y compris au Royaume-Uni, faisant craindre qu’une exposition accrue aux rayons nocifs pourrait causer le cancer. Maintenant, un professeur de physique des États-Unis a ajouté au débat en affirmant que les scanners sont redondants parce que les gens sont tout aussi susceptibles de développer un cancer suite à l’exposition aux radiations que vous l’êtes de mourir dans un attentat terroriste sur un avion.
Un sergent-major de la US Army, qui sert aujourd’hui en Afghanistan, a écrit à propos de la nouvelle procédure de fouille accrue de la TSA. Le résumé de son message très puissant: dans le but d’éviter d’offenser gravement la population afghane et d’éviter de projeter l’apparence d’un état de sécurité hors de contrôle, l’armée américaine a interdit l’utilisation sur les civils afghans des mêmes pratiques que la TSA est en train de faire subir aux voyageurs civils dans les aéroports des États-Unis.
Qui profite?
Le gouvernement américain a utilisé 25 millions de dollars des fonds de relance économique pour acheter et installer des scanners corporels dans les aéroports dans un effort de renforcer la sécurité et créer des emplois. La TSA a utilisé ces fonds pour l’achat de 150 scanners corporels, selon la porte-parole de la TSA, Sarah Horowitz. Ces scanners qui utilisent les rayons X pour fournir des images détaillées d’objets cachés dans ou sous les vêtements d’une personne, sont fabriqués par Rapiscan, une filiale de Hawthorne (OSIS). Le coût unitaire des scanners est de $150 000 à $180 000, selon la compagnie.
Depuis la tentative d’attentat contre un avion américain le jour de Noël dernier, l’ancien secrétaire du Homeland Security, Michael Chertoff, a donné des dizaines d’entrevues aux médias vantant la nécessité d’acheter plus de scanners corporels pour les aéroports par le gouvernement fédéral. Ce qu’il n’a pas mentionné, c’est que le Groupe Chertoff, son agence de conseil en sécurité, possède un client qui fabrique ces machines. Chertoff divulgué ce lien sur un programme de CNN, en réponse à une question.
Tim Carney du Examiner, souligne qu’une société nommée Rapiscan a obtenu un contrat de 165 millions de dollars pour les scanners corporels seulement quatre jours après l’incident du vol 253 de Northwest de Noël dernier. Rapiscan est politiquement connecté, observe Carney, sans surprise. Tel qu’il l’est pour les autres connexions politiques de la compagnie, il apparaît également que nul autre que George Soros, le financier milliardaire, détenait 11 300 parts de OSI Systems Inc, la société qui possède Rapiscan. Le stock d’OSI s’est considérablement apprécié au cours de l’année. Soros est certainement un investisseur avisé.
Le chef de la direction de l’une des deux entreprises autorisées à vendre des scanners corporels à la TSA, a accompagné le président Barack Obama en Inde plus tôt ce mois-ci, un signe clair des liens profonds entre les politiciens de Washington et les entreprises des pressions pour que les scanners corporels soient installés à tous les aéroports américains. Deepak Chopra, président et chef de la direction des systèmes OSI (aucun lien avec le spiritualiste New Age), faisait partie d’un certain nombre de dirigeants qui ont voyagé avec le président lors de son voyage de trois jours en Inde, qui a porté essentiellement sur l’élargissement des liens commerciaux entre les États-Unis et la nouvelle puissance asiatique.
Le fait qu’un fabricant de scanners corporels ait accompagné le président américain lors de son voyage à l’étranger montre l’étendue des liens entre l’industrie et le gouvernement des États-Unis. C’est le fabricant d’un des scanners corporels a accompagné le président américain sur un voyage à l’étranger montre l’étendue des liens entre l’industrie et le gouvernement des États-Unis. De nombreux observateurs ont attiré l’attention sur Michael Chertoff, l’ex-secrétaire de la sécurité intérieure, et le fait que le Groupe Chertoff compte OSI comme client. Mais les dirigeants de la TSA ont affirmé ne pas être au courant des conflits d’intérêts de Chertoff. D’ailleurs, le chef de la TSA, John Pistol, a réitéré que l’administration n’avait absolument aucune intention de changer leurs politiques de surveillance, assurant que la TSA est «la dernière ligne de défense du gouvernement US» et que tous les incidents d’attouchements étaient «appropriés» pour arrêter les terroristes.
Un agent de la TSA a été arrêté le 3 janvier au Terminal Un à Los Angeles (LAX). Il venait tout juste de terminer son travail et se comportait de façon erratique, en disant: «Je suis Dieu, je suis en charge. » Pendant ce temps, une enquête interne de la TSA a permis de mettre à jour des preuves selon lesquelles des agents de la TSA à LAX avaient utilisé de la drogue lors d’une fête.
Alors, qu’elle est la véritable menace pour les voyageurs?
L’opposition fuse de toute part
Heureusement, une forte résistance se dresse devant ces mesures tyranniques. Dans ce sondage, plus de 97% des répondants se sont dits contre ces procédures et ont manifesté l’intention de changer leur habitude de voyage et de transport. Un large groupe de citoyens ont démarré une initiative ayant pour but de refuser de prendre l’avion pour se déplacer: WE WON’T FLY!
En ce 24 novembre, une rébellion est organisée pour inviter les gens à ne pas voyager par avion. Les gens de tous les horizons rejettent la mise en place de ces machines d’imagerie à radiation dans les aéroports et se défendent contre la brutalité et de tâtonnement auxquels les femmes et les enfants sont soumis de la part des responsables de la TSA. Plusieurs syndicats et associations de pilotes ont conseillé à leurs membres d’éviter les scanners, tout en dénonçant les fouilles sommaires renforcées comme étant humiliantes et sur un pied d’égalité avec le harcèlement sexuel. Dans un coup dur pour les scanners de la TSA, le président de l’Association des pilotes alliés (APA) a publié une lettre demandant instamment à tous les pilotes de ne pas utiliser les scanners corporels, aussi connus sous le nom Advanced Imaging Technology (AIT). «Les dispositifs AIT en cours de déploiement produisent des rayonnements ionisants qui pourraient être nuisibles à votre santé», a écrit le président de l’Allied Pilots Association, Dave Bates. Les agents de bord ont aussi envoyé le même message à la TSA.
Des protestants en Allemagne ont défilé presque nus dans un aéroport pour lutter contre ces scanners. Le sénateur Michael J. Doherty (R-Hunterdon, Warren) et le sénateur James Beach (D-Camden) ont annoncé qu’ils allaient présenter des résolutions au Sénat et à l’Assemblée, demandant au Congrès américain de mettre fin à des procédures de dépistage de la TSA. Leur action vient en réponse aux nombreuses préoccupations sur la vie privée et de radiation, ainsi que les rapports de conduite inappropriée des agents de la TSA au cours du processus de dépistage. L’aéroport international de Sanford à Orlando a décidé de se retirer du dépistage de la TSA. Il est temps de démanteler la TSA.
Vu toute cette opposition, est-ce que l’administration ou autres agents néfastes prépareront un «évènement terroriste» pour qu’Obama et la TSA puissent dire: «nous avons tout essayé de vous protéger, mais vous avez refusé de nous obéïr»?
Conclusion
Terminons avec un peu d’humour provenant d’un grand comédien américain qui savait dire les choses telles qu’elles sont, le tant regretté George Carlin:
Pour mieux comprendre un mouvement, il faut retourner à sa base historique de manière objective. Derrière chaque mouvement politique, religieux ou idéologique se trouve des gens et une histoire. Par exemple, derrière l’islamisme se trouvent à l’origine des arabes. À la base du bouddhisme on retrouve à l’origine des asiatiques, alors que le mouvement souverainiste du Québec se compose principalement de Québécois. On ne saurait se faire taxer de racisme ou de tenir un discours haineux si on identifiait des Français à la base des Gaullistes ou bien des Allemands derrière le nazisme. Pourtant, c’est bien ce qu’on risque lorsqu’on parle des juifs. Personne ne se ferait condamner d’être anti-Allemand en mentionnant que des Allemands étaient derrière le mouvement nazi. Il s’agit de faits bien établis historiquement qu’il est possible de vérifier.
Le danger est toujours de généraliser et tout mettre les gens dans un même panier en combinaison avec des préjugés sans fondement; un piège évident à éviter. Ce n’est pas parce que les nazis étaient allemands que cela signifie que tous les Allemands étaient de méchants nazis. Il s’agit souvent en fait d’un groupe minoritaire, d’une classe dirigeante ou d’un groupe d’idéologues qui forme la tête d’un mouvement.
Or, dans le cas du mouvement Néo-conservateur qui est bien connu mais néanmoins très mal compris du public en général, on serait surpris d’y retrouver un grand nombre d’idéologues pro-Israël et/ou juifs. Ceci est un fait avancé et documenté par différentes sources crédibles dont certaines sont israéliennes, tel qu’un article paru dans Ha’aretz, intitulé White Man’s Burden, qui nomme les vrais responsables de la guerre en Irak: « La guerre en Irak a été conçue par 25 intellectuels néo-conservateurs, juifs pour la plupart, qui poussent le président Bush à changer le cours de l’histoire« .
Les grands médias ont acclamé le nouveau livre Neoconservatism: The Biography of a Movement de Justin Vaïsse, un spécialiste français de la politique étrangère américaine et membre de la Brookings Institution, comme étant le meilleur livre sur le mouvement Néo-conservateur. Les grands éloges à propos de ce livre, cependant, semble être dues en grande partie à sa minimisation de deux questions tabous: la nature juive du mouvement Néo-conservateur et sa focalisation sur Israël. Le livre brise ce qui était jusque-là largement un non-dit dans les médias, c’est-à-dire le rôle majeur joué par les Néo-conservateurs dans la mise en marche de la guerre en Irak. Cependant, même le fait de s’attarder sur les Néo-conservateurs pourrait être pris comme un signe «d’antisémitisme».
Le cri de l’antisémitisme a été façonné et utilisé en 1847 pour détourner l’attention des hostilités chargées d’émotions invoquées par la mention d’un peuple qui a été initialement identifié comme ayant une désignation raciale hébreu, Israélites comme origine nationale et juive comme désignation tribale. L’antisémitisme, en tant que stratagème défensif, détourne l’attention de la charge émotionnelle négative dirigée contre l’approche individuelle et la redirige vers une fabrication impersonnelle intellectuelle utilisée pour communiquer et mouler les interactions sociales, les normes de comportement et la construction des valeurs. Ainsi, la notion fallacieuse l’antisémitisme peut plus précisément désormais être comprise pour représenter les personnages du monde réel qui donnent lieu à des sentiments anti-juifs. Dans la plupart des cas en réaction politique et éthique face à la politique tribale juive, le sionisme, Israël, lobbying israélien, des affaires du sionisme mondial, l’idéologie juive, la suprématie juive, les crimes de guerre israéliens et ainsi de suite. – Atzmon Gilad.
Pour ceux qui pensaient que la fin de l’administration Bush signifierait la fin pour le mouvement néo-conservateur, détrompez-vous.
Selon un rapport publié en mai (PDF) par la Brookings Institution, à Washington DC, les Néo-conservateurs associés avec des personnalités comme l’ancien secrétaire adjoint à la Défense Paul Wolfowitz, l’éditeur du Weekly Standard Bill Kristol et l’expert Richard Perle sont encore largement actifs, malgré la politique manquée liées à l’invasion de l’Irak en 2003.
Justin Vaisse de la Brookings Institution, fait valoir que, parce que les néocons n’ont jamais eu le degré d’influence que leurs opposants leur attribuent, et aussi par méconnaissance générale de leur histoire, les observateurs ne comprennent pas pleinement la trajectoire du mouvement Néo-conservateur qui a commencé bien avant l’invasion de l’Irak et qui continue encore aujourd’hui.
«Le Néoconservatisme reste à ce jour une voix distincte et très significative de l’establishment à Washington», insiste Vaisse. Leur influence demeure grande même sous l’administration Obama. Stephen Walt, professeur de relations internationales à la Kennedy School de Harvard et co-auteur de The Israel Lobby and US Foreign Policy, déclare que l’endroit le plus évident où les néo-conservateurs sont toujours influents est dans la politique américaine envers l’Iran, où l’administration Obama «continue l’approche de base de l’administration Bush, mais avec un visage « plus gentil et plus doux». L’évaluation de Walt cadre avec un certain nombre de récents articles d’opinion dans les pages du Wall Street Journal par Richard Perle, Abram Shulsky, Douglas Feith et Danielle Pletka, cette dernière ayant également témoigné à propos de l’Iran devant le Comité sénatorial sur la sécurité intérieure et des affaires gouvernementales au mois de juin 2010. (Source)
Alors, plus que jamais, à la lumière d’une autre guerre qui se pointe à l’horizon en Iran, il est important de retourner à la racine de ce mouvement, à son passé historique pour mieux comprendre la nature de ce mouvement. Pour ce faire, vous êtes invité à découvrir ce texte courageux écrit par pascasher.blogspot.com. Les lecteurs sont invités à vérifier les sources et les informations de ce texte pour se rendre compte de la validité de cette thèse.
On entend souvent parler des néocons en lien avec Bush, Cheney et Rumsfeld. Or, ces sinistres individus sont loin d’être les véritables idéologues du néo-conservatisme. Ils n’en ont été que les porte-paroles et représentants les plus en vue à l’intérieur de l’administration Bush et Reagan, qui sont les deux administrations américaines au sein desquelles les néo-conservateurs ont eu le plus d’influence. Pour comprendre le phénomène des néo-conservateurs, il importe de mettre en lumière qui sont les penseurs et quels sont les fondements idéologiques de ce mouvement. Cette petite enquête sur le mouvement néo-conservateur nous fera découvrir un petit groupe d’idéologues juifs, puisant aux idéologies trotskiste et sioniste.
Du trotskisme au néo-conservatisme
Wikipedia identifie les premiers penseurs néo-conservateurs comme étant d’anciens trotskistes juifs:
Mais qu’est-ce que le trotskisme? Pour le comprendre, il nous faut faire un bref retour sur l’idéologie communiste et la révolution bolchévique en Russie.
Léon Trotsky, un des plus grands bourreaux de l’histoire
Petit-fils de rabbin, Karl Marx a été formé à la pensée communiste par l’érudit talmudiste Moses Hess, qu’il surnommait « mon rabbin communiste » (Source: Judaism Discovered, Michael Hoffman).
Enfin, selon les statistiques fournies par le Nobel de littérature et survivant des goulags Alexandre Soljenitsyne dans son livre L’archipel du goulag, plus de 66 millions de Russes ont été massacrés par les bolchéviques. Dans le second tome de L’archipel du goulag, il rappelle que les administrateurs des goulags étaient des juifs. C’est dire que même si l’on oublie les 120 millions de Chinois massacrés par le régime de Mao Tsé Tong, l’Holocauste communiste se révèle incomparablement pire que l’Holocauste nazi! Le fait est que pour vraiment rendre justice aux crimes communistes, il faudrait y consacrer une bibliothèque entière…
Selon Soljenitsyne: « les bolchéviques étaient dirigés par des non-Russes qui haïssaient le peuple russe. » D’où une telle haine peut-elle bien venir? Probablement du fait que les juifs (incluant des nombreux descendants des Khazars) ne l’ont jamais digéré d’avoir été évincés de Russie par les Chrétiens Russes.
Sur cette image de promotion du premier gouvernement bolchévique en Russie, on constate que quatre des cinq principaux dirigeants sont juifs (seul celui en haut à droite n’est pas juif). Nous avons donc les juifs Lénine (en haut), Zinoviev (Aaronovitch, en haut à gauche), Trotsky (centre), Kamenev (Rosenfeld, en bas à gauche) et Sverdlov (Solomon, en bas à droite). (Voir ici d’autres photos de juifs communistes soviétiques et d’oligarques capitalistes.)
Un conflit éclata entre Staline et Trotsky quant à l’avenir de l’état soviétique et du marxisme-léninisme. Staline était nationaliste et son communisme concernait la nation russe avant tout, à l’inverse du communisme de Trotsky qui était en mode international. Les trotskistes étaient les communistes les plus intimement liés aux grands financiers internationalistes de Wall Street. Les trotskistes prônent la révolution mondiale, internationale. Ils ont vite compris qu’il valait mieux prendre le contrôle du capitalisme de l’intérieur pour ensuite étendre la révolution à l’échelle mondiale. C’est ainsi qu’ils ont pris d’assaut les centres de pouvoir américains pour en faire leur chien de combat, leur instrument de domination mondiale par lequel ils pourront fomenter des guerres afin de renverser des régimes partout dans le monde.
Les trotskistes américains ont vite rejoint l’empire américain contre les staliniens et l’Union soviétique. (En fait, de nombreux grands financiers favorisaient les communistes, comme par exemple le milliardaire juif Armand Hammer qui fut un grand ami de Lénine.) Au centre du complot pour assassiner Staline (tué en 1953 le jour de le fête juive de Pourim, exactement comme le légendaire ennemi des juifs, Haman, dans le Livre d’Esther) se trouvaient des médecins juifs (voir « le complot des blouses blanches ») et des agents liés à des organisations anti-fascistes, que Staline avait reconnues comme étant en réalité des façades des sionistes. Dès 1939, Staline a lancé des purges anti-juives et surtout antisionistes, en raison des liens évidents entre les capitalistes et les sionistes. C’est surtout à partir de ce moment que l’Union soviétique a été dépeinte dans les médias comme l’incarnation du mal et Staline comme le plus effrayant croque-mitaine après Adolf Hitler. Voici une citation surprenante de Staline, prononcée en août 1939: « Le Sionisme veut dominer le monde. Il se vengera de nos succès et accomplissements. Le Sionisme international, avec toute sa puissance, s’efforcera à détruire notre Union de sorte que notre pays ne puisse jamais se rétablir. »(« Zionism strives for world domination. It will take revenge for all our successes and achievements. International Zionism with all its power will strive to destroy our Union, so that our country would never recover. ») Il apparaît clairement que, à l’inverse des staliniens qui ont rejeté les sionistes, les trotskistes ont rallié les sionistes et l’empire mondialiste américain qui les ont accueilli à bras ouvert d’autant plus facilement qu’ils avaient en fait jamais été très loin l’un de l’autre.
Le néo-conservateur Nathan Sharansky fait partie de ces juifs qui ont dû fuir l’Union soviétique sous Staline et qui se sont vus refuser par Staline le « droit » de plier bagage pour aller s’établir en Israël (d’où le nom de « refuzniks »). (Staline avait plutôt créé le Birobijan, le premier état juif autonome, au Nord de la Chine, en 1934, bien avant la création d’Israël par l’ONU en 1948). La haine des trotskistes et des futurs néo-conservateurs vis-à-vis Staline et l’Union soviétique n’a cessé de croître depuis. Dès lors, les néo-conservateurs, ces anciens communistes trotskistes, se sont lancés dans une grande croisade contre l’Union soviétique et, hypocritement, contre le communisme. C’est la période de la guerre froide. L’influence anti-soviet de ces néo-conservateurs se fera sentir plus spécialement dans l’administration Reagan.
Il est hautement significatif que le président George W. Bush a déjà dit que le livre sur lequel se fonde sa pensée est le livre de Nathan Sharansky(The Case for Democracy: The Power of Freedom To Overcome Tyranny and Terror). Dans ce livre, Sharansky explique que c’est la mission consacrée des États-Unis de faire la guerre aux régimes tyranniques afin de porter le flambeau de « la démocratie et la liberté » aux quatre coins de la planète. Sharansky fut en fait le mentor intellectuel et conseiller secret de Bush.
Qui sont les néo-conservateurs?
Rappelons comment Wikipedia décrit le néo-conservatisme:
Les penseurs néo-conservateurs américains les plus influents sont donc d’anciens trotskistes juifs: le gourou Leo Strauss, les Kristol père et fils, les Podhoretz père et fils, les Kagan père et fils, Perle, Ledeen, Pipes, Krauthammer, Peretz, etc., qui ont toujours été proches des juifs les plus radicaux de la branche fasciste du sionisme. La plupart d’entre nous l’ignorons pour la simple et bonne raison qu’ils ont l’habitude de mettre au pouvoir des façades non-juives (ex: Dick Cheney) qu’ils influencent à distance, en restant plus ou moins dans l’ombre.
Paul Wofowitz lors d’une conférence de l’AIPAC devant le Capitole
Perle et Cheney, tous deux membres du Council on Foreign Relations (CFR), ont été tour à tour directeur du Jewish Institute for National Security Affairs (JINSA), un puissant lobby sioniste similaire à l’American Israel Public Affairs Committee (AIPAC) et tout aussi partisan de la guerre au terrorisme, de la guerre en Irak et de la prochaine guerre contre l’Iran. Perle est un ancien lobbyiste pour des vendeurs d’armes israéliens et il est très proche des juifs sionistes Michael Ledeen (le théoricien de la « destruction créatrice » du Moyen-Orient) et Elliott Abrams (le gendre du gourou belliciste néo-con Norman Podhoretz). Les liens un peu trop étroits de Perle avec Israël lui ont valu de faire l’objet d’une enquête en 1970 pour avoir passé des secrets à Israël, comme Wolfowitz l’a été en 1978.
Voici une liste un peu plus longue des principaux signataires du PNAC, tous néo-conservateurs, impliqués dans la politique américaine ou dans les médias américains. Les noms juifs sont marqués d’une astérisque.
Le premier paragraphe d’un article paru dans Ha’aretz, intitulé White Man’s Burden, résume en une seul phrase qui sont les vrais responsables de la guerre en Irak: « La guerre en Irak a été conçue par 25 intellectuels néo-conservateurs, juifs pour la plupart, qui poussent le président Bush à changer le cours de l’histoire » (« The war in Iraq was conceived by 25 neoconservative intellectuals, most of them Jewish, who are pushing President Bush to change the course of history. ») C’est exactement cela qui s’est produit.
Il n’est donc pas surprenant que les promoteurs du « surge » (remontée en force, déferlante) aient été pratiquement tous juifs, comme le signalait l’édition du 24 août 2007 du journal israélien JTA: « Pro-‘surge’ group is almost all Jewish : Four of five members of the board of a campaign promoting President Bush’s policies in the Iraq war are Republican Jews ».
Le PNAC est, grosso modo, une réitération d’un document antérieur, intitulé « Clean Break: A New Strategy for Securing the Realm« , écrit par Richard Perle, Douglas Feith et James Wurmser (tous juifs) et inspiré par la clique d’extrémistes de Benjamin Netanyahou, à la tête du Likoud (le parti israélien d’extrême-droite). Le document appelait les États-Unis à se rapprocher d’Israël et à envahir et détruire l’Irak pour le bien d’Israël, puisqu’il était forcément, selon eux, dans l’intérêt des États-Unis de se débarrasser de Saddam Hussein. Et le document Clean Break suivait la même ligne pensée que le plan de l’Organisation sioniste mondiale intitulé A Strategy for Israel in the 1980’s.
Le PNAC préparait donc la guerre en Irak. À la tête d’un pays très fort économiquement et politiquement, Saddam Hussein, un nationaliste qui soutenait activement la cause palestinienne et nouait des alliances économiques avec des puissances des quatre coins du monde, représentait une grande menace aux yeux des sionistes. Les néo-conservateurs et les sionistes ont même tenté de blâmer l’attentat d’Oklahoma City sur les Irakiens, mais le président Clinton s’y est fortement opposé, ce qui l’amena à privilégier la thèse du « fou solitaire » Tim McVeigh. (Un geste d’obstruction que les néo-conservateurs lui ont fait payer cher: Bill Kristol a « révélé » le premier aux médias les détails de l’affaire Lewinsky, une affaire qui allait entraîner la destitution de Clinton. Hillary Clinton parlait d’un « grand complot de la droite » contre son mari; peut-être voulait-elle parler de la droite israélienne?)
C’est dans le PNAC que les faucons de la guerre en Irak révèlent avoir besoin d’un événement révolutionnaire, un «nouveau Pearl Harbor», pour catalyser l’expansion hégémonique américaine et plus spécifiquement au Moyen-Orient: «Le processus de transformation, même s’il apporte un changement révolutionnaire, est susceptible d’être long, en l’absence d’un événement catastrophique catalyseur comme un nouveau Pearl Harbor». Le 11 septembre fut précisément ce «nouveau Pearl Harbor». L’analogie est d’autant plus pertinente que le traître Roosevelt savait pertinemment que le Japon allait attaquer la base de Pearl Harbor, mais il n’a rien fait l’empêcher, car l’objectif était de convaincre les Américains d’entrer en guerre.
VIDEO – Les fauteurs de guerres (discours de Lindbergh du 11 septembre 1941)
Comment s’est fait la subversion néoconservatrice (israélienne) du Pentagone et de l’administration Bush? Il fallait placer des hommes aux postes-clé afin de faciliter la tromperie et la déclaration de guerre à l’Irak. Dans les années 80, sous Reagan, les néocons ont pris soin d’infiltrer la CIA en constituant une « équipe B », destinée à remplacer et neutraliser la CIA (appelée « équipe A »). Plus récemment, et pour une très courte durée (2003-2004), Paul Wolfowitz et Douglas Feith ont constitué le Office of Special Plans (OSP), qui regroupait la plupart des plus importants agents israéliens néoconservateurs: Richard Perle (alors directeur du Defense Policy Board), Abram Shulsky (protégé de Perle) et Eliott Abrams. C’est l’OSP, plus précisément Perle et Shulsky, qui sont à l’origine des fausses informations sur les prétendues « armes de destruction massives irakiennes » qui allaient servir à justifier la guerre voulue par Cheney-Rumsfeld et Wolfowitz. L’OSP a aussi fondé le Committee fo the Liberation of Iraq (CLI) qui comptait parmi ses membres: Richard Perle, Rep. Newt Gingrich, James Woolsey de la CIA, Bill Kristol (Weekly Standard), John McCain et Bob Kerry.
Douglas Feith et Paul Wolfowitz, les numéros 2 et 3 au Pentagone à l’époque, se révèlent donc être les principaux responsables de la destruction de la nation irakienne.
À quand leur procès pour crimes de guerre?
Les juifs néocons qui ont tiré les ficelles pour faire la guerre en Irak:
William Kristol, Richard Perle, Paul Wolfowitz, Elliott Abrams, Douglas Feith
Mis à part Abrams, ils ont tous déjà été à la réunion de Bilderberg.
Paul Wolfowitz a quitté son poste au Pentagone lorsque ça a commencé à chauffer pour les néocons qui faisaient l’objet d’une enquête du FBI (pour plus de détails, voir le scandale d’espionnage israélien à l’AIPAC). Après avoir quitté son poste, Wolfowitz devint président de la Banque mondiale.
Dans cette affaire d’espionnage d’une ampleur sans précédent (en raison de l’importance de l’organisation AIPAC, qui représente le plus puissant lobby aux États-Unis et rallie des appuis aussi bien des démocrates que des républicains), seule une poignée de bouc émissaires (Libby, Rosen, Weissman) ont été inculpés, bien que les néocons les plus importants aient dû se soumettre à des entrevues avec le FBI. L’AIPAC et les principaux agents israéliens néocons (Perle, Feith, Wolfowitz, Shulsky) étaient sous surveillance et sous enquête du FBI depuis des décennies. Il est possible que le scandale d’espionnage à l’AIPAC soit en quelque sorte une vengeance de la CIA contre ces néocons qui ont réussi à marginaliser la CIA et à faire en sorte que le gouvernement ignore ses mises en garde concernant les fausses informations sur les armes de destruction massive.
L’union maudite du fascisme sioniste et de l’anti-fascisme des ex-trotskistes
La position ultra-sioniste des néo-conservateurs est en droite ligne avec la pensée du fasciste juif Vladimir Jabotinsky (dénoncé par Einstein dans une lettre au New York Times), le fondateur du Bétar et l’inspiration de l’organisation terroriste Irgoun, qui a perpétré le massacre de Deir Yassin, qui a fait sauter l’hotel King David, sous la direction du futur PM Menachem Begin, pour enfin se métamorphoser en parti de droite extrémiste: le Likoud. (C’est ce même parti qui, sous le mandat d’Ariel Sharon, en 2002, érigera le Mur entourant la Palestine, réalisant ainsi le rêve du «Mur de Fer» imaginé en 1923 par Jabotinsky.) À l’inverse de la posture économique et communiste (matérialiste et athée) du penseur sioniste Theodor Herzl, la posture sioniste de Vladimir Jabotinsky était identitaire: raciste, ultra-religieuse et fasciste. Netanyahou, le dirigeant du Likoud et actuel premier ministre d’Israël, est le meilleur exemple de la continuité sans faille des Likoudniks avec la pensée des fascistes juifs: non seulement son père BenZion était secrétaire de Jabotinsky, mais en plus Netanyahou est un étudiant assidu de la pensée de Jabotinsky. Netanyahou est directement connecté aux néo-conservateurs et l’on reconnaît son influence dans le contenu du Clean Break, écrit principalement par son proche ami Richard Perle. En fait, toute l’idée de la guerre au terrorisme vient du livre de Netanyahou paru en 1986, intitulé «Terrorism: How the West Can Win». Il prédit jusqu’à la guerre en Irak et en Afghanistan et appelle l’Occident à combattre les ennemis d’Israël, les Palestiniens et les Arabes, qui ne sont pour lui que des terroristes à supprimer. Le jour même du 11 septembre, Netanyahou déclarait que le drame du 11 septembre était «très bon pour les relations entre les États-Unis et Israël» (New York Times). Il a répété cette affirmation scandaleuse en 2008.
Quelques exemples de fascistes juifs sionistes:
Certes, les néo-conservateurs sont liés aux fascistes sionistes, mais quand on remonte aux théoriciens néo-conservateurs, on constate qu’ils étaient des communistes trotskistes, anti-staliniens et anti-soviet. Le fait qu’ils se proclament « anti-communistes » relève de la pure hypocrisie, voire du mensonge.
Les trotskistes étaient les champions du mouvement et de la posture « anti-fasciste ». Historiquement, nul ne conteste que « l’anti-fascisme » est né du trotskisme. Mais avant de traiter d’anti-fascisme, il faut clarifier le sens du mot « fascisme ». Alors que les trotskistes épousaient la pensée libérale et promouvait démocratie comme vecteur de révolution internationale, en réaction au libéralisme – qu’il soit communiste ou capitaliste – s’est érigé une opposition: le fascisme. Le mouvement fasciste prônait le nationalisme, le patriotisme, la religion, les valeurs morales et un État fort qui prenne en main non seulement l’État de droit mais aussi la culture et surtout l’économie. Le nationalisme fasciste se voulait un rejet brutal, d’une part, de l’internationale libérale-capitaliste, c’est-à-dire la droite, et, d’autre part, de l’internationale communiste, c’est-à-dire la gauche. Plus tard, le terme « fasciste » servira à désigner globalement l’extrême-droite et servira aux trotskistes pour salir leurs ennemis. Toujours est-il que l’anti-fascisme des trotskistes a à ce point pénétré la psyché populaire que très peu de gens se souviennent de ses origines trotskistes.
Wikipedia rappelle que les néo-conservateurs sont juifs anti-fascistes et anti-nazis à la sauce « Plus Jamais Auschwitz »: » Le néo-conservatisme se distingue du conservatisme traditionnel et du néolibéralisme. Anticommuniste et antifasciste, le néo-conservatisme est né sur le principe de « plus jamais Auschwitz». « (Rappelons ici que cet anti-communisme était en réalité un anti-soviétisme d’inspiration trotskiste et non pas seulement capitaliste.)
Le slogan « Plus Jamais Auschwitz » et la rhétorique ostensiblement « anti-fasciste » des néocons est décelable jusque dans leurs écrits. On remarque facilement que les néocons et autres agents sionistes sont toujours en train de traiter les musulmans et les groupes identifiés comme « terroristes » d’être des nazis et des fascistes, des hitlériens, des chemises brunes, des chemises noires, etc. Ils accusent systématiquement leurs ennemis d’être des fascistes et, tout comme ils ont traité Saddam de fasciste et de tyran, dépeignant le moyen-orient en entier comme étant le terreau de « l’islamofascisme », ils accusent la Chine de devenir un « régime fasciste ». Alors que nous sommes tous témoins de la chute du prétendu « monde libre » dans la dictature et la tyrannie la plus totale (exemple: Google utilisé comme outil de censure et de collecte de renseignements personnels pour les services secrets occidentaux), un tel niveau d’hypocrisie est proprement consternant. (Faut-il en rire ou en pleurer?) Les néocons en ont particulièrement contre la « vieille Europe », associée à l’émergence du nationalisme, du nazisme et du communisme. en fait ils en veulent surtout à l’Europe pour la même raison qu’ils en veulent à l’ONU: parce que ces entités politiques ne reculent pas devant la nécessité de condamner les exactions commises par Israël contre les Palestiniens (pour plus de détails, voir la conférence de Durban, qui s’est tenue 4 jours avant le 11 septembre 2001). On peut constater cette tendance anti-fasciste dans les articles de Michael Ledeen, néo-conservateur et théoricien de la destruction créatrice: Beijing Embraces Classical Fascism, paru dans le Far Eastern Economic Review, et Black Shirts in Red China, paru dans The Wall Street Journal. Autre exemple flagrant: « China is actually the world’s first mature fascist state. It was fascism not national socialism but the kind of fascism that people like Mussolini installed in Italy in the 1920’s that we’re talking about. The economy is a mixed economy; mixed public and private economy. And there is a certain degree of private initiative that’s left in the hands of entrepreneurs and business leaders and even trade unions.« (tiré de Michael Ledeen on Fascist China, Epoch Times) Ledeen a consacré ses 15 premières années de travail à l’étude du fascisme (Michael Ledeen on Fascism & War on Terror on National Review Online).
VIDEO –
En France, on dénombre aussi une bonne quantité de néo-conservateurs à la solde de l’atlanto-sionisme. Prenons par exemple Bernard Henri Lévy qui s’époumone à dénoncer le « fascislamisme » (voir les vidéos suivants: « Fascislamism » by Bernard-Henri Lévy et BHL contre le fascisme) C’est une constante évidente chez les néo-conservateurs: tous pro-fascistes en ce qui concerne Israël, mais anti-fascistes lorsque vient le temps de réclamer des guerres pour abattre « les bourreaux de la liberté et de la démocratie », c’est-à-dire tous ceux qui osent leur tenir tête!
Ouverture
S’il n’y a qu’une seule leçon à tirer de ce portrait peu enjôleur de la réalité néo-conservatrice, c’est bien celle-ci: gare aux anti-fascistes qui stigmatisent sans arrêt « l’islamo-fascisme » et les « tyrans » justifiant des guerres impérialistes qui n’en finissent plus sous prétexte de défendre la liberté et la démocratie, car il s’agit en fait pour eux de répandre aux quatre coins du globe la plus odieuse tyrannie que l’humanité ait jamais connu.
Michael Collins Piper, The High Priests of War: How America’s “Neo-Conservative” Trotskyites Came to Power and Orchestrated the War Against Iraq as the First Step in Their Drive for Global Empire (lire l’intro et des extraits; section photo)
Michael Collins Piper, The Judas Goats — The Enemy Within: The Shocking Story of the Infiltration and Subversion of the American Nationalist Movement (lire l’intro et des extraits; section photos) (scribd)
On voit beaucoup d’encre couler au sujet de cette mosquée et centre communautaire islamique qu’on projette de construire près de l’ancien site des tours jumelles du World Trade Center. Certainement c’est un sujet délicat pour les familles de ceux qui ont perdu la vie dans les attentats du 11 septembre 2001. Au-delà du fait que ce projet est parfaitement légitime du point de vue légal, les opposants à ce projet projettent la responsabilité de cet évènement sur les mauvaises personnes. Ce n’est ni l’Islam, ni les musulmans qui sont en cause, quoique je l’ai crû pendant longtemps, mais la politique extérieure des États-Unis.
Les évènements historiques ne se produisent jamais à partir d’un vide et ne doivent jamais être considérés isolément des facteurs qui pourraient en être la cause. Ainsi, il y avait un bon moment que le gouvernement américain s’attendait à un attentat quelconque en réponse à son traitement de l’Irak. L’attentat, certes tragique, du 11 septembre et ses quelques 3000 victimes s’est avéré être cette réaction. Sans vouloir rien minimiser, le nombre de victimes de cet attentat n’est rien comparativement à plus d’un million de victimes, la plupart des enfants, des sanctions économiques des Nations Unies, commanditées par les États-Unis et le Royaume-Unis, contre l’Irak pendant toute une décennie.
Il fût peu question pendant cette période de l’effet de ces sanctions sur la population irakienne ou de la façon qu’elles étaient perçues par le monde arabe, mais elles n’ont certainement pas mené aux résultats escomptés par l’administration Bush sr et celle de Bill Clinton. Alors que l’objectif était d’ameuter les irakiens contre Saddam Hussein, elles n’auront servi qu’à démoniser encore plus les américains aux yeux des arabes.
Pendant la première guerre du Golfe en 1991, les forces alliées ont systématiquement attaqué le réseau électrique irakien, ce qui eût pour effet de complètement annihiler la capacité des irakiens de faire fonctionner leurs usines d’épuration d’eau. Étant incapable de se fournir en eau potable et se voyant systématiquement refuser le droit d’acheter les pièces nécessaires à la réparation de son réseau électrique. On estime qu’entre 1991 et 1996, plus de 100 000 500 000 enfants ont péri de maladies reliées au manque de sanitation et à la malnutrition.
En mai 1996, lorsqu’interrogée à l’émission 60 Minutes du réseau CBS si après la mort d’un demi-million d’enfants le prix en valait la peine, Madeline Albright, l’ambassadrice des É-U à l’ONU a répondu candidement : «Je crois que c’est un choix difficile, mais oui nous croyons que le prix en valait la peine.» Ce manque total de remords de la part du gouvernement américain n’a pas été sans laisser une impression durable sur la psyché collective des arabes. Ajoutez à ça leur soutien inconditionnel d’Israël et il fallait bien qu’un jour ça éclate.
Durant la campagne présidentielle de 2008, lors du débat des primaires du parti Républicain, Ron Paul s’était attiré les foudres de plusieurs membres du GOP lorsqu’il a soutenu que les évènements du 11 septembre n’étaient pas le fruit d’une haine de la liberté et du niveau de vie des américains, mais le fruit de leurs actes au Moyen-Orient. Il a mentionné alors le terme qu’utilise la CIA pour ce genre de rétribution : «blowback».
C’est triste à dire, mais ce n’est pas l’Islam qui est à blâmer pour les attentats du 11 septembre, mais bien l’étatisme et l’impérialisme américain.
Un conflit militaire n’est pas initié du jour au lendemain. Il s’agit d’un processus qui implique en premier lieu d’influencer la perception et l’opinion publique – la diabolisation de la personne ciblée ou d’un gouvernement dans le but de justifier une agression. Subséquemment, des forces armées sont déployées dans la région pour assurer une action militaire efficace. Des tactiques, telles que les opérations de subversion et de contre-insurrection, sont utilisées afin d’affaiblir et de déstabiliser la nation visée de l’intérieur, augmentant sa vulnérabilité et causant un affaiblissement de ses défenses. (Source)
Une méthode qui a fait ses preuves
Cette méthode a été utilisée pour vendre la guerre d’agression contre l’Irak dans les mois avant mars 2003. On a diabolisé L’Irak et Saddam Hussein, pourtant arrivé au pouvoir à l’aide de la CIA, en faisant la promotion de trois mensonges intentionnels: qu’il était relié à l’Al Qaïda et donc au 9/11, qu’il cherchait à se procurer de l’uranium pour fabriquer des armes nucléaires enfin, que Saddam possédait encore des armes de destruction massive pouvant être déployées en 45 minutes vers Londres. Les armes de destruction massives n’existaient plus de 1991, un fait connu des inspecteurs de l’ONU et des services du renseignement américain; l’administration Bush a admis elle-même que Saddam Hussein n’avait aucun lien avec Al Qaïda et le 9/11 et finalement, les informations utilisées par la Maison Blanche pour terroriser la planète avec la perspective de voir l’Irak utiliser l’arme nucléaire provenaient d’un plagiat d’un travail d’étudiant. Cette guerre d’agression n’avait aucune base légale dans la loi internationale.
Identique application de la méthode qui avait aussi servit à diaboliser les Talibans de l’Afghanistan qui, eux aussi, avaient pris le pouvoir avec le consentement de Washington. Mais avec le 9/11 en poche, les néocons ont simplement eu à accuser les Talibans de protéger Ossama Bin Laden (Tim Osman), de maltraiter leurs femmes et d’être des radicaux extrémiste pour arriver à justifier l’invasion d’un des pays les plus pauvres de la planète.
Ensuite de cela, comme la méthode le prévoit, des forces armées sont déployées dans la région. Ces équipements lourds et la grande quantité de troupes impliquent une soigneuse préparation de longue date. On ne déplace pas porte-avions, chasseurs, missiles, chars d’assaut, soldats en 24 heures. Cela prend des mois, sinon des années de planification et de mise en place. Pour le cas de ces deux derniers pays, le tout était planifié depuis au moins le premier jour du premier mandat de Bush, en l’an 2000. D’autres évidences montrent que cela remontait même à des années plus tôt. Le Pakistan avait été averti en juillet 2001 que des opérations militaires étaient pour avoir lieu en Afghanistan vers le mois d’octobre 2001 et les forces militaires se trouvaient déjà dans le Golfe Persique un mois avant le 9/11. Nous connaissons tous la suite.
Scénario identique dans le cas de l’Iran
Cette façon de procéder est en application contre l’Iran depuis quelques années. Même propagande et désinformation qui furent utilisées contre l’Irak et Saddam Hussein, diabolisation systématique des leaders, de leur culture, etc. Les États-Unis financent des opérations de subversion et de déstabilisation pour affaiblir le pays de l’intérieur allant jusqu’à financer des groupes terroristes tel que les Djundallah. L’Iran chercherait à fabriquer des armes nucléaires et, selon Israël qui est fiévreuse de déclencher une attaque sur ce pays, Mahmoud Ahmadinejad serait la nouvelle incarnation de Hitler. Il est à noter que le rôle d’Israël dans le déclenchement de la guerre en Irak semble être de premier plan. L’Histoire se répète, de même que l’utilisation de la même méthode pour initier des conflits militaires.
L’Amérique du sud est dans la mire de l’Oncle Sam
De manière plus discrète et insidieuse, ce plan déviant est aussi activement mis de l’avant contre le Vénézuela depuis de nombreuses années. La consolidation de l’unité régionale ainsi que l’intégration de l’Amérique latine menace les possibilités américaines de reprendre le contrôle et assurer sa domination de l’hémisphère. Les avancées de la Révolution bolivarienne ont entravé son « auto-destruction », provoquée par la subversion interne financée et dirigée par des agences des États-Unis. Néanmoins, l’Empire ne va pas cesser ses tentatives d’achever son objectif final et un potentiel conflit militaire demeure toujours à l’horizon. (Source)
Depuis le coup-d’État piloté par Washington en avril 2002, les constantes agressions menées contre le Vénézuela ne font que se multiplier et s’amplifier. Les tentatives de déstabilisation contre la Révolution bolivarienne se couronnent avec la plus grande expansion militaire de l’Histoire dans la région, à travers l’occupation américaine de la Colombie, la réactivation de la Quatrième flotte de la US Navy, ainsi que l’augmentation de la présence militaire américaine dans les Caraïbes, au Panama et en Amérique centrale depuis la dernière année. Ceci peut être interprété comme étant une préparation à un scénario de conflit dans la région.
Les opérations de démonisation vont bon train. Durant les derniers mois, le Vénézuela a été accusé de ne pas assez combattre les opérations narcotiques, de violations des droits de l’homme, « de ne pas contribuer à la démocratie et à la stabilité régionale », et d’être le chef de file anti-américain de la région. Cela fait partie d’une campagne de relation publique pour fabriquer le consentement et manipuler l’opinion publique pour justifier une agression directe contre le Vénézuela. Bientôt, Washington va publier sa liste annuelle des États qui soutiennent le terrorisme. Si le Vénézuela était placé sur la liste cette année, la région pourrait être sur le bord d’un conflit militaire sans précédent.
Un document datant de 2009 produit par la US Air Force justifiant le besoin d’une présence militaire accrue en Colombie révèle que ces nouvelles bases militaires américaines vont donner au Pentagone « …une occasion pour mener des opérations de grande envergure à travers l’Amérique du sud… ». (Source)
Ce document démontre les véritables intentions qui se cachent derrière l’accord militaire entre les États-Unis et la Colombie: « Une présence (américaine) augmentera aussi notre capacité de mener des opérations du renseignement, de surveillance et de reconnaissance, d’améliorer notre portée globale, de soutenir des nécessités logistiques, d’améliorer des ententes, d’améliorer la coopération sur la sécurité régionale et de donner de l’expansion aux capacités de guerre expéditionnaire ». (Source)
Le premier rapport définissant les priorités en matière de défense et du renseignement de l’administration Obama a dédié une attention substantielle au Vénézuela. Le Rapport annuel d’évaluation des menaces de la communauté du renseignement américain a spécialement signalé le président Hugo Chavez comme posant une « menace » majeure aux intérêts américains, le classant aux côtés de l’Iran, de la Corée du nord et d’Al Qaïda. « Le président vénézuelien Hugo Chavez s’est établi comme des principaux détracteurs international des États-Unis, dénonçant les États « libéral-démocratiques » et le » super-capitalisme », et opposant des politiques et intérêts américains dans la région ».
Quelques jours après que le rapport soit publié, le Département d’État a présenté dans son budget de 2011 au Congrès, demandant une augmentation de financement de l’ordre de $15 millions pour la USAID (U.S. Agency for International Development) et la NED (National Endowment for Democracy) dans le but de financer des groupes d’opposition au Vénézuela, en plus de $48 millions pour déployer des équipes de « promoteurs de la démocratie » dans des pays où la démocratie est menacée. Lors de sa dernière tournée de l’Amérique du sud, Hillary Clinton n’a pas manqué d’attaquer le Vénézuela à travers différentes déclarations s’inquiétant de la question de la démocratie, des droits de l’homme et de ne pas contribuer de façon constructive au progrès régional.
Haïti, la nouvelle base des opérations américaines
Sous le beau vernis d’aide humanitaire, une tout autre situation se développe en Haïti. Une situation qui reflète la longue histoire de cette nation surexploitée. Fox News a révélé qu’un autre lucratif contrat sans appel d’offre a été octroyé à un lobbyiste et ami de haut profile « politiquement connecté » à l’ancien président Bill Clinton. La USAID qui est un cheval de Troie, tout comme pour la NED, permet différentes opérations américaines sur le terrain, sous le couvert d’aide humanitaire. On a appris qu’il est prévisible que les troupes américaines demeurent en Haïti pour un temps considérable. Selon les sources, du 20 000 soldats américains présents suite au terrible tremblement de terre du 12 janvier, il en reste entre 6 500 et 10 000. Ce qui est planifié pour le moment, c’est de plus en plus de personnel de la USAID et de moins en moins de troupes. Il semble que toutes prétentions à l’effet que Haïti est un pays indépendant ont été évacuée par le gouvernement américain.
Dans les médias, on se demande ouvertement quel rôle les États-Unis devraient jouer, allant jusqu’à considérer une annexion d’Haïti dans le style de Puerto Rico. On propose de reconstruire le pays et sa structure gouvernementale à partir de zéro. Obama a indiqué au cours d’une conférence de presse, confirmé par le président haïtien, que la présence militaire américaine en Haïti continuera indéfiniment. On peut alors considérer que le pays est de facto sous contrôle des États-Unis. En plus de lui conférer une position géostratégique dans la région, tout près de ses plus grands ennemis, Cuba et le Vénézuela, cela a beaucoup à voir avec des arrangements complaisants pour mettre la main sur les ressources naturelles d’Haïti et pour préserver les conditions de travail des ateliers de misère dans les usines d’Haïti. Et les réelles conditions de vie épouvantables que la plupart du peuple haïtien endure ne s’amélioreront jamais: c’est ainsi conçu.
Conclusion
L’Amérique du sud est à nouveau la cible de l’Empire. Pas à pas, si nous n’y prenons pas garde et ne montons pas une féroce opposition à une nouvelle conflagration et déstabilisation de tout ce continent, il y a fort à parier que nous allons assister à un autre front de la guerre pour assurer l’hégémonie américaine. Il est grand temps d’instaurer une ère de paix véritable et d’emprisonner les interventionnistes.
Nous avons vu la semaine passée que CANADA Inc., comme toute bonne compagnie privée, a pour importante mission de faire du profit, souvent en extorquant et taxant à mort sa ressource naturelle, la population.
Nous avons aussi vu que cette extraction, ce vampirisme économique se fait souvent au nom de belles prétentions et motivations de façade, comme par exemple, la « sécurité », la « santé », la « démocratie », etc.
Au nom de la sécurité, on va vous taxer de quelques milliards. Au nom de la santé et d’une peur d’un certain H1N1, on va vous inoculer avec des produits non-testés et contenant des ingrédients toxiques, qui n’ont aucune efficacité prouvée à part des croyances aveugles et naïves. Au nom de la démocratie, on va aller bombarder et occuper militairement des pays du Moyen-Orient où on a déjà entrainé la mort de 1.3 million d’Irakiens et des dizaines de milliers d’autres en Afghanistan. Un génocide. Et un biocide: on a contaminé la place avec de l’uranium appauvri qui sert à fabriquer des armes dont on se sert pour libérer les gens de ces pays, un truc radioactif pour au moins 4.5 milliards d’années. Tout ce qui a de plus humain; à la fine pointe de l’humanité.
Des « guerres humanitaires », sorties tout droit du dictionnaire des plus fameux oxymores de nos temps dits « modernes ». Dans le temps des barbares, on se battait avec des massues. Dans nos temps barbares modernes, on se bat avec des massues nucléaires. C’est beau l’évolution. Des guerres d’agression – anciennement punies par les tribunaux de Nuremberg comme constituant le « crime suprême » international, parce que ce crime renfermait tous les autres – sont devenues des guerres « préventives ».
Peut importe l’étiquette qu’on utilise pour masquer la réalité, le résultat sur le terrain est le même. La souffrance, signe qui avertit d’une fausse motivation, d’une pensée erronée, d’un faux calcul de satisfaction, inharmonieux et déphasé du sens de la vie. Cette guerre préventive est menée sur le plan physique est aussi menée insidieusement sur le plan psychologique et mental. Une guerre est menée contre notre humanité, pour contrôler ce qu’on pense. Les frontières de ce qui est acceptable de penser, de débattre et de questionner sont établies pour vous. C’est le conditionnement de masse des masses, l’influence de l’opinion publique, la manufacture du consentement, le contrôle du paradigme de pensée, tels que Noam Chomsky le décrivait ou mieux encore, tel que Edward Bernays le préconisait, celui qu’on a surnommé « le père de la propagande ».
Ceci étant dit, voyons la suite des évènements suite à ce que nous avons vu la semaine passée, avec la venue de ces nouvelles mesures de sécurité complètement inutiles, mais qui devront néanmoins être payées par les voyageurs, à leur détriment (implémentation d’un État policier, exposition à une irradiation potentiellement dangereuse pour la santé, atteinte directe à son droit fondamental à la vie privée et liberté).
Cette semaine, nous apprenons que les États-Unis vont déterminer qui pourront embarquer sur un avion… ou pas. « Commençant en décembre », décrit l’article du Montreal Gazette, « certains passagers sur des vols commerciaux canadiens volant vers, ou en provenance des États-Unis, ou même seulement en transit au-dessus du territoire américain sans y atterrir, ne seront pas autorisés à monter à bord de l’avion avant d’avoir reçu la permission du département de la Sécurité intérieure des États-Unis (U.S. Department of Homeland Security) après avoir déterminé qu’ils ne sont pas des terroristes ».
« Secure Flight, la plus récente arme dans la guerre américaine contre le terrorisme, donne aux États-Unis des pouvoirs sans précédent sur quiconque veut prendre un vol qui passe à travers l’espace aérien de ce pays ». Une autre preuve tangible que notre souveraineté est dissoute dans l’Union nord-américaine. Nous ne sommes plus maitre chez soi.
« Sous ce programme, Secure Flight, les compagnies aériennes canadiennes vont transférer les informations personnelles des voyageurs au département de la Sécurité intérieure des États-Unis, préférablement 72 heures avant le décollage ». Ensuite, l’agence nationale américaine de sécurité dans les transports (TSA) utilisera Infoglide, un programme d’identification complexe pour trouver et regrouper de l’information provenant de plusieurs sources, pour vérifier l’identité des passagers.
« Si nécessaire, les analystes de la TSA vérifieront d’autres banques de données classifiée secrètes ou publiques sur le terrorisme du gouvernement, de la police et des services du renseignement, incluant les bases de données du département de la Sécurité intérieure des États-Unis, du département de la Défense, du Centre national du contre-terrorisme et du FBI », tel que noté dans le document gouvernemental qui définit le programme Secure Flight.
Et après les scanneurs corporels, la dissolution de vos droits et libertés fondamentaux, va venir la prochaine version de l’État policier sous forme de scanneurs de la pensée, le règne où les machines vont devenir jugent de nos intentions et pensées, une technologie qui sera installée en premier dans les aéroports et bientôt un peu partout.
Déjà, ces mesures portent préjudices aux voyageurs et causent bien des malheurs. Elles briment les personnes et font en sorte que ceux qui font vivre l’industrie aérienne et du tourisme, les voyageurs, sont traités comme des criminels pour exercer le droit fondamental au libre déplacement et leur font manquer des vols.
La question de vous empêcher de voyager par des « autorités » américaines est des plus révoltante et insultante. Mais le plus pernicieux, c’est ce transfert arbitraire de données personnelles sans consentement vers des entités étrangères à l’extérieur du pays qui sont complètement incontrôlables et d’une transparence plutôt opaque.
À ces inquiétudes pressantes, s’ajoute le fait que le président Barack Obama vient de nommer à la tête de la TSA un ancien officiel militaire du renseignement. Sous le commandement de Robert Harding, la TSA, qui est responsable de la sécurité dans les aéroports américains suite au 9/11, sera probablement encore plus militarisée et transformée en une opération du renseignement. Cette nomination par Obama d’un ancien général de l’armée pour gérer la TSA indique que le gouvernement a un désir grandissant de militariser les aéroports civils.
Dans le passé, Robert Harding a travaillé comme adjoint au service de renseignement de l’Armée US G2. Il était responsable de la planification et de l’exécution des programmes du renseignement. De 1997 à 2000, il fut le directeur des opérations pour la DIA (Defense Intelligence Agency) et il a rempli les fonctions d’officier senior du renseignement humain au département de la Défense.
Avant de travailler pour la DIA, Harding a servi pour J2, Intelligence Directorate, United States Southern Command, sous le général Barry McCaffrey et Wes Clark en tant que chef du renseignement. Il a aussi dirigé le renseignement avec le Joint Interagency Task Force dans la pseudo guerre contre la drogue. Entre 2003 et 2009, Harding était un consultant auprès du gouvernement sur le renseignement humain et autres domaines connexes.
La DIA, la CIA, et la NSA ne sont que sélectivement soumis à l’examen du Congrès américain. La transparence y est aussi fréquente que l’honnêteté des politiciens. Sous le règne de Bush, la DIA fut infiltrée par les néo-conservateurs et en 2004, un analyste de la DIA a révélé à quel point l’agence était compromise. Cette histoire a d’ailleurs fait l’objet d’une enquête du FBI à propos de l’espionnage israélien. Cette infiltration a fait en sorte que l’Office of Special Plans, dirigée par Douglas Feith à ce moment-là, a mené à l’invasion de l’Irak basé sur de fausses informations et faux prétextes.
Il y a de ces signaux, des symptômes, qu’on ne peut ignorer qu’à notre propre risque. L’Histoire se répète.
Un autre de ces signes qui devraient attirer notre attention, c’est le nombre d’armes à feu vendues l’année dernière aux États-Unis qui en hausse vertigineuse. Ne paniquons pas, il n’y aura pas plus de tueries et de crimes causés par arme à feu, les statistiques indiquent le contraire. Ces ventes d’armes à feu ont une tout autre signification.
Les statistiques pour l’année 2009, publiées par le National Instant Criminal Background Check System (NICS) du FBI, montrent une augmentation de 10% du nombre d’armes à feu vendues par rapport à 2008; totalisant plus de 14 millions de fusils vendus.
Pour mettre cela en perspective, c’est plus d’armes à feu que le nombre de soldats actifs des 21 premières armées du monde combinées.
Lorsque les gouvernements nous perçoivent comme étant la menace, l’ennemi à surveiller, il y a fort à parier que la population commence à comprendre que l’ennemi qui en veut vraiment à ses droits et libertés, à sa vie privée et son libre mouvement, est précisément ces gouvernements hors de contrôle.
Dès lors, toute notion de sécurité apportée par ces gouvernements est futile, en plus d’être dangereusement et gravement illusoire.
Le clan des néo-conservateurs, cette faction d’idéologie militariste pour l’imposition d’une hégémonie américaine mondiale, tel que décrit et illustré par dans leurs propres documents et projet comme le PNAC, réuni l’extrême droite, le complexe militaro-industriel, évangélistes chrétiens, sionistes, banquiers internationaux, et des gens de descendance idéologique nazie comme George H.W. Bush et de factions de la CIA.
Ce sont ces gens qui ont voulu prendre avantage du momentum de la configuration stratégique américaine présente à la fin Seconde guerre mondiale, cristallisée ensuite durant la guerre froide, pour imposer leur nouvel ordre mondial. Ils se retrouvaient avec l’armée la plus puissante de l’histoire et beaucoup pensaient qu’il était insensé de ne pas s’en servir pour assurer leur contrôle sur le monde. Pour ce faire, on devait utiliser cette puissance militaire qui selon eux était d’une tristesse à posséder sans pouvoir s’en servir réellement pour imposer cet ordre, en combinaison avec la sphère financière et bancaire à travers lesquelles ils dominaient et dominent encore le reste du monde. Ces nouveaux maîtres du monde ne pouvait se servir de cette incroyable machine de guerre parce que le peuple américain et la Constitution des États-Unis ne leur permettraient jamais.
Il fallait donc miner et éventuellement anéantir ce dernier bastion de la liberté et de la souveraineté du peuple et des individus, en finir avec cette expérience unique de quelques centaines d’années à peine où pour la première fois de l’Histoire, le Peuple est souverain et donc pas soumis, esclave, serf, sujet d’un quelconque tyran, dictateur, leader religieux ou d’une monarchie.
Alors, pour imposer une telle politique étrangère agressive et criminelle à tendance eugénique, ils comprenaient que la démocratie, ou en fait, la République des États-Unis, était pour les en empêcher. La souveraineté du peuple et la liberté sont le véritable ennemi de l’élite, de l’establishment, de l’ordre établi. Elles sont l’antithèse du darwinisme social.
C’est ce qui explique la motivation derrière le coup d’État avorté de justesse dans l’affaire Smedley Butler impliquant la famille Bush ainsi que de grands industriels et banquiers.
Il s’agit du même dessein en ce qui concerne le 9/11 et la descente rapide dans un état policier fasciste qu’on peut observer en Amérique. Nous sommes témoins de l’érosion brutale – et dans plusieurs cas la perte – de nos droits et libertés ainsi que la protection de notre vie privée, sans compter les multiples transgressions de la Constitution des É-U.
Il y a longtemps que les multinationales et le secteur bancaire ont opéré un coup d’État silencieux prenant contrôle de nos institutions civiles et gouvernementales. Les gens qu’on nomme nos « représentants » ne le sont plus en grande majorité, surtout aux plus hauts échelons. Les créditeurs et les multinationales dictent la loi, font la pluie et le beau temps. Ils sont le gouvernement de facto. Ils organisent les choses en leur faveur, pour leurs intérêts. Par exemple, ils sont le moteur qui propulse le Partenariat pour la Sécurité et la Prospérité (PSP), ou plus simplement, l’Union nord-américaine. Une refonte du Canada, des États-Unis et du Mexique en un espace commun commercial favorable au secteur privé et financier, opéré via un nivellement vers le bas des conditions de travail, des salaires, des réglementations et protections des gens et de l’environnement.
Nous payons des impôts et des taxes, mais nous ne sommes plus représentés. Nous avons perdu $40 milliards de notre Caisse de dépôt et de placement et l’État de droit au Québec est en train de basculer vers la loi du plus fort et du crime organisé, mais les « autorités » refusent toute enquête publique! Ils parlent de monter la taxe de vente et votre compte d’électricité pour combler les déficits causés par leurs « erreurs », de dépenser des milliards de dollars pour investir dans la centrale nucléaire de Gentilly-2 et la remettre en marche avec tout ce que cela implique en terme de risque nucléaire et des matières radioactives, mais ne nous consultent jamais et ne font qu’à leur tête.
Le partenariat entre les compagnies et les forces armées/complexe militaro-industriel est l’axe essentiel par lequel l’élite anglo-saxonne pensait organiser leur collaboration pour créer une super-puissance dans le but d’imposer leur contrôle sur le monde et poursuivre l’expansion de l’emprise de l’empire anglo-saxon sur les ressources du monde et ainsi remplacer le colonialisme européen. La guerre contre le terrorisme est le parfait outil puisqu’elle est sans fin et permet de créer sans cesse de nouveaux ennemis qui eux sont là que pour justifier l’expansion de la plus grande économie militarisée que le monde est connu.
Il est un fait qui semble se dégager de plus en plus de l’histoire du régime nazi : ils avaient été appuyés en puissance par les banquiers de Londres et de Wall Street, et le 3e Reich de Hitler fut construit par les corporations des États-Unis et d’Angleterre dans le but de contrer la menace Communiste de l’Union Soviétique (financée et maintenue en place par les mêmes banquiers internationaux). Hitler s’est avéré un homme hors de contrôle et c’est les Soviétiques qui ont dû perdre entre de 20 à 40 millions d’hommes pour le défaire. Suite à la défaite du régime nazi, nous avons appris grâce à des documents américains déclassifiés, que sous le projet « Paperclip », des milliers de têtes nazis, dont des scientifiques, propagandistes, stratèges, hauts-gradés militaires, etc, furent rapatriés aux États-Unis, sous un chapeau nommé la CIA, nouvellement crée à cet effet.
George H.W. Bush est un des grand responsable de cette affaire, avec son père Prescott Bush qui amassa une fortune en aidant et finançant Hitler, blanchissant l’argent nazi et en investissant dans la machine de guerre nazie. Étaient aussi de fervents supporteurs: Henry Ford, IBM, JP Morgan, Rockefeller et la Standard Oil. Il est de plus en plus compris que la famille Bush et les gens qui leur sont reliés constituent la montée d’un 4e Reich aux États-Unis. Les nazis ont perdu une bataille en 1945, mais pas la guerre puisque les vrais architectes, constructeurs et profiteurs de la machine nazie et son idéologie n’ont jamais été publiquement identifiés, exposés et jugés pour leurs crimes.
Les médias sont lourdement concentrés entre les mains de quelques entités seulement. Il se trouve beaucoup d’actionnaires importants et propriétaires qui sont aussi investis et liés à des fabricants d’armement et des financiers de Wall Street. Ils répondent uniquement aux impératifs du marché et de la rentabilité, mais ils ont l’immense pouvoir de façonner notre perception de la réalité. Les médias n’accomplissent pas leur mission de chercher et rapporter la vérité, d’être les gardiens de la liberté et démocratie, de surveiller les gouvernements et les gens au pouvoir.
Nous savons maintenant que des milliards de dollars furent et sont dépensés par des gouvernements tels que celui des États-Unis ainsi que par des corporations pour produire de fausses nouvelles ayant toutes les apparences de nouvelles indépendantes produites par les médias. Il n’y a pas moyen de savoir si elles sont authentiques ou pas, ainsi que de connaître leur source de financement. Elles nous sont présentées dans les journaux ainsi qu’à la télévision comme si elles étaient authentiques, rapportées par de véritables journalistes.
Bien sûr qu’il ne s’agit pas de la totalité des nouvelles qui nous parviennent, ni probablement pas de la majorité, mais il est certain que cela s’est produit des centaines de fois seulement que dans la période avant le début de l’agression de l’Irak en mars 2003. On peut aussi penser à l’affaire des couveuses Koweït en 1991 alors que le gouvernement des États-Unis avaient engagé une firme de relation publique pour créer une fausse histoire de bébés jetés sur le sol froid par les soldats irakiens pour voler les couveuses des hôpitaux du Koweït. Cette campagne de désinformation avait pour but créer une indignation et un soutient chez les Américains et ainsi servir de justification pour attaquer l’Irak pour la première fois en 1991.
On peut penser au 11 septembre 2001, un domaine où les mensonges et fantaisies de la version officielle rapportés joyeusement par les médias sont si épais qu’ils n’arrivent plus à s’emboîter et former un tout compréhensible et logique, défiant les lois de la physique et de la nature.
Nous savons par les documents officiels maintenant déclassifiés aux États-Unis que les attaques de Pearl Harbor et du golfe de Tonkin qui ont mené les Américains à la Deuxième guerre mondiale et dans la guerre du Vietnam respectivement, ont été des évènements basés sur des mensonges: les États-Unis avaient délibérément provoqué les Japonais et savaient qu’ils étaient pour attaquer Pearl Harbor et n’ont rien fait pour les arrêter et prévenir leurs hommes en place; et dans l’autre cas, les Vietnamiens n’ont jamais attaqué la flotte américaine (qui elle se trouvait carrément dans leurs eaux territoriales), il s’agissait en fait d’un coup monté, une fausse attaque simulée par l’armée américaine.
Et ainsi de suite…
Il faut aussi comprendre le passé pour comprendre le présent: ceux qui ne connaissent pas ce que fut le programme Mockingbird de la CIA qui comptait plus de 3000 agents et journalistes sur leur liste de paye, et travaillant à travers tous les médias d’Amérique, auront du mal à comprendre à quel point l’information et la perception de la réalité peuvent être contrôlées et manipulées.
L’objectif étant de mener une guerre informationnelle et psychologique, de contrôler les informations transmises et pour la propagation de propagande. Les événements du 11 septembre 2001 ainsi que la version officielle du gouvernement américain de George Bush n’ont jamais fait l’objet d’enquête sérieuse de la part des médias. Ceci est d’autant plus grave que la guerre contre le terrorisme qui s’en est suivi, découle de ces tristes événements.
– Des enquêtes sur des fraudes fiscales majeures menant vers des poursuites judiciaires importantes concernant des compagnies comme Enron furent détruites lors de l’écroulement du Salomon Brother Building (WTC7), qui lui, ne fut jamais frappé par un avion et n’était la proie que de trois feux mineurs étant sous contrôle.
– Donald Rumsfeld avait annoncé la journée précédente au 11 septembre que le Pentagone avait perdu, écarté des livres de comptabilité, plus de $2.3 trillions ($2 300 000 000 000), un scandale de proportion historique. Le lendemain, un avion venait s’écraser en plein dans les bureaux du Pentagone où les enquêtes à ce sujet se déroulaient, après avoir pris le risque de faire une acrobatie sans pareil pour aller percuter ce côté précis du Pentagone.
Le Nouvel Ordre Mondial est composé principalement de deux clans: les socialistes/Société Fabienne d’Europe et les fascistes/capitalistes d’Amérique. Mais dans cette dernière, il y a une division Zbigniew Brzezinski/CFR/Commission Trilatérale/CIA/NED/Ford Foundation qui lui est en train de devenir spécialiste des révolutions colorées qu’on a pu observer dans différentes régions du monde. Ils se drapent d’une apparente révolution populaire/étudiante. Il semble que les derniers coups sont ceux qui nous ont apporté Barack Obama et le coup manqué contre l’Iran lors des dernières élections.
Il existe une sorte de continuum traversant les décennies et les générations, d’une idéologie interventionniste, colonialiste et de domination qui persiste jusqu’à nos jours. Elle vise l’imposition d’un ordre mondial à travers différentes crises pour faire émerger une solution commune: une gouvernance globale entre les mains de non élus. Que ce soit la crise du réchauffement climatique, la crise financière, la crise alimentaire, la crise A/H1N1, tous les chemins mènent à Rome, on nous dit que nous avons besoin d’une gouvernance mondiale pour nous sauver et sauver la planète.
Cela étant dit, ces autorités et leaders du monde ont l’air tout-puissants – et ils le sont dans une certaine mesure, tant il y a de gens qui acceptent de vivre leur vie à genoux – mais ils sont en fait extrêmement vulnérables, en petit nombre et complètement terrorisés face au peuple. La révolution de la façon dont circule l’information dans nos sociétés qu’a engendré la venue d’Internet et ensuite du mouvement pour la vérité qui y est né, animé par des millions de chercheurs de la vérité partout à travers la planète, est un facteur que l’élite n’a pas su prévoir et bien contrôler. Les menaces auxquels l’Internet libre et neutre fait face s’intensifieront en nombres et en gravité. Nous serons de plus en plus sollicités, mais ultimement, la vérité et la vie triompheront. Il y a une lutte, une guerre pour contrôler et soumettre l’esprit humain, une guerre de l’information qui fait rage.
Nous sommes en train de développer des mécanismes de protection, tel qu’un « firewall » mental, un instinct pour détecter les mensonges et les manipulations. Les révolutions et les grandes avancées humaines ont toujours été le fait de quelques individus ou petits groupes d’individus. Il y a présentement des millions de personnes connectées ensemble, faisant circuler l’information instantanément et l’enregistrant partout. Nous sommes devenus une immense agence du renseignement civile. En l’espace d’une heure seulement, une information ou des images vidéo peuvent faire le tour du monde et être vues, enregistrées et copiées des millions de fois avant même que les médias n’aient eu le temps de réagir. Le contrôle de l’information est devenu beaucoup plus difficile. Avec le recul historique, cette révolution sera certainement perçue comme étant un évènement clef de la libération du savoir et de l’information, et ultimement, de la sagesse humaine qui sera notre seul salut, la seule solution pour éviter que l’humanité s’autodétruise.
Il ne faut pas tomber hypnotisé et paralysé par les évènements du passé et les horreurs de présent, il faut les interpréter comme étant des symptômes d’un mal de société, d’une maladie de civilisation, qui a pour origine le cœur des hommes et femmes, l’individu qui est psychologiquement malade de par ses valeurs fausses découlant d’une grave incompréhension du sens profond et essentiel de la vie, ou simplement de son oubli. Mais les défauts et les fausses motivations ne sont que des qualités et saines motivations perverties. Il est impératif que nous retrouvions une vision du futur, que nous ayons un projet de société réel pour et par le peuple.
« La lutte de l’homme contre le pouvoir est la lutte de la mémoire contre l’oubli. » – Milan Kundera
« Celui qui ignore son passé est condamné à le revivre. » – Marc Bloch
Les fins détails ne sont plus d’aucune importance. Les responsables de la Commission gouvernementale sur le 9/11 ont confirmés ce que nous savions tout ce temps-là; c’est-à-dire que le gouvernement américain a menti à propos des évènements entourant les attaques du 11 septembre 2001. Le gouvernement américain avait confié la responsabilité de la Commission d’enquête sur le 9/11 à l’ancien attorney général du New Jersey John Farmer. La Commission avait reçu comme mandat d’enquêter sur la réponse du gouvernement face aux attaques. Y siégeait aussi l’ancien gouverneur du New Jersey Thomas Kean et l’ancien Congressiste de l’Indiana Lee H. Hamilton.
La Commission sur le 9/11 nous dit maintenant que cette version officielle du 9/11 était basé sur de faux témoignages et documents; donc qu’elle est presque entièrement fausse. Les détails de ce massif escamotage de la vérité par le gouvernement sont soigneusement étalés dans le livre de John Farmer, qui était la tête de la Commission sur le 9/11.
Le gouvernement américain a menti à propos du 9/11.
L’édition du 11 septembre 2009 du Time magazine présentait précisément cette histoire en appelant un nouveau regard sur la Commission sur le 9/11. M. Farmer soulignait au Time magazine lorsque que des entrevues avaient été menées au centre de la FAA de New York la nuit du 9/11 et que ces enregistrements furent détruits. Les enregistrements d’interrogations de la CIA furent aussi détruits: «L’histoire du 9/11 elle-même, le moins qu’on peut dire, était déformée et complètement différente de la façon dont les choses se sont réellement passées».
Farmer, directeur de la School of Law des Universités Rutger, ne fait pas chemin seul, il a la coopération et l’accord d’autres membres de la Commission sur le 9/11. Il n’accuse pas Cheney ou Bush d’avoir ordonné le 9/11 dans son livre, mais il écrit clairement que le FBI, la CIA, la Maison Blanche et NORAD ont menti délibérément à la Commission. Est-ce appuyé par des preuves documentées? Oui.
Farmer déclare: «À un certain niveau du gouvernement, à un certain moment donné… il y a eu une entente pour ne pas révéler la vérité à propos de ce qui s’était passé… J’ai été choqué de voir la différence entre la vérité et la manière dont elle a été décrite… Les enregistrements du NORAD (North American Aerospace Command) racontait une histoire radicalement différente de ce qu’on nous a dit ainsi qu’au public depuis deux ans».
Thomas Kean, ancien gouverneur Républicain du New Jersey avait ceci a dire: «Jusqu’à ce jour, nous ne savons toujours pas pourquoi le NORAD nous a raconté ce qu’ils nous ont raconté, c’était tellement loin de la vérité…».
En 2006, le Washington Post rapportait: «Les doutes que quelque chose ne tournait pas rond étaient si profonds que les dix membres de la Commission sur le 9/11 ont discutés, lors d’une réunion secrète à la fin de leur mandat en 2004, de renvoyer le cas au Département de la justice pour enquête criminelle, information corroborée par plusieurs sources provenant de la Commission. Les membres de l’équipe et certains commissaires pensaient que les courriels et autres évidences apportaient une cause suffisante et probable de croire que les officiels militaires et de l’aviation avaient violé la loi en faisant de faux témoignages au Congrès et à la Commission».
Avec l’unique rapport «officiel» sur le 9/11 maintenant reconnu comme étant complètement faux, que faire maintenant? Qui sont touchés par ces mensonges? Les familles des victimes du 9/11 se sont battues pendant des années pour arriver à connaître la vérité. Et pendant des années, le gouvernement et les médias ont dissimulé la vérité derrière des mensonges et le secret pour les en dénier.
Allons-nous continuer à donner notre argent à des gouvernements qui nous mentent?
Allons-nous continuer à laisser des gouvernements qui nous mentent de tuer et démolir la vie de nos enfants dans des guerres étrangères?
Allons-nous continuer à obéir à des gouvernements qui nous mentent?
Lorsque les gouvernements nous mentent, ils excèdent leur rôle légal et moral et cessent dorénavant d’être un gouvernement légitime du pays.
Un principe fondateur de nos nations est que le gouvernement gouverne avec le consentement des gouvernés.
JE NE CONSENS PAS À ME FAIRE MENTIR.
Je ne connais personne qui consent à se faire mentir par un gouvernement.
Aucune Cour ne peut faire appliquer un contrat dans lequel une partie est d’accord pour se faire mentir par l’autre puisqu’elle ne peut pas savoir ce à quoi elle s’engage, l’essence même d’un contrat selon la loi.
La Commission sur le 9/11 dit que le gouvernement américain nous a tous menti au sujet du 9/11. À quel autre sujet nous ont-ils menti? Probablement à propos de tout! Il serait sûrement plus aisé de compter les fois que le gouvernement nous raconte la vérité que d’essayer de compter tous les mensonges.
La Commission avait décidé de ne pas entendre le groupe de travailleurs qui a connu le plus de perte de vie lors du 11 septembre 2001: les pompiers. Nombreux sont les témoignages de pompiers et de témoins rapportant des explosions multiples partout dans ces trois bâtiments du complexe World Trade Center qui furent complètement réduit en poussière et vaporisés.
Ted Olsen, qui a servi sous l’administration Bush, nous a menti lorsqu’il a tenu une conférence de presse le 11 septembre 2001 en disant à l’Amérique et le monde que sa femme décédée l’avait appelé juste avant de mourir dans l’avion qui avait été détourné. Cela prouvait que l’avion avait bel et bien été détourné par des terroristes à la peau brune.
Le problème, c’est que c’était un autre mensonge, un de plus sur longue liste. Le FBI a rapporté qu’aucun appel n’avait été fait entre Barbara Olsen et Ted Olsen en cette journée fatidique. La technologie ne le permettait même pas à l’époque, à l’altitude à laquelle se trouvait alors l’avion.
Bref, le tissu de mensonges se déchire et nous sommes sur le point de devoir décider ce que nous ferons de toutes ces révélations. Une chose est certaine, c’est que la version officielle est fausse et que la vérité n’a pas encore vue le jour. Nous le devons à toutes les victimes, les familles des victimes et tous ces gens au Moyen-Orient qui ont vu leur vie détruite par la guerre contre le terrorisme qui s’en est suivi.
Dans l’Essonne, en banlieue parisienne, on va tenter de promouvoir une nouvelle et audacieuse approche pour assurer l’ordre : la délation. Nous allons bientôt entrer dans le signe de la Balance… Nouvelle, c’est vite dit, car d’Adam à Eve et de Eve au Serpent, on était déjà en pleine délation et, à Venise, on mettait déjà discrètement les médisances « dans la bouche du lion ».
Pas de doute, toutefois que ce ne soit une approche audacieuse. Car alors que l’espion est parfois perçu comme un héros, le délateur, lui, le « stool », la « balance», il a vraiment mauvaise presse… Pourquoi ne denonce-t-on pas fièrement, avec la satisfaction du devoir accompli ? Surtout maintenant que la dénonciation est indispensable ?
Indispensable ? Eh oui… Parce que, contrariant la lecture qu’on a voulu faire de l’évolution du rapport des forces entre l’individu et la société, l’individu ne devient pas sans défense face à la société; c’est la société qui devient d’autant plus vulnérable qu’elle devient plus complexe. La technique moderne permet désormais à chacun de porter dans une mallette, sinon dans sa poche, le virus ou le gaz qui causera à la société un dommage colossal, voire fatal. Depuis le 9/11 et l’incident du métro de Tokyo, on peut tenir ce point pour avéré. Cette société ne survivra que si chacun prend sur lui de surveiller son voisin. De lui sauter dessus s’il y a urgence, au moins de le dénoncer s’il est suspect.
Une sécurité publique qui n’est plus l’affaire de tous n’apporte plus la sécurité qu’on voudrait. Un système de sécurité publique ne peut plus fonctionner correctement que si tous les citoyens sont essentiellement d’accord avec la loi et se sentent solidaires des gestes posés pour assurer son application. La première condition de la sécurité publique, c’est un soutien inconditionnel à la loi.
L’ordre ne peut donc plus être maintenu que s’il existe un large consensus quant à la légitimité du pouvoir et quant à l’équité fondamentale de la loi. Ce consensus est le basilaire, le palier “0″ sur lequel on peut construire l’édifice de la sécurité publique. Une société doit inspirer le respect, être perçue comme légitime et ses lois doivent jouir d’un soutien inconditionnel.
Or ce soutien n’est possible que si une majorité effective de la population croit que la loi est juste. Le citoyen d’une démocratie doit avoir bonne conscience. Dans la société actuelle, il ne l’a pas. Les assises du basilaire sont lézardées et ce soutien inconditionnel n’existe plus. Pour deux (2) raisons fondamentales.
La première, c’est que notre société est gérée par un système dont les règles sont perçues intuitivement comme iniques, puisqu’elles mènent à des injustices intolérables et croissantes. Dans le contexte de misère qui prévaut presque partout, il n’est plus toujours évident de déterminer qui, du “criminel” ou de la société, a le bon droit de son côté. Doit-on faire trébucher l’enfant qui fuit avec un quignon de pain ou le gendarme qui le poursuit ? Ce dilemme est une réalité quotidienne dans les marchés publics des trois-quarts des villes du monde.
Comment demander au citoyen moyen d’être ABSOLUMENT contre le vol, s’il y a des millions d’individus dans la société pour qui le vol est l’unique accès aux besoins essentiels à leur survie? Notre société a bien raison d’avoir mauvaise conscience, parce qu’elle ne fait pas ce qu’elle devrait faire pour assurer droits, gîte, couvert, services et espoirs à tout le monde. Parce qu’elle ne le fait pas, on ne peut lui reconnaître le droit moral ABSOLU de sévir contre ceux qui transgressent la loi, puisqu’il en est qui ne le font que pour en pallier les criantes injustices.
Le mot-clef, ici, est “absolument”. Aussi longtemps que les conditions sont telles que la société et ses lois ne sont pas perçues comme absolument justes, le droit moral absolu pour une société de faire respecter ses lois est remis en question et cède la place à une casuistique. Nul ne sachant plus très bien si chapardeurs, fraudeurs d’impôts, travailleurs au noir et contestataires n’ont pas le bon droit de leur côté, chacun s’arroge le droit de décider au cas par cas du soutien qu’il doit accorder à la loi.
Comment intervenir si on ne sait plus qui a tort, de celui qui s’enfuit ou de celui qui le pourchasse ? Que ce dernier, d’ailleurs, porte ou non un uniforme. Quand on entre dans le champ de la casuistique, on ne peut attendre du citoyen le soutien inconditionnel de la loi. Il en prend et il en laisse. La première lézarde dans les assises de la loi, c’est l’iniquité de la société qui transparaît dans la misère qu’elle crée.
Il y a une deuxième lézarde : l’ingérence indue de la loi dans des domaines où elle apparaît si bête qu’on ne peut que penser qu’elle sert des intérêts sordides. La population accueille avec une immense tolérance les écarts à toutes les prohibitions qui voudraient interdire à des adultes des choix qui ne concernent qu’eux. On ne peut respecter une loi qui s’attaque en priorité à la culture du pavot plutôt qu’au viol des enfants.
Pour que renaisse un soutien inconditionnel de la loi, il faudrait que les lois expriment une volonté collective de justice conforme à la morale des citoyens. Il faudrait d’abord que le crime soit toujours être perçu comme odieux, mais il faudrait aussi que la loi, se bornant à interdire ce qui porte atteinte aux droits et à la liberté, ne se discrédite plus en consacrant la plus grande partie de ses ressources à imposer des prohibitions futiles.
La population a mauvaise conscience et ne soutient plus la loi. Parce qu’elle ne la soutient plus, la sécurité publique semble devenir la seule responsabilité des professionnels de la police et du droit, ce qui fait peu à peu de ceux-ci des éléments étrangers dans le corps social. Des greffons que ce corps rejette. Cette absence de complicité entre les citoyens ordinaires et ceux qui doivent assurer l’ordre pose obstacle à la délation. Elle est aussi le premier pas vers la fin de la démocratie.
La population doute de la capacité – et de la volonté même – de l’État de faire respecter la justice. Pourquoi ceux dont c’est le rôle de protéger la société, résisteraient-ils à la tentation de la corruption, quand le système qui régit la société semble gérer une opération de rapine institutionnalisée? Si ceux dont c’est la mission de maintenir la sécurité publique ne peuvent plus avoir la conviction d’être du côté du bien, pourquoi ne participeraient-ils pas à la curée en utilisant le pouvoir dont ils disposent?
Dans l’imaginaire populaire, les politiciens deviennent corrompus, les gestionnaires vénaux, les policiers pourris et ce n’est plus de la société que vient la protection: la justice est trop lente et trop faible. Cela conduit à la recherche de solutions de rechanges: port d’armes, gardes privés, villes murées. Les modèles d’imitation changent. Les héros de la télévision sont les justiciers privés: les policiers et militaires qui défient le système et font triompher la justice MALGRÉ les ordres reçus.
Cela conduit aussi à une mutation des valeurs, celles-ci s’accommodant d’une nouvelle réalité qui n’est plus tout à fait celle d’un État de droit. Une part croissante de la population, aujourd’hui, ne fait plus confiance à la police ni aux tribunaux. Il n’existe donc plus de solidarité active contre les éléments criminels dynamiques, gangs et mafias de tout genre, pour qui le désordre est une opportunité. L’État de droit n’est plus soutenu que du bout des lèvres et, sans nous en rendre compte, nous allons ainsi droit vers un dilemme entre fascisme et anarchie. C’est dans ce contexte que s’inscrit le refus de la délation.
La réaction de la population dans l’Essonne nous montrera où nous en sommes sur le plan de la bonne conscience. Or soyons lucides. Sans cette bonne conscience, l’insurrection est là, passive… Elle n’attend que le déclencheur pour s’activer.
Voici une nouvelle cruciale que les grands médias ont complètement passé sous silence. Il s’agit d’un rapport scientifique (téléchargeable en PDF) ayant passé l’évaluation par des pairs qui a été publié dans la revue The Open Chemical Physics Journal de ce mois-ci. Des résidus de thermite active ont été trouvés par des scientifiques dans la poussière engendrée par la destruction du World Trade Center, lors du 11 septembre 2001. Le document intitulé “Active Thermitic Material Discovered in Dust from the 9/11 World Trade Center Catastrophe” est écrit par les chercheurs et scientifiques Niels H. Harrit, Jeffrey Farrer, Steven E. Jones, Kevin R. Ryan, Frank M. Legge, Daniel Farnsworth, Gregg Roberts, James R. Gourley et Bradley R. Larsen.
Ce document se termine avec cette phrase: « Basé sur ces observations, nous concluons que les couches rouges et grises superposées des résidus trouvés dans la poussière du WTC est du matériel thermitique actif et intact, incorporant de la nanotechnologie, et qui se trouve à être du matériel explosif ou pyrotechnique hautement énergétique. »
(“Based on these observations, we conclude that the red layer of the red/gray chips we have discovered in the WTC dust is active, unreacted thermitic material, incorporating nanotechnology, and is a highly energetic pyrotechnic or explosive material.”)
En bref, le rapport vient de faire exploser la version officielle du gouvernement qui soutient « qu’aucune évidence » n’existe en regards à la présence de matériel explosif/pyrotechnique dans les débris des trois édifices (WTC 1,2 et 7) à s’être écroulés symétriquement, à la vitesse de la chute libre et dans le chemin de la plus haute résistance structurelle, pulvérisant quelques 90,000 tonnes de béton et d’acier structurel.
En fait, ce rapport vient appuyer ce que le groupe des 1292 architectes et ingénieurs pour la vérité sur le 9/11 – dont je fais partie – affirment depuis longtemps: ce ne sont pas les avions qui sont la cause de l’effondrement des trois bâtiments du WTC, mais bien l’oeuvre de démolition contrôlée. Plus on examine leur structure et la façon dont ces écroulements se sont effectués, les évidences découvertes ainsi que la fraude comme l’omissions des colonnes principales des plans du WTC publiés dans les rapports officiels de la Commission sur le 9/11 et du NIST, plus il devient évident que toute la vérité n’a pas été révélée et qu’il y a eu plusieurs tentatives de la cacher. Il est incompréhensible que ces deux dernières « enquêtes officielles » ont d’ailleurs curieusement toujours refusé de contempler la possibilité d’utilisation d’explosifs et produits incendiaires pour expliquer de tels effondrement total et parfait des trois bâtiments, ou même de faire des tests pour déterminer si des traces étaient présentes dans les débris. Un autre groupe, composé de pompiers, nommé Fire Fighters For 9/11 Truth a de sérieuses questions à poser, idem pour l’autre groupe de pilotes d’avion qui, comme les deux groupes précédents, ont bien de la misère à réconcilier la réalité de leurs expériences et connaissances professionnelles avec la théorie de conspiration officielle du gouvernement.
La thermite trouvée par les chercheurs est plus puissante et s’allume à plus basse température que celle utilisée dans cette vidéo que je vous recommande de voir pour bien comprendre le pouvoir de la thermite. Lorsqu’elle entre en réaction chimique, la thermite génère tellement d’énergie qu’elle atteint rapidement des températures très élevées et lui permet de couper à travers l’acier comme un couteau chaud à travers du beurre. Remarquez la manière dont la massive colonne qui se trouve derrière le pompier dans la première photo en tête d’article a été coupé à 45°. Notez aussi l’acier fondu qui s’y trouve. C’est exactement à ce type de coupure qu’on peut s’attendre en utilisant de la thermite pour couper les colonnes de support. Ce n’est pas un feu qui aurait occasionné cela. La signature chimique, les produits dérivés de la réaction chimique et maintenant des restes de résidus actifs ont tous été retrouvés et identifiés à l’aide de différentes technologies de détection avancées (optical microscopy, scanning electron microscopy (SEM), X-ray energy dispersive spectroscopy (XEDS), differential scanning calorimetry (DSC)). Testés en laboratoire, les résidus de thermite s’allumaient en générant une forte énergie calorique et explosive à seulement 430°C, bien en dessous du point d’ignition de la thermite conventionnelle.
Des températurestellementélevées ont été atteintes que des « roches » d’acier, de béton et d’autres matériaux fondus – oui, du béton fondu comme de la lave!- ont été retrouvés dans les décombres des WTC et sont maintenant exposés. Voici quelques images:
Vous pouvez aussi voir cette vidéo à propos de cette autre « roche » qui a été surnommée la « météorite ». (Source) Je vous invite aussi à écouter le bruit de cette puissante explosion ayant eu lieu avant qu’une des tours ne commence à s’écrouler.
Donc voilà, il est maintenant clairement établit hors de tout doute que des matériaux explosifs et incendiaires étaient présents dans les débris des World Trade Center, ce qui nous mène à envisager qu’ils furent utilisés pour entrainer l’effondrement des WTC lors du jour fatidique du 11 septembre 2001, jour qui marqua le point tournant de l’histoire et des évènements mondiaux depuis.