Ce document est fort bien présenté et va droit au but, en plus du mérite d’avoir été traduit en français. Je vous laisse donc le soin de le lire par vous-mêmes. Mais j’ai quand même cru bon en extraire les plus importants passages pour vous simplifier encore plus la tâche, dans le cas où vous n’auriez pas le temps de lire ce court manuel de 16 pages. Donc, tout le crédit revient à l’auteur Joanne Nova qui a produit ce manuel portant le titre original de The Skeptic’s Handbook, dont 200 000 copies ont déjà été distribuées et traduit en dix langues.
François Marginean
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Il temps de dépasser les arguments de bas étage dans le débat sur le réchauffement climatique pour éviter les fausses pistes et les pièges. Être sceptique n’a rien à voir avec la folie ou la maladie mentale, ni le déni. Un sceptique est une personne non disposée à accepter qu’une majorité ou une autorité quelconque ait le pouvoir de déclarer une opinion comme étant une vérité.
Ne nous laissons pas prendre par l’argument de la « complexité » et n’acceptons pas de réponse vague. Certe, le climat est complexe et c’est aussi la raison pour laquelle nous sommes encore loin d’avoir tout élucidé dans les balbutiements de notre science météorologique. L’argument central auquel nous sommes confrontés par les réchauffistes repose sur l’hypothèse que l’ajout de CO2 dans l’atmosphère rendra la planète beaucoup plus chaude.
Tout dépend de cette question. Si le CO2 n’est pas une cause déterminante, alors il n’y a pas lieu de démoniser le carbone, les taxes sur celui-ci est les accords sur le climat sont une inutile perte d’argent et de temps.
Quelle est donc la preuve que davantage de CO2 conduira à des températures encore plus élevées? Un VRAI débat est nécessaire pour notre environnement. Les non-croyants n’ont rien à prouver. Les sceptiques ne demandent pas au reste du monde de l’argent ou du pouvoir. Les croyants doivent expliquer leur cause et ils doivent répondre aux questions qu’on leur pose..
Ne nous laissons pas berner et confondre par deux phénomènes différents: d’une part le réchauffement global et d’une autre, les gaz à effet de serre. Un réchauffement climatique attesté n’est pas la preuve que des gaz à effet de serre sont à l’origine de ce réchauffement.
Dans les discussions scientifiques, aucune théorie n’est sacro-sainte. Les dogmes appartiennent aux religions.
Principalement, il y a quatre points importants à retenir:
1- La signature des gaz à effet de serre est inexistante
Les ballons-sondes météo ont parcouru l’atmosphère pendant ces dernières années, mais n’ont mis en évidence aucun des points chauds qui devaient résulter des gaz à effet de serre. Même pas l’ombre d’un seul … Le réchauffement vient d’ailleurs.
Ceci est l’argument massue. Si la Terre est bien réchauffée par les gaz à effet de serre, on devrait en voir les premiers signes à 10 kilomètres au-dessus des tropiques. Mais ce »point chaud » n’est tout simplement pas là.
2- La principale preuve reposait sur les carottes de glace, mais les analyses plus récentes et détaillées ont inversé la théorie
Durant les 500 000 dernières années, ce n’est plus le CO2 qui a fait monter les températures mais l’accroissement des températures qui a précédé le niveau du dioxyde de carbone. Et ce, en moyenne 800 ans avant le pic de CO2. Cela annule complètement la relation initiale de cause à effet.
…Le réchauffement vient d’ailleurs.
Les carottes glaciaires montrent que les taux de CO2 suivent les changements de température plusieurs centaines d’années après. VOIR LES GRAPHIQUES DE VOSTOK.
En 1985, les carottes glaciaires extraites au Groenland ont permis d’établir des courbes de température et de CO2 depuis 150 000 ans. Température et CO2 semblaient être liés. Ce fut déterminant : l’effet de serre attira l’attention.
Mais, en 1999, il devint clair que le carbone augmentait ou diminuait après la température.
En 2003, des données de meilleure qualité ont montré que le décalage est de 800 ans plus ou moins 200 ans. Le CO2 suit la température.
Les pro-réchauffement répliquent que ce décalage est approximativement de 800 ans, mais que même si le CO2 n’initie pas le réchauffement, il l’amplifie.
Cependant, si le CO2 était une cause majeure, alors les températures devraient s’emballer. Rien de tel ne s’est produit durant les 500 derniers millions d’années, donc, soit un mystérieux facteur bloque cet effet d’emballement, soit le CO2 joue très peu.
Autrement dit, soit le CO2 est négligeable, soit les modèles ignorent la
cause principale. L’amplification par le CO2 reste de la spéculation ; c’est une théorie qui n’est pas confirmée par la réalité.
3- Les températures n’augmentent pas
Les satellites qui font deux fois par jour le tour de la planète montrent que le monde n’a PAS subi de réchauffement depuis 2001.Combien d’années sans réchauffement supplémentaire cela va-t-il durer ?
Alors que les températures sont restées stables, le CO2 a continué à augmenter. MAIS quelque chose achangé la tendance.
Les modèles informatiques ne peuvent pas dire quoi.
4- Tout le réchauffement que le CO2 peut générer est déjà là
Doubler le CO2 dans l’atmosphère ne doublera pas la différence de température.
Les faibles teneurs en CO2 ont beaucoup d’effet, mais son accumulation a peu de conséquences.
En fait, les taux de CO2 ont été dix fois plus élevés dans le passé alors que la planète allait en se refroidissant. Le Carbone est aujourd’hui un acteur négligeable dans le climat.
Quelque chose d’extérieur agit sur notre climat plus que ne le fait le CO2 et aucun des modèles climatiques ne sait ce que c’est.
Voici pourquoi le doublement de la teneur en CO2 nechangera pas grand chose:
Le carbone présent dans l’atmosphère absorbe presque toute la lumière qu’il peut absorber : il n’absorbe que certaines longueurs d’onde et il en absorbe presque la totalité.. Il peut certes en capter un peu plus dans des longueurs d’onde proches des bandes optimales mais il ne fera guère plus, parce qu’il reste très peu de photons disponibles dans ces longueurs d’onde.
L’effet de serre naturel existe, il réchauffe, mais il est à son maximum. Le carbone supplémentaire dans l’atmosphère ainsi que les autres gaz n’ont quasiment pas d’effet.
Les pro-réchauffement disent que les modèles climatiques intègrent la courbe logarithmique d’absorption et l’utilisent. Mais les sceptiques répondent que les modèles climatiques sont erronés et produisent des valeurs incorrectes. Le « Réchauffement de laboratoire » ne se retrouve pas nécessairement au niveau de la planète. Il n’y a pas de courants océaniques, de glaciers ou de nuages dans les tubes à essais. La vapeur d’eau domine le spectre infrarouge, et les nuages sont notoirement difficiles à prédire et modéliser: selon le type de nuage, il peut y avoir réchauffement ou refroidissement.
Personne ne se soucie de savoir si les nuages génèrent une contre réaction positive ou négative. (Les modèles postulent que celle-ci est positive, et cela fait plus que de doubler l’effet du CO2). Chaque molécule de CO2 en plus augmente le réchauffement d’une très faible quantité, « ad infinitum », mais avec au total moins d’effet que le CO2 déjà présent.
L’effet est tellement faible qu’il n’est pas mesurable. Si le fait ajouter du CO2 dans l’atmosphère jouait, on le verrait dans les carottes de glace et avec les températures. Or on ne voit rien. L’effet du carbone est donc probablement mineur.
Des croyants qui deviennent sceptiques
Ces personnes renommées ont toutes adhéré au fait que le réchauffement global était un problème jusqu’à ce que de nouveaux éléments les fassent changer d’avis. En voici quelques exemples.
Voici un effet collatéral curieux et potentiellement amusant. Quelle que soit leur compétence, leur sensibilité verte ou leur implication, leurs noms et leurs opinions ne prouvent rien car ”l’argumentd’autorité » ne prouve rien en soi. Mais cela montre que le débat a évolué car en plus du groupe des “réchauffistes” et du groupe des “sceptiques”, il y a désormais un nouveau groupe, celui d’anciens pro-réchauffement qui ont changé d’avis. Et leur nombre ne cesse d’augmenter.
Ivar Giaever, Prix Nobel de physique, a dit : « Je suis un sceptique… Le réchauffement global est devenu une nouvelle religion. »
Le géophysicien Claude Allègre, auteur de plus de 100 articles scientifiques et l’un des premiers scientifiques à avoir annoncé les dangers du changement climatique, il y a 20 ans, dit maintenant que la cause du changement climatique est « inconnue ».
Le géologue Bruno Wiskel de l’Université d’Alberta avait commencé à construire une « Maison de Kyoto », en l’honneur du Protocole du même nom, mais a écrit récemment un livre intitulé « Le Climat Neuf de l’Empereur:démystification du réchauffement global. »
L’astrophysicien Nir Shaviv, un des jeunes scientifiques les plus récompensés d’Israël, pense que de plus en plus de scientifiques se convertiront au scepticisme lorsqu’ils découvriront l’absence de preuve. »
La spécialiste de l’atmosphère Joanna Simpson, première femme au monde docteur en météorologie : « Maintenant que je ne fais pluspartie d’aucune organisation et que je ne reçoisplus de financements, je peux parlerfranchement ». Anciennement à la NASA, elle a écrit plus de 190 études.
Le mathématicien et ingénieur David Evans a consacré six ans à la comptabilisation des émissions de carbone, et à élaborer des modèles pour le Bureau de l’Effet de Serre Australien. Il a écrit le modèle (FullCAM) qui évalue le respect des obligations par l’Australie au regard du Protocole de Kyoto pour les secteurs « occupation des sols et forêts ». Evans est devenu sceptique en 2007
Le météorologue Reid Bryson, considéré comme un des « Pères de la Météorologie », est devenu un des leaders du scepticisme sur le Réchauffement Global dans les dernières années avant son décès en 2008.
Le botaniste David Bellamy, environnementaliste anglais connu, ancien maître assistant à l’Université de Durham, et animateur de séries TV populaires sur la vie sauvage, dit : « leréchauffement global est pour une large part unphénomène naturel. Le monde est en train dedépenser d’énormes sommes d’argent enessayant de stabiliser quelque chose qui ne peutl’être”.
Le chercheur climatologue Tad Murty, professeur de Sciences de la Terre à l’Université de Flinders, a dit: « Au début, je croyais fermement au réchauffementglobal, jusqu’à ce que je travaille dessus moi-même« .
Le climatologue Chris de Freitas de l’Université d’Auckland, Nouvelle-Zélande, de croyant au réchauffement global anthropique, est devenu sceptique.
Le Docteur Kiminori Itoh, docteur ès sciences ayant reçu de nombreuses récompenses en physique et chimie de l’environnement, a déclaré que la peur du réchauffement est « le pire scandale de l’histoire. Lorsque les gens connaîtront la vérité, ils se sentiront trompés par la science et les scientifiques. »
Andrei Kapitsa, géographe russe et spécialiste des carottes de glace en Antarctique, a dit : « Les théoriciens deKyoto ont mis la charrue avant les boeufs. C’est leréchauffement global qui déclenche de hautsniveaux de CO2 dans l’atmosphère,non l’inverse… »
Le physicien de l’atmosphère James A. Peden note que « Beaucoup de [scientifiques] sont en train dechercher un moyen de revenir doucement enarrière [après avoir répandu la peur duréchauffement], sans ruiner leur carrière. »
Le Docteur Richard Courtney, relecteur expert du GIEC et consultant en science du climat et de l’atmosphère basé en Angleterre : « Jusqu’àmaintenant, aucune preuve convaincante duRCA (réchauffement climatique anthropique) n’aété découverte« .
Qu’est-ce qu’une preuve?
La science repose sur des observations, faites par des gens à différents moments et à différents endroits. Des choses qui peuvent être vues, touchées, entendues et notées.
Il y aurait des preuves que le carbone est la cause principale du réchauffement global:
Si les températures suivaient les teneurs en CO2 dans le passé (ce n’est pas le cas), si l’atmosphère montrait la signature thermique caractéristique d’un accroissement du réchauffement par effet de serre (ce n’est pas le cas).
Pourquoi les modèles informatiques ne prouvent-ils RIEN ?
Ils sont complexes, créés par des experts, et s’améliorent tout le temps. Mais même s’ils pouvaient correctement prédire le climat (mais ils ne le peuvent pas), même s’ils étaient basés sur des théories solides (ce qu’ils ne sont pas), ils n’en seraient pas plus une preuve.
Les modèles de systèmes complexes sont basés sur un grand nombre de postulats de départ et des estimations reposant sur des dizaines de théories. Aucun des modèles actuels n’a pu prédire que les températures cesseraient de s’élever entre 2001et 2008. Donc, il y a au moins un autre facteur qui compte plus que le CO2 et lesmodèles ne l’ont pas identifié.
Beaucoup de scientifiques ne se trompent pas, mais en fait, ils ne travaillent pas sur la question centrale. Au contraire, ils font des recherches sur les effets du réchauffement, pas sur les causes. Que les orangs-outangs de Bornéo soient face à une perte d’habitat, ne nous dit rien sur ce qui influence la météo. De même : l’efficacité des fermes éoliennes, la séquestration du carbone, et les épidémies transmises par les insectes. Un temps plus chaud change ceschoses, mais ces choses ne changent pas le temps qu’il fait.
Le consensus ne prouve rien. Il suffit d’un seul scientifique pour prouver qu’une théorie est fausse. Les théories correspondent aux faits ou non. Au lieu de dire « De quel côté ya-t-il le plus de diplômes ? » il vaut mieux demander : « Où est lapreuve ? ». Il fut un temps où les gens pensaient que le monde était plat, qu’aucune machine ne pourrait voler et que le soleil tournait autour de la Terre…
Là est TOUTE la question. Toute variation naturelle, ou tout bruit, a une cause. Et en ce moment, quelle qu’elle soit, cette cause est plus importante que les gaz à effet de serre.
Dans le cas actuel, ce bruit n’est pas magique, il affecte le climat de la planète. Si on pouvait mettre ceci en évidence, et l’intégrer dans les modèles informatiques, ceux-ci pourraient peut-être être plus fiables.
Le dioxyde de carbone nourrit les plantes. C’est un engrais puissant. Nous pouvons remercier le CO2 supplémentaire dans notre atmosphère pour l’amélioration de 15 % de la croissance des plantes au cours du dernier siècle. (Quinze pour cent !). Les producteurs ajoutent du CO2 dans leur serres pour accroîtrela production, et nous ne parlons pas de 2 minuscules ppm en plus par an. C’est plutôt : « Allons-nousdoubler le CO2 ou le multiplier par cinq ? » En d’autres mots, il y a des gens qui vivent grâce à ce carbone supplémentaire dans l’atmosphère.
Il est scientifiquement exact de dire: Le dioxyde de carbone peut aider à nourrir ceux qui ont faim.
Le carbone atmosphérique est à des niveaux plus élevés qu’à n’importe quel moment des derniers 650 000 ans. Oui. Mais revenez 500 millions d’années en arrière.
Là, les teneurs en CO2 n’étaient pas juste 10 à 20% plus élevées, elles étaient 10 à 20 fois plus élevées . La Terre a testé à fond l’effet de serre, et rien n’est arrivé. En fait, la Terre est entrée dans une période glaciaire alors que le CO2 était à des niveaux bien plus élevés que ceux d’aujourd’hui. Quel que soit l’effet réchauffant d’un CO2 super-concentré, il n’a pas pesé par rapport aux autres forces du climat. En outre, que le CO2 soit d’origine anthropique ou océanique n’a pas d’importance. Il s’agit de la même molécule.
Au siècle dernier, les températures sont montées de 0,7 °C (et la plus grande partie de ce gain vient d’être perdue au cours de ces 12 derniers mois). Mais vers 1700, il y a eu une montée de 2,2 °C en seulement 36 ans. (Telle qu’elle a été enregistrée dans la Série des Températures d’Angleterre Centrale, l’une des seules séries d’enregistrements fiables de cette période).
Elle a été trois fois plus forte et plus rapide que celle du siècle passé. Cette variation naturelle a été bien plus forte que ce que l’humanité aurait (ou n’aurait pas) provoqué récemment. Pendant la plus grande partie du dernier 1,5 million d’années, le monde était couvert de glace et environ 10°C plus froid qu’aujourd’hui.
Les évidences sont accablantes, sérieuses et pointent toutes dans une direction : la thèse du réchauffement climatique causé par la CO2 produit par l’homme est parmi les pires escroqueries de l’histoire. De la fausse science pour justifier un agenda politique mondial et une nouvelle taxe globale gérée par une institution mondiale ayant un pouvoir transcendant les souverainetés nationales des pays du monde. Ce qui est maintenant surnommé le « climategate » sur l’Internet, est le dernier clou dans le cercueil des alarmistes du réchauffement climatique causé par le CO2 et de ceux qui profiteraient énormément de la taxe sur le CO2, tel qu’expliqué clairement dans un texte précédent Maurice, Al & le Chicago Climate Exchange. Il y est question d’un conflit d’intérêt simplement impossible à résoudre et surtout, à ignorer.
Ce « climategate » rend maintenant obsolète et une complète perte de temps la prochaine conférence de Copenhague sur les changements climatiques qui se tiendra dans quelques jours. Les pays industrialisés, dont le Canada, seront appelés à signer une entente qui aura pour effet de soumettre les entreprises et citoyens du Canada et des autres pays industrialisés au contrôle d’une organisation internationale chargée d’appliquer les nouvelles règles en matière d’émission de gaz carbonique.
Les scientifiques de l’Université de East Anglia ont admis avoir détruit la plupart de leurs données de base sur lesquelles leurs prédictions du réchauffement climatique sont basées. Cela signifie que les autres universitaires, scientifiques et chercheurs sont dans l’impossibilité de vérifier les calculs de base qui démontreraient un réchauffement des températures sur le long terme, depuis les 150 dernières années. L’ UEA a été forcée de révéler ces pertes suivant une requête sous la loi de l’accès à l’information.
Ces courriels et documents sont authentiques. Ce qu’ils montrent clairement en noir sur blanc, c’est qu’il y a eu collusion pour enterrer les évidences et données qui n’allaient pas dans le sens de la théorie du réchauffement climatique causé par le CO2. Plusieurs conversations entre ces scientifiques du plus haut niveau impliqués dans le GIEC (Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat) et le réchauffement climatique et des politiciens montrent explicitement que des efforts conscients et volontaires ont été poursuivis depuis des années pour dissimuler le refroidissement global de la planète depuis au moins sept ans, en plus de discuter de manières pour faire taire les dissidents et les discréditer.
Ceci est de la plus haute importance puisque ces données servent de base aux calculs et prédictions du GIEC, qui se traduiront ultimement en une taxation globale complètement inutile et susceptible de faire s’effondrer l’économie mondiale et de garder dans la pauvreté les pays dits du « tiers monde ». Peut importe ce que les gens éclaboussés par ce scandale vous diront, il s’agit en premier lieu d’un scandale politique plutôt que scientifique.
Bien que certains scientifiques véreux comme la tête de l’unité de recherche sur le climat de l’Université de East Anglia, le professeur Phil Jones, ont tout intérêt à faire perdurer le mensonge qui lui rapporte des millions de dollars, les plus importants acteurs et bénéficiaires sont ceux qui financent ces professeurs et scientifiques. Qui sont-ils?
Plusieurs figures de proue sont des politiciens notables, financiers ainsi que des pétrolières.
En Amérique, il existe seulement un marché d’échange des émissions de carbone qui est opérant et il s’agit du Chicago Climate Exchange (CCX). Par pure coïncidence, ou pas, le fond d’investissement d’Al Gore (Generation Investment Management) est le plus grand actionnaire du CCX. Maintenant, parlez-moi d’un conflit d’intérêts! L’alarmiste le plus bruyant à propos du réchauffement climatique est le plus large actionnaire du seul marché du carbone opérant en Amérique! Sur le conseil du CCX siège aussi Maurice Strong, un canadien méconnu, mais pourtant très important.
Maurice Strong a maintenant joint Brian Mulroney et Paul Desmarais dans le groupe Asia Power Group qui a 100$ millions investi dans des projets de petites centrales électriques au charbon construites dans le sud de la Chine. Ils sont en train de considérer de plus grands projets dans le nord de la Chine, en Malaisie, aux Philippines et en Inde.
Maurice F. Strong, C.P., C.C., O.M., MSRC, né en 1929 au Manitoba, est un des principaux défenseurs de la participation des Nations Unies dans les affaires du monde. Il est vu par ses supporteurs comme étant un important leader environnementaliste. Il sera Secrétaire général de la Conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement de 1972, qui donnera naissance au mouvement environnementaliste mondial; et du Sommet de la Terre en 1992. Il sera aussi le premier directeur exécutif du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE). Maurice Strong a ainsi donc joué un rôle critique dans la mondialisation du mouvement environnemental. (Source: Maurice, Al & le Chicago Climate Exchange)
Ce marché d’échange des émissions de carbone, une future bulle financière de produits dérivés comme celles qui ont entraîné la crise financière présente, va enrichir certaines personnes comme Al Gore qui fut aidé par Ken Lay, l’ancien président de Enron dont nous connaissons tous le scandale, pour mettre sur pied la structure de la compagnie de Al Gore qui elle, a déjà investi $150 millions pour « vendre » le concept du réchauffement climatique, planifiant faire au monde avec le dioxyde de carbone ce qu’Enron a fait à la Californie avec l’électricité.
Barack Obama a aussi participé grandement à l’établissement du programme sur le carbone il y a quelques années en finançant un marché du carbone. Alors qu’il siégeait sur le comité d’administration de la Joyce Foundation, Obama a donné $1,1 million en deux dons qui ont été instrumentaux dans le développement et le lancement du Chicago Climate Exchange, une entité privée. Il est maintenant en train de pousser le Congrès à adopter un programme de réduction du CO2 et le marché d’échange des émissions de carbone en même temps qu’il admet que ce marché et les taxes subséquentes vont causer des augmentations faramineuses du coût de l’électricité. Le département du Trésor a révélé en septembre dernier que le marché d’échange des émissions de carbone supporté par Obama couterait de 100 à 200 milliards de dollars aux Américains chaque année, argent qui irait dans les coffres du gouvernement et d’institutions privées ou mondiales.
Le Chicago Climate Exchange est fortement influencé par Obama et la cohorte de politiciens et puissants acteurs tels que Al Gore et Maurice Strong. Gore, l’auto-proclamé « Saint Patron de l’environnement », achète ses crédits de carbone de sa propre compagnie Generation Investment Management LLP qui possède des bureaux à Washington et à Londres. Il est aussi fondateur et directeur de Alliance for Climate Protection et en 2004 en plus d’être le co-fondateur de Generation Investment Management (LLP), un fond d’investissement (Hedge Fund) basé en Angleterre, avec David Blood, ancien chef exécutif de Goldman Sachs Asset Management. La firme vise à investir dans le domaine des technologies et solutions “vertes” pour combattre de réchauffement climatique et dans le marché des échanges des crédits sur le CO2. LLP possède une influence considérable sur les firmes d’échange de crédits du carbone, incluant le Chicago Climate Exchange.
Al Gore s’est joint à un groupe de capital-risque nommé Kleiner Perkins Caufield & Byers. La firme a effectué des investissements de 500$ millions dans la firme de technologies vertes Green Growth Fund et le groupe a annoncé un autre 700$ millions qui seront investis sur les prochaines années dans ce même domaine.
La NASA s’était plaint de son bureau de presse interne qui « marginalisait ou représentait mal » les études sur le réchauffement climatique entre 2004 et 2006, selon un rapport du vérificateur général de l’agence spatiale, qui nommait cette attitude « d’inappropriée et d’interférence politique » par des officiels politiques nommés au bureau de presse de la NASA. [PhysOrg]
Le chef de l’environnement à l’ONU, Achim Steiner, veut une taxe globale sur le réchauffement climatique. Selon les chiffres du GIEC, il en couterait environ $100 trillions ( $100 000 000 000 000 ) pour éviter un réchauffement des températures de 1 degré Celsius en réduisant les émissions de CO2, même si on croit que les changements climatiques sont réellement causés par l’homme. $100 trillions divisé par le nombre d’habitants de la planète revient à environ $16 000 par personne. Avec le tiers de l’humanité qui ne mange déjà pas à sa faim, comment peut-on espérer payer ce montant et imposer cela à ceux qui gagnent moins de $2 par jour?
À cette rencontre, le président européen de la Commission Trilatérale, des Bilderberg et président de British Petroleum (BP), Peter Sutherland, a lancé « un cri de bataille universel pour s’occuper du réchauffement climatique d’une seule voix ». Lui faisant écho, se trouvait le Général Lord Guthrie, directeur de N.M. Rothschild & Sons, membre de la House of Lords et ancien chef de la Défense à Londres, a supplié la Commission Trilatérale de « faire face à la crise du réchauffement climatique d’une seule voix et d’imposer des règlements à l’échelle de la planète ». Aucun doute que cela saura rapporter beaucoup de profits à l’empire familial des Rothschild dû à leur propriété personnelle d’une grande partie du marché sur le carbone.
Le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, a publié un texte d’opinion dans le The New York Times parlant des critères de réussite pour la prochaine conférence sur le climat à Copenhague. Parmi ces critères, Ki-moon a suggéré qu’une « structure de gouvernance globale » soit établie pour s’assurer que les nations collaborent à la manière dont les ressources seront déployées et utilisées.
Refroidissement des ardeurs du culte du réchauffement climatique et du climat
La réalité est que le climat se refroidit depuis au moins 7 ans, si ce n’est pas depuis 1998. Des records de froid et de neige sont battus presque à tous les jours à travers le monde, mais ils sont ignorés par les médias, les politiciens et les scientifiques reliés au GIEC. Une liste de liens est disponible ci-bas, dans l’Annexe #2 pour vous en rendre compte vous-même. Nous savons, avec les carottes glacières et la géologie, que les changements climatiques sont majoritairement naturels et cycliques, influencé par le Soleil et certains mécanismes cosmiques.
Voilà ce qui arrive quand la science est pervertie par l’argent et les agendas politiques, le pouvoir. C’est la fin d’une grande fraude scientifique et politique. Le sommet de Copenhague peut être annulé. C’est une perte d’argent et de temps, alors qu’en attendant, nous ne nous attaquons pas aux vrais problèmes de pollution, de surexploitation des ressources de la planète et de répartition des ressources disponibles pour enrayer la pauvreté.
A shepherd leads his flock through a street in Zakopane, Poland, after heavy snow. The unseasonable weather killed at least four Poles and cut power and heating to hundreds of thousands of homes in Central Europe.
DAYS of heavy snow have brought chaos, death and an early start to the skiing season to parts of Europe.
Skiers are being told they can expect a sensational season after three feet of snow led many Alpine resorts to open two weeks early.
But the unseasonably early cold snap also cut power to thousands of homes and caused at least three deaths.
Pistes are already open in Austria, and there has also been heavy snow in France, Italy and Switzerland. Similar early falls last year saw the best conditions in Europe for more than 20 years.
The Alpine ski season got off to an early start last week after a drop in temperature led to an early snowfall.
Up to a metre of snow has fallen in the Austrian Alps over the past week, and in the earliest start to the season for 11 years, over a mile of ski runs were opened in Verbier, Switzerland, today after the resort saw 50cm (19in) of snow fall.
Southern California has gone from a heat wave to a cold streak, with several cities around the region reporting record low temperatures.
Record lows were reported at Los Angeles International Airport, Lake Arrowhead, Idylwild, Yorba Linda, Escondido and Lake Elsinore, among other places. Some broke records set in the 1920s and 1940s.
Driving around the Denver, Colorado metro area is a mess and giving people major headaches as they try to get around town.
The biggest storm to hit Colorado in October in twelve years is leaving roads packed with snow and ice and while crews are being credited with doing a pretty good job of keeping roads cleared, the snow is falling faster than crews can clear it.
As of the end of the day on October 29th, the total snowfall recorded at the National Weather Service office in Cheyenne, WY for the month of October reached 28.0 inches. This sets a new record for the most snowfall ever recorded in Cheyenne for the month of October. The previous record was 23.1 inches which was measured in October of 1906.
The following information is the top 5 snowiest Octobers since 1850.
“With the advent of the strong cold front, Beijing saw its first snow two months earlier than last year,” said Guo Hu, head of the city’s meteorological observatory.
(Habibullo Abdussamatov, Dr. Sc. – Head of Space research laboratory of the Pulkovo Observatory, Head of the Russian/Ukrainian joint project Astrometria – (translated from Russian by Lucy Hancock) Dr. Abdussamatov is featured on page 140 of the 2009 U.S. Senate Report of More Than 700 Dissenting Scientists Over Man-Made Global Warming. Also see “Related Links” below.)
Prof Bellamy said temperature fluctuations are part of the natural process. “The argument [for man-made global warming] is going downhill. Climate change is a completely natural thing. It is based on the sun, and at the moment we are into the 24th sun cycle and there has been no sunspots for two years. The last time that happened, the Thames froze over.”
The average October temperature of 50.8°F was 4.0°F below the 20th Century average and ranked as the 3rd coolest based on preliminary data.
For the nation as a whole, it was the third coolest October on record. The month was marked by an active weather pattern that reinforced unseasonably cold air behind a series of cold fronts. Temperatures were below normal in eight of the nation’s nine climate regions, and of the nine, five were much below normal. Only the Southeast climate region had near normal temperatures for October.
The average maximum temperature reading for the month, 47 degrees, was a full 8.3 degrees lower than the historic average, based on records going back to 1909.
THIS is the chart climate change sceptic Senator Steve Fielding hopes will convince Al Gore that global warming is not real.The graph was used by the UN in its reports on the effects of climate change. UN scientists say the world has warmed in the past 150 years, but temperatures have plateaued at warmer-than-normal levels in the past decade after a particularly hot year in 1998.
The multiple frosts that have blanketed Western Canada in the last week are the most widespread in the top canola-growing province of Saskatchewan in at least five years, the Canola Council of Canada said on Tuesday.
Two overnight frosts last week have already resulted in some Saskatchewan farmers reseeding their canola, a Canadian variant of rapeseed, said Jim Bessel, senior agronomy specialist in the province for the industry group Canola Council.
This is the new trend in climate alarmism. Previously the measure of global warming has always been air temperatures. But all the satellite data says air temperatures have been in a mild down trend starting 2002. The land thermometers preferred by the alarmists showed warming until 2006, but even they show a cooling trend developing since then.
(Land thermometers cannot be trusted because, even in the USA, 89 per cent of them fail siting guidelines that they be more than 30 meters from an artificial heating or radiating/reflecting heat source, and their data is forever being “corrected”.)
Ocean temperatures were not properly measured until mid-2003, when the Argo network became operational.
Le verdict sans appel du Dr Mörner déclare que toutes ces histoires de montée du niveau de la mer ne sont rien d’autres qu’une colossale histoire pour faire peur.
This historical global temperature chart clearly shows that nothing is happening now that has not happened in the last three thousand years. We are not to blame for the global warming that has been going on for the last 100 plus years. Actually it has been getting cooler the last ten years, so what is all the hype about this global warming? I guess the cooling trend is the reason that as of late, they have changed the name to climate change.
Think how people in Chicago feel. They’re going through the coldest winter in a quarter-century, and the ninth-coldest of all time.
In fact, six of the 10 hottest years came before 1954, with the 1930s being particularly toasty. Ever hear of the Dust Bowl?
Researchers from the Los Alamos National Laboratory discovered that the rate of warming in Greenland between 1920 and 1930 was 50 percent higher than today. And the glaciers were smaller.
Ice cores taken from a Russian research site in the Antarctic reveal that when you go back in time, the theory of global warming seems to put the cart before the horse. We are told that greenhouse gases build up and cause temperatures to rise.
But an analysis of the ice cores shows the temperature goes up first, followed by an increase in greenhouse gases. The heat is triggered by other natural phenomenon, such as solar radiation. This heats up the ocean, which releases carbon dioxide.
The amount of carbon dioxide in the atmosphere right now actually is downright paltry compared with what it has been during Earth’s history.
Two of the Arctic ice sites show April 16 ice at recent record levels. The Japanese site IJIS has a seven year April record going back to 2003, and reports 2009 levels at the highest extent on record for the date: 13,649,219 km2.
The Danish Meteorological Institute has a five year database, and also shows April 16 ice extent as the highest in their short record. A plot of April 16 extent made from the IJIS database shows that mid April ice extent has made a nice recovery from the 2004 low, increasing by more than 5%. This is probably not coincidental with the fact that since 2003, global temperatures have been declining.
A full analysis of satellite-measured lower tropospheric temperatures indicates that none of the global temperature variations from 1978 to 2008 can be attributed to the effect of carbon dioxide as a greenhouse gas. The record shows global climate oscillations with a period of three to five years and a peak-to-peak amplitude of 0.4 to 0.5 degrees Celsius about a common, fixed mean temperature that lasted from 1978 to 1997. Since this mean temperature did not change for twenty years the late twentieth century warming touted by IPCC and others simply did not happen.
Continuing a decade-long trend of declining global temperatures, the year 2008 was significantly colder than 2007, and global temperatures for the year were below the average over the past 30 years.
The global temperature data, reported by NASA satellite-based temperature measurements, refuted predictions 2008 would be one of the warmest on record.
The modest global warming trend has stopped – maybe even reversed itself.
And it’s not just the record low temperatures experienced in much of the world this winter.
For at least the last five years, global temperatures have been falling, according to tracking performed by Roy Spencer, the climatologist formerly of NASA.
A new study by Florida State University researcher Ryan Maue shows worldwide cyclone activity – typhoons, as well as hurricanes – has reached at least a 30-year low.
Two more studies – one by the Leibniz Institute of Marine Science and the Max Planck Institute of Meteorology in Germany and another by the University of Wisconsin – predict a slowing, or even a reversal of warming, for at least the next 10 to 20 years.
The Arctic sea ice has grown more on a percentage basis this winter than it has since 1979.
The number of polar bears has risen 25 percent in the past decade. There are 15,000 of them in the Arctic now, where 10 years ago there were 12,000.
“The most recent global warming that began in 1977 is over, and the Earth has entered a new phase of global cooling,” says Don Easterbrook, professor of geology at Western Washington University in Bellingham, confidently. He maintains a switch in Pacific Ocean currents “assures about three decades of global cooling. New solar data showing unusual absence of sun spots and changes in the sun’s magnetic field suggest … the present episode of global cooling may be more severe than the cooling of 1945 to 1977.”
Climatologist Joe D’Aleo of the International Climate and Environmental Change Assessment Project, says new data “show that in five of the last seven decades since World War II, including this one, global temperatures have cooled while carbon dioxide has continued to rise.”
“The data suggest cooling not warming in Earth’s future,” he says.
“(The sun) might (1) revert to the old solar cycles or (2) the sun might go even quieter into a “Dalton Minimum” or a Grand Minima such as the “Maunder Minimum”. It is still a little early to predict which way it will swing. Each of these two possibilities holds a great threat to our nation.
“We are now at a crossroad. Two paths lie before us. Both are marked with a signpost that reads “Danger”! Down one path lies monstrous solar storms. Down the other path lies several decades of crushing cold temperatures and global famine.”
The United States has shivered through an unusually severe winter, with snow falling in such unlikely destinations as New Orleans, Las Vegas, Alabama, and Georgia. On Dec. 25, every Canadian province woke up to a white Christmas, something that hadn’t happened in 37 years. Earlier this year, Europe was gripped by such a killing cold wave that trains were shut down in the French Riviera and chimpanzees in the Rome Zoo had to be plied with hot tea. Last week, satellite data showed three of the Great Lakes – Erie, Superior, and Huron – almost completely frozen over. In Washington, D.C., what was supposed to be a massive rally against global warming was upstaged by the heaviest snowfall of the season, which paralyzed the capital.
Meanwhile, the National Snow and Ice Data Center has acknowledged that due to a satellite sensor malfunction, it had been underestimating the extent of Arctic sea ice by 193,000 square miles – an area the size of Spain. In a new study, University of Wisconsin researchers Kyle Swanson and Anastasios Tsonis conclude that global warming could be going into a decades-long remission. The current global cooling “is nothing like anything we’ve seen since 1950,” Swanson told Discovery News. Yes, global cooling: 2008 was the coolest year of the past decade – global temperatures have not exceeded the record high measured in 1998, notwithstanding the carbon-dioxide that human beings continue to pump into the atmosphere.
The latest global averaged satellite temperature data for June 2009 reveals yet another drop in the Earth’s temperature. This latest drop in global temperatures means despite his dire warnings, the Earth has cooled .74°F since former Vice President Al Gore released “An Inconvenient Truth” in 2006.
A cruel summer has brought Manitoba’s third-coldest July on record.
According to Environment Canada, only twice before has any year’s seventh month in this province been as chilly as the stretch of 31 days we’ve just passed.
And Manitoba has also completed its third run of eight consecutive months with colder than average temperatures, says meteorologist Natalie Hasell.
As politicians in Washington, DC debate what to do about global warming, the Northeast has been hit with record low temperatures this morning.
According to ABC News, the cities of Binghamton and Rochester in New York and Hartford, CT experienced record lows for July today.
Meanwhile, here in the Granite State, temperatures in Concord fell to 47-degress this morning, the lowest since 1940. Temperatures in Portsmouth came within one degree of the lowest ever in July.
After a June that opened with record chill following a spring characterized by clouds, sub-normal temperatures and deluges of rain, Chicagoans increasingly anxious for summery warmth, sunshine and rain-free days must face another meteorological disappointment.
For the 12th time this meteorological summer (since June 1), daytime highs failed to reach 70 degrees Wednesday. Only one other year in the past half century has hosted so many sub-70-degree days up to this point in a summer season — 1969, when 14 such days occurred.
Wednesday’s paltry 65-degree high at O’Hare International Airport (an early-May-level temperature and a reading 18 degrees below normal) was also the city’s coolest July 8 high in 118 years — since a 61-degree high on the date in 1891.
With a cooler-than-usual winter and a mild temperatures leading up to the beginning of summer, global warming alarmists are finding they are losing steam in the debate. But “NBC Nightly News” won’t give up the fight.
…
That news of warm weather and theory of global warming was reassuring for Williams. “Glad to hear that. I was beginning to worry,” he said.
In May, 2008, the National Snow and Ice Data Center (NSIDC) predicted that the North Pole would be ice-free during the 2008 melt season because of ‘global warming.’
Today, they admitted that they’ve underreported Arctic ice extent by 193,000 square miles (500,000 square kilometers). They blamed the error on satellite problems and sensor drift.
DRUDGE-ALANCHE! Thanks to all my new visitors who Commented on this blog entry when DrudgeReport.com linked over to me. I received over 150 comments, which is more than I normally get in two months.
For the second time in little over a year, it looks as though the world may be heading for a serious food crisis, thanks to our old friend “climate change”. In many parts of the world recently the weather has not been too brilliant for farmers. After a fearsomely cold winter, June brought heavy snowfall across large parts of western Canada and the northern states of the American Midwest. In Manitoba last week, it was -4ºC. North Dakota had its first June snow for 60 years.
The high in New York City today is forecast to hover around 80 degrees, making it only the second time on record that June and July temperatures failed to reach 90, the National Weather Service said.
Central Park thermometers haven’t touched 90 degrees Fahrenheit (32.2 Celsius) since April, and if this holds through today the month would be one of the 10 coolest Julys on record, according to the weather service records.
July isn’t over yet but if current weather patterns hold Iowa could be on track for one of the coldest Julys in more than a hundred years.
Climatologist Harry Hillaker said if temperatures stay below 90 for the rest of the month, it would be the first time since 1893 that Iowa has missed a 90-degree reading in July. The current KCCI Super Doppler forecast shows only highs in the low 80s for the rest of the month.
It’s not just Iowa not feeling the heat this summer. The National Weather Service said Chicago has seen the coldest July in 67 years, with an average temperature this month of 68.9 degrees.
After the hottest spell of the year so far, sleet and snow swept in across northern parts of Britain while the rest of the country also cooled down considerably.
Temperatures dropped to a record low in Prince Edward Island overnight Tuesday, with reports of frost throughout the province.
An official record low of 3.8 C was set early Wednesday morning at Charlottetown airport.
The previous record for that date was 5.1 C, set in 2005.
Bob Robichaud, a meteorologist with Environment Canada, said that to his knowledge, frost has never been reported before in July in P.E.I.
“That 3.8 we got last night kind of sticks out as being lower than some of the other records for anytime in early July,” Robichaud told CBC News on Wednesday.
It was Christmas in July for some Westchester County residents.
A wintry mix of hail and heavy thunderstorms downed trees and utility poles in Yonkers last night — causing mountains of slush and ice to build up in parking lots and on grassy areas.
How do we know the UN’s error was deliberate? The table, as it first appeared, said the units for sea-level rise were being changed. But the table was new. There was nothing to change from. I wrote to the UN that this misconduct was unacceptable. Two days later, the bureaucracy corrected, relabeled and moved the table, and quietly posted the new version on its Web site. The two ice sheets will contribute, between them, over 100 years, just two and a half inches to sea-level rise. Gore had exaggerated a hundredfold; the UN tenfold. Hawaii is not about to disappear beneath the waves.
As reported by Anthony, RSS satellite temperature data is out for March. And as the Catlin adventurers have discovered, it has been “stupidly cold” in the Arctic. March was the second consecutive month of below normal Arctic temperatures, and the continuation of a four year cooling trend – as seen below. Google’s linest() function shows that since the beginning of 2005, Arctic temperatures have been cooling at a rate of 1.8 degrees C per decade, or 18C per century ( see comments). Also note that Arctic monthly temperature anomaly now is about three degrees lower than in January, 1981.
The WUWT Arctic Ice Thickness Survey has been conducted from the comfort of a warm living room over the last half hour, without sponsors, excessive CO2 emissions or hypothermia. The data is collected from the US military web site http://imb.crrel.usace.army.mil. All of the active military buoys show significant thickening ice over the past six months to a year, as seen below.
The expedition was blighted in the first few weeks by temperatures well below minus 40 Celsius, the equivalent of minus 70 allowing for the wind chill.
The average Arctic winter temperature is -34°C (-29°F)
ICE is expanding in much of Antarctica, contrary to the widespread public belief that global warming is melting the continental ice cap.
The results of ice-core drilling and sea ice monitoring indicate there is no large-scale melting of ice over most of Antarctica, although experts are concerned at ice losses on the continent’s western coast.
Sea ice at Antarctica is up over 43% since 1980 and we hear nothing in the news, yet Arctic ice is down less than 7% and they’re all over it! We’ve been waiting for the main stream media to pick up on the increase of Antarctic ice but so far they’re been totally absent. Guess its doesn’t fit the plan.
“Even the dedicated global warmists need to know the truth about the recent extended period of global cooling caused by our ‘SILENT SUN,’ Harris continues.
Despite predictions from a top U.S. polar institute that the Arctic Ocean’s overall ice cover is headed for another “extreme” meltdown by mid-September, the Environment Canada agency monitoring our northern waters says an unusual combination of factors is making navigation more difficult in the Northwest Passage this year after two straight summers of virtually clear sailing.
The giant Greenland ice sheet may be more resistant to temperature rise than experts realised. The finding gives hope that the worst impacts of global warming, such as the devastating floods depicted in Al Gore’s film An Inconvenient Truth, could yet be avoided.
Recent satellite observations from the Arctic indicate that spring ice melting is beginning at a lower rate than normal this year. According to the National Snow and Ice Data Center, the area of ice-covered ocean has decreased only about 750,000 km2 from its peak value at the end of February, compared to a normal decline of 1.1 million km2 by late April. If this trend continues, the annual ice melt in 2009 may be less than in recent years, and the late summer Arctic ice extent may rebound from its well-publicized downtrend.
Ice in the Arctic is often twice as thick as expected, report surprised scientists who returned last week from a major scientific expedition. The scientists – a 20-member contingent from Canada, the U.S., Germany, and Italy – spent one month exploring the North Pole as well as never-before measured regions of the Arctic. Among their findings: Rather than finding newly formed ice to be two metres thick, “we measured ice thickness up to four metres,” stated a spokesperson for the Alfred Wegener Institute for Polar and Marine Research of the Helmholtz Association, Germany’s largest scientific organization.
Vérifiez ces informations et tirez vos propres conclusions.
Nous connaissons tous Al Gore. En surface. Par contre, beaucoup moins connaissent Maurice Strong. Nous devons savoir qui ils sont et quels sont les liens qui les unissent avec d’autres groupes et personnages pour comprendre d’où ils viennent et quelles sont leurs véritables motivations. Ensuite, il sera plus facile de comprendre la nature du lien que ces deux personnages, Al et Maurice, ont avec le Chicago Climate Exchange.
Maurice F. Strong
Maurice F. Strong, C.P., C.C., O.M., MSRC, né en 1929 au Manitoba, est un des principaux défenseurs de la participation des Nations Unies dans les affaires du monde. Il est vu par ses supporteurs comme étant un important leader environnementaliste. Il sera Secrétaire général de la Conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement de 1972, qui donnera naissance au mouvement environnementaliste mondial; et du Sommet de la Terre en 1992. Il sera aussi le premier directeur exécutif du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE). Maurice Strong a ainsi donc joué un rôle critique dans la mondialisation du mouvement environnemental.
Il n’est pas né dans le privilège, mais il sera cultivé par David Rockefeller qui le rencontra alors qu’il avait 18 ans, alors que Maurice s’était trouvé un travail d’assistant dans la section de la Sécurité des Nations Unies. Un an plus tard, il deviendra un analyste en investissements et à 25 ans, il sera vice-président de Dome Petroleum. À 31 ans, remarqué pour son succès dans le domaine du pétrole, il deviendra le président de Power Corporation of Canada.
En 1976, à la requête du Premier ministre Pierre Trudeau, Strong prendra la tête de Pétro-Canada et Hydro-Ontario. Il fera quelques affaires dont l’acquisition de la Colorado Land & Cattle Company, en 1978, qui était alors la propriété de 200,000 acres dans la vallée de San Luis, au Colorado. Il l’achètera du vendeur d’armement saoudien Adnan Khashoggi. (Source)
Le canadien Maurice Strong, homme qui fait peu les manchettes, deviendra ainsi un puissant, oxymorique milliardaire socialiste qui remplira de nombreuses autres fonctions au cours de sa vie dont celles-ci:
– Conseiller spécial du Secrétaire général de l’ONU sous Kofi Annan;
– Conseiller sénior du Président de la Banque Mondiale;
– Directeur de la Fondation du Forum Économique Mondial, qui est à l’origine des Sommets de la Terre, d’où vient la théorie du réchauffement climatique causé par le CO2 engendré par l’activité humaine;
– Il est un membre important des Bilderberg, de la Commission Trilatérale, du Council on Foreign Relations (CFR)et du Club de Rome. C’est au sein du dernier que sera forgé l’Agenda 21, un ensemble de principes pour aiguiller le monde sur le chemin du développement durable et un programme d’action pour les implémenter.
– Il est un des leaders du mouvement Nouvel-Âge et des gens comme les Kissinger, Mc Namaras et Rothschild visitent sa communauté spirituelle Baca, située dans la Vallée de San Luis au Colorado.
– Président de Strovest Holdings, président et directeur de Technology Development Corp, directeur du Forum économique mondial (Davos) et directeur du Conseil de la Terre.
Maurice Strong a maintenant joint Brian Mulroney et Paul Desmarais dans le groupe Asia Power Group qui a 100$ millions investi dans des projets de petites centrales électriques au charbon construites dans le sud de la Chine. Ils sont en train de considérer de plus grands projets dans le nord de la Chine, en Malaisie, aux Philippines et en Inde.
Albert Arnold « Al » Gore, Jr.
Plus connu sous le nom d’Al Gore, né en 1948 à Washington, aux États-Unis, il est un homme politique et homme d’affaires. Il a été membre de la Chambre des représentants de 1977 à 1985, sénateur du Tennessee de 1985 à 1993 et vice-président de Bill Clinton de 1993 à 2001. (Source)
Al Gore est co-fondateur de Current TV, un membre du comité de directeurs de Apple Inc. et un conseiller sénior pour Google.
Al Gore s’est joint à un groupe de capital-risque nommé Kleiner Perkins Caufield & Byers. La firme a effectué des investissements de 500$ millions dans la firme de technologies vertes Green Growth Fund et le groupe a annoncé un autre 700$ millions qui seront investi sur les prochaines années dans ce même domaine. Il est fondateur et directeur de Alliance for Climate Protection et en 2004, le co-fondateur de Generation Investment Management (LLP), un fond d’investissement (Hedge Fund) basé en Angleterre, avec David Blood, ancien chef exécutif de Goldman Sachs Asset Management. La firme vise à investir dans le domaine des technologies et solutions « vertes » pour combattre de réchauffement climatique et dans le marché des échanges des crédits sur le CO2.
Ainsi, l’ancien vice-président Al Gore a bâti une machine verte capable éventuellement de générer des milliards de dollars pour les investisseurs, incluant lui-même. Mais le minimum pour investir est tellement élevé que ce n’est pas Joe six-pack qui peut jouer selon les termes de Gore. Al Gore paye son extra-large emprunte de carbone à travers son fond d’investissement Generation Investment Management (GIM). Si vous voulez devenir plus « vert » et que vous voulez que votre porte-feuille soit avec Gore, pensez-y encore, car les gens de la moyenne sont trop insignifiants pour jouer.
Generation is based in London, with its U.S. offices in Washington, DC. The firm will manage the assets of institutional investors such as pension funds, foundations and endowments, as well as those of select high net worth individuals.* Generation expects to make extensive use of long-term performance based fees. Generation will begin its investment management business in early 2005. *Comme Al Gore
Vous trouverez ici une liste indiquant ce que ça prend pour faire de l’argent avec Al Gore. Les fonds associés à ces compagnies ont été placés sous le contrôle de Gore.
AFLAC INC – AQUANTIVE INC – AUTODESK INC – BECTON DICKINSON & CO BLACKBAUD INC – GENERAL ELECTRIC CO – GREENHILL & CO INC – JOHNSON CTLS INC – LABORATORY CORP AMER HLDGS – METABOLIX INC – NORTHERN TR CORP – NUVEEN INVTS INC -STAPLES INC – SYSCO CORP – TECHNE CORP – UBS AG – VCA ANTECH INC – WATERS CORP – WHOLE FOODS MKT INC
Selon leurs propres documents, GIM a l’intention d’investir, ou d’acheter des compagnies qui sont destinées à profiter des soucis à propos du réchauffement climatique. La compagnie de Gore, GIM, a été spécifiquement établie pour profiter financièrement de nouvelles technologies et solutions combattants le réchauffement climatique.
Le Chicago Climate Exchange (CCX)
En Amérique, il existe seulement un marché d’échange des émissions de carbone qui est opérant et il s’agit du Chicago Climate Exchange (CCX). Par pure coïncidence, ou pas, le fond d’investissement d’Al Gore (Generation Investment Management) est le plus grand actionnaire du CCX. Maintenant, parlez-moi d’un conflit d’intérêts! L’alarmiste le plus bruyant à propos du réchauffement climatique est le plus large actionnaire du seul marché du carbone opérant en Amérique! Sur le conseil du CCX siège aussi notre vieil ami Maurice Strong.
Vers la fin de 2007, les Nations Unies ont tenu une conférence à Bali dans l’intention de formuler un Traité sur les changements climatiques possédant une force légale internationale pour remplacer le Protocole de Kyoto. Ce Traité se traduira certainement par un mandat sur l’instauration d’un système global sur les échanges du carbone et possiblement d’une taxe sur le carbone. Tout ceci semble servir l’implémentation des directives de l’Agenda 21 du Club de Rome.
Même si le réchauffement climatique était vraiment causé par le CO2, en principe, quelle est la différence entre profiter de la guerre et de cela? Si la motivation de Maurice & Al de pousser l’histoire du réchauffement climatique est si altruiste, était-il vraiment nécessaire pour ces deux riches d’établir une compagnie de plus millions de dollars en Angleterre et d’investir massivement dans le CCX pour faire de l’argent? Si Al Gore remporte du succès avec son dernier coup, lui et ses amis seront beaucoup plus $vert$ que le reste de la planète.
Alors, si le climat se refroidit et que la thèse du CO2 tombe, il n’y aura pas de retour sur ces volumineux investissements. Ces investissements ne seraient pas nécessaires si le réchauffement climatique n’était plus une menace. Conséquemment, Gore a lancé une massive campagne de publicité l’an dernier, de 300 millions de dollars pour nous convaincre qu’IL Y A MENACE. Ce n’est plus une question de science, mais seulement de CONVAINCRE.
Al Gore et Maurice Strong sont en sérieux conflit d’intérêts car ils se positionnent pour profiter des taxes sur le carbone et des « solutions vertes » qu’on va tous nous imposer, comme ces bulbes incandescents qu’on va bannir au Canada, remplacés par les lampes LFC qui contiennent du mercure et des isotopes radioactifs. Le nouveau pouvoir que les gouvernements et les institutions internationales vont gagner sous le prétexte de lutter contre le réchauffement global va servir par ricochet à enrichir des compagnies qui se donnent et donnent bonne conscience en vendant des fausses solutions vertes.
Al Gore dit à des enfants de ne pas écouter leur parents
Le 19 janvier dernier, Al Gore donnait une conférence à l’Université du Maryland, aux États-Unis, à des enfants de 12 ans. Il expliquait aux enfants: « Il y a certaines choses que vous savez que les personnes plus âgées ne savent pas »; « que vous savez plus que vos parents ce qui est vrai » et « vous n’avez pas à écouter vos parents à propos de choses qu’ils ne connaissent simplement pas ». Il est en train de monter les enfants de sa nation contre leurs parents. Quels autres régimes de l’histoire ont utilisé les jeunes pour les mouler selon les croyances du jour? Les soviétiques, les nazis, le régime de Mussolini? C’est les questions que ce posait l’animateur de radio américain, Glenn Beck. (Pour entendre cette histoire, cliquez sur la partie 1 et 2)
Aurons-nous droit à la nouvelle garde, mais les « chemises vertes » cette fois?
Avec la gaffe monumentale de Stephen Harperqui disait « que la chute des bourses était l’occasion pour les investisseurs de faire de bons achats », une autre nouvelle est venue donner à Stéphane Dion des munitions et, de ce fait, l’aura tant espéré d’hypothétique futur Prime Minister. Il s’agit d’« une lettre ouverte qui doit être dévoilée mardi » prochain, signée par « quelque 230 économistes [qui] exigent l’imposition d’une taxe sur le carbone », car ils pensent qu’on ne peut « soutenir une économie saine sans un environnement sain ».
Ce groupe se réclame de ne pas faire dans la partisanerie, un peu comme les artistes… mais il est clair que ces voix vont de pair avec le programme libéral, d’autant plus que ces « économistes proposent de redistribuer les sommes engrangées par la taxe en baisse d’impôt ».
Le vent de cette campagne, qui pourtant pointait une défaite majeure des Libéraux, semble depuis quelque temps se retourner. Même avec l’entrée en scène de Jean Chrétien, Chantal Hébert donne cet avertissement :
Mais ne sautez pas à la conclusion que c’est un signe indéniable de ce que les libéraux sont en voie de renverser la vapeur et de gagner les élections.