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Le mouvement juif Néo-conservateur : du trotskisme au bellicisme sioniste

Image Flickr par edesaintbon

Préambule

Pour mieux comprendre un mouvement, il faut retourner à sa base historique de manière objective. Derrière chaque mouvement politique, religieux ou idéologique se trouve des gens et une histoire. Par exemple, derrière l’islamisme se trouvent à l’origine des arabes. À la base du bouddhisme on retrouve à l’origine des asiatiques, alors que le mouvement souverainiste du Québec se compose principalement de Québécois. On ne saurait se faire taxer de racisme ou de tenir un discours haineux si on identifiait des Français à la base des Gaullistes ou bien des Allemands derrière le nazisme. Pourtant, c’est bien ce qu’on risque lorsqu’on parle des juifs. Personne ne se ferait condamner d’être anti-Allemand en mentionnant que des Allemands étaient derrière le mouvement nazi. Il s’agit de faits bien établis historiquement qu’il est possible de vérifier.

Le danger est toujours de généraliser et tout mettre les gens dans un même panier en combinaison avec des préjugés sans fondement; un piège évident à éviter. Ce n’est pas parce que les nazis étaient allemands que cela signifie que tous les Allemands étaient de méchants nazis. Il s’agit souvent en fait d’un groupe minoritaire, d’une classe dirigeante ou d’un groupe d’idéologues qui forme la tête d’un mouvement.

Or, dans le cas du mouvement Néo-conservateur qui est bien connu mais néanmoins très mal compris du public en général, on serait surpris d’y retrouver un grand nombre d’idéologues pro-Israël et/ou juifs. Ceci est un fait avancé et documenté par différentes sources crédibles dont certaines sont israéliennes, tel qu’un article paru dans Ha’aretz, intitulé White Man’s Burden, qui nomme les vrais responsables de la guerre en Irak: « La guerre en Irak a été conçue par 25 intellectuels néo-conservateurs, juifs pour la plupart, qui poussent le président Bush à changer le cours de l’histoire« .

Les grands médias ont acclamé le nouveau livre Neoconservatism:  The Biography of a Movement de Justin Vaïsse, un spécialiste français de la politique étrangère américaine et membre de la Brookings Institution, comme étant le meilleur livre sur le mouvement Néo-conservateur. Les grands éloges à propos de ce livre, cependant, semble être dues en grande partie à sa minimisation de deux questions tabous: la nature juive du mouvement Néo-conservateur et sa focalisation sur Israël. Le livre brise ce qui était jusque-là largement un non-dit dans les médias, c’est-à-dire le rôle majeur joué par les Néo-conservateurs dans la mise en marche de la guerre en Irak. Cependant, même le fait de s’attarder sur les Néo-conservateurs pourrait être pris comme un signe «d’antisémitisme».

Antisémitisme versus anti-Gentil(isme)

Le cri de l’antisémitisme a été façonné et utilisé en 1847 pour détourner l’attention des hostilités chargées d’émotions invoquées par la mention d’un peuple qui a été initialement identifié comme ayant une désignation raciale hébreu, Israélites comme origine nationale et juive comme désignation tribale. L’antisémitisme, en tant que stratagème défensif, détourne l’attention de la charge émotionnelle négative dirigée contre l’approche individuelle et la redirige vers une fabrication impersonnelle intellectuelle utilisée pour communiquer et mouler les interactions sociales, les normes de comportement et la construction des valeurs. Ainsi, la notion fallacieuse l’antisémitisme peut plus précisément désormais être comprise pour représenter les personnages du monde réel qui donnent lieu à des sentiments anti-juifs. Dans la plupart des cas en réaction politique et éthique face à la politique tribale juive, le sionisme, Israël, lobbying israélien, des affaires du sionisme mondial, l’idéologie juive, la suprématie juive, les crimes de guerre israéliens et ainsi de suite. – Atzmon Gilad.

Pour ceux qui pensaient que la fin de l’administration Bush signifierait la fin pour le mouvement néo-conservateur, détrompez-vous.

Selon un rapport publié en mai (PDF) par la Brookings Institution, à Washington DC, les Néo-conservateurs associés avec des personnalités comme l’ancien secrétaire adjoint à la Défense Paul Wolfowitz, l’éditeur du Weekly Standard Bill Kristol et l’expert Richard Perle sont encore largement actifs, malgré la politique manquée liées à l’invasion de l’Irak en 2003.

Justin Vaisse de la Brookings Institution, fait valoir que, parce que les néocons n’ont jamais eu le degré d’influence que leurs opposants leur attribuent, et aussi par méconnaissance générale de leur histoire, les observateurs ne comprennent pas pleinement la trajectoire du mouvement Néo-conservateur qui a commencé bien avant l’invasion de l’Irak et qui continue encore aujourd’hui.

«Le Néoconservatisme reste à ce jour une voix distincte et très significative de l’establishment à Washington», insiste Vaisse. Leur influence demeure grande même sous l’administration Obama. Stephen Walt, professeur de relations internationales à la Kennedy School de Harvard et co-auteur de The Israel Lobby and US Foreign Policy, déclare que l’endroit le plus évident où les néo-conservateurs sont toujours influents est dans la politique américaine envers l’Iran, où l’administration Obama «continue l’approche de base de l’administration Bush, mais avec un visage « plus gentil et plus doux». L’évaluation de Walt cadre avec un certain nombre de récents articles d’opinion dans les pages du Wall Street Journal par Richard Perle, Abram Shulsky, Douglas Feith et Danielle Pletka, cette dernière ayant également témoigné à propos de l’Iran devant le Comité sénatorial sur la sécurité intérieure et des affaires gouvernementales au mois de juin 2010. (Source)

Alors, plus que jamais, à la lumière d’une autre guerre qui se pointe à l’horizon en Iran, il est important de retourner à la racine de ce mouvement, à son passé historique pour mieux comprendre la nature de ce mouvement. Pour ce faire, vous êtes invité à découvrir ce texte courageux écrit par pascasher.blogspot.com. Les lecteurs sont invités à vérifier les sources et les informations de ce texte pour se rendre compte de la validité de cette thèse.

Merci pour votre attention et votre lecture,

François Marginean

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VIDEO – NEO-CONS (s-t fr.)

VIDEO – Wolfowitz PNAC et 911 (st-fr.)

VIDEO – The Neocon Agenda

VIDEO – iraq war and zion power

VIDEO – Mossad Spies in Pentagon, Jewish Neocons Wolfowitz Perle Feith

VIDEO – Israel-Firsters: The Greatest Danger

Voir l’excellent documentaire The War PartyPlaylist pt1-5

Voir aussi Le lobby israélien et son influence sur la politique étrangère américaine

On entend souvent parler des néocons en lien avec Bush, Cheney et Rumsfeld. Or, ces sinistres individus sont loin d’être les véritables idéologues du néo-conservatisme. Ils n’en ont été que les porte-paroles et représentants les plus en vue à l’intérieur de l’administration Bush et Reagan, qui sont les deux administrations américaines au sein desquelles les néo-conservateurs ont eu le plus d’influence. Pour comprendre le phénomène des néo-conservateurs, il importe de mettre en lumière qui sont les penseurs et quels sont les fondements idéologiques de ce mouvement. Cette petite enquête sur le mouvement néo-conservateur nous fera découvrir un petit groupe d’idéologues juifs, puisant aux idéologies trotskiste et sioniste.

Du trotskisme au néo-conservatisme

Wikipedia identifie les premiers penseurs néo-conservateurs comme étant d’anciens trotskistes juifs:

Le premier grand néo-conservateur à avoir adopté ce mot et qui est considéré comme le fondateur de cette idéologie est Irving Kristol, un Américain juif né dans une famille juive orthodoxe et père de William Kristol, fondateur du think-tank néo-conservateur Project for the New American Century. Irving Kristol a été un militant trotskyste actif pendant sa jeunesse et a exposé ses vues néoconservatrices en 1979 dans l’article « Confessions of a True, Self-Confessed ‘Neoconservative.' » Les idées de Kristol sont influentes depuis les années 50 quand il a cofondé et édité le magazine Encounter. Un autre idéologue de ce mouvement était Norman Podhoretz, éditeur au magazine Commentary de 1960 à 1995. (…)
Les journaux néo-conservateurs prééminents sont Commentary et The Weekly Standard. Il existe aussi des think-tanks néo-conservateurs sur la politique étrangère dont notamment American Enterprise Institute (AEI), Project for the New American Century (PNAC), The Heritage Foundation et le Jewish Institute for National Security Affairs (JINSA).(…)
Le néo-conservatisme apparaît véritablement dans les années 1980, quoique l’on puisse trouver des éléments précoces de ce qui peut apparaître comme une école de pensée politique dans les années 1960, autour de personnalités comme Irving Kristol, Norman Podhoretz, Wilmoore Kendall, John M. Olin, James Burnham, Francis Fukuyama, ou Charles Krauthammer. (…) Ses adeptes sont souvent d’anciens démocrates, voire d’anciens trotskistes, déçus par l’évolution culturelle et intellectuelle depuis les années 1960. C’est le cas d’Irving Kristol, ou de Martin Diamond, spécialiste de la Constitution américaine. (…) Si de nombreux néoconservateurs sont de confession juive et catholique (Gerson, Mark: 1987 : 285), il serait faux de réduire cette vision politique à une approche communautaire. Il est plus juste de dire que les néoconservateurs sont le plus souvent des pro-israéliens proches du Likoud, la droite israélienne (…)

Mais qu’est-ce que le trotskisme? Pour le comprendre, il nous faut faire un bref retour sur l’idéologie communiste et la révolution bolchévique en Russie.


Léon Trotsky, un des plus grands bourreaux de l’histoire

La révolution bolchévique a été grassement financée par la haute finance capitaliste, celle de Wall Street, contrôlée par des milliardaires juifs talmudistes chapeautés par l’empire Rothschild, dont le coeur se situe depuis le début du 19e siècle dans la City de Londres (un État indépendant qui domine la Reine et le parlement britannique et qui régit ni plus ni moins que l’économie mondiale). (Plus de détails sur le Talmud: en anglais et en français)


Petit-fils de rabbin, Karl Marx a été formé à la pensée communiste par l’érudit talmudiste Moses Hess, qu’il surnommait « mon rabbin communiste » (Source: Judaism Discovered, Michael Hoffman).

Il faut aussi savoir que 95% des hauts fonctionnaires bolchéviques — les responsables de l’Holocauste des Russes et des Urkrainiens — étaient juifs et non pas Russes (vous trouverez ici une liste non exhaustive des plus importants dirigeants juifs du bolchévisme). La révolution bolchévique comptait dans sa première administration plus de 545 membres, dont au moins 447 juifs, ce qui permit à Lénine d’annoncer que: « Les juifs formeront les cadres principaux de la révolution et porteront la semence du socialisme dans les masses russes les plus arriérées. » Le bolchévisme est véritablement une révolution juive, dont l’élite avait pour langue officielle le Yiddish.

Enfin, selon les statistiques fournies par le Nobel de littérature et survivant des goulags Alexandre Soljenitsyne dans son livre L’archipel du goulag, plus de 66 millions de Russes ont été massacrés par les bolchéviques. Dans le second tome de L’archipel du goulag, il rappelle que les administrateurs des goulags étaient des juifs. C’est dire que même si l’on oublie les 120 millions de Chinois massacrés par le régime de Mao Tsé Tong, l’Holocauste communiste se révèle incomparablement pire que l’Holocauste nazi! Le fait est que pour vraiment rendre justice aux crimes communistes, il faudrait y consacrer une bibliothèque entière…

Selon Soljenitsyne: « les bolchéviques étaient dirigés par des non-Russes qui haïssaient le peuple russe. » D’où une telle haine peut-elle bien venir? Probablement du fait que les juifs (incluant des nombreux descendants des Khazars) ne l’ont jamais digéré d’avoir été évincés de Russie par les Chrétiens Russes.


Sur cette image de promotion du premier gouvernement bolchévique en Russie, on constate que quatre des cinq principaux dirigeants sont juifs (seul celui en haut à droite n’est pas juif). Nous avons donc les juifs Lénine (en haut), Zinoviev (Aaronovitch, en haut à gauche), Trotsky (centre), Kamenev (Rosenfeld, en bas à gauche) et Sverdlov (Solomon, en bas à droite). (Voir ici d’autres photos de juifs communistes soviétiques et d’oligarques capitalistes.)

Léon Trotsky, le militariste qui a fondé la police secrète de la Tchéka, était directement lié à la haute finance de Wall Street. Son vrai nom était Lev Bronstein et c’était un juif newyorkais ouvertement franc-maçon (de la loge maçonnique exclusivement juive du B’Nai Brith) qui n’avait rien de russe. C’est Jacob Schiff, un banquier juif newyorkais représentant les intérêts Rothschild, président de la banque Kuhn, Loeb & Co. (propriété des Rothschild), fondateur de l’American Jewish Committee et membre de la loge maçonnique juive du B’Nai Brith, qui a financé Trotsky pour faire la révolution en Russie.

Léon Trotsky et Jacob Schiff: une révolution téléguidée à partir de Wall Street.

L’agent des Rothschild Paul M. Warburg, de la fameuse famille de banquiers juifs, fut le premier président et ardent promoteur de la Réserve fédérale américaine, membre du CFR et l‘un des collaborateurs de Kuhn, Loeb & co. (de Jacob Schiff), en plus d’avoir été l’un des grands financiers de la révolution bolchévique. Son fils James Paul Warburg, qui fut le conseilleur financier de Franklin D. Roosevelt., est connu pour avoir déclaré publiquement devant le CFR du Sénat des États-Unis: « Nous aurons un gouvernement mondial que nous l’aimions ou pas. La question est seulement si nous l’aurons par consentement ou par conquête. » (Autres citations)

La division entre staliniens et trotskistes

Un conflit éclata entre Staline et Trotsky quant à l’avenir de l’état soviétique et du marxisme-léninisme. Staline était nationaliste et son communisme concernait la nation russe avant tout, à l’inverse du communisme de Trotsky qui était en mode international. Les trotskistes étaient les communistes les plus intimement liés aux grands financiers internationalistes de Wall Street. Les trotskistes prônent la révolution mondiale, internationale. Ils ont vite compris qu’il valait mieux prendre le contrôle du capitalisme de l’intérieur pour ensuite étendre la révolution à l’échelle mondiale. C’est ainsi qu’ils ont pris d’assaut les centres de pouvoir américains pour en faire leur chien de combat, leur instrument de domination mondiale par lequel ils pourront fomenter des guerres afin de renverser des régimes partout dans le monde.

Les trotskistes américains ont vite rejoint l’empire américain contre les staliniens et l’Union soviétique. (En fait, de nombreux grands financiers favorisaient les communistes, comme par exemple le milliardaire juif Armand Hammer qui fut un grand ami de Lénine.) Au centre du complot pour assassiner Staline (tué en 1953 le jour de le fête juive de Pourim, exactement comme le légendaire ennemi des juifs, Haman, dans le Livre d’Esther) se trouvaient des médecins juifs (voir « le complot des blouses blanches ») et des agents liés à des organisations anti-fascistes, que Staline avait reconnues comme étant en réalité des façades des sionistes. Dès 1939, Staline a lancé des purges anti-juives et surtout antisionistes, en raison des liens évidents entre les capitalistes et les sionistes. C’est surtout à partir de ce moment que l’Union soviétique a été dépeinte dans les médias comme l’incarnation du mal et Staline comme le plus effrayant croque-mitaine après Adolf Hitler. Voici une citation surprenante de Staline, prononcée en août 1939: « Le Sionisme veut dominer le monde. Il se vengera de nos succès et accomplissements. Le Sionisme international, avec toute sa puissance, s’efforcera à détruire notre Union de sorte que notre pays ne puisse jamais se rétablir. »(« Zionism strives for world domination. It will take revenge for all our successes and achievements. International Zionism with all its power will strive to destroy our Union, so that our country would never recover. ») Il apparaît clairement que, à l’inverse des staliniens qui ont rejeté les sionistes, les trotskistes ont rallié les sionistes et l’empire mondialiste américain qui les ont accueilli à bras ouvert d’autant plus facilement qu’ils avaient en fait jamais été très loin l’un de l’autre.

Le néo-conservateur Nathan Sharansky fait partie de ces juifs qui ont dû fuir l’Union soviétique sous Staline et qui se sont vus refuser par Staline le « droit » de plier bagage pour aller s’établir en Israël (d’où le nom de « refuzniks »). (Staline avait plutôt créé le Birobijan, le premier état juif autonome, au Nord de la Chine, en 1934, bien avant la création d’Israël par l’ONU en 1948). La haine des trotskistes et des futurs néo-conservateurs vis-à-vis Staline et l’Union soviétique n’a cessé de croître depuis. Dès lors, les néo-conservateurs, ces anciens communistes trotskistes, se sont lancés dans une grande croisade contre l’Union soviétique et, hypocritement, contre le communisme. C’est la période de la guerre froide. L’influence anti-soviet de ces néo-conservateurs se fera sentir plus spécialement dans l’administration Reagan.

Il est hautement significatif que le président George W. Bush a déjà dit que le livre sur lequel se fonde sa pensée est le livre de Nathan Sharansky (The Case for Democracy: The Power of Freedom To Overcome Tyranny and Terror). Dans ce livre, Sharansky explique que c’est la mission consacrée des États-Unis de faire la guerre aux régimes tyranniques afin de porter le flambeau de « la démocratie et la liberté » aux quatre coins de la planète. Sharansky fut en fait le mentor intellectuel et conseiller secret de Bush.


Qui sont les néo-conservateurs?

Rappelons comment Wikipedia décrit le néo-conservatisme:

Le premier grand néo-conservateur à avoir adopté ce mot et qui est considéré comme le fondateur de cette idéologie est Irving Kristol, un Américain juif né dans une famille juive orthodoxe et père de William Kristol, fondateur du think-tank néo-conservateur Project for the New American Century. Irving Kristol a été un militant trotskyste actif pendant sa jeunesse et a exposé ses vues néoconservatrices en 1979 dans l’article « Confessions of a True, Self-Confessed ‘Neoconservative.' » Les idées de Kristol sont influentes depuis les années 50 quand il a cofondé et édité le magazine Encounter. Un autre idéologue de ce mouvement était Norman Podhoretz, éditeur au magazine Commentary de 1960 à 1995. (…)
Les journaux néo-conservateurs prééminents sont Commentary et The Weekly Standard. Il existe aussi des think-tanks néo-conservateurs sur la politique étrangère dont notamment American Enterprise Institute (AEI), Project for the New American Century (PNAC), The Heritage Foundation et le Jewish Institute for National Security Affairs (JINSA).(…)
Le néo-conservatisme apparaît véritablement dans les années 1980, quoique l’on puisse trouver des éléments précoces de ce qui peut apparaître comme une école de pensée politique dans les années 1960, autour de personnalités comme Irving Kristol, Norman Podhoretz, Wilmoore Kendall, John M. Olin, James Burnham, Francis Fukuyama, ou Charles Krauthammer. (…) Ses adeptes sont souvent d’anciens démocrates, voire d’anciens trotskistes, déçus par l’évolution culturelle et intellectuelle depuis les années 1960. C’est le cas d’Irving Kristol, ou de Martin Diamond, spécialiste de la Constitution américaine. (…) Si de nombreux néoconservateurs sont de confession juive et catholique (Gerson, Mark: 1987 : 285), il serait faux de réduire cette vision politique à une approche communautaire. Il est plus juste de dire que les néoconservateurs sont le plus souvent des pro-israéliens proches du Likoud, la droite israélienne (…)

Les penseurs néo-conservateurs américains les plus influents sont donc d’anciens trotskistes juifs: le gourou Leo Strauss, les Kristol père et fils, les Podhoretz père et fils, les Kagan père et fils, Perle, Ledeen, Pipes, Krauthammer, Peretz, etc., qui ont toujours été proches des juifs les plus radicaux de la branche fasciste du sionisme. La plupart d’entre nous l’ignorons pour la simple et bonne raison qu’ils ont l’habitude de mettre au pouvoir des façades non-juives (ex: Dick Cheney) qu’ils influencent à distance, en restant plus ou moins dans l’ombre.

Paul Wofowitz lors d’une conférence de l’AIPAC devant le Capitole

Le « think tank » néo-conservateur le plus connu est sans contredit le Project for the New American Century (PNAC, 1997). Sous la direction de William Kristol (éditeur du Weekly Standard, du magnat médiatique sioniste Rupert Murdoch=Fox/NewsCorp) et Robert Kagan (correspondant du Weekly Standard), le PNAC compte parmi ses membres : Paul Wolfowtiz (ancien président de la banque mondiale et secrétaire à la défense sous Reagan), Dick Cheney, Donald Rumsfeld (qui ont tous les trois servi sous les administrations Reagan et Bush père), Richard Perle (un directeur des Bilderberg, proche de Netanyahou et conseiller du secrétaire à la défense Wolfowitz sous Reagan), le rabbin Dov Zakheim (contrôleur des comptes du Pentagone quand 2.3 trillions$ ont disparu peu avant le 11 septembre, ex-PDG de System Planning Corporation qui offre des dispositifs de contrôle d’avions à distance), Lewis « Scooter » Libby (Liebowitz, ancien directeur du bureau du v-p Cheney, avocat du trafiquant d’armes israélien Marc Rich, emprisonné pour son rôle dans l’affaire Plame), Eliot Cohen, Donald Kagan (père de Robert Kagan), Jeb Bush, Max Boot (éditeur du Wall Street Journal de Murdoch), Elliott Abrams (impliqué dans le scandale Iran-contra), Steve Rosen (un espion de l’AIPAC emprisonné), Daniel Pipes (protégé de Perle et fils du théoricien anti-Soviet Richard Pipes), Robert Zoellick (nouveau président de la banque mondiale), etc., tous pro-sionistes et co-conspirateurs (sous l’égide de Wolfowitz, Feith et Libby) de la guerre en Irak — une guerre pour les intérêts d’Israël. Parmi eux, seuls Bush, Cheney, Rumsfeld et Boot ne sont pas juifs. Plusieurs d’entre eux — Perle, Wolfowitz, Kagan, Kristol, Feith, Boot — ont pris part à la réunion de Bilderberg en 2004.

Perle et Cheney, tous deux membres du Council on Foreign Relations (CFR), ont été tour à tour directeur du Jewish Institute for National Security Affairs (JINSA), un puissant lobby sioniste similaire à l’American Israel Public Affairs Committee (AIPAC) et tout aussi partisan de la guerre au terrorisme, de la guerre en Irak et de la prochaine guerre contre l’Iran. Perle est un ancien lobbyiste pour des vendeurs d’armes israéliens et il est très proche des juifs sionistes Michael Ledeen (le théoricien de la « destruction créatrice » du Moyen-Orient) et Elliott Abrams (le gendre du gourou belliciste néo-con Norman Podhoretz). Les liens un peu trop étroits de Perle avec Israël lui ont valu de faire l’objet d’une enquête en 1970 pour avoir passé des secrets à Israël, comme Wolfowitz l’a été en 1978.

Voici une liste un peu plus longue des principaux signataires du PNAC, tous néo-conservateurs, impliqués dans la politique américaine ou dans les médias américains. Les noms juifs sont marqués d’une astérisque.

Source: Pourquoi personne ne dit qu’ils sont juifs?

Le premier paragraphe d’un article paru dans Ha’aretz, intitulé White Man’s Burden, résume en une seul phrase qui sont les vrais responsables de la guerre en Irak: « La guerre en Irak a été conçue par 25 intellectuels néo-conservateurs, juifs pour la plupart, qui poussent le président Bush à changer le cours de l’histoire » (« The war in Iraq was conceived by 25 neoconservative intellectuals, most of them Jewish, who are pushing President Bush to change the course of history. ») C’est exactement cela qui s’est produit.

Il n’est donc pas surprenant que les promoteurs du « surge » (remontée en force, déferlante) aient été pratiquement tous juifs, comme le signalait l’édition du 24 août 2007 du journal israélien JTA: « Pro-‘surge’ group is almost all Jewish : Four of five members of the board of a campaign promoting President Bush’s policies in the Iraq war are Republican Jews ».

Le PNAC est, grosso modo, une réitération d’un document antérieur, intitulé « Clean Break: A New Strategy for Securing the Realm« , écrit par Richard Perle, Douglas Feith et James Wurmser (tous juifs) et inspiré par la clique d’extrémistes de Benjamin Netanyahou, à la tête du Likoud (le parti israélien d’extrême-droite). Le document appelait les États-Unis à se rapprocher d’Israël et à envahir et détruire l’Irak pour le bien d’Israël, puisqu’il était forcément, selon eux, dans l’intérêt des États-Unis de se débarrasser de Saddam Hussein. Et le document Clean Break suivait la même ligne pensée que le plan de l’Organisation sioniste mondiale intitulé A Strategy for Israel in the 1980’s.

Le PNAC préparait donc la guerre en Irak. À la tête d’un pays très fort économiquement et politiquement, Saddam Hussein, un nationaliste qui soutenait activement la cause palestinienne et nouait des alliances économiques avec des puissances des quatre coins du monde, représentait une grande menace aux yeux des sionistes. Les néo-conservateurs et les sionistes ont même tenté de blâmer l’attentat d’Oklahoma City sur les Irakiens, mais le président Clinton s’y est fortement opposé, ce qui l’amena à privilégier la thèse du « fou solitaire » Tim McVeigh. (Un geste d’obstruction que les néo-conservateurs lui ont fait payer cher: Bill Kristol a « révélé » le premier aux médias les détails de l’affaire Lewinsky, une affaire qui allait entraîner la destitution de Clinton. Hillary Clinton parlait d’un « grand complot de la droite » contre son mari; peut-être voulait-elle parler de la droite israélienne?)

C’est dans le PNAC que les faucons de la guerre en Irak révèlent avoir besoin d’un événement révolutionnaire, un «nouveau Pearl Harbor», pour catalyser l’expansion hégémonique américaine et plus spécifiquement au Moyen-Orient: «Le processus de transformation, même s’il apporte un changement révolutionnaire, est susceptible d’être long, en l’absence d’un événement catastrophique catalyseur comme un nouveau Pearl Harbor». Le 11 septembre fut précisément ce «nouveau Pearl Harbor». L’analogie est d’autant plus pertinente que le traître Roosevelt savait pertinemment que le Japon allait attaquer la base de Pearl Harbor, mais il n’a rien fait l’empêcher, car l’objectif était de convaincre les Américains d’entrer en guerre.
VIDEO – Les fauteurs de guerres (discours de Lindbergh du 11 septembre 1941)

Comment s’est fait la subversion néoconservatrice (israélienne) du Pentagone et de l’administration Bush? Il fallait placer des hommes aux postes-clé afin de faciliter la tromperie et la déclaration de guerre à l’Irak. Dans les années 80, sous Reagan, les néocons ont pris soin d’infiltrer la CIA en constituant une « équipe B », destinée à remplacer et neutraliser la CIA (appelée « équipe A »). Plus récemment, et pour une très courte durée (2003-2004), Paul Wolfowitz et Douglas Feith ont constitué le Office of Special Plans (OSP), qui regroupait la plupart des plus importants agents israéliens néoconservateurs: Richard Perle (alors directeur du Defense Policy Board), Abram Shulsky (protégé de Perle) et Eliott Abrams. C’est l’OSP, plus précisément Perle et Shulsky, qui sont à l’origine des fausses informations sur les prétendues « armes de destruction massives irakiennes » qui allaient servir à justifier la guerre voulue par Cheney-Rumsfeld et Wolfowitz. L’OSP a aussi fondé le Committee fo the Liberation of Iraq (CLI) qui comptait parmi ses membres: Richard Perle, Rep. Newt Gingrich, James Woolsey de la CIA, Bill Kristol (Weekly Standard), John McCain et Bob Kerry.

Douglas Feith et Paul Wolfowitz, les numéros 2 et 3 au Pentagone à l’époque, se révèlent donc être les principaux responsables de la destruction de la nation irakienne.

À quand leur procès pour crimes de guerre?


Les juifs néocons qui ont tiré les ficelles pour faire la guerre en Irak:
William Kristol, Richard Perle, Paul Wolfowitz, Elliott Abrams, Douglas Feith
Mis à part Abrams, ils ont tous déjà été à la réunion de Bilderberg.

Paul Wolfowitz a quitté son poste au Pentagone lorsque ça a commencé à chauffer pour les néocons qui faisaient l’objet d’une enquête du FBI (pour plus de détails, voir le scandale d’espionnage israélien à l’AIPAC). Après avoir quitté son poste, Wolfowitz devint président de la Banque mondiale.

Dans cette affaire d’espionnage d’une ampleur sans précédent (en raison de l’importance de l’organisation AIPAC, qui représente le plus puissant lobby aux États-Unis et rallie des appuis aussi bien des démocrates que des républicains), seule une poignée de bouc émissaires (Libby, Rosen, Weissman) ont été inculpés, bien que les néocons les plus importants aient dû se soumettre à des entrevues avec le FBI. L’AIPAC et les principaux agents israéliens néocons (Perle, Feith, Wolfowitz, Shulsky) étaient sous surveillance et sous enquête  du FBI depuis des décennies. Il est possible que le scandale d’espionnage à l’AIPAC soit en quelque sorte une vengeance de la CIA contre ces néocons qui ont réussi à marginaliser la CIA et à faire en sorte que le gouvernement ignore ses mises en garde concernant les fausses informations sur les armes de destruction massive.

L’union maudite du fascisme sioniste et de l’anti-fascisme des ex-trotskistes

La position ultra-sioniste des néo-conservateurs est en droite ligne avec la pensée du fasciste juif Vladimir Jabotinsky (dénoncé par Einstein dans une lettre au New York Times), le fondateur du Bétar et l’inspiration de l’organisation terroriste Irgoun, qui a perpétré le massacre de Deir Yassin, qui a fait sauter l’hotel King David, sous la direction du futur PM Menachem Begin, pour enfin se métamorphoser en parti de droite extrémiste: le Likoud. (C’est ce même parti qui, sous le mandat d’Ariel Sharon, en 2002, érigera le Mur entourant la Palestine, réalisant ainsi le rêve du «Mur de Fer» imaginé en 1923 par Jabotinsky.) À l’inverse de la posture économique et communiste (matérialiste et athée) du penseur sioniste Theodor Herzl, la posture sioniste de Vladimir Jabotinsky était identitaire: raciste, ultra-religieuse et fasciste. Netanyahou, le dirigeant du Likoud et actuel premier ministre d’Israël, est le meilleur exemple de la continuité sans faille des Likoudniks avec la pensée des fascistes juifs: non seulement son père BenZion était secrétaire de Jabotinsky, mais en plus Netanyahou est un étudiant assidu de la pensée de Jabotinsky. Netanyahou est directement connecté aux néo-conservateurs et l’on reconnaît son influence dans le contenu du Clean Break, écrit principalement par son proche ami Richard Perle. En fait, toute l’idée de la guerre au terrorisme vient du livre de Netanyahou paru en 1986, intitulé «Terrorism: How the West Can Win». Il prédit jusqu’à la guerre en Irak et en Afghanistan et appelle l’Occident à combattre les ennemis d’Israël, les Palestiniens et les Arabes, qui ne sont pour lui que des terroristes à supprimer. Le jour même du 11 septembre, Netanyahou déclarait que le drame du 11 septembre était «très bon pour les relations entre les États-Unis et Israël» (New York Times). Il a répété cette affirmation scandaleuse en 2008.

Quelques exemples de fascistes juifs sionistes:

Certes, les néo-conservateurs sont liés aux fascistes sionistes, mais quand on remonte aux théoriciens néo-conservateurs, on constate qu’ils étaient des communistes trotskistes, anti-staliniens et anti-soviet. Le fait qu’ils se proclament « anti-communistes » relève de la pure hypocrisie, voire du mensonge.

Les trotskistes étaient les champions du mouvement et de la posture « anti-fasciste ». Historiquement, nul ne conteste que « l’anti-fascisme » est né du trotskisme. Mais avant de traiter d’anti-fascisme, il faut clarifier le sens du mot « fascisme ». Alors que les trotskistes épousaient la pensée libérale et promouvait démocratie comme vecteur de révolution internationale, en réaction au libéralisme – qu’il soit communiste ou capitaliste – s’est érigé une opposition: le fascisme. Le mouvement fasciste prônait le nationalisme, le patriotisme, la religion, les valeurs morales et un État fort qui prenne en main non seulement l’État de droit mais aussi la culture et surtout l’économie. Le nationalisme fasciste se voulait un rejet brutal, d’une part, de l’internationale libérale-capitaliste, c’est-à-dire la droite, et, d’autre part, de l’internationale communiste, c’est-à-dire la gauche. Plus tard, le terme « fasciste » servira à désigner globalement l’extrême-droite et servira aux trotskistes pour salir leurs ennemis. Toujours est-il que l’anti-fascisme des trotskistes a à ce point pénétré la psyché populaire que très peu de gens se souviennent de ses origines trotskistes.

Wikipedia rappelle que les néo-conservateurs sont juifs anti-fascistes et anti-nazis à la sauce « Plus Jamais Auschwitz »:  » Le néo-conservatisme se distingue du conservatisme traditionnel et du néolibéralisme. Anticommuniste et antifasciste, le néo-conservatisme est né sur le principe de « plus jamais Auschwitz ». «  (Rappelons ici que cet anti-communisme était en réalité un anti-soviétisme d’inspiration trotskiste et non pas seulement capitaliste.)

Le slogan « Plus Jamais Auschwitz » et la rhétorique ostensiblement « anti-fasciste » des néocons est décelable jusque dans leurs écrits. On remarque facilement que les néocons et autres agents sionistes sont toujours en train de traiter les musulmans et les groupes identifiés comme « terroristes » d’être des nazis et des fascistes, des hitlériens, des chemises brunes, des chemises noires, etc. Ils accusent systématiquement leurs ennemis d’être des fascistes et, tout comme ils ont traité Saddam de fasciste et de tyran, dépeignant le moyen-orient en entier comme étant le terreau de « l’islamofascisme », ils accusent la Chine de devenir un « régime fasciste ». Alors que nous sommes tous témoins de la chute du prétendu « monde libre » dans la dictature et la tyrannie la plus totale (exemple: Google utilisé comme outil de censure et de collecte de renseignements personnels pour les services secrets occidentaux), un tel niveau d’hypocrisie est proprement consternant. (Faut-il en rire ou en pleurer?) Les néocons en ont particulièrement contre la « vieille Europe », associée à l’émergence du nationalisme, du nazisme et du communisme. en fait ils en veulent surtout à l’Europe pour la même raison qu’ils en veulent à l’ONU: parce que ces entités politiques ne reculent pas devant la nécessité de condamner les exactions commises par Israël contre les Palestiniens (pour plus de détails, voir la conférence de Durban, qui s’est tenue 4 jours avant le 11 septembre 2001). On peut constater cette tendance anti-fasciste dans les articles de Michael Ledeen, néo-conservateur et théoricien de la destruction créatrice: Beijing Embraces Classical Fascism, paru dans le Far Eastern Economic Review, et Black Shirts in Red China, paru dans The Wall Street Journal. Autre exemple flagrant: « China is actually the world’s first mature fascist state. It was fascism not national socialism but the kind of fascism that people like Mussolini installed in Italy in the 1920’s that we’re talking about. The economy is a mixed economy; mixed public and private economy. And there is a certain degree of private initiative that’s left in the hands of entrepreneurs and business leaders and even trade unions.« (tiré de Michael Ledeen on Fascist China, Epoch Times) Ledeen a consacré ses 15 premières années de travail à l’étude du fascisme (Michael Ledeen on Fascism & War on Terror on National Review Online).

VIDEO –

En France, on dénombre aussi une bonne quantité de néo-conservateurs à la solde de l’atlanto-sionisme. Prenons par exemple Bernard Henri Lévy qui s’époumone à dénoncer le « fascislamisme » (voir les vidéos suivants: « Fascislamism » by Bernard-Henri Lévy et BHL contre le fascisme) C’est une constante évidente chez les néo-conservateurs: tous pro-fascistes en ce qui concerne Israël, mais anti-fascistes lorsque vient le temps de réclamer des guerres pour abattre « les bourreaux de la liberté et de la démocratie », c’est-à-dire tous ceux qui osent leur tenir tête!

Ouverture

S’il n’y a qu’une seule leçon à tirer de ce portrait peu enjôleur de la réalité néo-conservatrice, c’est bien celle-ci: gare aux anti-fascistes qui stigmatisent sans arrêt « l’islamo-fascisme » et les « tyrans » justifiant des guerres impérialistes qui n’en finissent plus sous prétexte de défendre la liberté et la démocratie, car il s’agit en fait pour eux de répandre aux quatre coins du globe la plus odieuse tyrannie que l’humanité ait jamais connu.

Pour plus de détails:

Edmund Connelly Naming Neocons (Jan 22 2008)

Prof. Kevin MacDonald, Neoconservatism as a Jewish Movement

Michael Collins Piper, The High Priests of War: How America’s “Neo-Conservative” Trotskyites Came to Power and Orchestrated the War Against Iraq as the First Step in Their Drive for Global Empire (lire l’intro et des extraits; section photo)

Michael Collins Piper, The New Babylon: A Panoramic Overview of the Historical, Religous and Economic Origins of the New World Order (2009)

Michael Collins Piper, The Judas Goats — The Enemy Within: The Shocking Story of the Infiltration and Subversion of the American Nationalist Movement (lire l’intro et des extraits; section photos) (scribd)

Michael Collins Piper, The New Jerusalem: Zionist Power in America (according to jewish sources) (lire l’intro et des extraits)

Derrière Northwoods: Israël et « l’équipe B » (néocons)

James Petras lève le voile sur les agents sionistes responsables de la guerre en Irak et du scandale d’espionnage à l’AIPAC

takeourworldback.com Ligne du temps du 11 septembre

takeourworldback.com Sionistes, psychopathes et 11 septembre

takeourworldback.com A Comprehensive History of Zionist Crimes

takeourworldback.com How to Achieve Total World Domination – over 1,250 to 6,000 Years / Concise version

VIDEO – Willis Carto explique la ploutocratie médiatique des Bronfman

VIDEO – War Made Easy: propagande guerrière

AUDIO Michael Collins Piper explique la nouvelle Babylone

AUDIOLes dessous de l’empire Rothschild, les nouveaux pharisiens. Entrevue avec Michael Collins Piper

« U.S. War on Iraq Timed To Coincide With Jewish Holiday Purim! »
–King Faysal University Professor

http://video.google.com/googleplayer.swf?docid=-8153555086218873684&hl=fr&fs=true
Voir l’excellent documentaire The War PartyPlaylist pt1-4

http://video.google.ca/googleplayer.swf?docid=5838829577913530&hl=fr&fs=true=
Voir aussi Le lobby israélien et son influence sur la politique étrangère américaine

http://video.google.com/googleplayer.swf?docid=-8153555086218873684&hl=fr&fs=true
Voir l’excellent documentaire The War PartyPlaylist pt1-4

http://video.google.ca/googleplayer.swf?docid=5838829577913530&hl=fr&fs=true=
Voir aussi Le lobby israélien et son influence sur la politique étrangère américaine

Source: Le mouvement juif Néo-conservateur : du trotskisme au bellicisme sioniste

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Les interventionnistes et quelques réflexions…

Le clan des néo-conservateurs, cette faction d’idéologie militariste pour l’imposition d’une hégémonie américaine mondiale, tel que décrit et illustré par dans leurs propres documents et projet comme le PNAC, réuni l’extrême droite, le complexe militaro-industriel, évangélistes chrétiens, sionistes, banquiers internationaux, et des gens de descendance idéologique nazie comme George H.W. Bush et de factions de la CIA.

Ce sont ces gens qui ont voulu prendre avantage du momentum de la configuration stratégique américaine présente à la fin Seconde guerre mondiale, cristallisée ensuite durant la guerre froide, pour imposer leur nouvel ordre mondial. Ils se retrouvaient avec l’armée la plus puissante de l’histoire et beaucoup pensaient qu’il était insensé de ne pas s’en servir pour assurer leur contrôle sur le monde. Pour ce faire, on devait utiliser cette puissance militaire qui selon eux était d’une tristesse à posséder sans pouvoir s’en servir réellement pour imposer cet ordre, en combinaison avec la sphère financière et bancaire à travers lesquelles ils dominaient et dominent encore le reste du monde. Ces nouveaux maîtres du monde ne pouvait se servir de cette incroyable machine de guerre parce que le peuple américain et la Constitution des États-Unis ne leur permettraient jamais.

Il fallait donc miner et éventuellement anéantir ce dernier bastion de la liberté et de la souveraineté du peuple et des individus, en finir avec cette expérience unique de quelques centaines d’années à peine où pour la première fois de l’Histoire, le Peuple est souverain et donc pas soumis, esclave, serf, sujet d’un quelconque tyran, dictateur, leader religieux ou d’une monarchie.

Alors, pour imposer une telle politique étrangère agressive et criminelle à tendance eugénique, ils comprenaient que la démocratie, ou en fait, la République des États-Unis, était pour les en empêcher. La souveraineté du peuple et la liberté sont le véritable ennemi de l’élite, de l’establishment, de l’ordre établi. Elles sont l’antithèse du darwinisme social.
C’est ce qui explique la motivation derrière le coup d’État avorté de justesse dans l’affaire Smedley Butler impliquant la famille Bush ainsi que de grands industriels et banquiers.

Il s’agit du même dessein en ce qui concerne le 9/11 et la descente rapide dans un état policier fasciste qu’on peut observer en Amérique. Nous sommes témoins de l’érosion brutale – et dans plusieurs cas la perte – de nos droits et libertés ainsi que la protection de notre vie privée, sans compter les multiples transgressions de la Constitution des É-U.

Il y a longtemps que les multinationales et le secteur bancaire ont opéré un coup d’État silencieux prenant contrôle de nos institutions civiles et gouvernementales. Les gens qu’on nomme nos « représentants » ne le sont plus en grande majorité, surtout aux plus hauts échelons. Les créditeurs et les multinationales dictent la loi, font la pluie et le beau temps. Ils sont le gouvernement de facto. Ils organisent les choses en leur faveur, pour leurs intérêts. Par exemple, ils sont le moteur qui propulse le Partenariat pour la Sécurité et la Prospérité (PSP), ou plus simplement, l’Union nord-américaine. Une refonte du Canada, des États-Unis et du Mexique en un espace commun commercial favorable au secteur privé et financier, opéré via un nivellement vers le bas des conditions de travail, des salaires, des réglementations et protections des gens et de l’environnement.

Nous payons des impôts et des taxes, mais nous ne sommes plus représentés. Nous avons perdu $40 milliards de notre Caisse de dépôt et de placement et l’État de droit au Québec est en train de basculer vers la loi du plus fort et du crime organisé, mais les « autorités » refusent toute enquête publique! Ils parlent de monter la taxe de vente et votre compte d’électricité pour combler les déficits causés par leurs « erreurs », de dépenser des milliards de dollars pour investir dans la centrale nucléaire de Gentilly-2 et la remettre en marche avec tout ce que cela implique en terme de risque nucléaire et des matières radioactives, mais ne nous consultent jamais et ne font qu’à leur tête.

Le partenariat entre les compagnies et les forces armées/complexe militaro-industriel est l’axe essentiel par lequel l’élite anglo-saxonne pensait organiser leur collaboration pour créer une super-puissance dans le but d’imposer leur contrôle sur le monde et poursuivre l’expansion de l’emprise de l’empire anglo-saxon sur les ressources du monde et ainsi remplacer le colonialisme européen. La guerre contre le terrorisme est le parfait outil puisqu’elle est sans fin et permet de créer sans cesse de nouveaux ennemis qui eux sont là que pour justifier l’expansion de la plus grande économie militarisée que le monde est connu.

Il est un fait qui semble se dégager de plus en plus de l’histoire du régime nazi : ils avaient été appuyés en puissance par les banquiers de Londres et de Wall Street, et le 3e Reich de Hitler fut construit par les corporations des États-Unis et d’Angleterre dans le but de contrer la menace Communiste de l’Union Soviétique (financée et maintenue en place par les mêmes banquiers internationaux). Hitler s’est avéré un homme hors de contrôle et c’est les Soviétiques qui ont dû perdre entre de 20 à 40 millions d’hommes pour le défaire. Suite à la défaite du régime nazi, nous avons appris grâce à des documents américains déclassifiés, que sous le projet « Paperclip », des milliers de têtes nazis, dont des scientifiques, propagandistes, stratèges, hauts-gradés militaires, etc, furent rapatriés aux États-Unis, sous un chapeau nommé la CIA, nouvellement crée à cet effet.

George H.W. Bush est un des grand responsable de cette affaire, avec son père Prescott Bush qui amassa une fortune en aidant et finançant Hitler, blanchissant l’argent nazi et en investissant dans la machine de guerre nazie. Étaient aussi de fervents supporteurs: Henry Ford, IBM, JP Morgan, Rockefeller et la Standard Oil. Il est de plus en plus compris que la famille Bush et les gens qui leur sont reliés constituent la montée d’un 4e Reich aux États-Unis. Les nazis ont perdu une bataille en 1945, mais pas la guerre puisque les vrais architectes, constructeurs et profiteurs de la machine nazie et son idéologie n’ont jamais été publiquement identifiés, exposés et jugés pour leurs crimes.

Les médias sont lourdement concentrés entre les mains de quelques entités seulement. Il se trouve beaucoup d’actionnaires importants et propriétaires qui sont aussi investis et liés à des fabricants d’armement et des financiers de Wall Street. Ils répondent uniquement aux impératifs du marché et de la rentabilité, mais ils ont l’immense pouvoir de façonner notre perception de la réalité. Les médias n’accomplissent pas leur mission de chercher et rapporter la vérité, d’être les gardiens de la liberté et démocratie, de surveiller les gouvernements et les gens au pouvoir.

Nous savons maintenant que des milliards de dollars furent et sont dépensés par des gouvernements tels que celui des États-Unis ainsi que par des corporations pour produire de fausses nouvelles ayant toutes les apparences de nouvelles indépendantes produites par les médias. Il n’y a pas moyen de savoir si elles sont authentiques ou pas, ainsi que de connaître leur source de financement. Elles nous sont présentées dans les journaux ainsi qu’à la télévision comme si elles étaient authentiques, rapportées par de véritables journalistes.

Bien sûr qu’il ne s’agit pas de la totalité des nouvelles qui nous parviennent, ni probablement pas de la majorité, mais il est certain que cela s’est produit des centaines de fois seulement que dans la période avant le début de l’agression de l’Irak en mars 2003. On peut aussi penser à l’affaire des couveuses Koweït en 1991 alors que le gouvernement des États-Unis avaient engagé une firme de relation publique pour créer une fausse histoire de bébés jetés sur le sol froid par les soldats irakiens pour voler les couveuses des hôpitaux du Koweït. Cette campagne de désinformation avait pour but créer une indignation et un soutient chez les Américains et ainsi servir de justification pour attaquer l’Irak pour la première fois en 1991.

On peut penser au 11 septembre 2001, un domaine où les mensonges et fantaisies de la version officielle rapportés joyeusement par les médias sont si épais qu’ils n’arrivent plus à s’emboîter et former un tout compréhensible et logique, défiant les lois de la physique et de la nature.

Nous savons par les documents officiels maintenant déclassifiés aux États-Unis que les attaques de Pearl Harbor et du golfe de Tonkin qui ont mené les Américains à la Deuxième guerre mondiale et dans la guerre du Vietnam respectivement, ont été des évènements basés sur des mensonges: les États-Unis avaient délibérément provoqué les Japonais et savaient qu’ils étaient pour attaquer Pearl Harbor et n’ont rien fait pour les arrêter et prévenir leurs hommes en place; et dans l’autre cas, les Vietnamiens n’ont jamais attaqué la flotte américaine (qui elle se trouvait carrément dans leurs eaux territoriales), il s’agissait en fait d’un coup monté, une fausse attaque simulée par l’armée américaine.

Et ainsi de suite…

Il faut aussi comprendre le passé pour comprendre le présent: ceux qui ne connaissent pas ce que fut le programme Mockingbird de la CIA qui comptait plus de 3000 agents et journalistes sur leur liste de paye, et travaillant à travers tous les médias d’Amérique, auront du mal à comprendre à quel point l’information et la perception de la réalité peuvent être contrôlées et manipulées.

L’objectif étant de mener une guerre informationnelle et psychologique, de contrôler les informations transmises et pour la propagation de propagande. Les événements du 11 septembre 2001 ainsi que la version officielle du gouvernement américain de George Bush n’ont jamais fait l’objet d’enquête sérieuse de la part des médias. Ceci est d’autant plus grave que la guerre contre le terrorisme qui s’en est suivi, découle de ces tristes événements.

Cui bono?

Autour de mille architectes et ingénieurs demandent au Congrès américain une vraie enquête indépendante sur le 9/11, car les faits, la physique et les évidences dans le domaine de la chimie ne correspondent pas avec la version officielle; sans compter que les responsables mêmes de la Commission sur le 9/11 ont publiquement déclaré que leur enquête et analyse sont loin d’avoir révélé la vérité et qu’il y avait beaucoup d’inexactitudes et de mensonges dû à un « cover up » politique, un refus de coopérer de la part des autorités qui étaient responsables ce jour-là.

N’oublions pas ces deux faits plus que cocasses:

– Des enquêtes sur des fraudes fiscales majeures menant vers des poursuites judiciaires importantes concernant des compagnies comme Enron furent détruites lors de l’écroulement du Salomon Brother Building (WTC7), qui lui, ne fut jamais frappé par un avion et n’était la proie que de trois feux mineurs étant sous contrôle.

– Donald Rumsfeld avait annoncé la journée précédente au 11 septembre que le Pentagone avait perdu, écarté des livres de comptabilité, plus de $2.3 trillions ($2 300 000 000 000), un scandale de proportion historique. Le lendemain, un avion venait s’écraser en plein dans les bureaux du Pentagone où les enquêtes à ce sujet se déroulaient, après avoir pris le risque de faire une acrobatie sans pareil pour aller percuter ce côté précis du Pentagone.

Le Nouvel Ordre Mondial est composé principalement de deux clans: les socialistes/Société Fabienne d’Europe et les fascistes/capitalistes d’Amérique. Mais dans cette dernière, il y a une division Zbigniew Brzezinski/CFR/Commission Trilatérale/CIA/NED/Ford Foundation qui lui est en train de devenir spécialiste des révolutions colorées qu’on a pu observer dans différentes régions du monde. Ils se drapent d’une apparente révolution populaire/étudiante. Il semble que les derniers coups sont ceux qui nous ont apporté Barack Obama et le coup manqué contre l’Iran lors des dernières élections.

Il existe une sorte de continuum traversant les décennies et les générations, d’une idéologie interventionniste, colonialiste et de domination qui persiste jusqu’à nos jours. Elle vise l’imposition d’un ordre mondial à travers différentes crises pour faire émerger une solution commune: une gouvernance globale entre les mains de non élus. Que ce soit la crise du réchauffement climatique, la crise financière, la crise alimentaire, la crise A/H1N1, tous les chemins mènent à Rome, on nous dit que nous avons besoin d’une gouvernance mondiale pour nous sauver et sauver la planète.

Cela étant dit, ces autorités et leaders du monde ont l’air tout-puissants – et ils le sont dans une certaine mesure, tant il y a de gens qui acceptent de vivre leur vie à genoux – mais ils sont en fait extrêmement vulnérables, en petit nombre et complètement terrorisés face au peuple. La révolution de la façon dont circule l’information dans nos sociétés qu’a engendré la venue d’Internet et ensuite du mouvement pour la vérité qui y est né, animé par des millions de chercheurs de la vérité partout à travers la planète, est un facteur que l’élite n’a pas su prévoir et bien contrôler. Les menaces auxquels  l’Internet libre et neutre fait face s’intensifieront en nombres et en gravité. Nous serons de plus en plus sollicités, mais ultimement, la vérité et la vie triompheront. Il y a une lutte, une guerre pour contrôler et soumettre l’esprit humain, une guerre de l’information qui fait rage.

Nous sommes en train de développer des mécanismes de protection, tel qu’un « firewall » mental, un instinct pour détecter les mensonges et les manipulations. Les révolutions et les grandes avancées humaines ont toujours été le fait de quelques individus ou petits groupes d’individus. Il y a présentement des millions de personnes connectées ensemble, faisant circuler l’information instantanément et l’enregistrant partout. Nous sommes devenus une immense agence du renseignement civile. En l’espace d’une heure seulement, une information ou des images vidéo peuvent faire le tour du monde et être vues, enregistrées et copiées des millions de fois avant même que les médias n’aient eu le temps de réagir. Le contrôle de l’information est devenu beaucoup plus difficile. Avec le recul historique, cette révolution sera certainement perçue comme étant un évènement clef de la libération du savoir et de l’information, et ultimement, de la sagesse humaine qui sera notre seul salut, la seule solution pour éviter que l’humanité s’autodétruise.

Il ne faut pas tomber hypnotisé et paralysé par les évènements du passé et les horreurs de présent, il faut les interpréter comme étant des symptômes d’un mal de société, d’une maladie de civilisation, qui a pour origine le cœur des hommes et femmes, l’individu qui est psychologiquement malade de par ses valeurs fausses découlant d’une grave incompréhension du sens profond et essentiel de la vie, ou simplement de son oubli. Mais les défauts et les fausses motivations ne sont que des qualités et saines motivations perverties. Il est impératif que nous retrouvions une vision du futur, que nous ayons un projet de société réel pour et par le peuple.

« La lutte de l’homme contre le pouvoir est la lutte de la mémoire contre l’oubli. » – Milan Kundera

« Celui qui ignore son passé est condamné à le revivre. » – Marc Bloch

François Marginean

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Eugénisme et agenda mondial de dépopulation

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«Dans l’éventualité où je serais réincarné, je voudrais revenir comme un virus mortel, afin de contribuer en quelque chose pour résoudre la surpopulation» – Extrait de la préface de la biographie «Si j’étais un animal» du Prince Philip

Différentes personnes à différents moments ont été attirées par différents aspects de l’eugénisme – et ont aussi souvent rejeté d’autres. Il n’y a pas d’emballage parfait, pas de quartier général ni de maitre guide. L’eugénisme est plutôt une collection d’idées et de projets à propos de l’amélioration de la race humaine par le contrôle social de la reproduction humaine. Le mouvement eugénique s’est répandu à travers le monde et affecte toutes les facettes de la vie sociale. Personne n’a besoin de chercher bien loin pour trouver l’eugénisme. C’est dans les livres d’école, dans les journaux et tous les médias, dans la science-fiction, dans les gouvernements et ainsi de suite. C’est une manière de penser à propos de la vie que des personnes très intelligentes ont fait la promotion depuis un siècle, avec peu ou pas de résistance les cinquante dernières années. (Source)

Il existe encore un grand nombre de personnes parmi le public en général, les universitaires et spécialement ceux qui travaillent pour les médias corporatifs, qui sont toujours en déni face à l’agenda de réduction de la population mondial pourtant bien documenté, ainsi que des conséquences de ce programme que nous voyons déjà prendre forme. Cet article, qui fait suite à Eugénisme & darwinisme social qui lui jetait les bases historiques de cette idéologie, se veut une compilation d’évidences en vue de prouver que l’élite a été obsédée par l’eugénisme et son incarnation moderne, le contrôle de la population, depuis plus d’une centaine d’années, et que ce but de réduction de la population globale est toujours en pleine force jusqu’à ce jour.

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1• Des philanthropes milliardaires qui ont assisté au sommet organisé par l’initiative de Bill Gates, le co-fondateur de Microsoft, ont discutés de joindre leur force pour vaincre les obstacles politiques et religieux qui s’opposent au changement concernant la surpopulation mondiale. Ce club, nommé le «Good Club», discute de dépopulation mondiale.

Sous le titre « Le Club des milliardaires tente de juguler la croissance démographique », le Sunday Times du 24 mai a révélé la tenue d’une réunion secrète qui en dit long sur la volonté politique de l’oligarchie financière.

La rencontre, qui s’est tenue à New York le 5 mai dernier, a été organisée à l’initiative de Bill Gates, fondateur du monopole Microsoft, grand promoteur des simulateurs de meurtres sur ordinateur et parrain de Facebook, de Warren Buffet, spéculateur milliardaire et financier de la Fondation Gates, et de David Rockefeller. Au-delà de ces trois là, la petite sauterie a réuni Michael Bloomberg, maire de New York et fondateur de l’agence d’information financière du même nom ; George Soros, spéculateur et parrain du lobby de la drogue ; Peter Peterson, fondateur du groupe financier Blackstone et grand avocat de l’austérité budgétaire ; Julian Robertson, patron du fond Tiger Management ; John Morgridge, ancien pdg de Cisco Systems ; Eli Broad, spéculateur immobilier ; David Rockefeller Jr, fils du premier ; Ted Turner, fondateur de CNN ; et Oprah Winfrey, animatrice phare de la télé américaine.

La réunion a débuté par une présentation de chacun des participants sur la cause qu’il défend, mais très vite, nous apprend le Times, la discussion s’est transformée, sous l’impulsion de Bill Gates, en un consensus sur la « surpopulation », comme la cause supérieure qui englobe les autres. Un autre participant a confié qu’ils étaient aussi parvenus à un consensus pour mettre en place une stratégie « dans laquelle la croissance démographique serait attaquée comme menace écologique, sociale et industrielle ». Les participants ont souligné leur « besoin d’être indépendant des agences gouvernementales qui se révèlent incapables d’affronter le désastre que tous nous voyons venir ». De prochaines réunions sont d’ores et déjà prévues pour organiser la mise en œuvre de cette stratégie. (Source)

2• Ted Turner, l’un des participant et riche propriétaire d’un empire médiatique, est fermement imprégné d’eugénisme et de réduction de la population mondiale qu’il voudrait voir baisser de 95% pour être idéale, selon un interview qu’il a accordé à Audubon Magazine en 1996: «Une population totale de 250-300 millions de personnes, un déclin de 95% par rapport aux présents niveaux, serait idéal». Turner a donné un milliard de dollars à une organisation nommée Fondation des Nations Unies. Cette organisation créé par Turner et la Turner Fondation, sont dévouées au contrôle de la population par la distribution de condoms, la promotion de l’avortement et autres méthodes pour promouvoir l’agenda eugénique, tout comme d’autres tels que Bill et Melinda Gates qui ont aussi donné de larges sommes d’argents à des «organisations charitables» qui servent réellement à promouvoir le mouvement eugénique. Turner a même reçu un prix de l’ONU pour son travail en développement durable, qui n’est qu’un autre nom code pour la réduction de la population. (Source)

3• La Fondation Bill & Melinda Gates, le géant américain de l’agrobusiness DuPont/Pioneer Hi-Bred, l’un des plus grands propriétaires de fabriques de semences brevetés et génétiquement modifiés (OGM) et de produits agrochimiques apparentés; Syngenta, une compagnie de semences OGM et de produits agrochimiques basée en Suisse par l’intermédiaire de sa Fondation Syngenta; la Fondation Rockefeller, ce groupe privé qui a créé la «révolution génétique», avec plus de 100 millions de dollars d’argent des semences depuis les années 1970; le CGIAR, réseau mondial créé par la Fondation Rockefeller afin de promouvoir son idéal de pureté génétique à travers un changement de l’agriculture, travaillent ensemble à des projets communs, dont la Réserve mondiale de semence à Svalbard.

Le CGIAR a été façonné lors d’une série de conférences privées tenues au centre de conférence de la Fondation Rockefeller à Bellagio, en Italie. Les principaux participants aux débats de Bellagio étaient George Harrar, de la Fondation Rockefeller ; Forrest Hill, de la Fondation Ford ; Robert McNamara, de la Banque mondiale, et Maurice Strong, l’organisateur international de la famille Rockefeller au niveau de l’environnement et qui, en tant que fiduciaire de la Fondation Rockefeller, organisa Sommet de la Terre (Earth Summit) de l’ONU, à Stockholm, en 1972. Cela faisait partie de l’objectif de la fondation depuis des décennies afin de mettre la science au service de l’eugénisme, une hideuse version de la pureté raciale, et qui a été appelé Le Projet.

Pour assurer un impact maximum, le CGIAR a appelé l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture des Nations Unies, le Programme de développement des Nations Unies et la Banque mondiale. Ainsi, par le biais d’une levée soigneusement planifiée de son premier appel de fonds, la Fondation Rockefeller, à partir du début des années 1970, était en mesure de façonner la politique agricole mondiale. Et elle l’a façonnée, en effet.

Financé par de généreuses bourses d’étude de Rockefeller et de la Fondation Ford, le Groupe consultatif sur la recherche agricole internationale (CGIAR) a veillé à ce que les scientifiques et agronomes principaux de l’agriculture du Tiers-Monde soient amenés aux États-Unis afin de «maitriser» les concepts de production de l’agro-industrie moderne, et afin de les ramener dans leur patrie. Durant ce processus, ils ont créé un réseau d’influence inestimable pour la promotion de l’agro-industrie américaine dans ces pays, et plus particulièrement la promotion de la «Révolution génétique» des OGM dans les pays en voie de développement, et tout cela au nom de la science et d’un marché agricole efficace et libre.

Créer génétiquement une race de maitres ?

«Le Projet» est le projet de la Fondation Rockefeller et de puissants intérêts financiers depuis les années 1920 afin d’utiliser l’eugénisme, plus tard rebaptisé génétique, pour justifier la création d’une race de maitres créée par génie génétique. Hitler et les Nazis l’appelaient la race des maitres Aryens.

L’eugénisme d’Hitler fut financé dans une large mesure par la même Fondation Rockefeller qui construit aujourd’hui une «réserve de semences du jugement dernier» afin de préserver des échantillons de chaque semence présente sur notre planète. A présent, ceci devient vraiment intriguant. La même Fondation Rockefeller créa la pseudo-science de la discipline de la biologie moléculaire dans leur poursuite incessante visant à réduire la vie humaine à la «définition d’une séquence génique» qui, espéraient-ils, pourrait alors être modifiée dans le but de modifier les caractéristiques humaines à volonté. Les scientifiques de l’eugénisme d’Hitler, dont beaucoup ont été tranquillement amenés aux États-Unis après la guerre afin de poursuivre leurs recherches biologiques eugénistes, ont jeté une grande partie des bases du génie génétique des diverses formes de vie, soutenues ouvertement en grande partie jusqu’au sein du troisième Reich par les généreuses bourses de la Fondation Rockefeller.

La même Fondation Rockefeller créa ce que l’on appelle la révolution verte, durant un voyage au Mexique effectué en 1946 par Nelson Rockefeller et l’ancien Secrétaire à l’agriculture du New Deal et fondateur de la compagnie Pioneer Hi-Bred Seed, Henry Wallace.

La Révolution verte visait à résoudre le problème de la faim dans le monde à un haut degré, au Mexique, en Inde et dans d’autres pays choisis où Rockefeller travaillait. L’agronome de la Fondation Rockefeller, Norman Borlaug, remporta un prix Nobel de la paix pour son travail, une chose dont il n’y a pas de quoi se vanter lorsque des gens tels que Henry Kissinger ont partagé le même prix.

En réalité, comme cela est apparu des années plus tard, la révolution verte était une brillante idée de la famille Rockefeller pour développer une agro-industrie mondialisée dont ils pourraient ensuite prendre le monopole tout comme ils l’avaient fait dans le monde de l’industrie pétrolière et qui avait commencé un demi-siècle auparavant. Comme Henry Kissinger l’a déclaré dans les années 1970 : «Si vous contrôlez le pétrole, vous contrôlez le pays ; si vous contrôlez l’alimentation, vous contrôlez la population.» (Source)

4• L’idéologie d’eugénisme et de réduction de la population est bien intégrée dans le mouvement environnementaliste et celui de la théorie du réchauffement climatique causé par l’homme. Que ce soit correctement attribué à l’homme ou pas, les mêmes idées de réduire le nombre de population mondiale, de contrôler les naissances en adoptant des mesures eugéniques imitant la politique de l’enfant unique de la Chine et autres mesures dont l’avortement et la taxation d’enfants supplémentaires, sont présentes. L’humain et même les enfants sont le problème qu’il faut éliminer.

Alors que la planète subit une chute drastique de la production de biens indispensables au maintien de sa population, le Fonds mondial pour la nature (anciennement World Wildlife Fund) a publié le 29 octobre son Rapport Planète vivante (Living Planet Report 2008), affirmant que, puisque «les besoins des hommes en nourriture, eau, énergie et matériaux» représentent la plus grande menace pour la biodiversité, la consommation humaine devrait être réduite d’au moins 30% — pour commencer.

Selon ce rapport, plus des trois quarts de la population mondiale vivent dans des pays dont la consommation dépasse leur bio-capacité (exprimée sous forme d’«empreinte écologique»). Les auteurs en viennent à demander la «réduction de la population, de la consommation individuelle et des ressources utilisées ou des déchets émis pour produire des biens et des services». Pour la première fois, le WWF s’en prend même à la consommation d’eau.

Ce rapport, dont les recommandations, si elles étaient appliquées, conduiraient à la mort de centaines de milliers d’hommes, a été co-rédigé par des membres de la Société zoologique de Londres. A l’origine du WWF, on trouve le prince Bernard des Pays-Bas et son co-penseur, le Prince Philip d’Edimbourg, le prince consort de la Reine Elisabeth II d’Angleterre. Le prince Bernard était un nazi, membre des SS, qui, contraint de démissionner du parti en vue de sa fonction royale, signa sa lettre de démission par un «Heil Hitler !».

Le critère d’«empreinte écologique» dont se sert le WWF fut élaboré par une fondation britannique, l’Optimum Population Trust, qui fait ouvertement campagne pour réduire des deux tiers la population mondiale afin de la ramener à deux ou trois milliards d’individus. (Source)

5• Dans une des rares sortie publique par les médias, Jonathon Porritt, un des principaux conseillers environnemental de Gordon Brown, a averti que la Grande Bretagne doit réduire radicalement sa population si elle désire construire une société durable. L’annonce a été faite à la conférence annuelle du groupe Optimum Population Trust (OPT), duquel il est le patron. Selon leur recherche, la population britannique devrait être réduite à 30 millions, soit la moitié de ce qu’elle est présentement. (Source)

En Australie, un groupe de lobby environnemental, le Sustainable Population Australia, soutient que nous devons réduire drastiquement la population mondiale ainsi que d’adopter une politique d’un enfant unique pour sauver la planète. Selon ce groupe de 1300 activistes, c’est le seul moyen d’éviter un «suicide environnemental». La présidente du groupe, Sandra Kanck, suggère que la population australienne soit réduite de 22 à 7 millions de personnes pour s’attaquer aux changements climatiques. (Source)

De même, la BBC publiait un article de John Feeney, déclarant que la croissance non contrôlée de la population mine les efforts pour la sauver la planète. Il demande au mouvement environnemental de cesser de fuir ce sujet controversé. On y mentionne une autre organisation qui lutte en ce sens: Global Population Speak Out. (Source)

6• Des scientifiques qui se joignent en groupes tels que le Global Population Speak Out (GPSO) font pressions sur les médias pour briser le tabou de la surpopulation mondiale:

Je fais partie d’un groupe de scientifiques, répartis dans 24 Pays, qui s’est engagé à convaincre les médias de faire cesser le tabou qui s’oppose à toute discussion relative aux problèmes posés par la taille et la croissance de la population humaine en relation notamment avec la dégradation de l’environnement. Nous maintenons ce tabou à notre péril et à celui de millions d’autres espèces.

La surpopulation est étroitement liée à toutes les formes de dégradation de l’environnement dont nous prenons conscience maintenant : disparition d’espèces, modifications du climat, pollutions, désertifications, diminution des réserves aquatiques, déforestations, etc., or la croissance démographique mondiale est préoccupante.

Il est illusoire de penser qu’en réduisant notre consommation (même s’il est bon de le faire) nous arriverons à corriger les excès dus à la croissance ininterrompue de la population humaine; personne ne peut réduire ses besoins organiques à zéro, il faut pour cela ne pas exister. Il est temps de réfléchir à ces problèmes démographiques et de préparer l’opinion à une perception nouvelle de leur évolution.

Le problème de la limitation des naissances est difficile dans les pays en voie de développement où de grossières erreurs ont été commises dans le passé. Mais les erreurs doivent être utiles pour progresser.
Il faudra dans ces pays, par recours aux médias sans doute, mieux y éduquer les femmes en exposant de nouvelles options concernant la taille des familles ; il faudra mieux protéger l’enfance pour qu’une forte mortalité ne soit plus la justification des familles nombreuses; il faudra enfin rendre les moyens de contraception facilement accessibles à tous.

Le projet d’aboutir rapidement à un palier de croissance de la population humaine et, par la suite, à sa décroissance est une option dont dépend l’avenir de notre espèce et du reste du monde vivant. (Source)

D’autre, comme le Dr Eric R. Pianka, un biologiste américain basé à l’Université du Texas à Austin qui prononce des discours au niveau international, fait la promotion d’un génocide de masse de 90% de la race humaine pour sauver la planète et est applaudit chaudement par ses pairs. Durant un discours à l’Académie des sciences du Texas en 2006, Pianka proposait d’exterminer 90% de la population mondiale à l’aide du virus Ebola. (Source)

En 2002, le Melbourne Age rapportait que des documents nouvellement découverts détaillaient le plan de l’éminent immunologiste Sir Macfarlane Burnet pour aider le gouvernement australien à développer des armes biologiques qui pourraient être utilisées contre l’Indonésie et autres pays «surpeuplés» de l’Asie du Sud-Est. Sir Macfarlane recommandait dans ce rapport secret de 1947 que des armes chimiques et biologiques pouvaient être développées pour détruire les cultures de pays asiatiques surpeuplés et répandre des maladies infectieuses qui affecteraient que ces pays tropicaux et non pas l’Australie. Cet homme a notamment été le directeur du Walter and Eliza Hall Institute of Medical Research et il reçu un prix Nobel de médecine en 1960. Il est décédé en 1985, mais ses théories sur l’immunité et la «sélection de clonage» ont servi à établir la base de la biotechnologie moderne et de l’ingénierie génétique. (Source)

La controverse entourant les commentaires d’un autre favori du milieu scientifique, le généticien James Watson, qui a déclaré au journal le Sunday Times que les noirs sont moins intelligents que les blancs de façon inhérente, ne devrait pas surprendre personne qui sait que Watson a rempli un important rôle en promouvant la pseudo-science de l’eugénisme. Watson fut le directeur du Projet génome humain jusqu’en 1992 et reconnu pour avoir été le co-découvreur de la structure de la double-hélice d’ADN, une réussite qui lui méritera un prix Nobel en 1962. Mais ce que la plupart ignore, c’est que Watson a joué un rôle crucial dans l’avancement de la légitimité de l’eugénisme/réduction de la population depuis des décennies.

James Watson est un important promoteur du dépistage génétique, un test qui détermine si un couple est plus à risque d’avoir un bébé ayant un désordre génétique héréditaire. Puisque le dépistage a évidemment augmenté le nombre d’avortement d’enfants considérés «imparfaits», plusieurs ont dénoncé son introduction comme étant rien de moins qu’un camouflage pour l’eugénisme ou «eugénisme volontaire». (Source)

7• Dans un document que Henry Kissinger rédigea en avril 1974 alors qu’il était Conseiller à la Sécurité Nationale américaine, le National Security Study Memorandum 200, il conclut : «Le dépeuplement est l’axe prioritaire de la politique étrangère américaine dans les pays du Tiers-monde». Le document, qui visait treize pays en particulier pour une réduction massive de leur population, suggérait d’employer la famine, la stérilisation et la guerre pour y parvenir.  Ce document gouvernemental fut rendu public en 1989 et identifiait ces pays comme étant d’un intérêt spécial pour les objectifs géopolitiques des États-Unis et expliquait ce pourquoi la croissance de la population, particulièrement celle des jeunes personnes, était vue comme une menace révolutionnaire contre les corporations américaines. Les pays nommés étaient l’Inde, le Bangladesh, le Pakistan, le Nigeria, le Mexique, l’Indonésie, le Brésil, les Philippines, la Thaïlande, l’Égypte, la Turquie, l’Éthiopie et la Colombie.

8• Lord Bertrand Russell écrivait dans son livre «The Impact of Science on Society»: «Présentement, la population du monde augmente… La guerre jusqu’à maintenant n’a pas eu de grands effets sur cette augmentation… Je ne prétends pas que le contrôle des naissances est le seul moyen par lequel une population peut être empêchée d’augmenter. Il y en a d’autres… La guerre a été plutôt décevante à cet égard, mais peut-être qu’une guerre bactériologique pourrait s’avérer efficace. Si une Mort Noire pouvait se répandre à travers le monde à chaque génération, les survivants pourraient procréer librement sans trop remplir le monde…» (Source)

9• «…des formes avancées de guerre biologique qui peuvent cibler des génotypes spécifiques peuvent transformer la guerre biologique d’un royaume de la terreur en un outil politiquement pratique.»

Qui a écrit ces mots dans leur propre document de stratégie? Les nazis? Le régime de Pol Pot?

Non, c’était Paul Wolfowitz, Dick Cheney, William Kristol, Donald Rumsfeld et le reste des collaborateurs néo-con qui ont formé ce qui était nommé le Project For a New American Century – qui constituait le cadre idéologique de l’ancienne administration Bush. (Source)

Il existe aujourd’hui des armes biologiques qui ont la capacité d’affecter et de tuer seulement certains génotypes particuliers, comme les africains, asiatiques, etc.

georgia_guidestones

10• Le Georgia Guidestones a été érigé le 22 mars 1980 aux États-Unis, en Géorgie, près d’Elberton. Il est surnommé le «Stonehenge américain».

Dix «nouveaux» commandements sont gravés sur les deux faces de 4 pierres érigées verticalement et écrits en 8 langues différentes qui sont: l’anglais, le russe, l’hébreu, l’arabe, l’hindou, le chinois, l’espagnol et le swahili. (Source)

Voici trois des dix commandements inscrits:

1. Maintenir l’humanité en dessous de 500 000 000 individus en perpétuel équilibre avec la nature

2. Guider la reproduction intelligemment en améliorant la forme physique et la diversité

3. Ne pas être un cancer sur la terre, laisser une place à la nature

11• De 1932 à 1972, le Tuskegee Study Group a délibérément infecté des pauvres de communautés noires en Alabama avec la syphilis sans leur consentement et ils ont même refusé de les soigner alors que les malades faisaient des dégâts à travers la ville tuant des familles. Des expériences sur des sujets humains non-consentants et à leur insu, par des autorités qui disaient vouloir «observer» ce qu’il adviendrait de ces gens.

François Marginean

Image Flickr: Abode of Chaos

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Obama et l’Afghanistan: la tradition américaine?

Encore une fois, les récentes positions de l’administration Obama refroidissent l’ardeur des cercles progressistes américains. Alors que les dernières semaines nous ont fait découvrir la réaction de la Maison Blanche face aux énormes difficultés que traverse l’économie américaine et mondiale, voilà que la stratégie envers l’Afghanistan se précise, provoquant encore une fois l’éloignement de cette gauche qui n’est pas nécessairement fidèle au parti démocrate.

Beaucoup de progressistes américains ont appuyé l’équipe Obama lors des élections de l’an dernier. Non seulement voulaient-ils couper définitivement les ponts avec le style néoconservateur, un grand nombre d’américains ont cru à de nouvelles idées, une nouvelle approche, la fin d’un mauvais rêve et l’apparition de tous les espoirs. Lorsqu’Obama s’est approché du pouvoir, on avait l’impression que le programme du « Project for a New American Century » serait relégué aux oubliettes, qu’on s’en inspirerait pour écrire un film d’horreur de série B, que les américians pouvaient maintenant passer à autre chose..

Cependant, Barack Obama ne trahit pas les positions qu’il avait confirmées lors de la campagne présidentielle. Il a toujours proposé d’augmenter les effectifs militaires en Afghanistan tout en poursuivant la lutte contre les mouvements terroristes. Les grands discours philosophiques en ont impressionnés plusieurs, on a peut-être manqué l’essentiel du message…

Après avoir très modestement célébré le cinquantième anniversaire de l’OTAN, Obama n’a pas réussi à convaincre l’Europe de participer plus activement aux opérations militaires. On peut comprendre que pour un bon nombre d’Afghans, c’est une occupation américaine plus importante que jamais et ce, sous l’égide dépassée d’une force inter-continentale qui n’a plus sa raison d’être. Pour des raisons politiques et, certes, des idéologies religieuses, plusieurs d’entre eux ont lutté contre l’envahissement de l’URSS. Aujourd’hui, pour des raisons similaires, d’autres se joignent à leurs frères et leurs pères pour résister aux américains.

Obama a donc décidé d’ajouter 20,000 soldats à la force de frappe américaine. Plusieurs activistes et analystes politiques, normalement sympatiques aux idées progressistes, ont interrogé la stratégie de l’administration américaine. Sur les ondes de Democracy Now!, Noam Chosky nous rappelait que le prestigieux Foreign Affairs suggérait récemment que « les États-Unis doivent réorienter leur stratégie afin d’impliquer sérieusement l’Iran, l’Inde, la Russie et la Chine afin qu’ils participent à la mise au point d’une solution régionale. » L’article de Barnett Rubin et Ahmed Rashid soulignait également que cette solution doit prévoir un espace dans lequel les Afghans pourront discuter et s’entendre sur l’avenir de leur pays et le partage des pouvoirs.

Dans une entrevue qu’il accordait au magazine The Nation, Lakhdar Brahimi, ancien représentant de l’ONU pour l’Afghanistan et le Pakistan, précise que « …les Afghans savent très bien faire la distinction entre une force militaire amie et une force d’occupation. Au début, la Force internationale de sécurité et d’assistance (ISAF) était perçue comme une force amie; la population la soutenait et elle n’était l’objet d’aucune attaque. Mais je crois que l’OTAN, depuis 2003, ne s’est pas très bien comportée, et un nombre croissant d’Afghans la considérent aujourd’hui comme une force d’occupation. »

L’Afghanistan n’est pas un pays avec une tradition islamiste homogène ou une culture prédominante. Nous sommes loin d’un consensus au sein de la population et les forces en présence sont nombreuses. Il faudra donc trouver un équilibre entre la soif de faire la promotion de la sacro-sainte démocratie et notre inconfort devant l’impopularité de notre mode de vie occidental. Comment pouvons-nous refuser aux Afghans le choix de vivre autrement? Nous devons d’abord assurer la paix et la tranquilité au peuple afghan. Lorsque la confiance sera gagnée, nous pourrons tenter de les convaincre que la charia ne fait aucun sens. En espérant que cette tendance gagne du terrain ailleurs sur la planète.

Si Obama ne fait laisse pas entrevoir de sérieux progrès prochainement, une autre partie de la gauche américaine pourrait sombrer dans le désespoir.

Photo: Jayel Aheram – Flickr

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La stratégie de la tension et le terrorisme d’état

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Opération Northwood

Le document officiel intitulé « Operation Northwoods » a été obtenu à l’origine par les archives de la Sécurité nationale de l’Université  George Washington à l’aide de la loi américaine sur la liberté de l’accès à l’information nommée Freedom of Information Act.

On y apprend que le 13 mars 1962, le Comité des chefs d’États-majors avait préparé un ensemble de propositions détaillées concernant Cuba pour le Secrétaire à la défense de l’époque, Robert McNamara. Ce document, qui porte le titre « Justifications pour une intervention militaire U.S. à Cuba », relate les plans de cette opération militaire qui portait le nom de code OPERATION NORTHWOOD.

Écrit en réponse à une requête du chef du Projet Cuba, le colonel Edward Lansdale, le mémorandum top secret décrit les plans américains pour créer différents prétextes qui justifieraient une invasion de Cuba. Ces différentes propositions faisant partie d’un programme secret anti-Castro connu sous le nom de « Operation Mongoose« , incluaient la mise en scène d’assassinats de Cubains vivant aux États-Unis, développant une fausse campagne de terreur cubaine et communiste à Miami ainsi que dans d’autres villes de la Floride jusqu’à Washington. Ces plans incluaient aussi de couler (simulation ou réellement) un bateau remplit de réfugiés cubains, de simuler une attaque d’un avion commercial par les forces aériennes de Cuba et de concocter un incident en faisant exploser un navire américain en eaux cubaines pour ensuite blâmer les cubains pour cet incident.

Voilà jusqu’où les gouvernements sont prêts à aller pour partir des guerres et conquêtes. Un cas isolé? Voyons voir, l’histoire est riche d’enseignements.

Pearl Harbor

L’histoire officielle est bien connue: le matin du 7 décembre 1941, les Japonais attaquent par surprise Pearl Harbor, « forçant » les Américains à entrer dans la Seconde Guerre mondiale. Mais ce qui est moins connu par contre, c’est que loin d’être une surprise, les États-Unis ont été avertis par les gouvernements d’Angleterre, de la Hollande, d’Australie, du Pérou,  de la Korée et de l’Union Soviétique qu’une attaque surprise sur Pearl Harbor se préparait. Tous les codes japonais importants avaient été décodés. Le président Roosevelt (FDR) et d’autres officiels savaient que l’attaque s’en venait, l’ont laissé se produire et ont voilé ces faits. (source)

Non seulement ils savaient que l’attaque était pour se produire, mais en fait, ils l’ont provoquée. Le document McCollum montre ce plan en huit points pour provoquer le Japon à attaquer les États-Unis, dont la population était contre la participation dans cette guerre européenne lointaine.  Il fallait scandaliser cette opinion publique pour lui faire accepter d’entrer en guerre.  La vie de 2 402 américains furent sacrifiées pour y arriver. Le président Roosevelt a mis en action les huit étapes proposées dans le document McCollum durant le cours de l’année 1941. L’une de ces étapes que FDR mettra en action était de couper les principales lignes de ravitaillement en pétrole et de geler les actifs du Japon, ce qui est à toute fin pratique un acte de guerre. À la huitième étape, le Japon décidera finalement de riposter et d’attaquer Pearl Harbor.

Le public se fera dire que l’attaque fut une totale surprise et résultait aussi d’un « échec du renseignement ».

Incidents du golfe du Tonkin

La guerre du Viêt Nam s’amplifiera après la date fatidique du 4 aout 1964 alors qu’on accusera les Vietnamiens d’avoir attaqué les forces américaines dans le golfe du Tonkin.  Bien qu’on ne pose pas la question évidente à savoir ce que les Américains faisaient là en premier lieu, il a maintenant été révélé, grâce aux documents et enregistrements audio déclassifiés, qu’en réalité aucune attaque n’a eu lieu. Les enregistrements du président Johnson avec le Secrétaire à la défense, Robert McNamara, sont disponibles. On peut les entendre discuter pour trouver un moyen de tourner le faux évènement en une justification pour l’escalade de la guerre au Viêt Nam.

Opération Gladio

« Vous deviez attaquer des civils, les gens, femmes, enfants, des personnes innocentes, inconnues et étrangères à tout jeu politique. La raison était plutôt simple: forcer… le public à se tourner vers l’État pour demander plus de sécurité. » (source)

L’Opération Gladio est un cas historique très bien documenté. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les réseaux des services secrets occidentaux et l’extrême droite vont employer la stratégie de la tension pour éviter que les communistes, les socialistes ou la gauche prennent le pouvoir.

C’est une histoire extrêmement bien documentée de terrorisme d’état où les services secrets se sont fait prendre à faire exploser des bombes dans des lieux publics comme des marchés, ou dans des autobus remplis d’enfants en Italie pour rendre la population furieuse et hystérique pour ainsi créer un climat de tension intense. (voir cet article et celui-ci pour plus d’informations)

Gladio (Glaive en italien) désigne le réseau italien des stay-behind, cette structure clandestine de l’OTAN créée après la Seconde Guerre mondiale pour parer à une menace d’invasion soviétique. On désigne couramment par ce nom l’ensemble des armées secrètes européennes, dont l’existence a été révélée publiquement le 24 octobre 1990 par le Premier ministre italien Giulio Andreotti.

Gladio a été mis en place dès le lendemain de la Seconde Guerre mondiale sous l’égide de la CIA et du MI6, comme structure de l’OTAN répondant directement au SHAPE. Cette structure avait comme fonction de « rester derrière » en cas d’invasion soviétique, afin de mener une guerre de partisans. Dans cet objectif, des caches d’armes étaient disposées un peu partout. (source)

Vous comprendrez clairement que nos gouvernements et les services secrets sont prêts à tuer de leur propre population pour avancer leur sombre agenda.

Provocation de l’Irak

Vous pensez peut-être que ces techniques ne sont plus utilisées de nos jours. Rien n’est moins certain. En février 2006, des documents divulgués font état d’une conversation entre Tony Blair et George Bush à propos de différents scénarios pour essayer de provoquer Saddam Hussein. Une option était de peinturer un avion d’espionnage américain avec les couleurs des Nations Unies et de le faire voler au-dessus du territoire irakien en espérant que Saddam l’attaquera pour ensuite exploiter l’évènement dans le but de rallier l’appui international pour l’invasion de 2003.

Conclusion

La compréhension et l’acceptation de cet état de fait nous pousse à changer de paradigme. Nous savons tous que nos gouvernements et les services secrets nous mentent, avec l’aide des médias, mais il y a une ligne qui pour plusieurs est difficile à franchir: c’est de se rendre compte qu’ils sont également capables et prêts à sacrifier plusieurs d’entres nous pour justifier leurs agendas. Triste réalité, mais non moins véritable.

À la lumière de tout ceci, est-ce si difficile de concevoir que les attaques du 11 septembre 2001 furent aussi du terrorisme d’état et non pas le fait de l’Al Qaïda, comme le dicte la théorie de conspiration officielle? Serait-il si surprenant que ces attaques auraient pu être organisées par le gouvernement américain lui-même, afin de pouvoir justifier ses opérations militaires depuis 2001 dans le cadre de la guerre au terrorisme et faire voter des lois liberticides au nom de cette lutte anti-terroriste allant jusqu’à autoriser la torture? On trouvait en effet la motivation dans ce rapport nommé le Project for the New American Century (Projet pour le Nouveau Siècle Américain – PNAC), qui est un think tank néoconservateur américain:

«Further, the process of transformation, even if it brings revolutionary change, is likely to be a long one, absent some catastrophic and catalyzing event – like a new Pearl Harbor.» (De plus, le processus de transformation, même s’il apporte un changement révolutionnaire, sera probablement long en l’absence d’un événement catastrophique et catalyseur – comme un nouveau Pearl Harbor). (source)

Gardez l’oeil ouvert,  car les mêmes types d’accusations mensongères qui ont été utilisées pour nous vendre la guerre contre l’Irak en 2003 sont maintenant portées contre l’Iran et il ne serait pas surprenant du tout qu’on assiste à une autre fausse attaque terroriste blâmée sur le dos large des Iraniens et de ce fait, justifier cette attaque que les israéliens et les Américains veulent depuis si longtemps.

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