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Suicide d’infirmière : les assassins invisibles

Gaëtan Pelletier

Au prix de quels bonheurs et de quelles douleurs, enfin, le salarié fabrique, résiste, crée, s’épanouit ou craque ? « Le travail est un carrefour de valeurs différentes et de finalités divergentes ». Nous faisons face a une déshumanisation presque totale du monde du travail : peur du chômage, isolement dans l’entreprise, compétition avec les collègues… tout ce qui, en fait, réduit doucement mais sûrement l’individu à « sa seule dimension économique.   Salade niçoise

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Un sac vide tient difficilement debout.

Benjamin Franklin

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(Québec) Une infirmière du Centre hospitalier universitaire de Québec (CHUQ) qui s’est donné la mort avait été forcée de retourner au travail, alors que son entourage constatait qu’elle était inapte à le faire. Dans une lettre laissée à ses proches, la femme de 58 ans soulignait elle-même que son retour précipité au travail constituait une des difficultés qu’elle vivait.

Quatre infirmières du CHUQ se sont suicidées depuis un an et demi, a confirmé jeudi la direction du centre hospitalier (lire l’encadré). L’une d’elles, que nous appellerons Diane, avait 37 ans d’expérience et était à un an et demi de sa retraite. Le Soleil a parlé avec l’une de ses proches, qui a confirmé de nombreuses informations obtenues d’abord de la part d’une collègue.

Diane était en congé de maladie lorsqu’elle a dû rencontrer le médecin du bureau de santé du CHUQ pour une contre-expertise.

À sa sortie du bureau, «elle avait les larmes aux yeux parce que le médecin la retournait au travail. Elle m’a dit qu’elle n’était pas prête», a raconté la collègue qui l’a rencontrée à ce moment. Cyberpresse

Le bonheur….

Sois heureux avec le moment. Tout bonheur qui dure est malheur. Aie du respect pour tous les moments, et ne fais point de liaisons entre les choses. N’attarde pas le moment : tu laisserais une agonie. Vois : tout moment est un berceau et un cercueil : que toute vie et toute mort te semblent étranges et nouvelles.
Schwob, Le Livre de Monelle, 1894, p. 19.

Le travail n’a jamais tué personne… Jusqu’à maintenant. Jusqu’à ce qu’il devienne un « but » dévié  pour une société où les travailleurs sont piégés  dans une toile d’araignée tissée par des bureaucrates aux mains d’un beige lavabo.

Faire le bien et se faire mal. Avoir mal au travail. Ça n’en finit plus.

Ce  « fait divers » passera… Mais on prolongera la durée de vie d’un mode de « vie » où les chiffres parlent, les mots se taisent, et les cris de désespoirs étranglent bien des travailleurs.

Il faut bien le dire en mots crus : notre société en est une où on mensonge à coups de propagandes de deux faussetés :

  1. Plus on a ( matériel) ,  plus on est heureux.
  2. Faites carrière et réalisez-vous.

Jetez un œil dans votre entourage. Vous serez étonné de voir le nombre de personnes dites en « détresse psychologique ».

L’énoncé est aussi raffiné que l’histoire de l’aveugle devenu « non voyant ». La réalité est passée au savon… Un monde ou tout est frelaté. Dans quelques années les morts deviendront des « non-vivants».

Le bonheur de grand-mère…

C’était chaque jour le même paysage d’eau et d’herbe, le même bruit de machine et d’eau : mais nous aimions qu’un seul matin ressuscitât de matin en matin, un seul soir de soir en soir. C’est ça le bonheur : tout nous était bon.
S. de Beauvoir, Les Mandarins, 1954, p. 423.

Dans les années 50, dans un petit patelin, de maisonnettes, de bois, de rivières, grand-maman était sans doute la plus pauvre des femmes. Mais elle avait quelque chose pour vivre en harmonie avec la nature et les êtres : un jardin, une famille, des rires, 17 enfants, et un peu de gin…

Elle vivait l’hiver parce que c’était l’hiver. Elle vivait l’été, parce que c’était l’été.

Dans son potager, avec sa robe fleurie, elle se fondait à la terre.

Elle est décédée dans notre maison, à l’âge de 86 ans.

C’était en 1966, je crois.

Pas une seule seconde de sa vie, elle a pensé au suicide. Tout simplement parce qu’elle connaissait la nature et ses lois.

Elle égrenait un gros chapelet noir chaque jour. Aujourd’hui, on fait du yoga, de la méditation transcendantale, des thérapies, et on commence à penser au sexe à 14 ans.

Elle a fait tout ça, sans l’aide de l’État.

Je pense qu’elle m’a appris à être heureux avec presque rien. Même pas de papiers, de formules à remplir.

Elle n’a jamais su ce qu’était qu’un psy.

Et c’est pour ça que je me dis que la misère compliquée est bien pire que la simple.

Le tapis et la poussière

Aujourd’hui, un art de vivre (sic) consiste à cacher les misères créées en les enfouissant sous un gros tapis de formulaires, de complexités, d’analyses, de spéculations, de pilules, d’hyper organisations, de spécialistes faisandés,  pour en arriver à un résultat inférieur et à une vie dénaturée . La nature, ce n’est pas seulement les plantes… C’est nous. Nous dans nos relations, notre quotidien. La race humaine…

Le coupable est dans le « papier »… Tout est complexe, et de la tête du haut fonctionnaire, jusqu’aux petits exécutants, les ordres étant les ordres, on obéit. Il n’y a pas de procès à faire. Ni personne à blâmer…

C’est un déni de nos l’échec de notre société… On peut analyser  autant  qu’on voudra pour connaître des « pourquoi » des « raisons », et du reste… Les formules et les artifices  ne remplaceront jamais la Vie. Nous sommes devenus tout simplement hypocritement des assassins invisibles.

La manière de faire a tout dépassé. Même ce qui serait le but ultime : l’humain.

Humanisme. Un mot… Un mot enseveli sous la couche trop épaisse du circuit complexe entre la « machine » et l’être humain.

Tant et si bien que l’on ne comprend plus rien.

C’est la fondue totale des humains par un système de bureaucrates qui font leur boulot.

On meurt donc en court « de feuille » ou de rapports…

Les travailleurs sont maintenant enterrés dans une fosse commune : le tapis.

On veut bien être boss, mais pas nettoyeur…

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P.S. : Elle avait un beau chapelet la grand-mère… Je me demande si cela ne remplace pas tous les formulaires, les états d’âme piteux, la vanité,  et n’éloigne pas les diables qui nous fournissent des formules de bonheur.

Si elle avait été une infirmière de carrière… Je ne l’aurais peut-être pas connue…

Et certains enfants ne connaîtront pas leur grand-mère.

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Les usines à « mains invisibles »

Image: abblobuzz

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Dans le domaine socio-économique, la main invisible évoque l’idée que des actions guidées par notre seul intérêt peuvent contribuer à la richesse et au bien-être commun.

Wiki, Main invisible

L’ennemi dispose d’un arsenal superraffiné, fourni par la Science à son service, il la paye.       Conditionnement systématique, psychologie appliquée, psychothérapie, psychiatrie, biochimie, psychochirurgie s’il faut, telles sont les armes qui en escalade prendront le relais de l’autorité défaillante et faillible. Et l’État s’en occupe lui-même. ecolesdifferentes

Les hommes s’imaginent faire des enfants, alors qu’ils ne font que d’autres hommes.

San Antonio

Toutes guerres sont enfantines et livrées par des enfants.

Herman Melville

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Le jour où mon père m’annonça que je n’irais pas à l’école cette année-là, j’en fus attristé. Pain obligeant, nous devions aller passer l’hiver dans un camp de bûcherons en Abitibi. Je regardais ma mère lire, le nez « trempé » dans son livre, et j’imaginais le plaisir qu’elle en retirait… J’étais en âge d’aller à l’école, mais…

Pourtant, après toutes ces années, il me reste de  souvenirs divins de cette période  où j’étais le seul enfant du camp. J’ai dû apprendre la nature s’exprimer… Je suis encore imprégné de ce dur hiver, de cet ours qui s’est approché de moi pour me renifler – je pensais que c’était un gros chat, ou je ne sais quoi,  et d’un bûcheron attaqué par un orignal, et du printemps…

Qu’est-ce donc que ce mot « apprendre » si ce n’est d’apprendre la vie?

L’année suivante, à mon arrivée à l’école, j’ai appris à lire très vite… Et je me souviens de la fierté d’avoir appris mon premier mot de 5 syllabes : locomotive.

Au point où chaque jour – étant donné que nous habitons près d’une voie ferrée – je peste contre ce long cinq syllabes. On m’a appris à être moins patient. Et les écrits sont les écrits. La vie, c’est tout  autre chose…

Le train a perdu ses cinq syllabes… C’est devenu un juron… Le plus court…

Les petits bouts de choux

Comme disait Pennac, ce sont des « énigmes lumineuses »… Soit. Mais quand arriva l’émancipation de la femme – celle qui devint « l’égale  de l’homme », avec tout ce qui s’ensuit, élever des enfants a fini par être une un clair-obscur… La démocratie s’est déplacée dans la famille : tout le monde a le droit à la parole… Et tout le monde a raison…

Le film « Famille » devint un film sans casting… On ne sait plus trop qui est le boss et tous les sujets sont « à discuter ».

Et voilà que la famille devient… une entreprise.

Après avoir fécondé « in  cabanon », – certains à 200,000$ –  les bouts de choux, les deux carriéristes doivent mettre des bains à l’agenda et faire le taxi pour les choux qui doivent se cultiver ou devenir des vedettes.

Ça use…

C’est la raison pour laquelle on a créé une émission de télévision où l’on « retrousse » les couples pour une soirée : coiffure, habillage, sortie.  Ils arrivent à l’émission comme si un tsunami leur était passé dessus et « jouent à ce qu’ils étaient »….Pour se rappeler  qu’ils s’aiment.

À se demander si l’émancipation de la femme n’a pas été une conspiration de l’État pour faire deux esclaves au lieu d’un…

Et à créer deux demi-parents…

Pelletier inc.

À un moment donné de la vie, avec deux ou trois enfants, on dirait que le nom de famille n’est plus qu’une compagnie à numéro. Surtout qu’il faut faire la lecture, jouer avec eux … en attendant les vacances pour se reposer et revenir plus fatigués encore.

C’est cette impression qui m’est restée des premières années ou nous étions devenus des   Bruny Surin exangues , un peu détroussés de cellules rouges, à force de courir du matin au soir. Blêmes, blafards, bien habillés, mais l’âme en lambeaux…

La compagnie à numéro était devenue une greffe de l’État.

Que fait l’État?

Elle les prend jeunes, les enfants.

À quatre ans, ce sont tous des génies : ils savent qui est Einstein, mais ils ne savent pas s’habiller seuls. Papa et maman font comme dans l’émission de télé : ils les habillent. C’est à ce moment que vous vous rendez compte qu’une main a dix doigts, et qu’on comprend l’utilité de la mitaine : ça « vous »  va comme un gant. Pourvu qu’on trouve le pouce. De toute manière, on fait tout sur le pouce… Même l’amour…

La nécessité du « génie »

Il en est qui ont des ambitions pour leurs enfants. Einstein ou Guy Lafleur, peu importe. Du grand…

Ce qui me rappelle une anecdote savoureuse racontée par une compagne de travail :

«  Tu as eu trois enfants?

– Ouais! Deux filles, un gars…

– Qu’est-ce qu’ils font maintenant?

– J’en ai une qui fait de la recherche en laboratoire pour une grande société pharmaceutique.

– Ouah!  Et l’autre…

– Elle a 31 ans… Elle termine un doctorat en chimie moléculaire…

– Et le fils?

– Il est plombier.. Par chance qu’on l’a pour vivre… »

Pour le bien de l’État…

À se demander si « les obligations » de l’État ne passent pas avant celles de la famille?
Difficile d’avoir une famille « soudée » quand deux travailleurs sont devenus les conjoints d’une compagnie «importante », jouant un rôle « important », dans une société toujours la plus importante. Le monde à l’envers…

Dans une vie antérieure, ils étaient habillés  en lambeaux et on les endimanchait  pour aller à la messe et pour se recueillir en famille dans un jour « férié »,  et manger un poulet sans hormones. Le grand luxe… On mangeait bio sans le savoir… Aujourd’hui, on le sait, mais il faut être bien nanti et suspicieux…

L’expression « besoin essentiel » s’est répandue partout…Tout est devenu urgent. On n’est pas des humains, on est des pompiers de l’État.  Alors, tout le monde travaille sous le régime de « besoins essentiels ». Les « services essentiels » : les magasins, les usines, bref, tout le roulement de la production.

Et les enfants finissent par faire partie de la chaîne.

Pause cimetière

Pendant une ballade, Juliette et moi sommes arrêtés devant une église qui nous a menés à un cimetière. On y distingue les pauvres des riches… Mais il y a une place pour le « juste milieu » : les riches comme les pauvres perdaient énormément d’enfants en bas âge.

Les cimetières font réfléchir… Supposons que vous ne pouviez  qu’emporter 21 grammes d’ici-bas… Comme dans Si c’état vrai… Qu’emporteriez-vous?

Une année en Abitibi… Ou un poème Les abeilles de lumière

Imaginez que vous êtes assis sur la lune et que vous regardez les morts et les vivants sortir et entrer en des points lumineux. C’est pareil à une ruche… Quelqu’un  parmi vous a déjà capturé des lucioles dans un bocal? … Ils s’éteignent, s’allument… Pareil à la Vie…

Après l’élevage du cheptel

Bon! Nous allons pouvoir nous reposer… Les enfants sont partis faire leur vie… Liberté!

Bang!

Le gouvernement découvre la « non-productivité ». Et le vieillissement de la population… La retraite? Pas question… Il vous flanque alors un nouveau programme pour inciter les gens à travailler jusqu’à 67  ans. Et vous avez payé toute votre vie… Ils vous accusent de vivre trop vieux…

Peut-être que l’État a trop investi dans les avions?  Ou dans la peur? Ou d’autres, ces « créateurs d’emplois »,  dans le détournement des « abris fiscaux »… Les gros…

Avant, on avait peur de la mort…

Maintenant, on a vraiment, mais vraiment peur de la vie…

L’école de la magie

Parce que la mort n’en fait plus partie. Les abeilles  en voie de disparition. Comme dans la vraie vie…

La « réalité » est un cadavre… Déjà… Comme dans le livre Déjà Dead de Kathy Reichs.  La famille?  Trop décomposée pour être autopsiée …

Ce sont les enfants de l’État. Lessivés au luxe des carrières sur papier glacé qui sont en kiosque  dans les écoles. Ce qu’on leur enseigne? Une Histoire trafiquée… Comme la longue marche des peinturés dans le coin du parlement d’Ottawa.

La piscine hors terre et la piscine hors prix des G…

Ne reste plus qu’à vivre à la « philosophie » profonde des gouvernements en chambre, et demeurer optimiste, comme eux …

Dans un jeu de mots candide, mais confirmé et  étriqué  : « Après l’appui c’est le beau temps… »… C’est bon pour un You Tube de 1,26 minute.

Les parents « accordéon »

L’État – dans ses « grandes valeurs »-  ne nous a-t-elle pas refilé son grand costume d’orgueil et d’ambition? Mais comment?

Les parents sortent  de la vie fripés comme des accordéons après avoir élevé deux ou trois enfants…

Avant, on en élevait en moyenne 8 ou 9…  L’État les a en main…  Et nous sommes devenus la main de l’État.

On est lentement devenus des usines à mains invisibles…

Comme le disait cet africain – et j’y reviendrai :

« C’est comme voler une chemise, et rendre seulement un bouton à son propriétaire », (Ken Saro-Wiwa. )

Je viens de vous le dire… La main invisible?

On vit sur le pouce…

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Gaëtan Pelletier

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L’hémoroïdocratie

La légion d’honneur, c’est comme les hémorroïdes, aujourd’hui n’importe quel cul peut l’avoir. Jean Yanne

Si le roi te reçoit et que tu es mal à l’aise, c’est que le roi est mal élevé.

Marc-Gilber Sauvageon
Extrait de Les enfants d’Edouard

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Que l’on  s’entre-médaille  à qui mieux-mieux, ça peut toujours aller.  Mais nous voilà à une ère non pas nouvelle, mais de plus en plus  dévoilée. On  ne devrait plus se poser la question : nous sommes dirigés par qui? Non, maintenant, c’est… par quoi?

Où sont les vrais dirigeants qui ont de la classe?

Ils sont là à se tortiller comme des anguilles sous roche pour aller enfouir leur avoir dans des paradis fiscaux.

Sarko le TGV

Sarko sur l’Afrique :

…le problème principal de l’Afrique venait de ce que « l’homme africain n’est pas assez entré dans l’Histoire. (…) Le problème de l’Afrique, c’est qu’elle vit trop le présent dans la nostalgie du paradis perdu de l’enfance. (…) Dans cet imaginaire où tout recommence toujours, il n’y a de place ni pour l’aventure humaine ni pour l’idée de progrès Sarkozy

Sarko est un train qui essaie de rouler à haute vitesse mais qui déraille en …marchant.

Les trains font du bruit.

Comme disait le haïtien au sujet d’un chroniqueur : «Il vit au dessus de ses moyens intellectuels, et il risque de faire faillite».

Sarko sur le Québec :

les aspirations du Québec ne sont que « sectarisme », « enfermement sur soi-même » et « détestation de l’autre ».

Démocratie ou monarchie d’affaires?

La question est la suivante : ce qui a été créé pour le pays – les honneurs, les récompenses, sont-ils devenu   l’apanage d’une clique qui se « médaillent » sans respects envers  les   citoyens de leur pays? Et quand ils ne se médaillent pas, les coulisses sont potelées de couleuvres.

On est « dirigés » par des couleuvres…

Hémorroïdes

Les hémorroïdes sont une dilatation des veines de la zone anale (anus et rectum) et du tissu qui les entourent ; ce phénomène est semblable aux varices qui peuvent apparaître sur les jambes. Situées au niveau de la sous-muqueuse du canal anal, elles jouent un rôle physiologique dans la continence en  contribuant à la fermeture de l’orifice anal. Source

Une enflure… Mais située à un endroit plutôt critique… Essayez de vous asseoir tranquillement dans la vie pendant que les peuples sont dans le rouge parce qu’on se soigne aux onguents un peu forts dans les hautes et moyennes sphères?

Le dernier « scandale » est ici :

Claire T., qui a travaillé pour la famille de mai 1995 à novembre 2008, soutient :

  • que Mme Bettencourt donnait souvent de l’argent aux politiciens de droite, et qu’elle a notamment donné 150 000 euros (200 000 $) à Éric Woerth en mars 2007;
  • que cet argent lui a été demandé par le conseiller financier de Mme Bettencourt, Patrice de Maistre. Ce dernier aurait déclaré qu’il donnerait « discrètement » l’argent à Éric Woerth lors d’un dîner. Ce dîner, dit-elle, a eu lieu peu après;
  • que Nicolas Sarkozy a lui-même reçu des enveloppes d’argent au moment où il était maire de Neuilly, en banlieue de Paris, entre 1983 et 2002.  Radio-Canada

Scandale?  On en a tellement au Québec et ailleurs que les juges n’ont pas le temps d’aller uriner pour passer d’une cause à l’autre… Même en «  miniaturiserant »  les enveloppes brunes comme les amateurs de modèles réduits d’avion, plusieurs passent les filtres engourdis par les tubes à onguents qui font de beaux chapeaux à nouvelles, soit à la télé ou sur le net.

Sarko? Pas plus ou moins intéressant qu’un autre. Chacun a son style et vogue dans un canevas distinct. Ce qui n’arrange pas le pauvre citoyen qui se croit investi d’une mission dans un monde  où tout va mal… Ou de mal en pis, comme dirait la vache… Laissons-nous tirer le pis, même si ça fait mal.

Le lait est une nourriture liquide pour enfants…

Où en sommes-nous avec la démocratie?

Nous en sommes à l’ère de la consommation de la « nouvelle »… La « nouvelle » qui en enterre une autre le lendemain. On fait Ô! On en parle, puis plouf! Le grand trou noir les avale. Le stand-up cosmique…

S’il existait un ritalin pour soigner l’Histoire, on pourrait se concentrer un peu.

Non.

All Zheimer..

Pour un portrait de l’humanité? Ouvrez une boîte de sardines… Bien cordées, têtes et queues bien alignées.

Le cauchemar climatisé

Un livre  Henry Miller Portrait de l’Amérique sous cellophane, énorme pamphlet contre le confort et la bourgeoisie, le meilleur exemple de ce qu’est la vie pour Miller.

Suffit de faire un copier-coller « mondialisé » pour afficher le portrait des sardines que nous sommes devenues. Et l’autre belle expression de Miller : La Crucifixion en rose…

Travaillez plus fort, le monde va mal… Mais il est beau en même temps qu’il fait mal.

Mais pour qui?

C’est comme ça qu’est née l’Hémoroïdocratie…

Vous avez le feu au derrière mais vous êtes les pompiers du « monde qui va mal ».

Ça chauffe, et plus ça chauffe, plus il y a de vendeurs d’onguents.

Mais pour que les vendeurs d’onguents roulent sur l’or, il faut que ça chauffe.

Il leur faut du bois, du pétrole, et du pouvoir…

Quant aux « allégations », plus il en passe, plus on oublie.

Gouverner est devenu un art entre mettre le feu et l’éteindre.

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Les sacs 9/11

Apparu dans les années 1970, le sac plastique fait maintenant partie de notre quotidien. Chaque année, les Québécois en utilisent des milliards pour faire leurs emplettes. Selon Recyc-Québec, entre 1,4 et 2,7 milliards de sacs circuleraient annuellement sur le territoire du Québec soit l’équivalent d’environ 350 sacs pour chaque Québécois.

Le même scénario se répète ailleurs dans le monde :

  • Les Français utilisent 17 milliards de sacs de plastique par année, soit 280 sac/personne/an (donnée 2003).
  • Les Belges utilisent 3 milliards de sacs de plastique par année, soit 300 sac/p/an.
  • Les États-Unis consomment annuellement près de 380 milliards de sacs de plastique (1500/p/an) et d’emballages de toutes sortes.
  • Taïwan consommait 16 millions de sacs de plastique par jour avant d’interdire son utilisation en 2001.
  • En 2002, les Australiens ont utilisé 6,9 milliards de sacs (345 sac/p/an) soit l’équivalent de 36 850 tonnes de plastique.

Le sac de plastique est en quelque sorte devenu le symbole de nos habitudes de consommation : nous l‘utilisons une ou deux fois pour ensuite le jeter et l’oublier. Bien sûr, il est utile, mais est-il indispensable? Ekopedia

Le téléphone arabe  des « Ils ont dit… »

Le soporifique et occulte  « Ils »… Qui sont-« ILS » ?

« Ils ont dit »  que ça détruisait  l’environnement… ». Je sais… Et ils ont raison… Mais les « Ils ont dit » et les « Ils ont fait » n’ont pas de liens.  Une fois le petit catéchisme imprimé, les « Ils ont fait » suivent chacun leur méthode. La première consiste à se servir du sac en y mettant le nom de leur compagnie. Nous voilà des pubs ambulantes. La SAQ a ses sacs verts, les grandes surfaces, les épiceries, les quincailleries.

On est tous rentrés dans une parade d’Irlandais… Vert  pas de pissenlits. Il y a quelques années on vendait – et on en vend encore – de ces pioches à pissenlits pour les arracher un à un, pour éviter d’utiliser des herbicides.

Elle dort dans le garage… Et moi sur le divan… La pelouse – pas certain que c’en soit une  – prend  l’air d’une pub de Petit Larousse. Là où je ne « pige » pas, comme dirait Bérurier, c’est que tous les photographes et les peintres courent ces mélanges de couleurs, alors que l’industrie vend des griffes pour « désherber »…

Si on laisse faire les « Ils ont dit… » , ils vont finir par importer de la main-d’œuvre pour arracher des pissenlits.

Les « Ils ont dit » sont champions dans l’hypnotisme de la population.

Et ça nous coûte les yeux de la Bête.

L’éperlan et l’Osmerus

Juliette étant partie pour quelque jour, je me suis dit que c’était l’occasion de festoyer à l’éperlan.  Elle n’en mange pas… Trop d’arêtes…

Personne n’en veut, on dirait.  Si on le nommait de son vrai nom, Osmerus , le raffiné urf viderait son portefeuille … Ou, à tout le moins, dépenserait…

On en veut si tellement peu que les pêcheurs d’éperlans font du compost avec leur surplus.

C’est un pêcheur qui l’a dit, pas un politicien. Sinon, ça s’appellerait une dépêche…

***

– Entre 150g ou 200g d’éperlan, s’il-vous- plaît!

Je n’ai jamais vu un si beau sourire… Il y avait de la parade au fond de ses yeux… C’est comme si elle les avait cirés avant de me parler : il y avait de la lumière jusqu’au plancher.

Mais les complotistes ont de drôles de réaction : ou bien je l’intéressais, ou bien elle voulait se débarrasser de son poisson.

C’est au moment de passer à la caisse qu’une odeur m’est restée collé : la caissière s’est retournée et ne m’a pas offert de sac. Moi qui suis snob comme Bérurier , j’ai pris mon petit paquet avec des pinces de homard frustré et je suis sorti.

Dans un petit  centre d’achats…

Ensuite,  je  suis allé me procurer de la vitamine C.

– Voulez-vous un sac?

Je lui ai expliqué que j’avais différents achats à faire et que…

– C’est 5 cents…

Pendant que BP flambait les éperlans, les homards, les crevettes, et les pêcheurs avec,   là, au bout du monde pas loin d’ici,  avec  son geyser « accidentel »… Un sac à 5 cents. 20$ milliards de dollars pour BP et son président hélicopté.

« Je m’excuse!  »…

Essayez de tuer votre femme parce qu’elle ne mange pas d’éperlan et dites ensuite : « Je m’excuse »?

Les super riches sont des Osmerus et les pauvres des éperlans. L’un est responsable, l’autre est coupable.

C’est la chambre à gaz à coup sûr, ou l’injection …

C’est l’ère des catéchismes  compressés en mp3…

On se télécharge du savoir trop vite… On croit plus vite que son ombre.

Dans un monde laïc, les « Ils ont dit… » sont des dieux.

Les créances ont leur panthéon…

La caisse confessionnal

Si vous appartenez à une génération qui êtes passée par le confessionnal, vous vous souvenez du malaise à avouer ses péchés sans… mentir. C’était une sorte de chambre à décompression pour se soulager de la peur de l’enfer.

Il y avait là un blanchisseur d’âmes. Je me souviens de mon curé  qui souffrait d’asthme, et j’essayais de ne pas trop le malmener en bémolisant un peu mes fautes. J’avais peur qu’il s’étouffe…

Puis ce fut l’ère de la psychologie et de la psychanalyse.

Un prêtre par paroisse.  Un psychologue ici et là… Et des vendeurs de « bonheur » à toutes les sauces…

Mais pour la nouvelle religion d’État, le vert à tout prix, il y 8 convertis sur 10 à la grande mission.

Chaque caisse a son tribunal. Chaque caissière ou caissier est un juge. Et chaque regard est comme ce doigt de Dieu sortant des nuages pour foudroyer  le pécheur.

— Vous voulez un sac?

C’est le résultat d’un mouvement bien organisé qui multiplie ses clones fanatiques à la vitesse des chaînes de montages.

— Euh!… Oui.

Vous sortez du magasin, soulagé comme si vous veniez de sortir avec  une bombe.

Vous vivez dans un monde de la culture hydroponique d’Al Gore : tout le monde est « Al ».

Ou un clone… Sorte de perroquet mutant qui parle en couleurs sans émettre un son.

L’enfer  est dans le sac

Amusez vous à googler en inscrivant « sac de plastique » pour saisir l’ampleur de cette fièvre. On comprend que le le 7 ième continent ne soit  pas une « soupe plastique » dont on peut se vanter…  Il faut toutefois démêler l’utile au désagréable… Tout dire et ne rien faire… Voilà une belle plaque d’immatriculation.

Or, les affichages ou nominations étant vertes, ce n’est pas dire que le produit l’est :

Les biodégradables : ils ne sont pas biodégradables si on les envoie avec les autres rebus. Ils ont besoin d’oxygène. De sorte qu’ils produisent des gaz à effet se serre.

Les oxodégradable : sac de plastique. Donc le terme n’est qu’une sémantique,  en fait c’est un terme de marketing,  il est fragmental, il se dégrade, sauf que  les parties sont soudées avec une colle qui endommage l’environnement.

Dégradable ne signifie pas compostable. Combiné au plastique il corrompt la chaîne davantage puisqu’il n’est plus recyclable.

Bref, les sacs de plastique conventionnels sont souhaitables puis qu’ils sont recyclables et qu’ils peuvent être réutilisés.

Pèlerinage à composte-t-elle?

Le mouvement de cette ère du diable plastique proviendrait de Washington. L’argent  amassé aurait servi à décontaminer des eaux de la rivière Anacostia  ou, à tout le moins,  à des intérêts écologiques.

Au Québec, il n’y a pas de mouvements centralisateurs concernant la politique de l’usage à faire concernant ces sacs.

Chacun pour soi…

Certains versent les revenus à des écoles pour organiser des activités. Métro donne des fonds à des écoles qui présentent des projets divers. Loblaw également,  vise à promouvoir des projets via les écoles : pièces de théâtre, capsules radio, livres pour enfants.

La palme va à Rona qui en partenariat avec Hydro-Québec et le gouvernement du Québec a investi 750,000$ pour… « La maison du développement durable ». Des locaux pour les « papes » le l’environnement … Équiterre, et les autres « soutanés ».

Pour écourter l’histoire, c’est une taxe camouflée et souvent des revenus pour certaines compagnies et instruments de promotion ou propagande.

On crée le « péché » et on vous le vend à 5 cents.

Le problème est que l’on créée une infinité de petits psy-curés-moralisateurs.

Il y a plus dangereux que le plastique : le citoyen plastifié. Un personnage moulé aux idées dépeignées  des États.

Quand le XXX bat le PPP

Un milliard de sacs, çà doit représenter des emplois?  Ça,  on n’en parle pas. Je suppose donc qu’il y a une industrie en danger.  Sinon  il faudrait  simplement cesser d’en fabriquer. Pour faire preuve de bonne volonté, on pourrait au moins investir cet argent dans des plantations d’arbres ou je ne sais quoi. Ou encore créer un concours avec une récompense (pris sur les 5 cents) de 250,000$ à qui créerait le sac le plus original réutilisable.

Si à Washington a dépollué une rivière avec l’argent des sacs, je propose que l’on investisse cet argent dans la dépollution du parlement en se payant une moitié de la chambre avec des députés indépendants.

Je suis prêt à acheter des sacs, à sortir de mon divan avec ma pioche à pissenlits…

Le sac est dans le chat

Il est étrange que dans certains secteurs on fasse preuve d’une ingéniosité remarquable. Prenez « l’industrie du sexe », elle a réussi  à créer un sous-vêtement mangeable. Vous pouvez en commander chez Erosquebec.

Nous  ne sommes pas capables  de créer un sac « vert »? Qu’on donne un contrat sous forme de PPP à ce XXX!

En passant, les sacs coûtent deux cents à produire… Le reste est un revenu supplémentaire seulement camouflé.

Certains proposent des sacs en osier… Un peu encombrants, mais biodégradables.

Pour le québécois, pourquoi pas un sac en écorce de bouleau?

Je n’ai pas encore entendu parler d’un  8e continent formé des déchets des  canots amérindiens…

– Vous voulez un sac?

– Oh! Oui. J’ai deux chats et nous les utilisons pour … la litière. C’est gênant à dire, mais un chat est un chat…

– Alors, puis-je avoir  votre carte et votre numéro d’enregistrement du registre des chats du  Québec?

***

Dumont, 360 degrés

You Tube : La vérité sur les sacs de plastique

Gaëtan Pelletier

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Business: arme de destruction massive

Source de l’image:itelegraph

« Les barbares n’ont pas de champs, le massacre est pour eux ce que le labour est pour nous »

— Li Po (701-762), in Quand les Chinois cesseront de rire le monde pleurera de José Frèches

Des mouches aux mains d’enfants espiègles, voici ce que nous sommes pour les dieux ; ils nous tuent pour s’amuser.    Shakespeare, Le roi Lear.

***

Le dieu du 20e et 21e siècle : la trilogie du business, de l’État, et du matérialisme démesuré…

Au début du siècle dernier, les frères Wright « inventaient » l’avion, Ford, la production en chaîne,  et les banquiers suivaient de près… Voler à la vitesse des chaînes de production.

Depuis des siècles, le mal a détruit des civilisations, par les guerres, l’avidité, le pouvoir.

Pourtant, le 20e siècle était prometteur : il devait de par sa technologie et ses sciences enfin soustraire l’être humain à certaines tâches pénibles.

Le progrès. Un mot certain, une notion en charpie…

Après un siècle, c’est le constat d’un échec : celui d’une autodestruction possible et de plus en plus vraisemblable.

Dans le golfe du Mexique, le pétrole coule à flot… Un incident  (sic ) qui aurait pu être évité.

Le groupe pétrolier BP était sérieusement préoccupé par sa plate-forme Deepwater Horizon, mais a néanmoins violé ses propres règles de sécurité, a rapporté tard samedi le New York Times, citant des documents de la compagnie.

Le 22 juin 2009, des ingénieurs de BP estimaient que l’enveloppe métallique que la compagnie voulait utiliser pourrait céder sous une forte pression, selon la même source.

«Cela serait certainement le pire scénario», mettait en garde dans un rapport interne Mark Hafle, un ingénieur spécialiste en forage chez BP.

La groupe pétrolier a néanmoins maintenu sa décision d’utiliser ce coffrage, mais seulement après avoir obtenu la permission d’autres responsables de BP car une telle mesure violait les propres règles de sécurité de la compagnie, poursuit le journal citant le rapport. Cyberpresse

L’alliage venimeux

La cupidité a toujours fait partie de ce monde. Ce que l’on a détruit pour civiliser a laissé des traces dans l’Histoire: les Conquistadors espagnols, non seulement détruisirent les civilisations de la Mésoamérique , mais certains s’entretuèrent  pour l’or.

C’était au temps où briser une civilisation « barbare », au sens de différente, n’avait pas d’effet sur une planète. Des boutons d’acné dans le visage d’un humain adolescent.

C’est la supériorité technologique qui permit ces « victoires ». C’était là le commencement de la « preuve faite » de la supériorité du développement technologique, ce dieu si cher à l’Occident.

Si l’idée de  Civilisation fut longtemps liée à celui de religion et d’organisation selon un modèle « précis et fermé »,  la nouvelle religion de l’argent pour l’argent est en train d’avaler une planète. Car l’alliage d’une finance corrompue avec celles de développements  technologiques vient de souder le diable à la machine.

Le monde ne sera plus jamais le même…

Connaître et savoir : l’eau de javel au service du barbarisme cravaté

Le barbarisme actuel est la censure de la différence appuyé par le rouleau compresseur des machines à produire des Inc. par procédé de robotisation.

Le « piton »…

Dès lors, les responsables n’ont plus de nom, mais seulement des acronymes : BP, GS, PC, PLC, ONE, ONU, et le reste… On a les Attila techno-monétarisés virtuels… Des Attila de claviers…

On ne sait plus trop qui pendre…

Pendre des lettres ou les passer à la guillotine?

On n’a jamais autant dormi dans un monde ou l’on vend de la « connaissance » pour camoufler le savoir…

Le savoir se distingue par divers traits d’un ensemble de connaissances en particulier par la dimension qualitative : l’acquisition d’un savoir véritable suppose un processus continu d’assimilation et d’organisation de connaissances par le sujet concerné, qui s’oppose à une simple accumulation et rétention hors de toute volonté d’application. Au niveau individuel le savoir intègre donc une valeur ajoutée en rapport avec l’expérience vécue et de multiples informations contextuelles. Savoir, Wiki

Il est important de faire la différence puisque nous vivons de plus en plus sur une accumulation de connaissances fascinantes, mais confuses, désordonnées, chaotiques…

Le « spécialiste » est le Satan du siècle…

On est loin du petit amérindien catholicisé, tiré de sa tribu, rasé et civilisé selon UN code. Nous voilà en face de pays, de continents, et d’une boule bleue…

Mais toujours UN code…

Les squeegees fluo

Quand les barbiers de la finance vous font une coupe, soyez sûr que vous vous retrouverez avec le crâne d’un squeegee, non plus au coin d’une rue, mais sur un blog ou dans le Golfe du Mexique à décrasser les macules mondialisées.

Nous sommes devenus les « femmes de ménage » de la saleté des banquiers, des requins aux dents en or… C’est ce qui nous pâme… Ils jouent de l’argent comme Jimmy Hendrix jouait de la guitare.

Des requins rock : avec la distorsion qui s’ensuit…

On ne mâche pas les proies, on les dépèce du corps à l’âme : Monsanto, BP, GS, … Fabuleux! Hitler avait Éva comme couverture… Les amours des avaricieux ont tous des amants acronymes. Ils sèment entre eux et se récoltent entre eux… Un monde Monsanto capable de créer un plante résistante  aux poisons.

Satan n’a d’intérêt que pour les ombres…  Les noirs, jadis, n’avaient pas d’âme… Nous voilà à l’ère des nègres fluo à laver des vitres grandes comme les océans.

Peut-on aller aussi bas dans « l’acceptation »?

Peut-on aller aussi loin dans l’auto tricotage des chaînes?

Je pense que oui…

Le « rôle » de la démocratie

Théoriquement, la démocratie serait efficace.

Comme les rois de jadis. Mais elle s’est trouvé une religion : « la banquise ». C’est froid, inhumain, mais ça a l’effet d’un stroboscope : on est étourdi et on perd de vue l’essentiel.

Regarde avec tes oreilles, disait Shakespeare. Sinon c’est la brisure  entre le savoir et la connaissance.

La démocratie?

La voilà devenue un château de pierres dormantes, une catatonie (forme de schizophrénie caractérisée par des périodes de passivité et de négativisme alternant avec des excitations soudaines) dans une soutane blanche comme un lavabo de PDG.

La démocratie est l’ombre de la finance. On ne peut pas être plus « volatile » et léger… Elle ne marche que si la finance « marche »… C’est un crédo souffreteux qui nous empoisonne l’existence.

C’est une reine qui vit dans un château, mais qui n’a plus de pouvoirs.

Il est minuit moins cinq…

Nos « représentants » portent maintenant le ridicule de leur attribut.

Comme les vendeurs de « brosses »….

L’argent soûle…

Sagesse et technologie

C’est là le drame… On a cultivé, en un siècle, une technologie enivrante – et ce dans de nombreux domaines – sans y lier le « savoir » nécessaire.  De sorte que nous nous retrouvons avec des dirigeants et « spécialistes »  en culottes courtes, les poches bourrées d’argent, comme les enfants avec des jeux vidéo.

Nos dirigeants  sont niais et ignorants,  joufflus pourprés, les jambes blanches comme la tête, à sautiller devant leur réussite sans faire le lien avec  le phénomène de la naissance du « Je » fabriquée par un « Nous ». Tout est relié… On appelle cela la socialisation… Ni conscients  des forces de la Vie. Des « supérieurs » répugnants avec un discours d’eau de Cologne. Les rois de jadis ne se lavaient pas, ils se parfumaient…

On n’a jamais autant camouflé les odeurs de la pestilence de ce dieu qui passent dans nos vies comme les lucioles que nous attrapions, enfants, et placions dans des bocaux.

***

La « machine » vient de surpasser l’Homme incapable de la contrôler ou de s’en servi à bon escient.

Tout cela peut se résumer dans le film Avatar que plusieurs critiques ont dénigré. « Avatar, n’est pas un grand film! ».

Non, ce n’est pas un grand film pour les non-voyants de l’Histoire.

Pourtant, il la résume en 162 minutes : refuser de voir la grandeur de la différence, de la Nature,  et de l’humanité  dénuée de technologie : des  nègres bleus à convertir…  Il ne peut y avoir de cohabitation entre les humains  si les humains perdent le lien qui les unit : l’échange, le don de soi, la fraternité.

Ce n’est pas un choix, c’est une nécessité pour la survie.

Tout le « mouvement » humain est désormais soumis à une technocratie de paperasse, de lois à contourner, de règlements. Nous voilà « machines issues de la machine »…

Prenons cinq minutes de silence, comme si quelqu’un d’important allait mourir…

Nous.

Les simples, les travailleurs, les éclopés, les croyants naïfs… Les gens qui luttent contre cette  trilogie de poisons organisés qui se prennent pour des dieux.

Courez   pour  vous procurer des iPad…

Le grand problème est qu’on ne peut y déplacer des nappes d’huile avec un doigt. La planète n’est pas « virtuelle »…

C’est le miroir du 21e siècle pour les indigènes aux  cerveaux stérilisés et manipulés.

En jetant un œil « en arrière » sur l’Histoire, c’est à se demander si elle n’est pas  davantage une destruction « chanceuse » mais persistante.

La survie n’est pas une réussite, c’est un échec de la Vie.

Pourtant, on avait tout pour réussir… La cupidité à la Ponzi est une arme atomique…

J’ai toujours trouvé que la cravate ressemblait à une épée suspendue au cou de ces gens « propres »…

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Classé dans Actualité, Gaëtan Pelletier

Ajouter de l’eau à la soupe…

D’autres mesures fiscales à venir

De plus, l’indexation du régime fiscal à un peu plus de 2 %, la hausse de 500 $ à 1 000 $ de la déduction accordée aux travailleurs et la bonification du crédit d’impôt pour le maintien à domicile d’une personne âgée sont autant de moyens qui, appliqués dès le 1er janvier, devraient réduire de 800 millions de dollars la charge fiscale des particuliers.

« En 2003, le contribuable québécois payait, en moyenne, 592 $ de plus que ses voisins des autres provinces. Dès l’an prochain, cet écart sera ramené à 269 $ », conclut M. Tomassi.  guidemtnord

Joli rappel! Hein?  C’est là tout le problème… Nous consommons des promesses.

Je regardais les oiseaux mangers des vers dans mon potager. Toute une bande de petits Tomassi en culottes courtes… Et ils chantent toujours le même joli refrain.

Tom Assis

Vous vous méfiez de M. Tomassi?

C’est un chérubin de garderie. Un ange… Il a des ailes plantées dans le dos comme les sculptures de Jobin.

Le roi de la patate chaude.

L’insignifiant édulcoré.

La brèche du parti libéral.

Mais il n’est pas dangereux. Il est langé comme un bébé dans ses couettes d’argent, de discours engraissés aux savons des pousses  de couennes de cochons.

Ils ne sont pas tous comme « ça ». Mais ils se divisent pour régner…

Vous rêvez en pensant qu’il est dangereux.

Vous ne voyez que la couchette du lardé.

Dans un système mondialiste, c’est une écharde au doigt. Point. Et toutes les poules qui cacaillent   au parlement ne sont que  du même mouillement.

Comme disait mon beau-père, si la visite arrive, on ajoutera de l’eau à la soupe…

***

C’est une douceur M. Tomassi. Le monde a besoin de douceurs acides. Comme la tomate.

En fait, il ressemble à une carte postale des années 50. Gribouillée dans un coin de cerveau plus conformiste qu’un gardien de musée.

Et tous les jours, tous les  jours nous avons des nouvelles de la carte postale dans tous les journaux.

Nous voilà choqués, honteux, disgracieux, postillonnant sur cyberpresse, à la télé, et dans tous les ailleurs possibles.

La corrida des veaux dans l’enclos des  pis. On leur fournit  chaque jour le tétage dont ils ont besoin.

De mal en pis. Comme ils disent…

C’était en 2003

Je parle de la « promesse » de M. Tomassi.

Dans le « piaillage », la mémoire a tendance à oublier.

Les politiciens ne sont plus que les graffitis collés au mur de brique du parlement. Ils s’entrent-barbouillent eux-mêmes, se croyant dans une lutte importante. Des lutteurs dans la boue… Pendant que le solide, lui, efficace, roucoule dans l’arrière décor, se vautrant, s’enrichissant, ricanant à voir ces engrangés de luxe « parlementer ».

Ne nous demandons pas pourquoi il y a tant de corruption. La corruption a le temps de faire son propre « réingineering »   pendant la longue pause de l’inaction.

Il en est passé des politiciens sous les ponts.

2010

Comme disait le poète :

Sous le pont Mirabeau coule le cent… Le dollar, l’argent, l’or, et les cévéistes de passage…

Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu’il m’en souvienne
La joie venait toujours après la peine
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure

Guillaume Apollinaire, Alcool

Transposez.

Pas fou le poète!  Les politiciens sont comme l’eau, ils passent… Goutte à goutte.

Mais nous, nous sommes – en société – les locataires d’un pont, affriandés par le spectacle de la rivière. Hypnotisés par les reflets du soleil sur l’eau.

Et nous   voulons qu’ils démissionnent. Comme si on voulait se débarrasser d’une goutte pour refaire la rivière.

Il viendra bien une autre goutte pour nous trouer le front de la goutte qui fait déborder la vase :

Mélange de matières organiques et de terre qui forme un dépôt au fond de l’eau.

En  fait, ils s’arrangent pour être sédimentés au fond de la petite rivière du temps. À l’abri, formant une couche solide pour la « génération » suivante de gouttes d’eau.

C’est comme ça qu’ils restent « solides ». Car à travers l’eau brouillée, ils s’arrangent entre eux, se perpétuent dans le   futur par  un peuple figé, à la fois agacé, et qui participe au jeu de cartes.

On ne peut pas leur faire plus plaisir…

Envoyons-leur des fleurs! … Félicitons-les!  Pendant que M. Tomassi fait de la jonglerie avec sa défense basée sur le même principe que le découpage aux ciseaux auquel se livrent les enfants des garderies, on a l’âge de sauter et de barbouiller les sociétés.

C’est beau les dessins d’enfants…

Les desseins d’adulte, ça l’est moins…

Il paraît que la peau se régénère à tous les sept ans. C’est l’âge du mandat du PLQ. Normalement, il aurait passé de la garderie au primaire.

J’en veux un peu – et nous en voulons tous ( si seulement nous aurions pu nous souvenir) de décembre 2008.

Je donne toujours la chance au coureur.

Aux coureurs de fonds?

Je n’ai pas de préjugés. En politique, on coure tous le marathon des fonds…

Je suis toutefois obligé de constater que décembre 2008 était une période charnière pour donner au gouvernement libéral la chance de prouver qu’il pouvait être honnête dans sa démarche.

C’est bien là la grandeur  puérile  de M. Charest qui s’acharne à dire qu’il a enrichi le Québec.

Il faut lire à travers les lignes de son facies, comme ces gens qui lisent dans les rides des mains,  pour constater qu’il a l’air déçu. Je pense qu’il aurait aimé… Le  reste n’étant  que « politique » et combat.  Un jeu qu’il affectionne… Combattant!

Mais c’est anémiant pour un peuple que de payer autant de jouets à des gamins « de la trempe de M. Tomassi ».

Au fond, au fond des fonds et du tréfonds, M. Tomassi est pour un temps le jouet de M. Charest.

Pendant qu’on s’attaque à ceux qui font des ronds dans l’eau, ce cercle s’agrandissant en vaguelettes, nous oublions la cible : le mieux-être des citoyens.

La véritable corruption

Vous vous demandez à quoi je veux en venir avec cette réflexion aux dentelles étranges?

À ceci…

Pendant qu’on ne fait rien, le regard tourné vers la petite corruption – bien coûteuse, il faut l’avouer – la grande, elle, ne perd pas de temps.

Les garderies, c’est « tout petit  ». Les gros joueurs profitent du surplace des structures désuètes des sociétés en affinant leurs techniques de corruption.

Eux, ils l’ont, le « réingineering ».

Le résultat de l’efficacité d’une « pègre » mondialiste est si évident qu’il met en danger des pays :  Grèce, Japon, Potugal Québec,  et ceux à venir.  Car si on ne règle pas la dette vers 2014, on rejoint les rangs des cartes de crédit boursoufflées.

Les Godman Sachs ne discutent pas en circuit fermé : ils agissent.

La visite s’en vient… Ajoutons de l’eau à la soupe…

Gaëtan Pelletier

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Budget Bachand : remède de cheval par une équipe d’ânes

Gaëtan Pelletier

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Le Québec a longtemps vécu au-dessus de ses moyens. Sa situation financière est intenable. Le ministre des Finances pouvait-il faire autrement ? Et si oui, comment ? Sybelpresse

Le parti libéral a tenté de trouver tout l’amidon  disponible pour recoller les grands morceaux de leur vase grec échappé au ralenti pendant sept ans.

Les politiques à court terme, ou pas de politique du tout – sauf celle de l’asphalte et du serpent keynésien qui se ronge la queue avec l’argent des québécois –  le parti libéral est vraisemblablement le meilleur coureur de fonds aux olympiques de l’auvent couvert. ( Bon! Un petit jeu de mots de temps en temps, ça relaxe un peu…)

Le parti « rouge » porte bien son nom. On en est rendu à cracher le sang de nos portefeuilles.

Un parti de cireurs de souliers de coins de rue…

On frotte la cuirette jusqu’à s’en faire un miroir de Narcisses qui se vautrent dans le pouvoir pour noyer le citoyen.

Du nid de poule au Grand Canyon

Si le parti libéral avait pour tant soit peu voulu être sérieux dans sa démarche, telle que stipulée en 2003, il aurait lentement évité ces « vieilles manières de faire »  tout au long de ses 7 années de « règne ». Comme les garderies à 7$ et le dossier du financement des universités, et des cadres moins « peinturés ». Une œuvre d’art au Louvre des SS… Comme dans tsutt! Silence on tourne.

Il a lancé le Québec dans un vaste programme de « mise en chantier »… Au point tel, ou l’offre était plus forte que la demande. De sorte que les ouvriers et les « ensembles » de l’industrie de la déconstruction se sont gavés du plat à en avoir les babines rouge-à-lèvre.

Comme un petit air sournois de vampires dont les canines sortent même la bouche fermée.

On avait un nid de poule… On a un Grand Canyon.

Et là, on cherche la terre et les camions pour remplir cette béance. Pour faire pire, il ne reste plus qu’un météorite frappant la Terre.

Mais essayez donc de faire un film avec un budget?

Le pas fait et  « l’à faire » …

Le résultat de la brique  reçue avec tous ces fanaux, c’est qu’elle  aurait due être fragmentée avant d’être lancée. En ce sens, tous les gouvernements qui passent ont la manie de sauter la réalité en se disant que pour un mandat, bof!  À force de laisser moisir l’eau et le ciment, ça fossilise un État et le fige.

Et dans le collier de perles de ces mandats, les successifs gouvernements  se renvoient leurs erreurs, leurs lichettes, comme des bouviers en mal de se faire aimer. Et Dieu sait qu’ils ont la langue longue et la gueule d’une grue de chantier.

On se lègue et relègue des chantiers abandonnés.

C’est le peuple qui ramasse les morceaux.

Quant aux « coupures » dans la fonction publique, on verra. Mais il n’y a jamais eu quelque chose à voir dans ces mesures de pastiche de morale. La chorale des petits chanteurs  à voix de bois aurait besoin de cesser de faire du lip-synch…

À vouloir rouler au dessus de la limite permise, M. Charest a pris le clos. Le voilà à tenter de recoller les morceaux du véhicule  accidenté qu’est le Québec.

Les politiciens sèment, les citoyens récoltent.

Mais il n’y a jamais assez de blé pour nourrir un enclos de cowboys pour qui nous sommes des vaches.

La hache 1 du parti Passe-Partout

Et les 220 $ Millions pour l’escouade de l’aiguille? Et toutes ces publicités pour nous annoncer une Shoah québécoise? Et ces salles louées non utilisées? Et les bavures cachées?

Il faudrait se trouver une « Truth One One . Le camouflage est le mensonge gris des ânes a recouvert un énorme tapis avec sept années de poussière.

Oublions la petite balayeuse à succions (budget) pour déloger la crasse. Je ne fais pas que le procès du parti libéral, mais d’une succession de déculottés qui mignardent un peuple au lieu de le respecter. Car le percevoir incapable de comprendre ce qu’il faut pour un Québec en santé financière, c’est faire preuve d’irrespect. Ne rien faire pour le rendre fier et fort, c’est le considérer comme bas et à la hauteur d’un petit représentant de la race canine à dresser.

Un tort à partager

Il n’y a pas que M. Charest de frisé au Québec. Les ânes ont hélas bien des moutons!  Et une filière de journaux et de postes de télévision qui ont la peau épaisse comme un ballon de fête. Avec un petit ruban rose… Même Radio-Canada nous a présenté une barbe-à-papa dans le dossier de ce célèbre H1N1. De quoi se méfier des autres dossiers traités   par la suite.

L’agenouisme (sic)  commence à coûter cher au peuple.

Ne reste plus qu’à trouver un vaccin pour les hachoirs de nos avoirs. Du moins ce qu’il en reste…

On a la tête sur le billot…

On a un passé de bûcherons…

***

Ce qui me rappelle une chanson :

Laissons-les

Laissons-les

Laissons-les s’aimer…

Je veux bien, mais les rejetons de ces aventures de lit sont bardés de trop de préservatifs pour enfanter.

Au Québec, on fait la culture des fœtus depuis des décennies.

On se croirait dans cirque des années 20 – de l’autre siècle – mais c’est nous qui regardons les fêtards,  recroquevillés dans le bocal.

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Classé dans Actualité, Gaëtan Pelletier

L’OGM de la politique

Dimitri Soudas, qui a aujourd’hui 30 ans, est l’un des premiers et plus fidèles soldats de Stephen Harper. Adéquiste au provincial et ancien collaborateur du maire Gérald Tremblay, ce Montréalais d’origine grecque est l’attaché de presse du premier ministre depuis son accession au poste de chef de l’Alliance canadienne, en 2002. Cyberpresse, Hugo de Granpré

Le vendeur du temple…

Trente ans,  et l’un des plus influents auprès du P.M. Harper…

Pas besoin de tracer un CV plus long de Monsieur Sidas (sic). De la graine de politiciens à remplir une pomme de vers.

—— Forwarded Message
From: « Soudas, Dimitri » <Dimitri.Soudas@pmo-cpm.gc.ca>
Date: Mon, 14 Dec 2009 07:45:12 -0600
Conversation: Hoax press release
Subject: Hoax press release

Dear media,

You may have received a release entitled:

« CANADA ANNOUNCES REVISED FIGURES FOR EMISSIONS REDUCTIONS, RELIEF FUNDS »

This is not a government of Canada press release.

We’re told it may have been issued by mr. Guilbault from equiterre.

If that’s the case, time would be better used by supporting Canada’s efforts to reach an agreement instead of sending out hoax press releases.

More time should be dedicated to playing a constructive role instead of childish pranks.

Dimitri N. Soudas
Associate Director | Press Secretary
Directeur  associé | Attaché de presse

Communications
Prime Minister’s Office
Cabinet du Premier ministre

On ne peut pas produire plus beau torchon. Assez surprenant que ces gens de « haut niveau » se croient intelligents dans leurs manœuvres pour duper les citoyens, la presse, et le reste du monde.

En plus d’être le maître du « tampon », sabordant les rapports entre les journalistes et le Sieur Harper, M. Saoul d’As est aussi petit champion des combines  sous la couverture chauffante de la politique.

Insinuant que le canular aurait été lancé ou monté de toute pièce par Steven Guilbault, cela démontre un « pli ce cerveau » mal ajusté. Un brin torve…

Le gouvernement canadien n’a pas de service de renseignement pour trouver l’origine du canular? TVA l’a fait en quelques heures. Sauf que dans le cas de cet inepte fielleux, il s’est rapidement empressé de refiler la note à un « ennemi », sachant bien que dans les heures à suivre quelqu’un délogerait les auteurs.

Dans les bandes dessinées nous avions Denis la petite peste. Les enfantillages dont parle M. Soldas concernant Steven Guilbault, sont hélas les siennes. On dirait un gamin sorti d’un concours de tartes à la crème et d’un petit Génie en herbe rapides sur le piton mais moins futé qu’une branche de céleri.

C’est avec « ça » qu’on fait de la politique au Canada. On devrait changer la feuille d’érable pour une feuille de céleri… Ou d’olivier… On verra plus tard…

VERT

Monsieur de Club Sodas est plus vert que Steven Guilbault en matière de stratégie. Quoiqu’il les multiplie pour calfeutrer les médiocres…Compensation…

Affronté par M. Guilbault dans les corridors à Copenhague, on a pu voir dans ce mi sourire citronné, un rejeton à la Cheney et son insolence acide et amorale.

De la graine de politicien. Ce dont on a le moins besoin…

Je ne sais pas pour vous mais moi j’ai été choqué de voir Dimitri Soudas interagir avec Steven Guilbeault à la sortir de sa réunion. Choqué de voir Dimitri Soudas tapoter de la main l’épaule de Steven Guilbeault tout en lui disant qu’il n’a pas à être offensé. « You should not be offended. You should spend your time helping Canada… » Guy Michel Lanthier

À se demander ce qu’on peut repérer derrière un front pareil.

Du vide…

Une petite filière grecque?

Depuis quelques jours, cette soirée fait des vagues sur la colline parlementaire à Ottawa, où les conservateurs doivent répondre à des allégations de conflit d’intérêts et de « trafic d’influence » puisque c’est en effet la firme BPR, dont Housakos est le président de la filiale TerrEau, qui a obtenu un gros contrat pour la réfection du pont Champlain.

Housakos a travaillé fort dès le début des années 2000 pour convaincre plusieurs communautés, dont la sienne, d’abandonner la tradition du vote libéral.

Sa proximité avec le gouvernement conservateur à Ottawa, qui distribue des milliards en ce moment au moyen des programmes d’infrastructures, lui conférerait aussi, toujours selon nos informateurs, un poids certain au Québec. Son cercle d’amis comprend plusieurs noms qui ont surgi ici et là dans l’actualité. Des amis que l’on retrouve ensuite souvent pas très loin de lui, que ce soit en politique ou dans les affaires.

En premier lieu, son ami d’enfance Dimitri Soudas, conseiller et porte-parole de Stephen Harper. Soudas et Housakos ont dû se défendre pendant l’hiver 2008 d’allégations d’ingérence politique en faveur de la firme Rosdev, du puissant homme d’affaires Michael Rosenberg, plutôt influent à Outremont. Léo Housakos, Rue Frontenac

Jeux de société

Si vous n’avez rien à faire pendant les fêtes et que vous voulez vous amuser, nul besoin de vous acheter un jeu de société. Suffit de googler : tapez Soudas  BPR TerrEau, Housakos, GéniEAU, Dumont, Tremblay, Harper, sénateurs, Accurso, contrats, élections, collusion, etc.

Bref, créez votre « propre » monde à partir du cerne autour du bain… Vous arriverez aux tentacules d’un monde poli dont les ramifications vous feront oublier le cordon emmêlé de votre coupe-bordure.

La politique est tellement liée au monde des affaires dans un tortillage pestilentiel qu’il faut se boucher le nez pour jouer.

J’en ai pris un long comme ça…

La firme de génie-conseil BPR a payé au fil des ans des voyages de pêche à des élus de municipalités avec qui elle brasse des affaires. Des fonctionnaires du ministère des Affaires municipales ont également pris part à ces excursions de trois ou quatre jours toutes dépenses payées, a appris Le Devoir.

Il ne s’agit toutefois pas d’une pratique isolée. Selon les informations recueillies par Le Devoir, des dirigeants de la firme d’ingénierie Dessau invitent régulièrement à la chasse et à la pêche des clients potentiels ou déjà établis au camp appartenant au club privé Mazana, dans les Laurentides. Chez Dessau, on affirme que la firme n’est pas membre de ce club privé bien que «probablement» elle le connaisse. Dessau n’avait aucun commentaire à faire quant à la possibilité que des dirigeants de la firme puissent en être membres puisqu’il s’agit «d’adhésions personnelles».

Chez BPR, interrogée à trois reprises sur ces voyages, on a refusé de faire quelque commentaire que ce soit après avoir reconnu toutefois que l’entreprise possède bien un camp de pêche. Celui-ci est situé sur les bords du lac Wilkin, à environ 50 kilomètres au nord-est de La Tuque, dans la réserve faunique des Laurentides.

Des maires et des conseillers municipaux de différentes municipalités de la région de Charlevoix ont participé à des voyages de pêche à la fin des années 1990 et au début des années 2000 à l’invitation de BPR. À la même époque, d’importants contrats d’assainissement des eaux (égout) étaient projetés dans la région. Ont suivi des contrats concernant l’eau potable, dont une usine de filtration à Saint-Irénée conçue par BPR.

«De beaux voyages» Kathleen Lévesque, Le Devoir ( Disposaglelogins)

Monsieur Soudas a un bel avenir. Et tout le talent qu’il faut…

La politique c’est comme le maïs de Mosanto… C’est tellement mélangé et contre nature que ça finit par empoisonner. Et les vers finiront toujours par gruger les Verts…

Les études sur le maïs de Mosanto ont été effectuées sur des rats.

En politique, ce sont les rats qui nous mènent aux études.

Gaëtan Pelletier

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Les animaux de Compagnies

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Gaëtan Pelletier

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L’économie du papier-cul

C’est fou ce qu’on peut inventer pour avoir votre argent. À la recherche d’images, je trouve ce chef-d’œuvre de superflu en vente dans une boutique sur le net :

N’hésitez pas à jeter votre argent dans les toilettes ! Mais oui, puisqu’on vous le dit !
Épatez ou étonnez vos amis grâce à ce papier toilette inspiré des billets de 100$
En pleine crise, qu’il est bon de savoir que l’on peut garder près de soit, dans ses toilettes, plusieurs milliers de dollars.
N’oubliez donc pas de fermer à votre porte à double tour !!!
Pour la petite histoire, sachez qu’il est autorisé de copier un vrai billet de 100$ dès l’instant qu’il soit imprimé sur une seule face et que la largeur fasse le double de l’original
.
Le coin du Geek

N’essayez pas d’en commander : ils sont au bout du rouleau. En rupture de stock. Comme la «vraie», c’est écrit en rouge.

Tout à commencé…

Le bon gars et le Gibbon

J’étais avachi  à regarder la télé,    en zappant, j’ai abouti sur  un documentaire   relatif à un français  tentant de sauver une espèce de singe en Indonésie. On rase les forêt – donc, on se débarrasse  de l’habitat naturel pour les animaux –  pour y planter des palmiers. Et les singes s’en vont et meurent…

Tout ça à cause de ces voraces investisseurs   qui ont le cœur dans le portefeuille. Et il se trouve toujours un claquedent prêt à vendre sa terre  pour manger. Le filon?

Le palme.

L’huile de palme? Vous n’avez qu’à ouvrir votre garde-manger ou votre pharmacie pour comprendre pourquoi elle est l’huile végétale la plus consommée au monde. Il y en a dans les croustilles Pringles et le savon Dove; les pizzas McCain et la crème Oil of Olay; le fromage Philadelphia et le shampoing Timotei.(…) Le pays affiche aussi le taux de déforestation le plus rapide de la planète. L’économie de la destruction

En effet, On ne peut pas fabriquer d’éthanol avec l’huile de palme. Mais on peut en faire du biodiesel. L’Indonésie, le seul pays de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole à acheter plus de pétrole qu’il n’en vend, y a vu un moyen de réduire ses importations.

Pour l’Union européenne, qui s’est engagée à utiliser 10% de biocarburants pour ses transports d’ici 2020, l’huile de palme a fait figure de Saint-Graal environnemental. En 2006, 2,6 millions de tonnes d’huile de palme ont été chargées dans des bateaux en direction du Vieux Continent.

On fait de tout avec l’huile de palme… Alors, pour «activer» l’économie, rien de plus facile que de raser les forêts et d’y planter des palmiers. Ensuite d’embaucher des ouvriers qui travaillent à 2 ou 3 Euros l’heure.

Et notre français qui passe en avion sur les grandes étendues… Comme le gazon chez nous. C’est tellement laid que les chauffeurs de taxi dévient de la route les touristes en mal de paysages.

Le bon singe  et le Terminator

Terminator

Le T-800 a été créé par le super ordinateur militaire Skynet, pour être l’arme ultime contre la résistance humaine restante. C’est un militaire travaillant pour le programme CRS, le sergent Cand, qui a servi de base pour le T-800 modèle 10.

Et pas chanceux ce jour-là, un autre documentaire sur un groupement  innu  est en train de se faire fabriquer un village «moderne» pour exploiter un   gisement d’or. Durée du village : 8 ans. Après, adieu la Compagnie. On vous laisse les déchets. Rien de nouveau. Radio-Canada, en 1993, a déjà produit  un reportage sur un un  Village innu en détresse. On pourrait continuer ainsi longtemps comme ça. Rien qu’en début d’été 2009 :

Rien ne va plus dans les services sociaux du Grand Nord québécois. Aux prises avec des cas de plus en plus lourds et à des ressources faméliques, une dizaine d’intervenants sociaux du Nunavik sont sur le point de craquer. Avec l’appui de leurs patrons, ils appellent Québec à l’aide. Grand Nord: la situation des enfants se dégrade

Si les intervenants vont mal, comment vont les enfants?

Le «soap opéra» du Grand Nord : La Romaine

Et voilà le grand projet «propre» de la Romaine. Un barrage pour vendre de l’électricité aux étatsuniens. Pour ceux qui se tordent le cou pour devenir des intellos de bunkers d’université, il ne vous reste plus qu’à nous faire un mémoire sur l’histoire du roman savon aux États-Unis. Essayez de nous relier ça à la «propreté» des viols des humains de la planète. On est à l’écoute…

Je reviens à mes moutons, et mon ton mou :

J.M.G Le Clézio, prix Nobel de littérature, grand humaniste, y va d’un coup dans le journal Le Monde. Sorte de montée de lait contre le projet. La forêt disparaîtra, ainsi que toute vie, et le résultat sera pendant longtemps la décomposition végétale et l’asphyxie de l’écosystème. La nation innue sera privée d’un seul coup de son lieu de vie.

Évidemment, la société d’État ( Hydro-Québec) via Charest ou via «déraille» Charest, se défend. Pas nouveau. Roy Dupuis, le comédien, avait aussi attaqué le projet en 2008. Radio- Canada. Ça  a fait «bondir» la société d’État, dit-on.

Mario Roy de La Presse – excellent éditorialiste –  ne voit pas du même œil cette intrusion d’un français qui «crucifie le projet hydro-électrique de la Romaine.

Faut-il d’abord signaler que la nation – et non la «tribu» – innue n’a pas pour vocation première de fournir à l’homme blanc du pittoresque (Ah! La «rivière sacrée» et son «gibier», ses «baies pour la collecte» et ses «plantes médicinales»…)? Que cette nation, loin d’être impuissante, se débrouille fort bien dans la négociation et la relation publique, y compris aux États-Unis et en France? Qu’elle n’est pas, elle, repliée sur le folklore et ne rejette pas en bloc la modernité? Qu’au Québec, d’autres nations autochtones ont, par le passé, su brillamment profiter des retombées de projets comparables à celui de la Romaine? La courtepointe de Le Clézio

Si ce n’était que du «folklore», on pourrait passer outre. Mais en creusant la question jusqu’au bout du bout, si vous «buchez» un amérindien, un Innu, un habitant de la Malaisie, ou un terrien du Brésil, les arbres finiront un jour par nous tomber sur la tête… Ce n’est qu’une question de temps… Si on pense mondialisation pour vendre, il est inéluctable de penser mondialisation pour se défendre d’une armada de robots galvanisés pour nous anéatir.

Et M. Le Clézio ne parle pas à travers son chapeau de paille : il a toute une expertise de terrain pour avoir vécu dans des tribus dites «sauvages».

La fricassée du singe et l’Exterminator

Venant de la même planète que le singe, l’Exterminator de la race de pauvres a les moyens «artificiels», la force  et l’absolution de l’État pour décimer la planète des gens simples. Ébouriffant mélange de peau de surface avec cœur et muscles artificiels.

Pourtant, ce BMW simiesque est en apparence semblable à nous. Comme disait Réjean Ducharme : il nous fait «scier». Pas étonnant que son papier-cul soit imprimé.  Et à vendre…

Le Québec perd la carte

CARTE DU QUÉBEC

En scrutant  la carte du Québec, on se rend compte que le Nord s’étire vers le bas comme le pi d’une vache à lait. Encore des décennies à violer le territoire : coupes de bois, détournements de rivières pour barrages, mines, etc.

Les besoins de la « modernité» n’ont pas de frontières. On se sacre bien de l’humanisme : tout est transformé en argent. Comme disait le grand chef indien : «L’argent ne se mange pas». Non, mais on dirait que l’argent est en train de nous manger.

Si vous avez bien regardé le documentaire l’Erreur Boréale, on n’abat  pas seulement ce qui a été donné aux compagnies, mais même des territoires accordés à des tribus amérindiennes. Sur 45 «pièces» données à une tribu.  dont j’oublie le nom, 42 sont passées – et cela sans consentement – sous les coupes de compagnies. Pour le «progrès»…

Le compost du Terminator

La visite étant dans la cuisine, la cuisine étant dans la maison, le bonhomme étant devant la télé… Je regardais ce jeune français essayant de sauver ce singe de Malaisie. Il tentait de persuader les «propriétaires» de singes de le lui donner pour la simple raison qu’ils ne survivent pas plus de trois ou quatre mois en captivité.

Comme dirais le comique : «C’est là que je suis devenu presque intelligent» Ne me manquait plus qu’une baignoire :

On est devenus des animaux de Compagnies! Comme le Gibbon!  Parce qu’au rythme où on dévaste la planète, il n’y a pas que les habitants du Nord du Québec ou de la Malaisie qui vont crever et verser dans le «folklore».

Nous aussi.

Tout simplement parce que notre économie – dans ses grandes sphères-  avec ses financiers-bulldozers,  est en train de virer notre mode de vie à l’envers. Il y a un ordre dans la Nature. Nous sommes en train de l’inverser, lentement mais sûrement.

À long terme, on achètera encore du papier-cul, même si on n’a rien à bouffer.

En pleine crise, qu’il est bon de savoir que l’on peut garder près de soit, dans ses toilettes, plusieurs milliers de dollars.

Après avoir soulé les peuples autochtones du Canada pour leur faire signer des traités pour avoir leurs terres dans les années 30 de «l’autre siècle», on leur achète à coups de milliards des terres pour de l’électricité «propre». Propre pour le bout du pi de la vache…

Le Terminator est un fumier qui veut faire de nous du compost.

Le singe de Compagnies aura besoin de bien de petits missionnaires pour sauver ce «singe appliqué»  qui, une fois  nourrit de son luxe, engraissé à l’argent virtuel, se retrouvera devant rien.

On est en train de se fabriquer un «devant rien»… Et à la grandeur de la planète.

On pourra toujours regarder son papier-cul… Le ventre vide.

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Du sensationalisme économique

Quand l’Institut Fraser lance des chiffres et des informations comme « la famille moyenne gagnait 71 764 $ en 2008 et a dû débourser 31 535 $ en impôts, ce qui représentait 43,9 % de son revenu » et « la facture d’impôts des Canadiens a crû de 1783 % », il est clair que le but est d’écarquiller grandement les yeux de tous. Mais il faut avoir en tête qu’un des buts premiers de cet Institut est de nous convaincre de « coordonner et concerter nos efforts en vue de réduire l’impôt des particuliers et des entreprises à tous les niveaux de l’État. »

Cela combiné au cliché « que les Québécois sont les contribuables les plus lourdement taxés en Amérique du Nord », on assiste aussitôt à l’éclosion du verbe criticailler, autant du côté de la gauche que de la droite, par la magnificence des idéologies et de leurs grands penseurs prémoulés. Et on pense aussitôt au simple citoyen qui se réfugie dans une glose pernicieuse envers les prestataires de l’aide sociale ou, au contraire, dans une défense premier degré des victimes de la pauvreté. Mais qu’en est-il vraiment?

La Chaire de recherche en fiscalité et en finances publiques faisait paraître, en 2008, une étude de Luc Godbout et de Suzie St-Cerny qui fait ressortir que malgré « le fait que le Québec utilise davantage l’impôt sur le revenu que d’autres pays du G7, les cotisations sociales plus faibles jumelées aux généreuses prestations mises en place par le régime fiscal amènent la charge fiscale nette des contribuables québécois à se comparer avantageusement avec celle de la moyenne des pays du G7. » Et, en « comparant l’année d’imposition 2006 à l’année 2000, les réductions d’impôts annoncées par les gouvernements au fil des années ont fait en sorte que le Québec est maintes fois le champion, parmi les pays du G7, en ce qui a trait à l’importance des réductions fiscales. » Encore, la « position favorable du Québec devrait encore s’améliorer au cours des années à venir avec les réductions d’impôts sur le revenu qui entrent en vigueur le 1er janvier 2008 au Québec. »

Et nous en sommes rendus là. Des faits qui en cachent d’autres. Des clichés qui colorent la réalité et qui font en sorte qu’on ne discute jamais sur de bonnes bases. Pour les uns, nous sommes en terres communistes, pour les autres, nous sommes étouffés par le néolibéralisme : et si nous étions simplement dans une société riche avec des problèmes correspondants à ce fait?

Tout cela paraît bien futile face aux problèmes globaux. Même la crise économique actuelle donne l’impression d’être une partie de Monopoly sans trop de conséquences. Nous avons des laissés-pour-comptes de luxe… et pourquoi pas? Si nous sommes capables de nous les payer!

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