Au Québec, une des expressions populaires que nous avons pour dire que quelqu’un est un bon diable est qu’il est un « bon Jack ». J’ignore d’où provient cet expression, mais elle est certainement appropriée dans le cas de Jack Layton. Jack Layton est né et a passé son enfance et son adolescence au Québec d’ailleurs. Je ne suis pas d’accord avec ses points de vue politiques, mais force est de reconnaitre qu’il avait de la classe et qu’il avait le cœur à la bonne place. Parmi les membres d’une classe politique qui suscite plus la dérision que l’admiration de nos jours, il était un des rares personnages qu’on aurait pu qualifier de « gentleman ».
Il y a déjà plusieurs jours que son décès a pris les canadiens par surprise. Pourtant sa dernière apparition publique, celle où il a annoncé qu’il cédait sa place, ne laissait que peu de doute dans mon esprit que son combat était loin d’être gagné. Jack Layton, un homme d’ordinaire énergique, n’était plus que l’ombre de lui-même et semblait avoir vieilli de 10 ans. Le cancer est une terrible maladie qui a emporté déjà plusieurs membres de ma famille. Je ne souhaiterais pas cela à mon pire ennemi. Mes pensées sont avec sa famille.
Jack, comme les québécois se sont plu à l’appeler aux dernières élections, nous aura quitté à l’apogée de sa carrière pour avoir réaliser l’impossible de gagner le cœur des québécois pour une formation politique qui leur était totalement antipathique avant lui. Aucun autre chef du NPD n’avait réussi à seulement faire une percée au Québec. À la dernière élection fédérale, les québécois n’avaient pas voté pour le NPD, ils ont voté pour « Jack ». Ils ont voté pour le chef le plus charismatique et on ne pourrait les blâmer, considérant les alternatives. Michael Ignatieff et Stephen Harper n’ont certainement pas su les rejoindre. Seul l’avenir dira si l’aventure entre le Québec et le NPD survivra à Jack Layton. Quant à moi, j’ai de gros doutes. Je ne vois pas vraiment qui pourrait remplir ses chaussures. Comme successeur possible, il y a bien Thomas Mulcair, mais il aura fort à faire pour maintenir les gains que le NPD a fait au dernier scrutin.
Chers lectrices et lecteurs, j’apporte à votre attention un des sujet les plus préoccupant qui soit, celui de l’utilisation de l’uranium appauvri. J’ai déjà écrit un article à ce sujet au début de l’année et je vous invite à le lire pour vous mettre au courant de cette situation si vous l’êtes pas déjà.
Il ne sert à rien de vouloir réécrire ce qui a déjà été dit de façon claire et éloquente. Alors le but de cet article est de mettre à jour les informations et de compléter ce qui a déjà été révélé. Votre responsabilité est d’aller consulter ces sources diverses d’information et de vous faire votre propre idée. Jetez un coup d’oeil aux vidéo et photos. Gare aux coeurs sensibles, ce que vous allez voir est horrifiant; mais pourtant, nous devons faire face à la réalité, à ce qui est fait en nos noms à l’étranger. Nous devons comprendre ce que font nos gouvernements avec nos impôts, notre argent.
Évidemment que l’étape suivante serait de forcer le débat sur la scène publique car les médias et les autorités ont comme mot d’ordre de ne pas en parler et de d’éviter toute discussion de ce dossier. Seuls les hauts échelons militaires et gouvernementaux en France, Angleterre, au Canada et États-Unis étaient au courant durant les guerres en Irak en 1991 et celle de 2003 jusqu’à présent, en Bosnie en 1994/95, au Kosovo en 1999 et en Afghanistan en 2001. On n’a pas voulu inquiéter les soldats ni alerter les médias et surtout pas déranger l’opinion publique mondiale.
L’armée américaine connaît pourtant très bien les effets contaminants de ces armes pour les populations environnantes, puisqu’elle écrivait elle-même dès septembre 1990 : « Après l’extinction du feu, ces explosifs ne sont inoffensifs que s’ils ont complètement brûlé. Ceux qui n’ont pas complètement brûlé représentent un risque explosif extrême. En refroidissant, comme le métal, ils prennent des formes bizarres. Ils peuvent avoir intégré des impuretés qui les rendent encore plus dangereux qu’ils ne l’étaient auparavant » [10] Source : http://www.menteur.com/chronik/010115.htm
John Hanchette, professeur de journalisme à l’Université Saint Bonaventure, et l’un des fondateurs éditeurs de USA Today a déclaré qu’il avait préparé la révélation de nouvelles informations au sujet des effets de l’UA sur les soldats de la Guerre du Golfe et les irakiens, mais que chaque fois qu’il était prêt à publier, il recevait un appel téléphonique du Pentagone lui demandant de ne pas imprimer l’information. Il a depuis été remplacé en tant que rédacteur en chef de USA Today.
Et comment, nous parlons d’utilisation d’armes de destructions massives qui vont avoir des répercussions pendant des milliards d’années sur les populations du monde entier. Nous parlons d’un biocide, de crimes contre l’humanité et crime de guerre. On pense aussi aux poursuites judiciaires contre nos gouvernements pour avoir sacrifié la santé et la vie de nos soldats à qui on n’a rien dit à propos du danger de ces armes en les exposant inutilement à une contamination hautement toxique de radioactivité et chimique dû à l’uranium appauvri, sans oublier les millions de victimes qui habitent ces régions où des centaines, voir des milliers de tonnes de ces armes à uranium appauvri ont été déployées.
Ceci n’est pas une opinion de ma part, mais bien les conclusions auxquelles en sont venues les plus importantes instances mondiales et experts en le domaine:
Matière très dense et pyrophore, l’uranium appauvri confère aux munitions une exceptionnelle capacité de perforation associée à de redoutables propriétés incendiaires. Pour ces raisons, et parce que cette matière était abondante et très bon marché, les Etats-Unis ont testé et fabriqué en série (dès les années 70), puis utilisé dans le cadre de conflits armés (à partir de 1991) ces munitions dites cinétiques.
Il se trouve que l’uranium appauvri est également un métal lourd, une matière nucléaire (au sens du décret 81-512) et une matière radioactive (au sens du décret 66-450 et de la directive 96/29).
Par ailleurs, plusieurs des radionucléides qui le composent (en particulier les isotopes 238, 234, 235 et 236 de l’uranium) sont caractérisés par une très forte radiotoxicité, surtout lorsqu’ils sont incorporés par inhalation (cf. facteurs de dose de la CIPR1 et seuils de déclaration de la directive 96/29).
L’activité spécifique de l’UA se situe autour 40 millions de becquerels par kilogramme (Bq/kg), ce qui est 80 fois supérieur (au moins) au seuil de classement du décret 66-450 modifié et 4 000 fois supérieur au seuil dela directive EURATOM 96/29 applicable de droit en France depuis le 13 mai 2000 (10 000 Bq/kg pour les uraniums 238, 234 et 235).
La sous-commission des droits de l’Homme des Nations unies a pris une résolution en 1996 (n°96/16) inscrivant l’uranium appauvri dans la liste des armes qui doivent être éliminées, au même titre que les armes bactériologiques, chimiques, le napalm ou les armes à fragmentation. Les auteurs de cette résolution ont déclaré qu’ils fondaient leur décision sur les dispositions de la Charte des Nations unies, de la déclaration universelle des droits de l’Homme, de la convention de Genève de 1949 et de ses protocoles additionnels. Les armes dites inhumaines (convention des Nations unies du 10 octobre 1980) sont des armes qui frappent sans discrimination les populations civiles et font courir des dommages étendus, graves et durables à l’environnement.
Le Dr Jawad Al Ali, directeur du Centre d’Oncologie du plus grand hôpital de Bassora en Iraq a déclaré, lors d’une conférence au Japon en 2003:
Deux phénomènes étranges que je n’avais jamais vu auparavant se sont produits à Bassora. Le première est le cancer double et triple chez un patient. Par exemple, la leucémie et le cancer de l’estomac. Nous avons eu un patient avec 2 cancers, à l’estomac et au rein. Quelques mois plus tard, le cancer s’est développé dans l’autre rein, il avait trois types de cancer différents. Le second est le cancer se groupant chez les familles. Nous avons ici 58 familles avec plus d’une personne touchées par le cancer.
Dr Keith Baverstock, chef experts en radioprotection et en santé de World Health Organization pendant 11 ans, et auteur d’une étude non publiée, a fair ressortir que son rapport « sur les risques de cancer pour les civils en Iraq en respirant les poussières d’uranium contaminées » a été aussi délibérément supprimée .
Doug Rokke, un entrepreneur sous contrat de l’US Army qui a dirigé un nettoyage d’uranium appauvri après la première Guerre du Golfe, a déclaré:
L’uranium appauvri est un crime contre Dieu et l’humanité.
La propre équipe de Rokke, une centaine d’employés, a été terrassée par l’exposition à la fine poussière. Il a déclaré: « Lorsque nous sommes allés dans la région du Golfe, nous étions vraiment tous en bonne santé. » Après avoir effectué les opérations de nettoyage dans le désert (par erreur, sans équipement de protection), 30 membres de son personnel sont morts, et la plupart des autres, dont Rokke lui-même, ont attrapé de graves problèmes de santé. Rokke a maintenant une maladie réactive des voies respiratoires, des dommages neurologiques, des cataractes, et des problèmes rénaux.
Les médecins dans le sud de l’Iraq comparent les anomalies de naissance à celles qui ont suivi les bombardements atomiques d’Hiroshima et de Nagasaki pendant la Deuxième Guerre Mondiale. Source:L’uranium appauvri est bien pire que le 911
Dans un groupe de huit militaires de la coalition menée par les USA, dont les bébés sont nés sans yeux, sept sont connus pour avoir été exposés directement à la poussière d’UA. Dans un groupe (250 soldats) exposé durant la première Guerre du Golfe, 67% des enfants conçus après la guerre, avaient des malformations à la naissance.
L’équipe de recherche du Dr Durakovic de l’UMRC a aussi effectué une visites de trois semaines sur le terrain en Iraq en octobre 2003. Elle a recueilli environ 100 échantillons de substances comme de la terre, de l’urine de civils et des tissus de cadavres de soldats irakiens dans 10 villes, dont Bagdad, Bassora et Najaf. Durakovic a dit que les tests préliminaires montraient que les échantillons d’air, de terre et d’eau contenaient « des centaines de milliers de fois » le niveau de radiation naturel. Durakovic a déclaré à The Japan Times :
Il y a ce haut niveau de contamination parce que beaucoup plus d’uranium appauvri a été utilisé cette année qu’en 1991 (première Guerre du Golfe).
Ils entravent les efforts visant à prouver le lien entre l’uranium appauvri et la maladie.
Ils ne veulent pas admettre qu’ils commettent des crimes de guerre en utilisant des armes qui tuent sans discernement et sont interdits par le droit international.
En Irak, curieusement, « neuf ans après la fin du conflit, les médecins irakiens continuent de constater un nombre anormalement élevé de leucémies chez les enfants, de tumeurs et de cancers chez les adultes et de naissances ou avortements de foetus présentant des malformations monstrueuses. » [Christine Abdelkrim-Delanne, « Ces armes si peu conventionnelles », op. cit.]. Un rapport secret de l’Atomic Energy Authority (agence britannique à l’énergie atomique) indiquait déjà, en novembre 1991, qu’il y avait suffisamment d’uranium au Koweït et en Irak pour causer « 500 000 morts potentielles » [« Explanatory Memorandum Regarding the Comprehensive Embargo on Iraq », rapport de l’association Human Rights Watch, 2 janvier 2000, disponible en ligne. Les chiffres de mortalité indiqués proviennent de l’UNICEF.].
236U dans les urines : c’est un ancien colonel de l’armée américaine, le Professeur Asslam Durakovic, qui affirme avoir détecté des traces d’uranium 236 dans les urines d’anciens combattants américains, canadiens et britanniques de la guerre du Golfe. La mesure, faite par spectrométrie de masse, aurait donné des teneurs de 0,0048%.
236U dans les munitions : un des cinq laboratoires (Ecole Polytechnique de Zurich) à qui une commission d’experts du programme de l’ONU pour l’environnement (PNUE) a confié des munitions recueillies au Kosovo pour analyse affirme avoir détecté des traces (0,0028%) de 236U dans les échantillons. La technique de mesure utilisée n’est pas précisée dans les documents que nous avons consultés.
La toxicité de l’uranium appauvri est davantage chimique que radiologique. En effet, lorsqu’elles sont inhalées, les particules de 5 à 10 micromètres de diamètre dégagées au moment de l’impact des munitions sur leur objectif, pénètrent dans les poumons, passent dans le sang et contaminent certains organes ainsi que les os; ingérées, elles sont en grande partie excrétées par les urines mais peuvent également franchir la barrière gastro-intestinale. Au contact des cellules, l’uranium irradie ces dernières: certaines meurent; d’autres se régénèrent; d’autres enfin peuvent dégénérer en cellules cancéreuses.
Lors de son audition le 20 mars 2001, le Docteur Abraham Béhar, spécialiste de médecine nucléaire, a quant à lui attiré l’attention sur les symptômes respiratoires, digestifs et hématologiques, qui constituent autant de précurseurs possibles de pathologies découlant d’une inhalation de poussières d’uranium appauvri.
Tous les tests volontaires effectués jusqu’à présent ont révélé aucune augmentation des concentrations d’uranium chez les anciens combattants des FC qui ont participé soit à la guerre du Golfe ou aux missions de maintien de la paix dans les Balkans. Les résultats des tests ne confirment pas la théorie selon laquelle les militaires ont été exposés à des concentrations toxiques d’uranium appauvri. Les résultats obtenus par le Canada sont similaires à ceux de ses alliés: les États-Unis, la Belgique, la France et l’Allemagne.
Vous devriez avoir assez d’information pour vous faire une idée. Maintenant, serait-il temps de réellement supporter nos troupes et les rapatrier à la maison; de commencer à aider les populations affectées par cette horrible arme de destruction massive? Qui sont donc les réels terroristes psychopathes et criminels de guerre ? N’est-il pas temps de mettre un terme à cette folie génocidaire qui va avoir un impact sur l’héritage et développement génétique de toutes les formes de vie sur Terre?
Alain Gresh, « Un guerre si propre », Le Monde diplomatique, février 2001. Sur l’emploi des munitions à uranium appauvri durant la guerre du Golfe
Cartes:
Munitions à l’uranium appauvri sur le Kosovo: cartes 1 et 2 (Le Monde diplomatique)
Document sonore: L’uranium appauvri est-il responsable du « syndrome des Balkans »? Vous pouvez écouter en Real Audio le reportage de Pauline Vanasse. Invités: Reza Mehran, chirurgien thoracique de l’Hôpital d’Ottawa et médecin militaire en Bosnie dans les années 1990. Claude Maylin, directeur du service de radiothérapie de l’Hôpital Saint-Louis à Paris (« Les Années lumière », Radio-Canada, 14 janvier 2001): « Au cours de la semaine dernière, l’OTAN a tenté de rassurer tous les pays qui s’inquiètent des effets sur les militaires de l’utilisation d’uranium appauvri lors des bombardements en ex-Yougoslavie en 1995 et 1999, appelé communément «le syndrome des Balkans». // L’OTAN a toutefois convenu de réaliser de nouvelles études à ce sujet. (…) // Lors de la campagne au Kosovo au printemps 1999, l’OTAN a reconnu avoir tiré plus de 30 000 obus à uranium appauvri. Plusieurs pays, dont la Grande-Bretagne, l’Espagne, le Portugal, la Grèce, la Finlande, la Belgique, la Turquie, la Russie, la Bulgarie et la République tchèque, ont annoncé qu’ils allaient faire subir des examens médicaux aux soldats ayant servi dans les Balkans et vérifier les taux de radioactivité sur les sites où leurs forces de maintien de la paix sont toujours présentes. (…) »
By firing radioactive ammunition, the U.S., U.K., and Israel may have triggered a nuclear holocaust in the Middle East that, over time, will prove deadlier than the U.S. atomic bombing of Japan.
So much ammunition containing depleted uranium(DU) has been fired, asserts nuclear authority Leuren Moret, “The genetic future of the Iraqi people for the most part, is destroyed.”
America’s greatest crime against humanity is radioactive genocide particularly against the children of Iraq who are the innocent victims of our illegal war, occupation and economic rape of Iraq ~ We have the blood of countless innocent children on our hands and it will take generations to remove the stain of our illegal and inhumane transgressions .
Currently, more than 50 percent of Iraqi cancer patients are children under the age of 5, up from 13 percent. Children are especially vulnerable because they tend to play in areas that are heavily polluted by depleted uranium.
The radioactivity persists for over 4,500,000,000 years killing millions of every age for centuries to come. This is a crime against humanity which may rank with the worst atrocities of all time.
Since DU darkened the land Iraq has seen birth defects which would break a heart of stone: babies with terribly foreshortened limbs, with their intestines outside their bodies, with huge bulging tumours where their eyes should be, or with a single eye – like Cyclops, or without eyes, or without limbs, and even without heads.
A U.S. Department of Veterans study of 251 Gulf war veteran’s families found that 67% had children with severe illnesses or birth defects.
Cette semaine, j’ai décidé de laisser la plume à David Veilleux et les différentes organisations et groupes d’action qui font un excellent travail d’information envers le public, concernant les dangers et l’inutilité de la fluoration de l’eau et de la présence du fluor industriel partout dans la chaine alimentaire ainsi que dans l’environnement. Vous y trouverez une mine d’information de haute qualité et de sources à explorer.
Le fluorure est cancérigène, mutagène et génotoxique. Le mythe des bienfaits de la fluoration de l’eau et des soins dentaires s’effondre littéralement grâce à l’apport incontournable d’un nombre grandissant de scientifiques et d’experts en la matière.
François Marginean
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Même si la fluoration de l’eau soulève des questions éthiques, notamment celles du principe de précaution et du libre choix, et même si elle contrevient à la Charte des droits et libertés, la Direction de santé publique (DSP) fait actuellement pression sur les villes du Québec pour fluorer au moins 50% de la province d’ici cinq ans. Ces pressions sont faites en dépit des protestations de nombreux citoyens informés ou tout simplement inquiets qui défendent le droit à une eau saine pour tous.
Actuellement, le gouvernement du Québec n’impose pas la fluoration aux municipalités, mais la DSP s’efforce de convaincre les élus d’adopter la fluoration, tout en s’engageant à défrayer les coûts rattachés. Toutefois, la DSP évite soigneusement d’engager un débat public sur la question et reste intentionnellement muette sur les effets potentiellement néfastes du fluor. Sans débat, leur démarche manque de transparence. Et lorsqu’une ville commence à fluorer l’eau, les citoyens se trouvent devant un fait accompli.
À l’issue d’un long débat, Québec a mis fin à la fluoration de l’eau en avril 2008. Depuis, la proportion de Québécois buvant de l’eau fluorée est passée de 6% à seulement 3%. Au début de 2009, Longueuil a dit non à la fluoration et des citoyens ont commencé à poser des questions à Beaupré, Gatineau, Ste-Marie de Beauce et Lévis. Trois-Rivières venait alors tout juste de cesser de fluorer, en attendant de remplacer son système de fluoration rendu désuet. Le temps est venu pour les trifluviens de remettre en question cette mesure insensée et controversée. Depuis, Richmond a déjà entamé la fluoration de son eau. Et voilà que le Maire de Saguenay vient d’annoncer subitement que sa ville serait fluorée, peu importe les objections des citoyens, et ce pour la simple et bonne raison que le gouvernement paie la totalité des frais encourus. Le débat est toujours en cours, malgré l’entêtement du Maire qui semble résolu à suivre la recommandation de la DSP dans ce dossier.
À travers le monde, il n’y a aucun consensus sur la fluoration. Montréal, Vancouver et 98% de l’Europe ont rejeté la fluoration et contrairement à ce qu’affirme la direction de la santé publique (DSP), l’Allemagne et Suède l’ont interdit !
L’efficacité de la fluoration à prévenir la carie, tout comme la science sur laquelle elle se base, sont douteuses, car les données de l’OMS montrent que la carie a diminué pareillement dans l’ensemble des pays industrialisés, fluorés ou non. Au Canada, une étude de l’Association dentaire canadienne montre que la Colombie-britannique, la province la moins fluorée, affiche le plus faible taux de carie au pays. (Gray 1987, Fluoridation: Time for a New Base Line? Journal of the Canadian Dental Association. 10: 763-765.) De son côté, la DSP affirme que la fluoration réduit la carie de jusqu’à 60%. L’OMS dit 15%, le CDC dit 18% et le rapport ontarien Locker (1999) dit 0%. Qui a raison ?
La fluoration est également associée à une longue liste de problèmes de santé. Le rapport du Conseil national de recherche (NRC, 2006), l’autorité scientifique suprême aux États-Unis, établit la liste de divers troubles de santé causés par la fluoration: augmentation du taux de fracture des os, de dommages aux dents et aux articulations (arthrite). Le NRC indique également que l’eau fluorée est possiblement liée à des troubles neurologiques (QI réduit chez les enfants, démence, syndrome de Down, maladie d’Alzheimer), du système endocrinien (glandes thyroïde et pituitaire), du système immunitaire (moelle des os, où sont produites les cellules immunitaires), du système digestif, de l’appareil génital, des organes internes (foie et reins), et qu’elle pourrait exacerber les effets combinés de l’aluminium et du fluorure, de même que le diabète et le cancer.
D’autre part, selon l’expert de la DSP, le Dr Lévy, les risques pour la santé « concernent plutôt les très jeunes enfants de trois ans et moins, qui peuvent développer de la fluorose. Ce sont des taches blanches qui apparaissent sur les dents, par exemple lorsque ces enfants avalent du dentifrice » Or, le ministre Couillard affirme qu’« il n’est pas exact de dire qu’il existe des risques associés ». Qui a raison?
La Loi canadienne sur la protection de l’environnement classe le fluorure comme produit chimique « persistant », « biocumulatif » (qui s’accumule dans l’organisme) et « toxique ». Environnement Canada le classe comme « déchet dangereux » et Transport Canada, en tant que « marchandise dangereuse » ! C’est pourquoi, avant même de débattre des pour et des contre de cette mesure, il importe de souligner que fluorer l’eau implique de forcer les gens à ingérer une substance toxique sans leur consentement éclairé. C’est un précédent inquiétant qui nie les droits humains fondamentaux, notamment le libre choix d’être médicamenté ou non.
C’est dans cette optique que des citoyen-ne-s, des experts, ainsi que des groupes sociaux et environnementaux ont formé en 2006 Le Front commun pour une eau saine (FCES) afin de prévenir et bannir la fluoration de l’eau potable au Québec. Une telle démarche s’inscrit au coeur d’un effort collectif visant à obtenir une eau de consommation saine pour tous.
Auteur: David Veilleux
Pour en savoir plus, veuillez svp consulter le site web d’information Action Fluor Québec, associé au FCES: www.qvq.ca/afq
Contact :
• Action Fluor Québec : info@qvq.ca • Monsieur Gilles Parent, expert du FCES : (514) 747-2259 • Les AmiEs de la Terre de Québec : (418) 524-2744, info@atquebec.org
6. Vidéo – Entrevue avec le Dr. P.-J. Morin, expert de réputation internationale en matière de fluoration de l’eau. 22 mars 07, Journée mondiale de l’eau. Vidéo diffusé sur TVA: Cliquez ici.
7. Vidéo – Entrevue avec le Dr Morin (2007), ancien directeur de la recherche scientifique à l’Hôpital Laval de Québec, sur le réseau TVA. (10 minutes) Cliquez ici.
8. Vidéo – Débat à la télévision canadienne sur la fluoration de l’eau avec le Dr Paul Connett (Canal Health Discovery, Canada) (22 minutes) : Cliquez ici.
9. Vidéo – Des images qui valent mille mots
Ce document rare montre clairement l’action toxique du fluorure sur les cellules en laboratoire, et ce, à concentration égale ou inférieure à celle de l’eau fluorée :
10. Vidéo – Professional perspectives – Voici ce que divers professionnels et experts internationaux ont à dire sur le fluoration de l’eau (en anglais) : Cliquez ici.
L’idée que les crèmes solaires préviennent le cancer est un mythe. C’est un mythe soutenu par l’industrie du cancer et celle des compagnies de crèmes solaires, unies dans un effort pour générer des profits. L’industrie des lotions solaires fait de l’argent en vendant des produits qui contiennent des éléments chimiques cancérigènes. Ensuite, ils donnent une portion de cet argent à l’industrie du cancer via des organismes à but non-lucratifs comme l’American Cancer Society, qui en retour, produisent des publicités à faire briser le coeur incitant les gens à utiliser de la crème solaire pour «prévenir le cancer».
Les évidences scientifiques, cependant, montrent clairement que les lotions solaires favorisent le développement du cancer de la peau en bloquant l’absorption du rayonnement ultraviolet (UV) par le corps qui produit de la vitamine D dans la peau. La vitamine D, tel que démontré par de récentes études, aide à prévenir 77 de tous les cancers chez les femmes (cancer du sein, du colon, du cerveau, des poumons, tumeurs cervicales, le myélome multiple, etc). Pendant ce temps, les produits chimiques toxiques entrant dans la composition de la plupart des crèmes solaires sont en fait cancérigènes et n’ont jamais été testés pour leur sécurité ni approuvé pour leur sécurité par la FDA (Food and Drug Agency – agence de régulation et contrôle émettant les autorisations de mise sur le marché aux US). (Source)
Presque tout ce que vous mettez sur votre peau passe dans la circulation du sang. Il est alors surprenant qu’il n’existe aucune règlementation pour les substances causant le cancer contenues dans les produits de soin de la peau. Il existe présentement plus de 150 substances toxiques cancérigènes utilisées dans la fabrication de produits cosmétiques. Il est requis par la loi fédérale de signaler le danger lorsque des produits contiennent des substances cancérigènes. Mais la FDA n’applique pas la loi en ce qui concerne les cosmétiques ou des produits de soins personnels. Les consommateurs achètent donc ces produits potentiellement nocifs pour la santé tel que la crème solaire.
La peau absorbe facilement les produits chimiques
Mis à part l’eau, un grand nombre de substances pénètrent par la peau. Ce simple fait a été nié pendant des années par les partisans de la médecine traditionnelle qui disaient que la peau agissait comme une sorte de barrière. Ceci c’était avant qu’ils ne se rendent compte qu’ils pouvaient utiliser la peau pour faire absorber des médicaments; maintenant nous avons des systèmes de patchs pour la nicotine, le contrôle des naissances, et même des patchs contre la maladie d’Alzheimer qui en fait fournissent une certaine dose de médicaments par la peau.
Malgré cela, l’industrie cosmétique continue de fabriquer des produits contenant des produits chimiques extrêmement dangereux. La FDA affirme que ces produits sont inoffensifs parce qu’ils ne sont pas consommer par voie orale. Vous seriez surpris de voir quels sont les produits autorisés à la vente par la FDA tant qu’ils portent la mention « seulement à usage externe ». On présume qu’ils resteront à l’extérieur et qu’ils ne seront pas absorbés dans le corps, donc leur toxicité n’est pas reconnue. Mais nous savons maintenant que ce n’est pas vrai. Les produits chimiques toxiques appliqués sur la peau mènent rapidement à avoir un sang contaminé dans le corps. (Source)
Les bienfaits de la crème solaire sont un mythe. Les promoteurs disent qu’elles préviennent les coups de soleil, mais en réalité, la cause réelle des coups de soleil n’est pas vraiment l’exposition aux rayons UV. Il s’agit plutôt d’une nutrition déficiente en antioxydants. Commencez à manger beaucoup de baies, des micro algues (spiruline, astaxanthine (voir ceci aussi), algues bleu-vert, etc.), des carottes et vous allez commencer à produire une protection solaire interne qui va protéger votre peau des coups de solaire, mais de l’intérieur. Les coups de soleil sont véritablement causés par des déficiences nutritionnelles qui rendent la peau vulnérable aux mutations de l’ADN par radiation; mais si vous renforcez votre nutrition et protégez votre système nerveux avec des nutriments à base de plantes, vous résisterez naturellement aux coups de soleil. Ces mêmes nutriments, en passant, protègent aussi le nerf optique et l’oeil des dommages causés par le rayonnement solaire. C’est pourquoi la consommation de baies et de carottes est historiquement associée à une bonne santé oculaire. Les mêmes nutriments qui protègent les yeux protègent aussi la peau.
La vitamine A se transforme en vitamine D dans le corps lors de l’exposition à la lumière du soleil. À son tour, la vitamine D ainsi produite agit comme une lotion solaire interne. Son effet est si important qu’une recherche conduite à l’école de médecine de l’Université de Creighton au Nebraska a trouvé qu’un supplément accru de vitamine D et de calcium pouvaient réduire les risques de cancer de 77%. Cela inclut le cancer des seins, du colon, de la peau et d’autres formes de cancer. Cette recherche apporte de fortes évidences que la vitamine D est le médicament le plus efficace contre le cancer, surpassant de loin les bénéfices de n’importe quel médicament de la science moderne.
Donc, si les crèmes solaires sont si mauvaises pour les humains, alors pourquoi est-ce que les médecins les recommandent? Ceci peut paraitre difficile à croire, mais il n’y a pas si longtemps les docteurs recommandaient de fumer des cigarettes aussi. Le Journal of the American Medical Association a publié plusieurs publicités faisant la promotion des cigarettes Camels comme étant «recommandées par plus de docteurs que n’importe quelle autre cigarette!». Les docteurs parlaient des «bénéfices» de fumer des cigarettes, invitant les gens à commencer à fumer dans le but d’améliorer le fonctionnement du cerveau et même pour renforcer les dents! La réalité est que les médecins sont facilement influençables par les intérêts commerciaux et sont amenés à recommander pratiquement n’importe quoi, peut importe la toxicité des produits en question. Seulement qu’à penser au cas de Vioxx pour nous fournir un exemple éloquent. Gardons à l’esprit aussi que les médicaments prescrits par des médecins et les erreurs médicales sont la quatrième cause de décès aux États-Unis. Entre 44 000 et 98 000 Américains meurent chaque année, suivant les conseils de leur docteur. Les liens que possède l’American Cancer Society avec les compagnies pharmaceutiques, chimiques et de radiologies sont aussi déconcertants.
L’industrie pharmaceutique et celle du cancer savent pertinemment que si les médecins se mettaient à prescrire du soleil et de la vitamine D pour prévenir et toutes sortes de cancers, leurs profits en souffriraient énormément. Est-ce que cela veut dire de courir dehors et de s’exposer brutalement au soleil pendant des heures? Évidemment que non. Si vous commencez à manger des aliments riches riches en nutriments, vitamines A, D et en calcium, il faut compter une période de 30 jours pour augmenter les niveaux de protection naturelle de la peau aux rayons UV. Il faut aussi fait des tests graduels d’exposition au soleil pour connaitre notre niveau de tolérance personnel. Portez un chapeau lorsque de longues périodes temps à l’extérieur s’imposent et si vous choisissez d’acheter une crème solaire, en choisir une qui est biologique et complètement naturelle, sans produits pétrochimiques. Puisque qu’à peu près tout ce qui est en contact avec la peau est absorbé et passe dans le sang, certains donnent comme principe ultime de précaution de ne pas mettre sur la peau autre chose qu’on serait prêt à mettre dans notre bouche.
Personnellement, ça fait deux ans que je n’utilise plus de crème solaire et que je préconise la production naturelle de protection solaire par le corps. J’ai de très bons résultats, aucun coup de soleil même sous le soleil d’Asie et beaucoup moins de problèmes qu’avec l’utilisation de crème solaire. Par contre, ces informations sont offertes sur une base informationnelle seulement et ne constitue en aucune manière un conseil médical et ne doit pas être interprété comme tel. Il est primordial de consulter un professionnel qualifié de la santé avant d’effectuer des changements à votre diète, prescription de médicaments, ou autre facette de votre santé. Ces informations sont présentées tel quel et le lecteur assume tous les risques découlant de l’utilisation, de la non-utilisation ou de la mauvaise utilisation de ces informations.
J’ai appris sur Le Grand Soir que le chef de cabinet d’Obama, Rahm Israel Emanuel, veut faire « adopter la loi « Hate Crimes Prevention Act of 2009 » (« loi contre les crimes/délits de haine ») ». Ce qui veut dire, entre autres, qu’« aucun américain ne pourra dire la vérité sur le traitement infligé par Israël aux Palestiniens et le vol de leurs terres sans tomber dans l’illégalité. Il sera interdit aux Chrétiens de faire référence au Nouveau Testament qui dit que les Juifs ont exigé la crucifixion de Jésus. »
Entre autres, il « sera interdit d’émettre des doutes sur l’Holocauste (une révolution aux Etats-Unis où la liberté d’expression – jusqu’à présent – était « sacrée ». » Et, il « sera interdit de faire remarquer la représentativité disproportionnée des Juifs dans les médias et leur influence sur la politique étrangère (des Etats-Unis). » Fait à noter, selon le lobby israélien, l’antisémitisme se résume à « toute critique envers Israël ou les juifs ». Merci pour tant de largesse…
C’est assez clair que ce n’est pas bien bon pour la liberté d’expression mondiale et, à une certaine mesure, la démocratie, enfin celle rêvée! Et si comme toujours le Canada faire oeuvre de suiveur, nous serons confrontés à ce même problème. Je disais dernièrement en parlant de la branche chrétienne qu’elle ne faisait pas bien bien de remous, eh! bien celle juive est assez efficace. Mais je ne lui lève surtout pas mon chapeau!
Je ne peux pas m’empêcher, en constatant cette problématique, de penser que tout ce qui peut ressembler à du sectarisme, dans la religion, dans la politique, dans le nationalisme, etc., quand il est acoquiné au pouvoir, est comme un cancer pour l’humanité. Est-ce que l’individualisme (dans sa définition la plus positive) et la laïcité globale (qui s’arrête bien sûr au niveau personnel) ne seraient pas le meilleur remède?
Aucune loi ne devrait jamais pouvoir plonger dans l’illégalité quiconque interroge le monde. Il y a déjà la mesure qui va de l’intérêt à l’indifférence pour soumettre les idées. C’est là, je crois, où la liberté se trouve.
Trouvé via l’Agence Science Presse, publié sur le site de l’Université Montréal, l’article nommé « Docteur, j’ai 243 produits chimiques dans mon sang… » pointe le sujet important de la toxicologie humaine. « Phtalates présents dans les jouets, solvants causant l’infertilité chez l’homme, bactéries dans l’eau potable, exposition des enfants de garderie aux hydrocarbures aromatiques polycycliques, lien entre organochlorés et cancer du sein… Les problèmes associés aux produits toxiques font la manchette et l’objet de diverses publications. »
Je suis seulement en partie d’accord avec la dernière phrase, puisque je trouve que ce sujet n’est pas assez abordé dans les médias. Voilà aussi pourquoi je l’ai choisi : une brique de plus au bâtiment ne fera pas de tort… Et le sujet n’étant pas assez abordé dans les médias, l’outrance de la population s’en trouve au minimum. Pourtant, il y a là tous les ingrédients pour nous atteindre fondamentalement : biologiquement et philosophiquement.
Comment peut-on parler de liberté, de souveraineté sur son propre corps quand l’environnement est chimiquement hostile, nous inoculant de multiples et hypothétiques bombes à retardement?
Le problème, c’est que cette perte de contrôle est inscrite dans les fondements de nos sociétés basées sur les progrès. Ces progrès ayant été promus dans un emballage ultra positif, laissant les après-coups aux seules mains de la médecine qui se trouve à y trouver aussi un moteur assez performant pour la suite des choses. Cela n’est rien de moins qu’un cercle vicieux.
Nous en sommes venus à considérer ce monde contaminé comme étant seulement une fatalité que le confort « à l’occidentale » vient apaiser, mais c’est toute notre liberté qui est remise en cause. Comment se prémunir contre cette agression tout en conservant sa liberté de mouvement? Car oui, il serait possible de se terrer chez soi et de contrôler au maximum son environnement, de sortir de la maison avec un masque à gaz…
Pour illustrer plus amplement ma pensée, j’aimerais utiliser l’exemple de la cigarette. On a beau dire que les jeunes (et même les adultes) ont le choix (donc la liberté) de fumer ou non, mais il va sans dire qu’il y a une pression énorme, publicitaire et culturelle, pour qu’ils « essayent », avec les conséquences qui s’en suivent. Alors, il est bien évident qu’il n’y a pas que l’individu pour choisir de s’embarquer dans cette mésaventure, qui peut paraître comme une belle aventure pour certains, j’en conviens, mais là n’est pas le point. Un fumeur a la liberté de s’enivrer de son activité, mais ce que je dis, c’est qu’il a perdu une autre liberté a priori, puisque le phénomène du tabac est hautement circonstanciel. Si l’accident de l’inhalation de la fumée de la feuille de tabac et sa mise en marché n’avait pas eu lieu dans l’histoire, gageons que le même individu aujourd’hui fumeur heureux vomirait toutes ses tripes après avoir fait cette découverte…
Donc, c’est notre addiction à la société de consommation qui nous fait prendre à la légère ces entorses à la liberté. Comme des fumeurs heureux, nous considérons l’air toxique autour de nous comme de la fumée aromatique. L’effet calmant de l’achat compulsif est comme la première bouffée après l’attente.
Je ne pense pas qu’il faille tout freiner, mais bien de réparer les dommages en fournissant un succédané, une sorte de méthadone, pour nourrir notre dépendance au bonheur matériel — notre auguromanie — en éliminant de la chaîne les éléments pathogènes.
À l’écriture de ce billet, c’est bien l’égoïsme qui me meut, néanmoins je ne me sens pas du tout coupable…