Il est question, ici, de fraudes de proportions apocalyptiques ayant des conséquences encore inestimables. Il est question de criminels financiers, ou de terroristes financiers, qui auront causé la faillite de pays en entier, une dévaluation catastrophique du dollar US, la banqueroute de millions de familles, de pertes d’emplois astronomiques ainsi que la disparition massive de fonds de pension des travailleurs qui normalement arriveraient à leur retraite, mais qui y arriveront finalement les mains vides. Tout ce qu’il y a de plus gratifiant. Nous reviendrons au sujet des fonds de pension la semaine prochaine, mais en attendant, c’est exactement ces mêmes gens qui ont été plumés pour financer les plans de sauvetages des milieux financiers et bancaires. Ironie du sort, ou arrogance flamboyante, à vous de choisir.
Il ne s’agit plus d’une fraude isolée ci et là. Il s’agit de fraude et de corruption érigées en système. L’histoire de Bernie Maddoff n’est qu’un détail insignifiant comparé à la taille de la fraude systémique qui s’est immiscée jusque dans la massive manipulation du prix des métaux précieux.
Mais lueur d’espoir, il y a. Une peur frénétique s’est emparée de Wall Street et des banquiers privés ces derniers jours. C’est qu’un jugement de la Cour suprême de la magistrature de l’État du Massachusetts, aux États-Unis, vient d’être rendu et celui-ci pourrait avoir des implications catastrophiques pour les banques.
Les banques ont attendu avec une certaine appréhension ce jugement de la Cour suprême dans le dossier opposant la US Bank National Association (à titre de fiduciaire) à Antonio Ibanez. Ils avaient raison d’avoir peur. La cour suprême de l’État s’est prononcé contre les banques et a confirmé une ordonnance d’un tribunal inférieur d’annuler les saisies de propriétés effectuées par US Bancorp et Wells Fargo, selon le motif qu’aucune de ces banques avait le droit légal, en vertu de la loi du Massachusetts, de saisir ces maisons. La décision de la cour suprême a de lourdes conséquences pour les banques et le marché du logement en général, car elle remet gravement en question la solidité juridique de millions de prêts hypothécaires aux États-Unis, d’autant plus si, comme prévu, les tribunaux des autres États parviennent à des conclusions similaires à celles de la Cour suprême du Massachusetts.
Le dossier d’Ibanez comprenait deux cas de reprises de finances semblables s’étant déroulés dans le Massachusetts, le second cas étant celui de Wells Fargo vs Mark et Tammy LaRace. Les deux saisies de propriété ont eu lieu le même jour et les banques avaient déjà publié leur intention de les saisir dans un journal local, tel que requis par la loi. Les banques ont ensuite acheté les propriétés à des prix qui ont été jugé par le tribunal comme étant significativement inférieurs à la valeur de marché. Environ un an après les saisies (à l’automne de 2008), les banques ont alors demandé à la Cour de rendre une décision selon laquelle, dans chacune des saisies, la banque avait un plein droit de saisir en tant que créancier hypothécaire, que le droit de banque sur la propriété n’était pas obscurci par tout autre droit de contestation, et que la banque était donc propriétaire de la propriété. Ces affirmations ont été contestées par les propriétaires qui avaient perdu leurs maisons et la Cour est d’accord avec les propriétaires quant au fait que les saisies étaient invalides. Ce qui a joué de façon critique dans la décision rendue par la Cour a été le fait que les deux banques ont admis n’avoir reçu les documents de transfert d’hypothèque (assignment of the mortgage) qu’après les saisies.
Citant le cas Ibanez à titre d’exemple, les juges ont noté que Antonio Ibanez avait pris une hypothèque en 2005 avec Rose Mortgage Inc, qui aurait cédé cette hypothèque (qui donne à son détenteur le droit légal approprié pour saisir la maison) à Option One Mortgage Co. Ils ont, à leur tour, cédé celle-ci à Lehman Bros. Lehman Bros a prétendument cédé l’hypothèque à Lehman Bros Holdings Inc, qui l’a emballé avec environ 1000 autres prêts hypothécaires destinés à être vendus à titre de garantie. Ces prêts hypothécaires étaient censés être placés sous le toit de Structured Asset Securities Corp, mis en place explicitement dans le but de protéger les détenteurs d’obligations qui ont acheté les titres. Cette société devait affecter les prêts hypothécaires à la US Bancorp N.A., à titre de fiduciaire. Dans le cas où il y aurait besoin de saisir une de ces propriétés, la responsabilité reviendrait à US Bancorp de le faire, au nom de la fiducie et dans l’intérêt des détenteurs d’obligations. C’est pourquoi US Bancorp a voulu saisir la propriété de Antonio Ibanez, qui avait manifestement manqué aux paiements de son hypothèque, et c’est pourquoi US Bancorp est devenu un plaignant devant le tribunal de la Cour suprême du Massachusetts.
Cette série de transferts de titre est importante dans l’affaire, parce que tout ce qu’il fallait aux banques pour gagner aurait été de se présenter devant le tribunal avec les documents légaux attestant le transfert d’hypothèque. Ils n’avaient même pas à se présenter avec le document original de l’hypothèque ou la note de l’emprunteur – ils se devaient seulement d’avoir la documentation pour chaque maillon de la chaîne de transfert. Non seulement ne possédaient-ils pas celle-ci, ils n’avaient rien de mieux à présenter que des documents de transfert émis après la saisie, c’est-à-dire les banques n’ont jamais cédé correctement et légalement l’hypothèque en premier lieu. C’est en vertu de cela que la Cour a statué contre les banques, et c’est sur la base de cette preuve convaincante que les juges de la Cour suprême ont jugé que les saisies n’ont jamais été légales.
L’un des juges qui a rendu cette décision, le juge Cordry, a écrit:
« Ce qui est surprenant à propos de ces cas est… l’insouciance totale avec laquelle les banques plaignantes ont documenté les titres à leur actif. »
La négligence est un terme poli pour l’insouciance criminelle des banques. Les banques ont agi avec une insouciance criminelle.
La décision rendue plus tôt cette semaine par la Cour suprême du Massachusetts n’est qu’un pas de plus en avant dans cette longue discussion légale sur les saisies immobilières, mais elle est compatible avec une série de décisions similaires rendues par des tribunaux contre les banques.
Partout aux États-Unis, les banques n’ont pas été en mesure de se présenter devant les tribunaux avec la documentation de base, y compris les documents démontrant et attestant correctement et légalement qu’ils possèdent les droits sur ces hypothèques ainsi que ceux leur permettant de saisir les propriétés s’y rattachant.
Le droit des banques de saisir les propriétés résidentielles est aujourd’hui contesté dans chaque État. Les personnes qui ont perdu leur maison dans ces reprises de finance poursuivent maintenant en justice pour compensation des pertes encourues, selon le motif que les saisies étaient frauduleuses. Encore plus grave que cela, les investisseurs ayant acheté les fameuses « mortgage backed securities » commencent à déposer des réclamations pour fraude contre les banques, en faisant valoir que ces titres n’ont jamais été correctement garantis en premier lieu. Ces investisseurs veulent 100% de leur argent, ce qui conduirait à des réclamations de milliers de milliards de dollars contre les grandes banques.
Automatiquement entraîné dans cette situation est le gouvernement fédéral américain. Le Trésor américain détient Fannie Mae et Freddie Mac, qui sont déjà insolvables et doivent se tourner vers le gouvernement pour les injections de capitaux à chaque trimestre juste pour couvrir les pertes de leurs portefeuilles de prêts hypothécaires actuels. Ces institutions sont aujourd’hui confrontées à des taux de pertes beaucoup plus élevés dans leurs propres portefeuilles de l’ordre de trillions de dollars en valeur de prêts hypothécaires résidentiels. À ce tableau s’ajoute aussi le système de la FED, qui a choisi d’acheter plus d’un trillion (mille milliards) de dollars de titres adossés à des hypothèques des banques en 2008 et 2009, et qui est donc lui-même techniquement insolvable si ce portefeuille se révèle être non garanti, comme cela devient plus en plus probable.
Cela signifie que l’évolution probable des événements – la voie sur laquelle nous sommes présentement – nous conduira à un effondrement quasi total du marché du logement, parce que les grandes banques et les deux entreprises gouvernementales chargées de soutenir le marché du logement seront fatalement estropiés. Le gouvernement américain lui-même, y compris la Réserve fédérale, seront également estropiés et engloutis.
Après cette longue année mouvementée, voici arrivé la fin de 2010 avec cette période des réjouissances qu’apporte Noël et le Jour de l’An. Nous avons couvert une multitude des sujets les plus chauds, incluant la « pandémie » de grippe A/H1N1, la catastrophe de BP dans le golfe du Mexique, les dessous de la crise économique mondiale, la fraude du réchauffement climatique, l’attaque barbare en eaux internationales par Israël de la flottille d’aide humanitaire destinée aux Palestiniens, la chute des médias traditionnels, la montée de la tyrannie, du terrorisme et de ses véritables origines, du fonctionnement du système, de la fluoration et de beaucoup d’autres. Vous pouvez d’ailleurs retrouver la compilation complète de tous ces articles sur Les Nouvelles Internationales.
Bien que cela puisse être parfois déprimant, nous devons nous rendre compte d’une chose qui est très positive: l’information circule et la conscience des individus et de l’humanité ne cesse de croître. Si nous voyons des mensonges, de la corruption, de la collusion et des fraudes partout, c’est que nous en avons pris conscience plus que jamais auparavant. Cette ère du pouvoir brut se termine et une nouvelle prend définitivement sa place. Il s’agit de l’ère de l’éthique et de la conscience universelle. Nous sommes en route vers une conscience universelle de co-création. Mais avec le pouvoir, vient la responsabilité devant la vie.
Alors, en ce temps des fêtes, au lieu de discuter de sujets difficiles et peut-être un peu déprimants, je préférerais jeter un regard à ce qui est positif. Malgré tout, je conserve une confiance inébranlable en l’esprit humain et l’humanité. La science est en train de prouver que la pensée est littéralement créatrice, qu’elle influence l’organisation de la matière et même des particules. Plus ça va, plus on réalise que la pensée est créatrice et que l’intention joue un rôle primordial dans les processus de la création, d’où notre prise de conscience graduelle que nous sommes des êtres co-créateurs. Est-ce la signification profonde de l’homme créé à l’image de Dieu?
En conséquence, il apparait donc que rien n’est plus important que ce que nous pensons. Dans cette perspective, on commence à comprendre pourquoi il y a tellement d’argent dépensé pour influencer et contrôler ce que l’on pense. Il y a clairement des avantages à maintenir une population dans la peur et l’insécurité. Il y a des raisons évidentes de mal informer les gens, de les arroser de désinformation, de propagande et de mensonges. De les abrutir via le système d’éducation. De les faire sentir impuissants et incapables de se gérer soi-même. Mais à force de manquer de vision pour nous-même en tant qu’humanité et pour notre futur, nous risquons de mettre en marche les mécanismes de notre propre disparition. Plusieurs peuples et civilisations sont venus et disparus. Nous ne serions certainement pas les premiers ni les derniers.
Certains peuples n’ont pas su s’imaginer de futur et donc, ils n’en ont jamais eu. Il faudrait songer à éviter ce piège.
La plus ancienne loi de l’univers est celle-ci: «Ce à quoi vous portez attention, est ce dont vous prenez conscience».
Ce dont nous sommes devenus plus conscients en 2010, c’est l’état de pourriture du système et aussi que nous sommes menés par des gens qui sont majoritairement inconscients et insensibles, sans empathie pour la vie en général. N’est-ce pas là la définition même de la psychopathie? Si cela a pu être possible, c’est parce que nous avons laissé les choses aller, nous avons remis notre pouvoir entre de mauvaises mains, s’en remettant à des autorités extérieures au lieu de l’autorité intérieure. Nous sommes responsables de l’état du monde. Même si nous n’avons pas directement causé tous les maux auxquels nous faisons face en tant qu’humanité, population mondiale, nous en sommes responsables en notre ignorance, notre indifférence et acceptation de l’inacceptable. Mais cela change, imperceptiblement en premier lieu, mais attention au jour où cela devient apparent dans la dimension physique, car ce jour-là, tout devient possible.
L’univers et la vie ont un agenda, un sens et donc un but. Ils tendent tous deux vers plus de conscience et tout est instrument pour y parvenir. Si c’est en passant par l’expérience de fraudes monumentales, de manipulations et de sacrilèges contre la vie, ainsi soit-il. La vie est implacable. Nous avons le libre-arbitre, nous sommes libres de ne pas suivre le sens de la vie garant de la joie de vivre et de la satisfaction profonde et durable de la vie, mais nous ne sommes pas libres d’en subir les conséquences. Je vous le rappelle, des civilisations entières se sont détruites elles-mêmes, à plusieurs reprises, dans cette longue aventure de l’humanité. La vie et l’univers sont patients. S’il faut recommencer à partir de zéro, ainsi soit-il. Ceux qui ont le plus à perdre, c’est nous. Nous avons reçu le cadeau inestimable – la vie – et notre responsabilité est d’en faire le meilleur usage. Lourde responsabilité, d’où la crise d’adolescence que l’humanité traverse présentement. Nous sommes en train d’évoluer et de devenir une espèce adulte, plus mature et consciente. Voilà la vue d’ensemble qui nous manque parfois, noyés que nous sommes dans la vie quotidienne et ses aléas.
Malgré tout, ces regrettables évènements nous poussent à évoluer et faire grandir notre conscience. Et cette conscience grandit avec l’amour. Tout a un sens.
Nous sommes en train de redéfinir notre réalité et de nous redéfinir nous-mêmes en tant qu’espèce. Nos motifs, nos valeurs et ce que nous voulons être. C’est probablement ce qui se passe avec Noël aussi. Plusieurs, dont moi le premier, se plaignent de la commercialisation de Noël. Les grands magasins commencent à vendre les items de Noël au mois d’août et on voudrait nous faire croire que tout a rapport avec la valeur des cadeaux que nous distribuons. Noël est dénaturé et vidé de son sens. Bien sûr, pour la religion chrétienne, c’est la naissance du Christ et tout ce que cela signifie. Mais pour le non-pratiquant que je suis, cela signifie davantage une question de valeurs qui nous animent. C’est la famille, les amis, l’amour et la joie. C’est le partage, tendre la main et penser à l’autre. Noël, c’est donner et célébrer en famille et entre amis, être heureux, tous ensemble. Au lieu de se plaindre de la commercialisation de Noël, il nous suffit d’en faire ce que nous voulons. Ce n’est certainement pas à propos de celui qui a le plus gros cadeau, mais plutôt de profiter de ce moment pour réfléchir et méditer sur le sens de la vie en général et sur le sens de sa propre vie, incluant nos valeurs, ce que nous voulons être et ce dont nous voulons vraiment faire l’expérience, de manifester cette intention et d’être intègre.
Car si l’humanité a un espoir, c’est au coeur de chacun d’entre nous qu’il se trouve. Le Christ, c’est un symbole qui signifie «la bonne nouvelle». De nombreux prophètes ont incarné cette bonne nouvelle qui signifie qu’il est humainement possible et réalisable d’atteindre ce niveau d’achèvement et d’harmonie intérieure. C’est l’incarnation d’un niveau de conscience élevée qui nous a été démontré. Là réside toute l’importance du message et du symbole. Voilà la tâche essentielle de chaque être humain face à la vie: s’harmoniser intérieurement et s’orienter dans le sens de la vie. L’ennemi commun que nous avons tous, c’est la vanité, ou vanitas – ce qui est vide de sens. Il nous faut délaisser l’amour du pouvoir pour retrouver le pouvoir de l’amour. Il faut chercher constamment la victoire sur la vanité, mais éviter qu’elle ne se transforme en vanité de la victoire.
Un moyen de demeurer humble devant la vie est de prendre conscience du côté sacré de la vie, ce qui n’a rien d’une religion, mais tout d’un sentiment de religiosité face à tout ce qui EST. De prendre régulièrement le temps de contempler ce côté sacré de la vie, d’être plein de gratitude face à tout l’univers et de montrer notre appréciation pour toute la création. Nous en faisons partie, nous ne sommes pas à l’extérieur de la création, de la vie, de l’univers et même de Dieu, pour les croyants. Il n’y a pas que des lois dans le monde physique, le monde extérieur, gérant le fonctionnement de la matière. Il existe aussi des lois immuables déterminant le fonctionnement du monde intérieur. Les découvrir, c’est aussi révéler le sens de la vie et les conditions de satisfaction de notre être. Ces lois n’ont rien à voir avec les dogmes religieux, le moralisme ou l’amoralisme. Ce sont des lois biogénétiquement fondées. Voilà, en fin de compte, pourquoi l’autorité extérieure est toujours appelée à être un échec. Seule l’autorité intérieure détient la vérité et toutes les réponses. Nous savons tous faire la différence entre ce qui est bien et ce qui est mal… à part peut-être les psychopathes inhumains jonchant cette planète. À nous d’en prendre conscience et d’agir conséquemment.
Pour terminer, j’aimerais vous partager une pensée qui sera mon cadeau de Noël pour, chers lecteurs. Il s’agit d’un passage du livre du Docteur Marianne Sedar, à la découverte de soi-même, basé sur la pensée et l’oeuvre de Paul Diel, que j’estime énormément pour sa lucidité à propos du fonctionnement du monde intérieur, ayant débouché sur l’élaboration de La psychologie de la motivation.
Pour ma part, je vous souhaite donc un vrai Joyeux Noël!
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Comprendre d’une part ce que la vie exige de chacun de nous et, d’une autre part, comment et pourquoi – pour quels motifs – nous nous détournons de cette exigence est le seul moyen de retrouver un critère de valeur sensé et de nous affranchir de tous préjugés, les croyances ou les superstitions qui nous conditionnent depuis l’enfance.
Nul ne peut changer les circonstances de sa vie passée, l’éducation qu’il a reçu,le milieu dans lequel il a grandi, les influences qu’il a subies, les frustrations de toutes sortes dont il a souffert. Mais chacun peut prendre conscience de la manière dont il réagit face à ces circonstances, de son attitude en face des accidents de la vie, et finalement des motifs qui le pousse à réagir toujours de la même manière. Pourquoi l’un se sent-il toujours coupable et inférieur? Pourquoi un autre n’admet-il jamais qu’il ait tort? Pourquoi un autre se prend-il sans cesse en pitié chaque fois qu’il lui arrive quelque chose de déplaisant? Pourquoi a-t-on peur de vivre? Pourquoi tant de personnes sont-elles angoissées, déprimées, inquiètes? Pourquoi souffre-t-on d’insécurité et de solitude?
Il y a le monde et la vie avec ses drames et ses conflits, et il y a notre manière propre de réagir face à eux. Cesser de réagir selon l’ornière creusée par nos motifs inconscients, par tous les faux jugements de valeur que nous avons emmagasinés, et agir selon des motifs plus justes et un critère plus satisfaisant est la seule démarche qui puisse faire de chacun un être responsable, libre et heureux de vivre.
Cela, c’est vivre pleinement. C’est devenir entièrement soi-même. C’est accepter de se voir tel que l’on est et c’est accepter les autres tels qu’ils sont. C’est donc devenir capable d’aimer authentiquement.
Comment y parvenir? En écartant les masques dont on est tenté de s’affubler, les comédies que l’on est tenté de se jouer, les mensonges que l’on est tenté de se raconter dans l’espoir vain de se prouver que l’on est bien tel que l’on «devrait» être. Pour devenir soi-même, il faut donc se connaître et se connaître c’est, avant tout, être capable de dépister toutes ces tentations qui menacent notre être authentique.
Être soi-même c’est finalement admettre que l’on est tour à tous bon et mauvais, juste et injuste, tendre et cruel, jaloux, possessif ou envieux et désintéressé et généreux, au lieu de se réduire à l’un ou l’autre de ces aspects de soi. C’est intégrer tous les sentiments, les émotions, les désirs qui font partie de nous-mêmes afin que de leur confrontation résulte une attitude plus sensée et plus satisfaisante.
Il ne s’agit pas de se changer par un effort de volonté, mais de s’accepter. Car s’accepter avec sa force et ses faiblesses, c’est changer. Se donner pour but de changer est au contraire refuser d’assumer ce que l’on est. C’est projeter dans un avenir plus ou moins lointain son espoir de mieux vivre. C’est se préparer sans cesse à vivre alors que la vie est ici et maintenant.
Se découvrir soi-même à chaque instant, sans se condamner ni se justifier, et à travers soi, découvrir l’humanité entière est l’expérience qui donne à la vie son prix et sa richesse. Cette expérience est à la portée de tous ceux qui cherchent à s’orienter dans un monde incertain et secoué, à trouver la voie de l’épanouissement.
* * *
Depuis des années nous assistons, impuissants, à une détérioration croissante de la qualité de la vie – de notre vie. L’incommunicabilité entre les êtres, l’indifférence générale, le «chacun pour soi» qui en témoignent, sont devenus mots courants de notre langage, lieux communs ou presque exprimant un état de fait, une réalité avec laquelle chacun s’habitue à vivre et dont il ne se sent pas personnellement responsable. L’absence de motivation dont souffre une partie de la jeunesse n’est qu’une autre manière d’exprimer ses réticences, ses hésitations, son manque d’enthousiasme à l’égard de cette réalité qu’il lui est demandé d’assumer comme si elle était l’unique réalité de la vie: une vie sans amour et sans joie, une vie réduite à sa seule dimension matérielle, économique, une vie horizontale, linéaire et quantitative.
Dans cet océan d’indifférence quotidienne, seules surnagent les passions politiques et religieuses. Mais elles dressent l’homme contre l’homme par la conviction sur laquelle elles se fondent de détenir la vérité, à l’exclusion de tout autre. Reste la science. La science porteuse de tout l’espoir du XXe siècle. Mais une science dont il faut bien dire qu’elle est en train d’accélérer notre chute en réduisant l’être humain à l’état de matière, en niant l’esprit humain sous prétexte qu’il n’est pas constatable.
Crise de civilisation, décadence de la société, perte de nos valeurs morales, quels que soient les termes employés, ne recouvriraient-ils pas tous une même question angoissée: notre passion de vivre, notre passion pour la vie, serait-elle éteinte? Le courage, l’espoir et la foi en la vie nous auraient-ils abandonné? Nos âmes seraient-elles mortes, étouffées par nos préoccupations matérielles, nos tracas quotidiens, par les menaces de toutes sortes – chômage ou guerre – qui pèsent sur le monde et qui ne le spiritualisme des religions, ni le matérialisme scientifique ne nous apprennent à affronter calmement, véridiquement.
Entre la religion qui exalte l’esprit au détriment de la matière et le matérialisme scientifique qui exalte la matière au détriment de l’esprit, n’y a t-il pas place pour autre chose, d’autres certitudes, d,autres valeurs à partir desquelles nous pourrions réinventer notre vie? Entre le moralisme de la religion et l’amoralisme de la science entre lesquels le monde vacille alternativement, n’y aurait-il pas place pour une autre morale, une morale authentique sur laquelle nous pourrions fonder notre vie et l’épanouir? Qui ne serait pas fondée ni sur une idéologie spiritualiste, ni sur une idéologie matérialiste, qui ne serait pas croyance mais certitude, qui donnerait à notre existence une orientation et un sens, qui pourrait enfin nous servir de critère de valeur et donc de guide pour penser mieux, pour aimer mieux. Un guide pour mieux vivre, qui nous conduirait vers la satisfaction profonde de nous-mêmes et de la vie.
Un tel critère existe et au milieu de la désorientation angoissée et angoissante qui est la nôtre, il est possible à chacun de nous, individuellement, de le découvrir au fond de lui-même et de ranimer ainsi son espoir en la vie et sa joie de vivre. Paul Diel disait toujours: «Je ne vous offre pas une croyance mais une expérience».
Cette foi en la justice de la vie n’est autre que la certitude sentie et réfléchie que la vie a un sens et des lois, que s’y opposer conduit inéluctablement à la souffrance psychique, affective et même corporelle, et que s’y conformer nous conduit vers la liberté, la joie de vivre et l’amour.
Il s’agit de l’impressionnante fraude et la manipulation qui a lieu dans les marchés des métaux précieux, dont particulièrement l’or et l’argent, par des institutions financières majeures. Une histoire un peu complexe qui sera ici expliquée en termes simples et compréhensibles. C’est d’une importance capitale puisque cette fraude a le potentiel de causer un massif effondrement économique.
Depuis un bon moment déjà, plusieurs observateurs et experts aguerris avaient de sérieux doutes que les prix de l’or et de l’argent étaient vastement manipulés. Cependant, grâce à un témoignage d’un très courageux informateur, la manipulation éclatante des marchés mondiaux des métaux précieux est maintenant exposée publiquement. Elle révèle aux yeux de tous l’incroyable corruption du système financier mondial. La U.S. Commodity Futures Trading Commission (CFTC) est une agence indépendante du gouvernement américain qui est chargée de la régulation des bourses de commerce, où se traitent les matières premières et qui a pour mission de protéger les usagers des marchés ainsi que le public de la fraude, manipulation et pratique abusive.
Mais il se trouve que la Commodities Futures Trading Commission s’est assis sur de solides évidences que l’élite bancaire manipule grossièrement les cours du prix des métaux précieux depuis au moins quelques années. Bien qu’ils aient reçu des informations claires et sérieuses à ce propos, ils n’ont absolument rien fait avec celles-ci. En novembre 2009, Andrew Maguire, un ancien opérateur des marchés de l’argent métallique (trader) de Goldman Sachs, rattaché au bureau de Goldman Sachs à Londres, avait contacté la CFTC pour signaler une manipulation illégale du marché de l’argent par les opérateurs de marché de JPMorgan Chase.
Avant de poursuivre, il est important de comprendre comment le marché des métaux précieux fonctionne. Plus de 95% des transactions de métaux précieux sur les marchés mondiaux sont des échanges de titres en papier et non de métaux physiques en tant que tel. C’est-à-dire que moins de 5% des détenteurs d’or ou d’argent possèdent physiquement ces métaux, sous forme de barres, de pièces de monnaie ou autres, alors que les autres 95% ne détiennent que des titres, des documents attestant qu’ils possèdent une certaine quantité d’or ou d’argent dans les coffres-forts d’une banque quelconque à quelque part. Or, il a maintenant été révélé que la majorité de ces métaux précieux transigés ne sont pas appuyés par de véritables réserves physiques et tangibles. Depuis longtemps, la plupart des gens ont assumé que le London Bullion Market Association (LBMA), le plus vaste marché d’or au monde, possédait suffisamment de réserves réelles pour garantir les «dépôts d’or» pullulant les banques majeures de la LBMA.
Mais ce n’est pas le cas. En fait, les gens commencent à réaliser qu’il existe bien peu d’or réel dans le système de la LBMA. Lorsque les gens pensent qu’ils achètent de «l’or» ou de «l’argent», ils ne font qu’acheter des morceaux de papier attestant qu’ils possèdent ces métaux. Mais est-ce vraiment le cas? Il semble que non. Soutenant cela, Jeffrey Christian de CPM Group a confirmé lors d’audiences publiques de la CFTC que les banques de la LBMA ont effectivement émis cent fois plus de titres d’or qu’il n’existe réellement de lingots d’or physique.
Oups.
Qu’arriverait-il si tout le monde décidait de vendre ou de prendre possession de leur or? Cela pourrait s’avérer être une catastrophe. En même temps, cela pourrait aussi être une arme redoutable entre les mains de la population pour punir et envoyer un puissant message au cartel des banquiers privés qui sont les artisans et les profiteurs de cette crise économique mondiale. De véritables terroristes économiques. Mais on y reviendra plus tard.
Le fait est que, de nos jours, la plupart des transactions sur le London exchange ne sont que du papier contre du papier. Les petits et grands investisseurs le savent, les banques centrales qui sont les plus grands acheteurs nets ces derniers mois sont tout aussi conscients que ce papier ne vaut rien. Alors, on assiste présentement à une nouvelle ruée vers l’or et les autres métaux précieux qui enflamme la planète entière. Les gens achètent ces métaux parce qu’ils sont une vraie commodité, un lieu où traditionnellement les gens se réfugient lorsque l’économie s’effondre ou que le dollar américain chute en valeur. Plus la monnaie fiduciaire perd de sa valeur, plus les gens se précipitent vers ces valeurs sûres, entrainant un effet de domino dangereux. C’est la raison pour laquelle les prix des métaux précieux sont manipulés à la baisse: pour éviter cette course folle vers les portes de sortie et entrainer un effondrement catastrophique des monnaies fiduciaires, dont l’important dollar américain. Cette facette sera abordée plus en détails sous peu.
Pour l’instant, il serait nécessaire de souligner que ce n’est pas vraiment le prix des métaux précieux qui augmentent, mais bien la valeur de la monnaie fiduciaire qui chute. L’inflation est une taxe cachée, car elle est le résultat d’une dépréciation de la monnaie fiduciaire et de la contraction de la masse monétaire. Il faut donner davantage de ces billets de papiers pour acheter les mêmes produits.
Le constat est qu’il y a des milliers de clients autour du globe qui pensent détenir d’énormes dépôts en or et en argent métallique sur lesquels ils paient des frais d’entreposage et pourtant, ces dépôts ne sont qu’imaginaires – la seule chose qu’ils possèdent vraiment est une pile de documents en papier.
Andrew Maguire expliquait cette situation de cette façon: « sur 100 clients qui se présentent, il y en a seulement un qui pourra réellement mettre la main sur son or ou argent. En d’autres mots, il y en a aura 99 qui repartiront les mains vides; et sans de nouveaux fonds arrivant dans les marchés, le seul fait de demander possession de cet or ou argent va créer un défaut de paiement ». (Source)
Qu’est-ce qu’un défaut de paiement? Voici une définition assez claire:
Le défaut de paiement désigne le fait qu’une entreprise ou un pays (NDLA: ou une banque, institution financière) ne soit pas en mesure d’honorer une partie ou la totalité de ses engagements envers un tiers.
Le défaut de paiement de la part d’une entreprise peut entrainer la faillite de celle-ci.
Conséquemment, il est simplement impossible pour la LBMA de remettre tout cet or et argent qu’ils doivent aux propriétaires de ces contrats. Sans doute, cela représente un gigantesque problème. Le pire est que ce type de situation n’est pas sans précédent. Par exemple, Morgan Stanley a dû verser plusieurs millions de dollars en 2007 pour régler les poursuites judiciaires qui les accusaient d’avoir prélevé des frais de stockage auprès de 22 000 clients propriétaires de lingots d’argent qui n’existait pas.
Adrian Douglas, est l’éditeur de MarketForceAnalysis.com et membre du conseil d’administration du Gold Anti-Trust Action Committee (GATA). Il estime qu’il y a jusqu’à 50 000 tonnes d’or inexistant qui aurait été vendu. Ceci, explique-t-il, « est l’équivalent de toutes les réserves minières d’or à travers la planète qui reste à exploiter, ou encore, l’équivalent de 25 ans de production minière d’or». Le système fractionnaire bancaire est donc aussi à l’oeuvre dans les marchés des métaux précieux et cette fraude pourrait totaliser 5 trillions de dollars ($5000 milliards). Soudainement, la fraude de $50 milliards de Madoff parait minuscule.
Adrian Douglas analysait dans cet article les données de la LBMA provenant de leur propre site Internet et il a calculé qu’environ 20 millions d’onces d’or sont échangés à chaque jour. Il cite Paul Mylchreest qui a fait une analyse détaillée de ces données sur les échanges quotidiens d’or sur les marchés de Londres et il en est venu à la conclusion que 2134 tonnes d’or transigeaient par jour. Ce chiffre est énorme puisqu’il c’est 346 fois plus d’or qui est extrait quotidiennement dans le monde.
Et cela, c’est sans parler des faux lingots d’or découvert par des fonctionnaires à Fort Knox, aux États-Unis, qui est censé être l’or du Trésor américain. Des millions de lingots d’or se sont avéré être des faux! Ils contenaient des noyaux de tungstène avec seulement un revêtement externe d’or véritable. Ce phénomène de lingots d’or avec un coeur de tungstène ont fait leur apparition en Allemagne, tel que rapporté par les médias allemands et américains, mais aussi en Chine et en Angleterre. Et que dire de cet or qui rouille en Russie?
Est-ce que quelqu’un essaie de faire peur aux petits investisseurs dans le but de les tenir loin de l’or pour les pousser vers les marchés boursiers, maintenant que nous nous dirigeons vers une autre vague de cette crise économique mondiale?
Manipulation du prix des métaux précieux
William Murphy, le président du Gold Anti-Trust Action Committee (GATA), a été invité à témoigner. GATA a compilé des données sur la manipulation des marchés de l’or et de l’argent pendant un bon moment déjà.
Quand on lui a demandé une preuve solide de la manipulation, Murphy a publié une bombe bien gardée par un informateur qui avait envoyé des courriels à la CFTC en expliquant comment les traders de JPMorgan ont truqué le marché de l’or pour ensuite s’en vanter. Le dénonciateur, un commerçant de Londres de métaux précieux nommé Andrew Maguire, avait des preuves assez accablantes contre le cartel, mais le panel du CFTC était visiblement réticent à en apprendre plus et ne demandait rien d’autre à ce sujet.
Maguire a expliqué à la CFTC la manière dont s’y prenaient les commerçants d’argent chez JPMorgan Chase et leur a révélé qu’ils se vantaient ouvertement de leurs exploits – y compris la façon dont ils envoient un signal à l’avance au marché afin que d’autres négociants puissent réaliser un profit au cours des épisodes de compression des prix.
Les traders sauraient reconnaître ces signaux et faire de l’argent en misant sur la baisse du cours des métaux précieux, aux côtés de JPMorgan Chase. Maguire a expliqué à la CFTC qu’il existe des manipulations systématiques du marché au moment des expirations des contrats, ainsi que lors d’autres moments stratégiques.
Le 3 février dernier, Maguire a envoyé un avertissement deux jours à l’avance par courrier électronique à Eliud Ramirez, qui est le chercheur principal pour la CFTC, à propos d’un événement de manipulation des marchés qui était pour se produire.
Maguire a averti Ramirez que le prix des métaux précieux serait supprimés lors de la publication des données de paie non agricoles, le 5 février. Comme la manipulation des marchés des métaux précieux se déroulerait le 5 février, Maguire envoyé des courriels supplémentaires à Ramirez, lui expliquant exactement la nature de ce qui se passait.
Ce n’était pas seulement le fait que Maguire avait prédit que le prix de l’argent serait forcé à diminuer qui surprend le plus, c’est surtout le niveau de précision qu’il a été en mesure de communiquer à la CFTC qui a été le plus spectaculaire. Il avait averti la CFTC que le prix de l’argent, peu importe l’état du nombre d’emplois, se retrouverait en dessous de $15 l’once. Au cours des deux prochains jours, le prix de l’argent a chuté, partant de $16,17 l’once jusqu’à un creux de $14,62 l’once.
Grâce à l’alerte de Maguire, la CFTC a pu observer un crime se dérouler en temps réel, directement sous leurs yeux.
Alors qu’est-ce que la CFTC a fait à ce sujet?
Rien.
Absolument rien.
Les marchés ont été supprimées par les grandes institutions financières depuis des années, ce qui a créé un « étranglement » potentiel sur les marchés des métaux précieux qui pourrait envoyer le prix de l’or et l’argent dans la stratosphère.
La réalité est qu’il n’y aurait plus d’or dans le monde entier si tous les fonds indiciels cotés (Exchange Traded Funds – ETF) demandaient la livraison physique de leurs avoirs.
En fait, Maguire affirme que l’arnaque des ventes à découvert par les grandes institutions financières se chiffre en milliers de milliards de dollars, ce qui en fait une des plus grandes fraudes financières de l’histoire.
Maguire nomme cela du « terrorisme financier » et il accuse les institutions financières impliquées dans cette fraude de «trahison», mettant ainsi la sécurité nationale en péril.
La sécurité nationale est menacée.
Parce que si la véritable ampleur de cette fraude venait qu’à se savoir, elle pourrait provoquer l’effondrement du système financier dans son ensemble.
Une arme redoutable entre les mains de la population
Depuis trop longtemps, les banquiers privés ont fait la loi et sont demeurés insensibles aux aléas économiques de la population. Les financiers et banquiers privés sont maintenant coupables de crimes et de fraudes financières extrêmement graves et finalement, de terrorisme économique. Pourtant, rien ne semble pouvoir les empêcher de continuer et d’éviter la prison à vie.
Il ne reste qu’une guerre à mener – celle qui va opposer l’humanité aux banquiers privés. Beaucoup d’individus commencent à comprendre que le système fractionnaire bancaire est le coeur de leur système frauduleux, mais qu’il est aussi leur talon d’Achille. Cette arme pour s’enrichir sur le dos de la population devenue esclave économique pourrait bien se retourner contre eux, avec des effets dévastateurs. Et cette arme se retrouve maintenant dans les mains de la population mondiale.
Déjà, les Français parlent de retirer massivement leur argent des banques le 7 décembre 2010 et invite le reste du monde à y participer:
StopBanque c’est l’appel au retrait massif d’argent en banque et a la fermeture des comptes secondaires (épargnes) le 7 décembre 2010.
StopBanque c’est 14 000 participants, 61 000 personnes en attentes, première initiative citoyenne spontanée pour se défendre de la corruption médiatique et politique, et de l’esclavage de plus en plus précis que nous impose le grand capital…
StopBanque c’est aussi un écho mondial !!!
Notre démarche est Légale, Pacifique, laïque, non politisée et non syndicalisée.
Parce que visiblement, aujourd’hui, manifester ne sert plus à rien pour se faire entendre de nos élites et que le vrai pouvoir est aux mains des banques internationales,
ALLONS TOUS COMME UN SEUL HOMME RETIRER NOTRE ARGENT DES BANQUES LE 7 DÉCEMBRE 2010 !!!
À voir absolument, cette vidéo de Éric Cantona qui propose clairement cette solution pour faire la révolution:
La Révolution se fera en s’attaquant au coeur même du système:
Lors d’une interview pour le Quotidien « PressOcéan » , en marge d’un tournage d’un film à Nante le 8 octobre 2010, le célèbre footballeur Eric Cantona explique clairement une méthode de faire la révolution en s’attaquant directement au moteur du système qui sont les banques.
Ce sera une Révolution sans arme dit-il…
D’après lui, le fait de manifester dans la rue en masse n’est pas assez efficace pour faire bouger les choses… Il nous dévoile sa méthode, écoutez:
Eric Cantona parle de la Révolution selon lui.
«La révolution est très simple à faire. Le système, c’est quoi? Le système tourne autour des banques. Le système est bâti sur le pouvoir des banques. Donc, il peut être détruit par les banques! Au lieu qu’il y ait 3 millions de personnes qui aillent dans la rue, il suffit qu’il y ait 3 millions de gens qui aillent retirer leur argent des banques et les banques s’écroulent, 3 millions, 10 millions de gens… Et là, il y a une vraie menace, une vraie révolution! Pas d’armes, pas de sang, une révolution à la Spaggiari. C’est pas compliqué». Eric Cantona, 44 ans (Source)
Les évidences sont accablantes, sérieuses et pointent toutes dans une direction : la thèse du réchauffement climatique causé par la CO2 produit par l’homme est parmi les pires escroqueries de l’histoire. De la fausse science pour justifier un agenda politique mondial et une nouvelle taxe globale gérée par une institution mondiale ayant un pouvoir transcendant les souverainetés nationales des pays du monde. Ce qui est maintenant surnommé le « climategate » sur l’Internet, est le dernier clou dans le cercueil des alarmistes du réchauffement climatique causé par le CO2 et de ceux qui profiteraient énormément de la taxe sur le CO2, tel qu’expliqué clairement dans un texte précédent Maurice, Al & le Chicago Climate Exchange. Il y est question d’un conflit d’intérêt simplement impossible à résoudre et surtout, à ignorer.
Ce « climategate » rend maintenant obsolète et une complète perte de temps la prochaine conférence de Copenhague sur les changements climatiques qui se tiendra dans quelques jours. Les pays industrialisés, dont le Canada, seront appelés à signer une entente qui aura pour effet de soumettre les entreprises et citoyens du Canada et des autres pays industrialisés au contrôle d’une organisation internationale chargée d’appliquer les nouvelles règles en matière d’émission de gaz carbonique.
Les scientifiques de l’Université de East Anglia ont admis avoir détruit la plupart de leurs données de base sur lesquelles leurs prédictions du réchauffement climatique sont basées. Cela signifie que les autres universitaires, scientifiques et chercheurs sont dans l’impossibilité de vérifier les calculs de base qui démontreraient un réchauffement des températures sur le long terme, depuis les 150 dernières années. L’ UEA a été forcée de révéler ces pertes suivant une requête sous la loi de l’accès à l’information.
Ces courriels et documents sont authentiques. Ce qu’ils montrent clairement en noir sur blanc, c’est qu’il y a eu collusion pour enterrer les évidences et données qui n’allaient pas dans le sens de la théorie du réchauffement climatique causé par le CO2. Plusieurs conversations entre ces scientifiques du plus haut niveau impliqués dans le GIEC (Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat) et le réchauffement climatique et des politiciens montrent explicitement que des efforts conscients et volontaires ont été poursuivis depuis des années pour dissimuler le refroidissement global de la planète depuis au moins sept ans, en plus de discuter de manières pour faire taire les dissidents et les discréditer.
Ceci est de la plus haute importance puisque ces données servent de base aux calculs et prédictions du GIEC, qui se traduiront ultimement en une taxation globale complètement inutile et susceptible de faire s’effondrer l’économie mondiale et de garder dans la pauvreté les pays dits du « tiers monde ». Peut importe ce que les gens éclaboussés par ce scandale vous diront, il s’agit en premier lieu d’un scandale politique plutôt que scientifique.
Bien que certains scientifiques véreux comme la tête de l’unité de recherche sur le climat de l’Université de East Anglia, le professeur Phil Jones, ont tout intérêt à faire perdurer le mensonge qui lui rapporte des millions de dollars, les plus importants acteurs et bénéficiaires sont ceux qui financent ces professeurs et scientifiques. Qui sont-ils?
Plusieurs figures de proue sont des politiciens notables, financiers ainsi que des pétrolières.
En Amérique, il existe seulement un marché d’échange des émissions de carbone qui est opérant et il s’agit du Chicago Climate Exchange (CCX). Par pure coïncidence, ou pas, le fond d’investissement d’Al Gore (Generation Investment Management) est le plus grand actionnaire du CCX. Maintenant, parlez-moi d’un conflit d’intérêts! L’alarmiste le plus bruyant à propos du réchauffement climatique est le plus large actionnaire du seul marché du carbone opérant en Amérique! Sur le conseil du CCX siège aussi Maurice Strong, un canadien méconnu, mais pourtant très important.
Maurice Strong a maintenant joint Brian Mulroney et Paul Desmarais dans le groupe Asia Power Group qui a 100$ millions investi dans des projets de petites centrales électriques au charbon construites dans le sud de la Chine. Ils sont en train de considérer de plus grands projets dans le nord de la Chine, en Malaisie, aux Philippines et en Inde.
Maurice F. Strong, C.P., C.C., O.M., MSRC, né en 1929 au Manitoba, est un des principaux défenseurs de la participation des Nations Unies dans les affaires du monde. Il est vu par ses supporteurs comme étant un important leader environnementaliste. Il sera Secrétaire général de la Conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement de 1972, qui donnera naissance au mouvement environnementaliste mondial; et du Sommet de la Terre en 1992. Il sera aussi le premier directeur exécutif du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE). Maurice Strong a ainsi donc joué un rôle critique dans la mondialisation du mouvement environnemental. (Source: Maurice, Al & le Chicago Climate Exchange)
Ce marché d’échange des émissions de carbone, une future bulle financière de produits dérivés comme celles qui ont entraîné la crise financière présente, va enrichir certaines personnes comme Al Gore qui fut aidé par Ken Lay, l’ancien président de Enron dont nous connaissons tous le scandale, pour mettre sur pied la structure de la compagnie de Al Gore qui elle, a déjà investi $150 millions pour « vendre » le concept du réchauffement climatique, planifiant faire au monde avec le dioxyde de carbone ce qu’Enron a fait à la Californie avec l’électricité.
Barack Obama a aussi participé grandement à l’établissement du programme sur le carbone il y a quelques années en finançant un marché du carbone. Alors qu’il siégeait sur le comité d’administration de la Joyce Foundation, Obama a donné $1,1 million en deux dons qui ont été instrumentaux dans le développement et le lancement du Chicago Climate Exchange, une entité privée. Il est maintenant en train de pousser le Congrès à adopter un programme de réduction du CO2 et le marché d’échange des émissions de carbone en même temps qu’il admet que ce marché et les taxes subséquentes vont causer des augmentations faramineuses du coût de l’électricité. Le département du Trésor a révélé en septembre dernier que le marché d’échange des émissions de carbone supporté par Obama couterait de 100 à 200 milliards de dollars aux Américains chaque année, argent qui irait dans les coffres du gouvernement et d’institutions privées ou mondiales.
Le Chicago Climate Exchange est fortement influencé par Obama et la cohorte de politiciens et puissants acteurs tels que Al Gore et Maurice Strong. Gore, l’auto-proclamé « Saint Patron de l’environnement », achète ses crédits de carbone de sa propre compagnie Generation Investment Management LLP qui possède des bureaux à Washington et à Londres. Il est aussi fondateur et directeur de Alliance for Climate Protection et en 2004 en plus d’être le co-fondateur de Generation Investment Management (LLP), un fond d’investissement (Hedge Fund) basé en Angleterre, avec David Blood, ancien chef exécutif de Goldman Sachs Asset Management. La firme vise à investir dans le domaine des technologies et solutions “vertes” pour combattre de réchauffement climatique et dans le marché des échanges des crédits sur le CO2. LLP possède une influence considérable sur les firmes d’échange de crédits du carbone, incluant le Chicago Climate Exchange.
Al Gore s’est joint à un groupe de capital-risque nommé Kleiner Perkins Caufield & Byers. La firme a effectué des investissements de 500$ millions dans la firme de technologies vertes Green Growth Fund et le groupe a annoncé un autre 700$ millions qui seront investis sur les prochaines années dans ce même domaine.
La NASA s’était plaint de son bureau de presse interne qui « marginalisait ou représentait mal » les études sur le réchauffement climatique entre 2004 et 2006, selon un rapport du vérificateur général de l’agence spatiale, qui nommait cette attitude « d’inappropriée et d’interférence politique » par des officiels politiques nommés au bureau de presse de la NASA. [PhysOrg]
Le chef de l’environnement à l’ONU, Achim Steiner, veut une taxe globale sur le réchauffement climatique. Selon les chiffres du GIEC, il en couterait environ $100 trillions ( $100 000 000 000 000 ) pour éviter un réchauffement des températures de 1 degré Celsius en réduisant les émissions de CO2, même si on croit que les changements climatiques sont réellement causés par l’homme. $100 trillions divisé par le nombre d’habitants de la planète revient à environ $16 000 par personne. Avec le tiers de l’humanité qui ne mange déjà pas à sa faim, comment peut-on espérer payer ce montant et imposer cela à ceux qui gagnent moins de $2 par jour?
À cette rencontre, le président européen de la Commission Trilatérale, des Bilderberg et président de British Petroleum (BP), Peter Sutherland, a lancé « un cri de bataille universel pour s’occuper du réchauffement climatique d’une seule voix ». Lui faisant écho, se trouvait le Général Lord Guthrie, directeur de N.M. Rothschild & Sons, membre de la House of Lords et ancien chef de la Défense à Londres, a supplié la Commission Trilatérale de « faire face à la crise du réchauffement climatique d’une seule voix et d’imposer des règlements à l’échelle de la planète ». Aucun doute que cela saura rapporter beaucoup de profits à l’empire familial des Rothschild dû à leur propriété personnelle d’une grande partie du marché sur le carbone.
Le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, a publié un texte d’opinion dans le The New York Times parlant des critères de réussite pour la prochaine conférence sur le climat à Copenhague. Parmi ces critères, Ki-moon a suggéré qu’une « structure de gouvernance globale » soit établie pour s’assurer que les nations collaborent à la manière dont les ressources seront déployées et utilisées.
Refroidissement des ardeurs du culte du réchauffement climatique et du climat
La réalité est que le climat se refroidit depuis au moins 7 ans, si ce n’est pas depuis 1998. Des records de froid et de neige sont battus presque à tous les jours à travers le monde, mais ils sont ignorés par les médias, les politiciens et les scientifiques reliés au GIEC. Une liste de liens est disponible ci-bas, dans l’Annexe #2 pour vous en rendre compte vous-même. Nous savons, avec les carottes glacières et la géologie, que les changements climatiques sont majoritairement naturels et cycliques, influencé par le Soleil et certains mécanismes cosmiques.
Voilà ce qui arrive quand la science est pervertie par l’argent et les agendas politiques, le pouvoir. C’est la fin d’une grande fraude scientifique et politique. Le sommet de Copenhague peut être annulé. C’est une perte d’argent et de temps, alors qu’en attendant, nous ne nous attaquons pas aux vrais problèmes de pollution, de surexploitation des ressources de la planète et de répartition des ressources disponibles pour enrayer la pauvreté.
A shepherd leads his flock through a street in Zakopane, Poland, after heavy snow. The unseasonable weather killed at least four Poles and cut power and heating to hundreds of thousands of homes in Central Europe.
DAYS of heavy snow have brought chaos, death and an early start to the skiing season to parts of Europe.
Skiers are being told they can expect a sensational season after three feet of snow led many Alpine resorts to open two weeks early.
But the unseasonably early cold snap also cut power to thousands of homes and caused at least three deaths.
Pistes are already open in Austria, and there has also been heavy snow in France, Italy and Switzerland. Similar early falls last year saw the best conditions in Europe for more than 20 years.
The Alpine ski season got off to an early start last week after a drop in temperature led to an early snowfall.
Up to a metre of snow has fallen in the Austrian Alps over the past week, and in the earliest start to the season for 11 years, over a mile of ski runs were opened in Verbier, Switzerland, today after the resort saw 50cm (19in) of snow fall.
Southern California has gone from a heat wave to a cold streak, with several cities around the region reporting record low temperatures.
Record lows were reported at Los Angeles International Airport, Lake Arrowhead, Idylwild, Yorba Linda, Escondido and Lake Elsinore, among other places. Some broke records set in the 1920s and 1940s.
Driving around the Denver, Colorado metro area is a mess and giving people major headaches as they try to get around town.
The biggest storm to hit Colorado in October in twelve years is leaving roads packed with snow and ice and while crews are being credited with doing a pretty good job of keeping roads cleared, the snow is falling faster than crews can clear it.
As of the end of the day on October 29th, the total snowfall recorded at the National Weather Service office in Cheyenne, WY for the month of October reached 28.0 inches. This sets a new record for the most snowfall ever recorded in Cheyenne for the month of October. The previous record was 23.1 inches which was measured in October of 1906.
The following information is the top 5 snowiest Octobers since 1850.
“With the advent of the strong cold front, Beijing saw its first snow two months earlier than last year,” said Guo Hu, head of the city’s meteorological observatory.
(Habibullo Abdussamatov, Dr. Sc. – Head of Space research laboratory of the Pulkovo Observatory, Head of the Russian/Ukrainian joint project Astrometria – (translated from Russian by Lucy Hancock) Dr. Abdussamatov is featured on page 140 of the 2009 U.S. Senate Report of More Than 700 Dissenting Scientists Over Man-Made Global Warming. Also see “Related Links” below.)
Prof Bellamy said temperature fluctuations are part of the natural process. “The argument [for man-made global warming] is going downhill. Climate change is a completely natural thing. It is based on the sun, and at the moment we are into the 24th sun cycle and there has been no sunspots for two years. The last time that happened, the Thames froze over.”
The average October temperature of 50.8°F was 4.0°F below the 20th Century average and ranked as the 3rd coolest based on preliminary data.
For the nation as a whole, it was the third coolest October on record. The month was marked by an active weather pattern that reinforced unseasonably cold air behind a series of cold fronts. Temperatures were below normal in eight of the nation’s nine climate regions, and of the nine, five were much below normal. Only the Southeast climate region had near normal temperatures for October.
The average maximum temperature reading for the month, 47 degrees, was a full 8.3 degrees lower than the historic average, based on records going back to 1909.
THIS is the chart climate change sceptic Senator Steve Fielding hopes will convince Al Gore that global warming is not real.The graph was used by the UN in its reports on the effects of climate change. UN scientists say the world has warmed in the past 150 years, but temperatures have plateaued at warmer-than-normal levels in the past decade after a particularly hot year in 1998.
The multiple frosts that have blanketed Western Canada in the last week are the most widespread in the top canola-growing province of Saskatchewan in at least five years, the Canola Council of Canada said on Tuesday.
Two overnight frosts last week have already resulted in some Saskatchewan farmers reseeding their canola, a Canadian variant of rapeseed, said Jim Bessel, senior agronomy specialist in the province for the industry group Canola Council.
This is the new trend in climate alarmism. Previously the measure of global warming has always been air temperatures. But all the satellite data says air temperatures have been in a mild down trend starting 2002. The land thermometers preferred by the alarmists showed warming until 2006, but even they show a cooling trend developing since then.
(Land thermometers cannot be trusted because, even in the USA, 89 per cent of them fail siting guidelines that they be more than 30 meters from an artificial heating or radiating/reflecting heat source, and their data is forever being “corrected”.)
Ocean temperatures were not properly measured until mid-2003, when the Argo network became operational.
Le verdict sans appel du Dr Mörner déclare que toutes ces histoires de montée du niveau de la mer ne sont rien d’autres qu’une colossale histoire pour faire peur.
This historical global temperature chart clearly shows that nothing is happening now that has not happened in the last three thousand years. We are not to blame for the global warming that has been going on for the last 100 plus years. Actually it has been getting cooler the last ten years, so what is all the hype about this global warming? I guess the cooling trend is the reason that as of late, they have changed the name to climate change.
Think how people in Chicago feel. They’re going through the coldest winter in a quarter-century, and the ninth-coldest of all time.
In fact, six of the 10 hottest years came before 1954, with the 1930s being particularly toasty. Ever hear of the Dust Bowl?
Researchers from the Los Alamos National Laboratory discovered that the rate of warming in Greenland between 1920 and 1930 was 50 percent higher than today. And the glaciers were smaller.
Ice cores taken from a Russian research site in the Antarctic reveal that when you go back in time, the theory of global warming seems to put the cart before the horse. We are told that greenhouse gases build up and cause temperatures to rise.
But an analysis of the ice cores shows the temperature goes up first, followed by an increase in greenhouse gases. The heat is triggered by other natural phenomenon, such as solar radiation. This heats up the ocean, which releases carbon dioxide.
The amount of carbon dioxide in the atmosphere right now actually is downright paltry compared with what it has been during Earth’s history.
Two of the Arctic ice sites show April 16 ice at recent record levels. The Japanese site IJIS has a seven year April record going back to 2003, and reports 2009 levels at the highest extent on record for the date: 13,649,219 km2.
The Danish Meteorological Institute has a five year database, and also shows April 16 ice extent as the highest in their short record. A plot of April 16 extent made from the IJIS database shows that mid April ice extent has made a nice recovery from the 2004 low, increasing by more than 5%. This is probably not coincidental with the fact that since 2003, global temperatures have been declining.
A full analysis of satellite-measured lower tropospheric temperatures indicates that none of the global temperature variations from 1978 to 2008 can be attributed to the effect of carbon dioxide as a greenhouse gas. The record shows global climate oscillations with a period of three to five years and a peak-to-peak amplitude of 0.4 to 0.5 degrees Celsius about a common, fixed mean temperature that lasted from 1978 to 1997. Since this mean temperature did not change for twenty years the late twentieth century warming touted by IPCC and others simply did not happen.
Continuing a decade-long trend of declining global temperatures, the year 2008 was significantly colder than 2007, and global temperatures for the year were below the average over the past 30 years.
The global temperature data, reported by NASA satellite-based temperature measurements, refuted predictions 2008 would be one of the warmest on record.
The modest global warming trend has stopped – maybe even reversed itself.
And it’s not just the record low temperatures experienced in much of the world this winter.
For at least the last five years, global temperatures have been falling, according to tracking performed by Roy Spencer, the climatologist formerly of NASA.
A new study by Florida State University researcher Ryan Maue shows worldwide cyclone activity – typhoons, as well as hurricanes – has reached at least a 30-year low.
Two more studies – one by the Leibniz Institute of Marine Science and the Max Planck Institute of Meteorology in Germany and another by the University of Wisconsin – predict a slowing, or even a reversal of warming, for at least the next 10 to 20 years.
The Arctic sea ice has grown more on a percentage basis this winter than it has since 1979.
The number of polar bears has risen 25 percent in the past decade. There are 15,000 of them in the Arctic now, where 10 years ago there were 12,000.
“The most recent global warming that began in 1977 is over, and the Earth has entered a new phase of global cooling,” says Don Easterbrook, professor of geology at Western Washington University in Bellingham, confidently. He maintains a switch in Pacific Ocean currents “assures about three decades of global cooling. New solar data showing unusual absence of sun spots and changes in the sun’s magnetic field suggest … the present episode of global cooling may be more severe than the cooling of 1945 to 1977.”
Climatologist Joe D’Aleo of the International Climate and Environmental Change Assessment Project, says new data “show that in five of the last seven decades since World War II, including this one, global temperatures have cooled while carbon dioxide has continued to rise.”
“The data suggest cooling not warming in Earth’s future,” he says.
“(The sun) might (1) revert to the old solar cycles or (2) the sun might go even quieter into a “Dalton Minimum” or a Grand Minima such as the “Maunder Minimum”. It is still a little early to predict which way it will swing. Each of these two possibilities holds a great threat to our nation.
“We are now at a crossroad. Two paths lie before us. Both are marked with a signpost that reads “Danger”! Down one path lies monstrous solar storms. Down the other path lies several decades of crushing cold temperatures and global famine.”
The United States has shivered through an unusually severe winter, with snow falling in such unlikely destinations as New Orleans, Las Vegas, Alabama, and Georgia. On Dec. 25, every Canadian province woke up to a white Christmas, something that hadn’t happened in 37 years. Earlier this year, Europe was gripped by such a killing cold wave that trains were shut down in the French Riviera and chimpanzees in the Rome Zoo had to be plied with hot tea. Last week, satellite data showed three of the Great Lakes – Erie, Superior, and Huron – almost completely frozen over. In Washington, D.C., what was supposed to be a massive rally against global warming was upstaged by the heaviest snowfall of the season, which paralyzed the capital.
Meanwhile, the National Snow and Ice Data Center has acknowledged that due to a satellite sensor malfunction, it had been underestimating the extent of Arctic sea ice by 193,000 square miles – an area the size of Spain. In a new study, University of Wisconsin researchers Kyle Swanson and Anastasios Tsonis conclude that global warming could be going into a decades-long remission. The current global cooling “is nothing like anything we’ve seen since 1950,” Swanson told Discovery News. Yes, global cooling: 2008 was the coolest year of the past decade – global temperatures have not exceeded the record high measured in 1998, notwithstanding the carbon-dioxide that human beings continue to pump into the atmosphere.
The latest global averaged satellite temperature data for June 2009 reveals yet another drop in the Earth’s temperature. This latest drop in global temperatures means despite his dire warnings, the Earth has cooled .74°F since former Vice President Al Gore released “An Inconvenient Truth” in 2006.
A cruel summer has brought Manitoba’s third-coldest July on record.
According to Environment Canada, only twice before has any year’s seventh month in this province been as chilly as the stretch of 31 days we’ve just passed.
And Manitoba has also completed its third run of eight consecutive months with colder than average temperatures, says meteorologist Natalie Hasell.
As politicians in Washington, DC debate what to do about global warming, the Northeast has been hit with record low temperatures this morning.
According to ABC News, the cities of Binghamton and Rochester in New York and Hartford, CT experienced record lows for July today.
Meanwhile, here in the Granite State, temperatures in Concord fell to 47-degress this morning, the lowest since 1940. Temperatures in Portsmouth came within one degree of the lowest ever in July.
After a June that opened with record chill following a spring characterized by clouds, sub-normal temperatures and deluges of rain, Chicagoans increasingly anxious for summery warmth, sunshine and rain-free days must face another meteorological disappointment.
For the 12th time this meteorological summer (since June 1), daytime highs failed to reach 70 degrees Wednesday. Only one other year in the past half century has hosted so many sub-70-degree days up to this point in a summer season — 1969, when 14 such days occurred.
Wednesday’s paltry 65-degree high at O’Hare International Airport (an early-May-level temperature and a reading 18 degrees below normal) was also the city’s coolest July 8 high in 118 years — since a 61-degree high on the date in 1891.
With a cooler-than-usual winter and a mild temperatures leading up to the beginning of summer, global warming alarmists are finding they are losing steam in the debate. But “NBC Nightly News” won’t give up the fight.
…
That news of warm weather and theory of global warming was reassuring for Williams. “Glad to hear that. I was beginning to worry,” he said.
In May, 2008, the National Snow and Ice Data Center (NSIDC) predicted that the North Pole would be ice-free during the 2008 melt season because of ‘global warming.’
Today, they admitted that they’ve underreported Arctic ice extent by 193,000 square miles (500,000 square kilometers). They blamed the error on satellite problems and sensor drift.
DRUDGE-ALANCHE! Thanks to all my new visitors who Commented on this blog entry when DrudgeReport.com linked over to me. I received over 150 comments, which is more than I normally get in two months.
For the second time in little over a year, it looks as though the world may be heading for a serious food crisis, thanks to our old friend “climate change”. In many parts of the world recently the weather has not been too brilliant for farmers. After a fearsomely cold winter, June brought heavy snowfall across large parts of western Canada and the northern states of the American Midwest. In Manitoba last week, it was -4ºC. North Dakota had its first June snow for 60 years.
The high in New York City today is forecast to hover around 80 degrees, making it only the second time on record that June and July temperatures failed to reach 90, the National Weather Service said.
Central Park thermometers haven’t touched 90 degrees Fahrenheit (32.2 Celsius) since April, and if this holds through today the month would be one of the 10 coolest Julys on record, according to the weather service records.
July isn’t over yet but if current weather patterns hold Iowa could be on track for one of the coldest Julys in more than a hundred years.
Climatologist Harry Hillaker said if temperatures stay below 90 for the rest of the month, it would be the first time since 1893 that Iowa has missed a 90-degree reading in July. The current KCCI Super Doppler forecast shows only highs in the low 80s for the rest of the month.
It’s not just Iowa not feeling the heat this summer. The National Weather Service said Chicago has seen the coldest July in 67 years, with an average temperature this month of 68.9 degrees.
After the hottest spell of the year so far, sleet and snow swept in across northern parts of Britain while the rest of the country also cooled down considerably.
Temperatures dropped to a record low in Prince Edward Island overnight Tuesday, with reports of frost throughout the province.
An official record low of 3.8 C was set early Wednesday morning at Charlottetown airport.
The previous record for that date was 5.1 C, set in 2005.
Bob Robichaud, a meteorologist with Environment Canada, said that to his knowledge, frost has never been reported before in July in P.E.I.
“That 3.8 we got last night kind of sticks out as being lower than some of the other records for anytime in early July,” Robichaud told CBC News on Wednesday.
It was Christmas in July for some Westchester County residents.
A wintry mix of hail and heavy thunderstorms downed trees and utility poles in Yonkers last night — causing mountains of slush and ice to build up in parking lots and on grassy areas.
How do we know the UN’s error was deliberate? The table, as it first appeared, said the units for sea-level rise were being changed. But the table was new. There was nothing to change from. I wrote to the UN that this misconduct was unacceptable. Two days later, the bureaucracy corrected, relabeled and moved the table, and quietly posted the new version on its Web site. The two ice sheets will contribute, between them, over 100 years, just two and a half inches to sea-level rise. Gore had exaggerated a hundredfold; the UN tenfold. Hawaii is not about to disappear beneath the waves.
As reported by Anthony, RSS satellite temperature data is out for March. And as the Catlin adventurers have discovered, it has been “stupidly cold” in the Arctic. March was the second consecutive month of below normal Arctic temperatures, and the continuation of a four year cooling trend – as seen below. Google’s linest() function shows that since the beginning of 2005, Arctic temperatures have been cooling at a rate of 1.8 degrees C per decade, or 18C per century ( see comments). Also note that Arctic monthly temperature anomaly now is about three degrees lower than in January, 1981.
The WUWT Arctic Ice Thickness Survey has been conducted from the comfort of a warm living room over the last half hour, without sponsors, excessive CO2 emissions or hypothermia. The data is collected from the US military web site http://imb.crrel.usace.army.mil. All of the active military buoys show significant thickening ice over the past six months to a year, as seen below.
The expedition was blighted in the first few weeks by temperatures well below minus 40 Celsius, the equivalent of minus 70 allowing for the wind chill.
The average Arctic winter temperature is -34°C (-29°F)
ICE is expanding in much of Antarctica, contrary to the widespread public belief that global warming is melting the continental ice cap.
The results of ice-core drilling and sea ice monitoring indicate there is no large-scale melting of ice over most of Antarctica, although experts are concerned at ice losses on the continent’s western coast.
Sea ice at Antarctica is up over 43% since 1980 and we hear nothing in the news, yet Arctic ice is down less than 7% and they’re all over it! We’ve been waiting for the main stream media to pick up on the increase of Antarctic ice but so far they’re been totally absent. Guess its doesn’t fit the plan.
“Even the dedicated global warmists need to know the truth about the recent extended period of global cooling caused by our ‘SILENT SUN,’ Harris continues.
Despite predictions from a top U.S. polar institute that the Arctic Ocean’s overall ice cover is headed for another “extreme” meltdown by mid-September, the Environment Canada agency monitoring our northern waters says an unusual combination of factors is making navigation more difficult in the Northwest Passage this year after two straight summers of virtually clear sailing.
The giant Greenland ice sheet may be more resistant to temperature rise than experts realised. The finding gives hope that the worst impacts of global warming, such as the devastating floods depicted in Al Gore’s film An Inconvenient Truth, could yet be avoided.
Recent satellite observations from the Arctic indicate that spring ice melting is beginning at a lower rate than normal this year. According to the National Snow and Ice Data Center, the area of ice-covered ocean has decreased only about 750,000 km2 from its peak value at the end of February, compared to a normal decline of 1.1 million km2 by late April. If this trend continues, the annual ice melt in 2009 may be less than in recent years, and the late summer Arctic ice extent may rebound from its well-publicized downtrend.
Ice in the Arctic is often twice as thick as expected, report surprised scientists who returned last week from a major scientific expedition. The scientists – a 20-member contingent from Canada, the U.S., Germany, and Italy – spent one month exploring the North Pole as well as never-before measured regions of the Arctic. Among their findings: Rather than finding newly formed ice to be two metres thick, “we measured ice thickness up to four metres,” stated a spokesperson for the Alfred Wegener Institute for Polar and Marine Research of the Helmholtz Association, Germany’s largest scientific organization.
De prime abord, il faut que je vous avoue que je n’ai pas du tout été happé par ce qui se passe en Iran et je n’arrive pas encore à m’expliquer pourquoi, exactement. Enfin, pas avant la fin de semaine dernière. C’est que j’ai parlé avec un ami qui m’a fait part de sa vision des choses, vision qui ne cadre pas du tout avec ce qu’on entend par les temps qui courent. Surtout pas en phase avec la pratique qui consiste à afficher sa photo en vert sur Twitter pour appuyer les partisans de Mir-Hossein Mousavi. Et la lecture d’un billet de mon confrère Pierre JC Allard, « Twitter et démocratie », a fini de me convaincre d’aller voir de ce côté.
Premièrement, la CIA. Ils ont fait le coup une fois en 1953 de fomenter un soulèvement populaire afin de renverser un gouvernement démocratiquement élu. C’est assez logique de se poser la question aujourd’hui si ce n’est pas seulement une répétition de l’histoire, avec les moyens technologiques actuels, mais ça ne viendra pas de nos médias « mainstream ». Alors, on va du côté alternatif, mais pointer ça c’est réellement suspect… Parce qu’on ne peut pas réellement rien faire d’autre que soulever la question, étant donné que les seuls échos proviennent de ce qu’on peut appeler le « journalisme citoyen », même si l’expression est galvaudée, via Twitter, YouTube, Facebook, etc.
Tout le monde sait que l’Iran est depuis longtemps une épine dans le pied des États-Unis. Et la seule manière d’arriver à mater Mahmoud Ahmadinejad, ça serait par la voie arrière, puisque par devant c’est bloqué diplomatiquement. Sommes-nous certain que ce spectacle de Twitter-réalité ne soit pas seulement un spectacle, du moins en partie, pour préparer une quelconque légitimité guerrière?
Devant la crise économique états-unienne qui nous tient en haleine, et en plus en crescendo, il y a bien sûr deux solutions diamétralement opposées, soit plus de réglementation pour encadrer le monde de la finance, soit un abandon total de la mainmise étatique sur l’économie. Je peux vous avouer ici que le dilemme est pour moi puissant. Deux lectures récentes m’ont influencé dernièrement sans que je puisse vraiment pencher d’un côté ou de l’autre. Il s’agit du billet « La fin d’un modèle », du Hou-Hou Blog, et de « Le château de cartes financier s’effondre » de Martin Masse pour le Blogue du Québécois Libre. J’espère pouvoir trancher à la fin de ce billet, mais je ne suis pas très optimiste.
Le premier, Houssein, prend pour preuve la restructuration des banques d’investissements indépendantes Morgan Stanley et Goldman Sach en société financière de portefeuille (Bank Holding Company — beaucoup plus sujette aux réglementations étatiques) pour affirmer que le « système financier hors de tout contrôle » est en faillite, et que c’est « un aveu des géants de la finance, un aveu d’échec : nous avons gaffé, nous n’y arriverons pas tous seuls, nous avons besoin de l’aide de l’État, et de garde-fous qui nous empêcheraient de faire des conneries dans le futur. »
Le deuxième, le libertarien, explique que le gros du problème concerne directement l’intervention de l’État, et pas seulement la réglementation : « on se prépare déjà à d’autres faillites en chaîne, le système financier étant construit sur une gigantesque fraude pyramidale, dont la base est constituée par la monnaie papier ne valant rien que nos banques centrales impriment en quantité industrielle depuis des années, et dont elles inondent les marchés par des politiques de taux d’intérêt maintenus artificiellement bas et d’autres techniques d’intervention encore plus directes. »
Voilà pour la mise en situation. Nous sommes en face de deux réalismes bien distincts qui prennent chacun le pouls de la situation selon leurs paradigmes bien impossibles à concilier, au premier abord. Tandis que le premier culpabilise les financiers quasi à outrance, le deuxième refuse totalement d’admettre leurs torts. Mais Martin Masse a beau écrire que la « cause première n’est pas la “cupidité des marchés” », il faut bien admettre que les requins de la finance nagent dans l’eau du système en place et qu’ils se sont servis où ils pouvaient se servir. Un changement vers « moins de réglementation et plus de liberté dans les marchés financiers » ne les rendra pas moins voraces et plus soucieux des répercussions sociales et environnementales de leurs activités. Ça, je n’y crois pas. L’hommerie ne disparaîtra pas par magie en coupant les tentacules de la bête nommée État.
Tant que le système économique n’aura pas été remanié en profondeur, j’aurai tendance à me ranger du côté d’Houssein, tout en prônant un retour à une économie basée sur autre chose que de l’air… ce qui sied très bien à la pensée de Martin Masse. En espérant que cela ressemblera à faire de la haute voltige sans filet de sécurité.
J’aimerais terminer avec un commentaire trouvé sur le carnet de Gérald Filllion, qui cite les mots, éclairants, du professeur d’économie Bernard Élie, de l’UQAM, ce qui me semble faire le pont entre les deux :
Toute crise économique est toujours due à un surinvestissement, qui a pour but d’atteindre une croissance de plus en plus élevée. La crise qu’on connaît aujourd’hui a été provoquée par cette recherche d’avoir toujours des rendements maximums en ce qui a à trait aux bénéfices des sociétés financières, peu importe les conséquences. La spéculation et toutes ces aventures de crédit sont complètement déconnectées de la réalité « vraie ». Actuellement, une des principales caractéristiques de notre capitalisme, c’est l’hyperconsommation et l’endettement au détriment de l’épargne. C’est, en quelque sorte, une fuite en avant en faveur de la consommation. La maximisation des rendements et des profits, toutes les crises économiques commencent comme ça…