Le déclenchement des élections a mis un terme à la commission parlementaire sur l’itinérance qui, après s’être déplacée à Montréal, Gatineau et Trois-Rivières, se poursuivait à l’Assemblée nationale. […] même si différentes chartes et loi disent le contraire, il y a des personnes qui sont laissées à l’abandon, condamnées à l’itinérance, parce qu’elles sont trop pauvres pour se loger, aux prises avec de multiples problèmes, elles ne sont pas capables d’avoir les services de santé dont elles ont besoin, elles n’ont pas l’appui nécessaire lorsqu’elles sortent d’institutions. (Pierre Gaudreau, Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal, Le Devoir, 10 novembre 2008)
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