Archives de Tag: scanner

Les enfants, ne parlez pas aux inconnus, mais laissez-vous toucher par ceux en uniforme

Par François Marginean

Comme il a été vu la semaine passée, les mesures de sécurité dans les aéroports américains et ailleurs comme au Canada, sont dommageables pour la santé, elles représentent une invasion de notre vie privée et un bris de nos droits et libertés, en plus d’être largement inutiles. Le but est principalement d’entrainer la population à obéir aveuglément aux autorités, de l’habituer à être traitée comme du bétail et la préparer à subir ce même type de traitement tyrannique un peu partout ailleurs.

Ces mesures commencent dans les aéroports, mais la prochaine étape est d’installer ces mesures répressives et envahissantes dans les lieux publics dont le transport, tels que les trains, métros, ports maritimes, etc. Comme quoi le lobbying finit par payer. Le secteur de la sécurité est en pleine explosion et l’argent coule à flots et les profits se chiffrent en milliards de dollars. Il y en a qui vont faire de l’argent avec cette nouvelle forme de tyrannie moderne. Big Brother est riche.

La Secrétaire du Homeland Security aux États-Unis, Janet Napolitano, a déclaré que la prochaine étape pourrait effectivement de resserrer la sécurité dans les transports publics américains tels que sur les trains et les bateaux. À ce rythme, il y aura surement bientôt des scanners corporels et des fouilles manuelles un peu partout, jusque dans les bibliothèques et à l’entrée des écoles. Pour ceux qui sont sceptiques ou dans le déni, considérez le fait que la TSA a déjà lancé un test beta à Tampa Bay, en Floride. En effet, la TSA, le Homeland Security et la police de Tampa ont mis sur pied des postes de contrôle à des stations d’autobus de Greyhound.

Voici ce que le Homeland Security a prévu pour la prochaine étape, s’ils n’en sont pas empêchés maintenant. Future Attribute Screening Technology, ou FAST. Ils se préparent à contrôler et surveiller toute la population dans les lieux publics. Si la population s’attend d’avoir le moindre degré de liberté dans ce pays à l’avenir, liberté de voyager en avion, en train, en autobus ou en voiture sans être inquiétés, liberté d’assister à des événements publics, ou juste la liberté de marcher à pied dans la rue, cette situation doit cesser dès maintenant.

Les gouvernements mentent sur la nécessité et l’efficacité des scanners corporels et des agressions par les agents dans les aéroports pour «sécurité». Ils ont beaucoup mieux et beaucoup moins cher comme moyens de détecter des explosifs et ils les utilisent pour leur propre protection. En Irak, l’armée US s’est débarrassé des scanners corporels parce qu’ils les ont jugés INUTILES! Ils ont recours aux chiens pisteurs d’explosifs.

Voici quelques faits:

* Le FBI n’utilise pas les scanners corporels pour protéger son quartier général à Washington DC – il utilise des chiens renifleurs d’explosifs qui ne sont pas seulement moins chers, mais aussi infiniment plus fiables;

* En Irak et en Afghanistan, où les kamikazes à la bombe sont un réel problème, les militaires américains n’utilisent pas l’électronique pour les détecter, ils utilisent des chiens renifleurs;

* En Russie, suite aux attentats au «soutien-gorge», la réponse a été d’apporter des chiens renifleurs et non pas d’agresser au hasard les femmes qui voyagent.

Comment cela pourrait-il être plus clair?

Les scanners et les tâtonnements ne sont pas des mesures de sécurité appropriées – le FBI le sait, l’armée américaine le sait, et la sûreté du transport aérien militaire en Russie le sait.

Voilà une solution qui préserve la dignité humaine tout en élevant considérablement le niveau de sécurité. Le coût d’un scanner est de $150 000 alors qu’un chien entrainé coute $8500.

Les enfants et les inconnus

Il y a eu peu de discussions sur les fouilles complètes du corps prenant place dans les aéroports américains que ENFANTS subissent. De nombreuses vidéos montrant de très jeunes enfants être dépouillés de leurs vêtements en public, touchés contre leur volonté et en d’autres circonstances être carrément agressés par des agents de la TSA, ont fait surface ces dernières semaines.

N’est-ce pas ironique qu’on conseille aux enfants de ne pas parler ou ouvrir la porte à des inconnus, alors que les parents sont conseillés par la TSA de dire à leurs enfants que ces méthodes de «sécurité», dont la fouille complète corporelle, est comme un «jeu»? Puisque les enfants résistent naturellement à se faire toucher par des étrangers, la politique de la TSA a été de suggérer aux parents de prétendre à leurs enfants que les attouchements fait par les agents en uniforme de la TSA est un jeu!

Quelle a été la réaction des médias à ce sujet? Un silence assourdissant. Ils nous demandent plutôt si nous ne sommes pas un peu «trop sensible» et ils en rajoutent en nous disant que nous avons besoin de trouver un équilibre «entre la sécurité et la confidentialité».

On enseigne donc aux enfants que toute personne en uniforme a libre accès à leurs corps, qu’ils ne peuvent pas refuser et dire «non»… et que leurs parents sont dans l’impossibilité de les protéger. À leur tour, on inculque aux parents qu’ils ne peuvent pas protéger leurs enfants. Une entreprise colossale qui est criminelle, voilà tout.

Il y a deux possibilités: soit il s’agit d’une idiotie officielle et une arrogance de l’ordre le plus élevé, ou ce résultat était prévu et jugé acceptable.  Une chose est certaine, c’est qu’en tant qu’agence gouvernementale qui collabore étroitement avec la CIA, le FBI, le Homeland Security, la TSA a accès à des centaines de psychologues et de psychiatres qui sont à leur service, sous contrat et disponible en tout temps.

Le plus récent sondage Gallup sur l’abus de l’enfance a révélé qu’en une seule année, plus d’un million d’enfants ont été abusés sexuellement et physiquement.
Dans le même esprit, l’American Medical Association a fait référence au viol et l’exploitation sexuelle des femmes et des enfants comme étant une violente et silencieuse épidémie.

Kenneth Wooden est un ancien journaliste et auteur du livre «Les enfants de Jonestown». Son expérience alors qu’il couvrait l’histoire de Jonestown et de voir des centaines de cercueils d’enfants revenant de la Guyane l’a motivé à créer une société de formation qui enseigne aux enfants comment identifier et se protéger eux-mêmes contre les prédateurs.

Il lui a été demandé ce qu’il pensait de la politique de la TSA commandant à ses employés de déshabiller les enfants et de leur faire subir des fouilles corporelles complètes ainsi que plus spécifiquement, son opinion à propos de l’idée de dire aux enfants de prendre cela comme «un jeu».
Il a répondu que la TSA a franchi la ligne de l’indécence. En tant que spécialiste de la sécurité nationale, il soutient que la TSA franchit la ligne quand elle permet à ses agents de tapoter les enfants pour des raisons de sécurité, qu’ils passent pour un jeu.

Compte tenu de ce contexte et du nombre de survivants qui ont été sexuellement maltraités et exploités – cela dépasse tout entendement de constater que la TSA et le Homeland Security puissent concevoir de tels contrôles de sécurité insensés et envahissants pour nos enfants et les jeunes. Pire encore, ils veulent faire passer ces attouchements corporels sur des enfants par des inconnus en uniforme comme un jeu! En tant que chercheur et journaliste d’enquête qui a interrogé plus d’un millier de délinquants sexuels, Kenneth Wooden peut documenter que le stratagème préféré pour attirer les enfants et les jeunes dans l’abus sexuel est de le déguiser en «jeu».

Comment est-ce que des «experts» travaillant pour la TSA peuvent-ils être si incroyablement mal informés et perdus pour penser que les fouilles intégrales du corps des enfants peuvent être dépeintes comme étant un jeu?! Cette façon de faire est totalement contraire à ce que ceux qui travaillent dans domaine de la prévention des abus sexuels ont essayé d’accomplir au cours des trente dernières années. Kenneth Wooden explique qu’une telle politique pourrait essentiellement désensibiliser les enfants à être touché de manière inappropriée et, finalement, rendre plus facile pour les délinquants sexuels de s’attaquer à nos enfants.

Cette politique est également très insensible aux innombrables victimes qui ont déjà été traumatisées par des attouchements non désirés dans leur vie et pourraient être traumatisés de nouveau par ces fouilles sommaires. Selon l’avis de ce journaliste et défenseur des enfants, les procédures de la TSA sont à la limite de la négligence criminelle et, juridiquement parlant, elle représente une «indifférence délibérée face à l’avenir du bien-être émotionnel de millions de
victimes et potentiellement de beaucoup trop de jeunes victimes à venir».

32 Commentaires

Classé dans Actualité, François Marginean

Bienvenue dans les aéroports américains: agression ou dose de radiation?

Image Flickr par Mario Sixtus, gTarded, Pierre-Paul Feyte et 89AKurt

Par François Marginean

Mieux vaut le dire d’entrée de jeu, il serait préférable de cesser de prendre l’avion vers les États-Unis pour les temps à venir. C’est la consternation dans les aéroports américains depuis que la TSA (Transportation Security Administration), l’Agence nationale américaine de sécurité dans les transports qui fut créée après les événements du 11 septembre 2001, a introduit ces fameux scanneurs corporels et surtout, de nouvelles procédures de fouilles corporelles.

Le choix présenté aux voyageurs aériens par la TSA, lorsque vient le temps de passer la sécurité, se résume à peu près à ceci: prendre une dose de radiation par scanner ou bien subir une fouille corporelle qui constitue ni plus ni moins un attentat à la pudeur s’apparentant dans certains cas à une agression sexuelle. Effectivement, on est passé du traditionnel détecteur de métal et occasionnellement de la fouille générale du dos de la main à la surface des vêtements pour détecter une arme, au scanner corporel à ondes millimétriques ionisantes potentiellement mutagènes et cancérigènes qui montre les gens à nu et la fouille corporelle complète avec les mains, incluant entre les jambes jusqu’à ce que l’agent rencontre de la résistance, les seins et les organes génitaux, peu importe le sexe de l’agent de la TSA ou du passager.

La raison évoquée par les autorités américaines, canadiennes et de nombreux autres pays européens est la sécurité. Il faut assurer la sécurité des passagers contre des attentats terroristes. Cela s’est accentué et justifié davantage depuis l’attentat bidon d’un étudiant nigérien de 23 ans, Umar Farouk Abdulmutallab, qui avait supposément tenté de détoner une bombe à bord du vol 253 de Northwest, en partance d’Amsterdam vers Détroit, le 25 décembre 2009.

On se rappellera qu’Umar Farouk Abdulmutallab, un jeune homme provenant d’un pays musulman, voyageant seul et sans bagage, avait apparemment pu monter à bord de l’avion sans passeport alors qu’il était fiché dans la banque de données sur le terrorisme des États-Unis depuis deux ans, tout cela en transportant joyeusement des explosifs attachés à ses sous-vêtements malgré le fait que l’aéroport d’Amsterdam utilisait déjà ces superscanners corporels.

La sécurité et les risques d’être tué dans un attentat terroriste

Au nom de la « sécurité », on demande à la population de se soumettre docilement à des fouilles perverses ou à poser nu pour des agents du gouvernement tout en se prenant une dose de radiation. Il serait alors peut-être bon de mettre les choses en perspective avant de sombrer dans l’hystérie collective et de réclamer plus de ces coûteux scanners dans les aéroports. Pour évaluer le bien-fondé de cette dite « sécurité » qui ne fait que reculer nos droits et libertés, il faut analyser les risques véritables de terrorisme qu’encourent les voyageurs aériens. Pour ce faire, cet article est des plus éloquents: LES CHIFFRES RIDICULES DU TERRORISME.

Voici ce qu’on peut y trouver:

– Ces dix dernières années, aux États-unis, il n’y a eu que six attentats ou tentatives d’attentat terroriste à bord d’un avion : les avions du 11 septembre, la bombe dans la chaussure de Richard Reid en 2001 et enfin la bombe dans le slip sur le vol NWA 253 en décembre dernier.

– Sur la même période, aux Etats-unis toujours, il y a eu 99 320 309 vols commerciaux qui ont atterri ou ont décollé (chiffres TSA). Si on divise par six, cela fait un attentat ou une tentative d’attentat tous les 16 553 385  envols ou atterrissages.

– Mis bout à bout, ces vols ont parcouru environ 69 415 786 000 miles nautiques (111 713 878 704 Km). Il y a donc eu environ un incident terroriste aérien aux Etats-unis tous les 11 569 297 667 miles parcourues. Cela équivaut à environ 1 459 664 fois le tour du monde, 24 218 allers-retours entre la Terre et la Lune ou deux allers-retours vers la planète Neptune.

– Si on estime une vitesse de vol moyenne de 425 miles/h (env. 600 Km/h), nos avions ont donc passé 163 331 261 d’heures en vol. Il y a donc eu environ un incident terroriste aérien aux Etats-unis toutes les 27 221 877  heures de vol. Ou si vous préferez, un incident terroriste tous les 1 134 245 jours de vol. Ou encore, un incident terroriste toutes les 3 105 années de vol.

Il y avait un total de 674 passagers, sans compter l’équipage ou les terroristes, sur les vols où se sont produits ces incidents. Sur la même période, il y a eu 7 015 630 000 passagers de vols commerciaux aux Etats-unis.

Ces dix dernières années, un passager aérien avait donc une chance sur 10 408 947 d’être sur un vol affecté par un attentat terroriste. Par comparaison, aux Etats-unis, vous avez environ une chance sur 500 000 d’être frappé par la foudre. Je ne vois personne se mobiliser pour faire installer des paratonnerres dans tous les lieux publics.

En 2005, le « Center for Disease Control » aux USA a publié les statistiques suivantes:

  • 1 chance sur 126 de mourir d’une crise cardiaque
  • 1 chance sur 169 de mourir d’un cancer
  • 1 chance sur 400 d’avoir une malade cardiaque
  • 1 chance sur 520 d’attraper un cancer
  • 1 chance sur 1 245 de vous faire assassiner si vous viviez dans une grande ville dans les années 1990
  • 1 chance sur 2 900 de mourir dans un accident
  • 1 chance sur 7 000 de mourir dans un accident de voiture
  • 1 chance sur 9 200 de vous suicider
  • 1 chance sur 12 400 d’attraper la maladie d’Alzheimer
  • 1 chance sur 18 100 de mourir assassiné
  • 1 chance sur 21 004 de mourir du SIDA
  • 1 chance sur 43 000 d’attraper une hernie
  • 1 chance sur 88 000 de mourir dans un attentat terroriste
  • 1 chance sur 1 500 00 d’être victime d’un attentat terroriste contre un centre commercial, partant du principe qu’il y aurait un attentat par semaine et que vous consacrez deux heures par semaine à faire vos courses.
  • 1 chance sur 55 000 000 d’être victime d’une attaque terroriste contre un avion de ligne, partant du principe qu’il y aurait une attaque par mois et que vous prenez l’avion une fois par mois.

Voilà qui devrait mettre les choses en perspective. Pas encore convaincu? Voici une autre statistique qui fait réfléchir. Le Wall Street Journal a publié un article, accompagné d’un complément, qui traite de ce sujet en analysant quelques surprenantes statistiques. Depuis l’an 2000, les probabilités de mourir d’un acte de terrorisme à bord d’un vol commercial américain sont de 1 sur 25 millions. Les probabilités d’être frappé par la foudre sont de 1 sur 500 000. C’est bien cela, on a cinquante (50) fois plus de chances d’être frappé par la foudre que de mourir dans une attaque terroriste à bord d’un avion. N’est-ce pas révélateur?

Par conséquent, si les autorités et les médias hallucinent littéralement sur la « menace » terroriste au point de terroriser la population entière et de lui imposer des mesures de sécurité liberticides et criminellement envahissantes, où est le branle-bas de combat pour prévenir et protéger la population de la foudre? Où sont les dispositifs de sécurité et les pages premières de journaux?

De plus, les « terroristes », ils ne sont pas cons. Du moins, pas tous. Même si une sécurité pouvait être efficace à 100% et sans failles, ce qu’il est impossible à atteindre, les terroristes choisiront de faire exploser leurs engins ailleurs! S’ils ne peuvent monter à bord d’un avion, ils les feront exploser dans l’aéroport même, dans un autobus, un centre d’achats ou tout autre endroit public. Le résultat sera le même! Pourquoi prendre le risque de monter à bord d’un avion? Il y a énormément d’endroits encore plus sensibles et stratégiques.

Si une bombe venait qu’à exploser dans un centre d’achats, devra-t-on y installer des scanners corporels et instaurer des fouilles manuelles par des agents du gouvernement ou de compagnies privées de sécurité?

Tout le monde y passe

Cette histoire concerne tous les voyageurs aériens, partout dans le monde. Mais la situation est plutôt explosive et extrême aux États-Unis ces derniers temps. C’est qu’on ne permettrait pas à un étranger de prendre une photo à nu de soi ou encore de se faire toucher partout sur le corps par un inconnu. Seulement que l’idée de voir votre femme, votre jeune enfant ou votre vieille mère se faire palper par un individu inconnu ou de se faire prendre en photo complètement nu pourrait en mener plusieurs à la violence ou à des poursuites judiciaires pour attouchements sexuels ou même pédophilie.

Pourtant, c’est maintenant un fait quotidien dans les aéroports aux États-Unis. De jeunes enfants sont déshabillés par des agents de la TSA et ceux-ci vont jusqu’à mettre leurs mains dans les sous-vêtements des gens. Ceux qui refuseraient le scanner et la fouille risquent d’être mis en état d’arrestation, être poursuivis en justice et même recevoir de lourdes amendes. Pendant ce temps-là, des millions de boites sont acheminées vers les États-Unis à chaque année et seulement 1% de celles-ci sont scannées pour détecter des explosifs.

Les scanners corporels – utilité et effets sur la santé

Ces scanners sont-ils réellement utiles, efficaces et sans danger pour la population? Voici quelques faits intéressants:

Les scanners corporels sont un gaspille d’argent, selon un expert israélien de la sécurité aérienne. Rafi Sela a expliqué au gouvernement canadien qu’il avait perdu des millions de dollars en installant ces machines « inutiles » dans les aéroports à travers le pays. «Je ne sais pas pourquoi tout le monde se précipite pour acheter ces machines coûteuses et inutiles. Je peux surmonter les scanners corporels avec assez d’explosifs pour abattre un Boeing 747», a-t-il déclaré aux parlementaires d’une étude sur l’état de sécurité de l’aviation au Canada. «C’est pourquoi nous ne les avons pas installés dans notre aéroport « , a déclaré Sela, se référant à l’aéroport international David-Ben-Gourion à Tel Aviv, qui est parmi les plus sévères dans le monde au niveau de la  sécurité. Sela, ancien chef de la sécurité de la Israel Airport Authority et un vétéran de 30 ans dans la sécurité aéroportuaire et de la technologie de défense, a aidé à concevoir la sécurité à Ben-Gourion.

Les scanners corporels ont «des effets mutagènes». Un professeur en biochimie d’une université californienne a déclaré que l’affirmation de l’administration Obama selon laquelle les scanners corporels ne posent pas de risques pour la santé des voyageurs aériens, est une «erreur».

Les scanners corporels pourraient être dangereux, selon des scientifiques. Ces scientifiques américains ont averti que les scanners à rayons X qui sont utilisés pour contrôler les passagers et les équipages des compagnies aériennes dans les aéroports à travers le pays, peuvent être dangereux: «Ils disent que le risque est minime, mais statistiquement, quelqu’un va développer un cancer de la peau, dû à ces rayons X», a déclaré le Dr. Michael Love, qui dirige un laboratoire de rayons X dans le département de la biophysique et la chimie biophysique à l’Université de médecine de Johns Hopkins University.

Les scanners dans les aéroports sont tout aussi susceptibles de vous tuer qu’un terroriste à la bombe faisant exploser votre avion dans le ciel, un éminent chercheur a révélé. Ces machines controversées ont été installées dans les principaux aéroports à travers le monde, y compris au Royaume-Uni, faisant craindre qu’une exposition accrue aux rayons nocifs pourrait causer le cancer. Maintenant, un professeur de physique des États-Unis a ajouté au débat en affirmant que les scanners sont redondants parce que les gens sont tout aussi susceptibles de développer un cancer suite à l’exposition aux radiations que vous l’êtes de mourir dans un attentat terroriste sur un avion.

Des scientifiques de l’Université de la Californie à San Francisco étaient si inquiets qu’ils ont écrit une lettre à l’Office de la science et la technologie de la Maison Blanche en avril 2010, pour les alerter au sujet des dangers des scanners.

Obama poussent ardemment les gens ordinaires à accepter tout cela sans brocher, alors qu’il se vante de ne pas avoir à passer par ces mesures de « sécurité ». Si les gens doivent se soumettre à cette médecine, Michelle Obama et ses filles devraient elles aussi s’y plier. Il semble aussi que les membres du Congrès n’ont pas à subir ces mesures de sécurité.

Un sergent-major de la US Army, qui sert aujourd’hui en Afghanistan, a écrit à propos de la nouvelle procédure de fouille accrue de la TSA. Le résumé de son message très puissant: dans le but d’éviter d’offenser gravement la population afghane et d’éviter de projeter l’apparence d’un état de sécurité hors de contrôle, l’armée américaine a interdit l’utilisation sur les civils afghans des mêmes pratiques que la TSA est en train de faire subir aux voyageurs civils dans les aéroports des États-Unis.

Qui profite?

Le gouvernement américain a utilisé 25 millions de dollars des fonds de relance économique pour acheter et installer des scanners corporels dans les aéroports dans un effort de renforcer la sécurité et créer des emplois. La TSA a utilisé ces fonds pour l’achat de 150 scanners corporels, selon la porte-parole de la TSA, Sarah Horowitz. Ces scanners qui utilisent les rayons X pour fournir des images détaillées d’objets cachés dans ou sous les vêtements d’une personne, sont fabriqués par Rapiscan, une filiale de Hawthorne (OSIS). Le coût unitaire des scanners est de $150 000 à $180 000, selon la compagnie.

Depuis la tentative d’attentat contre un avion américain le jour de Noël dernier, l’ancien secrétaire du Homeland Security, Michael Chertoff, a donné des dizaines d’entrevues aux médias vantant la nécessité d’acheter plus de scanners corporels pour les aéroports par le gouvernement fédéral. Ce qu’il n’a pas mentionné, c’est que le Groupe Chertoff, son agence de conseil en sécurité, possède un client qui fabrique ces machines. Chertoff divulgué ce lien sur un programme de CNN, en réponse à une question.

Chertoff a commandé ces scanners corporels alors qu’il était toujours à la tête du Homeland Security, avant même l’attentat bidon du vol 253 de Northwest. Maintenant, il en profite.

Tim Carney du Examiner, souligne qu’une société nommée Rapiscan a obtenu un contrat de 165 millions de dollars pour les scanners corporels seulement quatre jours après l’incident du vol 253 de Northwest de Noël dernier. Rapiscan est politiquement connecté, observe Carney, sans surprise. Tel qu’il l’est pour les autres connexions politiques de la compagnie, il apparaît également que nul autre que George Soros, le financier milliardaire, détenait 11 300 parts de OSI Systems Inc, la société qui possède Rapiscan. Le stock d’OSI s’est considérablement apprécié au cours de l’année. Soros est certainement un investisseur avisé.

Le chef de la direction de l’une des deux entreprises autorisées à vendre des scanners corporels à la TSA, a accompagné le président Barack Obama en Inde plus tôt ce mois-ci, un signe clair des liens profonds entre les politiciens de Washington et les entreprises des pressions pour que les scanners corporels soient installés à tous les aéroports américains. Deepak Chopra, président et chef de la direction des systèmes OSI (aucun lien avec le spiritualiste New Age), faisait partie d’un certain nombre de dirigeants qui ont voyagé avec le président lors de son voyage de trois jours en Inde, qui a porté essentiellement sur l’élargissement des liens commerciaux entre les États-Unis et la nouvelle puissance asiatique.

Le fait qu’un fabricant de scanners corporels ait accompagné le président américain lors de son voyage à l’étranger montre l’étendue des liens entre l’industrie et le gouvernement des États-Unis. C’est le fabricant d’un des scanners corporels a accompagné le président américain sur un voyage à l’étranger montre l’étendue des liens entre l’industrie et le gouvernement des États-Unis. De nombreux observateurs ont attiré l’attention sur Michael Chertoff, l’ex-secrétaire de la sécurité intérieure, et le fait que le Groupe Chertoff compte OSI comme client. Mais les dirigeants de la TSA ont affirmé ne pas être au courant des conflits d’intérêts de Chertoff. D’ailleurs, le chef de la TSA, John Pistol, a réitéré que l’administration n’avait absolument aucune intention de changer leurs politiques de surveillance, assurant que la TSA est «la dernière ligne de défense du gouvernement US» et que tous les incidents d’attouchements étaient «appropriés» pour arrêter les terroristes.

Les agents de TSA – fiabilité et crédibilité

Les agents de la TSA avaient une réputation jusqu’à lors d’être ineptes à vraiment prévenir les menaces de retrouver des bombes sur les avions. En effet, les agents manquaient de 60 à 75% des fausses bombes passées sous leur nez par des enquêteurs sous couvert alors que certains d’entre eux se proclamaient être des dieux.

Un agent de la TSA a été arrêté le 3 janvier au Terminal Un à Los Angeles (LAX). Il venait tout juste de terminer son travail et se comportait de façon erratique, en disant: «Je suis Dieu, je suis en charge. » Pendant ce temps, une enquête interne de la TSA a permis de mettre à jour des preuves selon lesquelles des agents de la TSA à LAX avaient utilisé de la drogue lors d’une fête.

Un travailleur de la TSA a fait semblant de trouver de la drogue dans le sac d’un passager à l’aéroport international de Philadelphie en janvier et il avait joué ce tour plus d’une fois. Il aurait dit à une de ses victimes «qu’elle devrait admettre que c’était drôle», selon des documents de la TSA.

Un autre a été arrêté en relation avec l’agression d’une jeune fille, a déclaré le shérif du comté d’Orange. L’homme a dit aux enquêteurs qu’il avait prévus de faire de cette fille son «esclave sexuelle», selon le rapport d’arrestation diffusé par les médias locaux.

Un employé de la TSA a été mis sous arrestation pour avoir volé plus d’une centaine d’articles qu’il sortait des bagages et d’avoir tenté de les revendre sur eBay. Il est accusé d’avoir volé plus de cent objets de valeur, dont 66 caméras, tout en travaillant pour la Transportation Security Administration.

Alors, qu’elle est la véritable menace pour les voyageurs?


L’opposition fuse de toute part

Heureusement, une forte résistance se dresse devant ces mesures tyranniques. Dans ce sondage, plus de 97% des répondants se sont dits contre ces procédures et ont manifesté l’intention de changer leur habitude de voyage et de transport. Un large groupe de citoyens ont démarré une initiative ayant pour but de refuser de prendre l’avion pour se déplacer: WE WON’T FLY!

En ce 24 novembre, une rébellion est organisée pour inviter les gens à ne pas voyager par avion. Les gens de tous les horizons rejettent la mise en place de ces machines d’imagerie à radiation dans les aéroports et se défendent contre la brutalité et de tâtonnement auxquels les femmes et les enfants sont soumis de la part des responsables de la TSA. Plusieurs syndicats et associations de pilotes ont conseillé à leurs membres d’éviter les scanners, tout en dénonçant les fouilles sommaires renforcées comme étant humiliantes et sur un pied d’égalité avec le harcèlement sexuel. Dans un coup dur pour les scanners de la TSA, le président de l’Association des pilotes alliés (APA) a publié une lettre demandant instamment à tous les pilotes de ne pas utiliser les scanners corporels, aussi connus sous le nom Advanced Imaging Technology (AIT). «Les dispositifs AIT en cours de déploiement produisent des rayonnements ionisants qui pourraient être nuisibles à votre santé», a écrit le président de l’Allied Pilots Association, Dave Bates. Les agents de bord ont aussi envoyé le même message à la TSA.

Des protestants en Allemagne ont défilé presque nus dans un aéroport pour lutter contre ces scanners. Le sénateur Michael J. Doherty (R-Hunterdon, Warren) et le sénateur James Beach (D-Camden) ont annoncé qu’ils allaient présenter des résolutions au Sénat et à l’Assemblée, demandant au Congrès américain de mettre fin à des procédures de dépistage de la TSA. Leur action vient en réponse aux nombreuses préoccupations sur la vie privée et de radiation, ainsi que les rapports de conduite inappropriée des agents de la TSA au cours du processus de dépistage. L’aéroport international de Sanford à Orlando a décidé de se retirer du dépistage de la TSA. Il est temps de démanteler la TSA.

Vu toute cette opposition, est-ce que l’administration ou autres agents néfastes prépareront un «évènement terroriste» pour qu’Obama et la TSA puissent dire: «nous avons tout essayé de vous protéger, mais vous avez refusé de nous obéïr»?

Conclusion

Terminons avec un peu d’humour provenant d’un grand comédien américain qui savait dire les choses telles qu’elles sont, le tant regretté George Carlin:

George Carlin on Airport Security

Écouter et propager ces vidéos:

Scanners corporels pornographiques – Quand toutes les limites sont dépassées

Partie 1/3

Partie 2/3

Partie 3/3

100 Commentaires

Classé dans Actualité, François Marginean

Gouvernements et politiques pour et par les intérêts financiers privés

Ploutocratie n. f. (gr. Ploutos, richesse, et kratos, pouvoir). Gouvernement où le pouvoir appartient aux classes riches.

Fascisme n. m. (it. Fascismo). Régime établi en Italie de 1922 à 1945, fondé par Mussolini sur la dictature d’un parti unique, l’exaltation nationaliste et le corporatisme. Doctrine et pratiques visant à établir un régime hiérarchisé et totalitaire.

A/H1N1, l’OMS & les compagnies pharmaceutiques

Absolument incroyable, mais parfaitement prévisible. Les compagnies pharmaceutiques ont manipulé l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour abaisser sa définition d’une pandémie afin qu’ils puissent profiter financièrement de la propagation de la grippe porcine. La charge provient d’une audience d’enquête du Conseil d’Europe sur la manière dont la « pandémie » a été gérée et est, par ailleurs, fortement rejetée par l’OMS.

Les critères pour déclarer une pandémie d’influenza H1N1 ont été modifiés à la baisse tout juste quelques semaines avant que l’OMS annonce qu’il y avait une pandémie à l’échelle de la planète.

Les critiques soutiennent que cette décision a été le résultat de l’influence des compagnies pharmaceutiques, désespérées de rentabiliser les milliards de dollars qu’elles avaient investi dans la recherche et le développement de vaccins contre-pandémies après la peur de la grippe aviaire de 2006 et 2007.

La conséquence est que des millions de personnes ont été vaccinées contre une maladie bien bénigne; et cet argent aurait pu être utilisé pour traiter et aider des gens dans le besoin. Seulement qu’au Québec, cette fausse campagne contre le A/H1N1 nous aura coûté plus de 200 millions de dollars.

La grippe saisonnière tue annuellement entre 250 000 et 500 000 personnes, en moyenne. La grippe du A/H1N1 a tué jusqu’à date 14 000 personnes dans le monde. Pandémie? Mortelle?

Les gouvernements tentent maintenant de se débarrasser de leurs vaccins qu’ils avaient commandés durant la vague d’hystérie et certains sont mêmes à considérer de les donner!

Un scientifique travaillant pour l’OMS a témoigné durant les audiences européennes menées à Strasbourg, en France, que la pandémie faisait partie d’une campagne d’angoisse exagérée, en collusion avec de majeures compagnies pharmaceutiques pour augmenter les profits pour les manufacturiers de vaccins.

Fin de la république des États-Unis

Les corporations peuvent maintenant acheter les politiciens légalement aux États-Unis. Un jugement rendu par la Cour suprême des États-Unis autorise maintenant les corporations de financer autant qu’elles le désirent, sans aucune limite, les politiciens à Washington. On vient tout simplement légaliser l’achat de la politique par le secteur privé. Le contrôle du pays et de la politique passe ainsi à des compagnies privées. En d’autres mots, les compagnies viennent de recevoir le statut de « personne naturelle », comme nous possédons. Donc, une entité fictive, une corporation, qui est immortelle qui et peut posséder des moyens infiniment plus puissants que ceux d’un homme ou d’une femme en chair en os comme vous et moi, peuvent maintenant utiliser leurs moyens pour influencer et financer la politique des États-Unis.

C’est la fin des États-Unis. Et c’est le début du fascisme pur et simple. Mussolini définissait le fascisme exactement de cette façon: l’union, la fusion du gouvernement avec les corporations.

En réalité, ça fait des années que le secteur privé, le complexe militaro-industriel, le secteur bancaire et financier, contrôlent les États-Unis de facto. Maintenant, c’est officialisé, légalisé, directement dans notre visage.

Bienvenue dans cette nouvelle ère de la montée officielle du fascisme en puissance.

Pendant ce temps, à Guantanamo…

La Cour a décidé, encore aux États-Unis, que les détenus à Guantanamo ne sont pas des « personnes », sous la loi américaine.

Mais les corporations le sont!?!?!?!

Les passagers aériens n’ont « aucun droit » de refuser les scanners corporels en Angleterre

Les passagers voulant voyager par avion n’auront aucun droit de refuser les fouilles virtuelles par scanner corporel lorsque ces appareils seront introduits à l’aéroport de Heathrow la semaine prochaine, ont confirmé des ministres. L’option de subir une fouille corporelle à la main telle qu’offerte dans les aéroports américains ne sera pas disponible en Angleterre; ce qui constitue une brèche béante dans le droit à la vie privée sous l’Acte des Droits Humains.

Haïti et le racket de la protection occidentale et corporative

Pour chaque dollar des payeurs de taxes que le gouvernement américain a décidé de déployer pour aider Haïti, seulement environ 1 cent est pour Haïti. Pour chaque dollar d’aide humanitaire que les Américains dépensent, 40 cents vont à l’appareil militaire US, payer pour la sécurité, les recherches et les équipes de secours, incluant le navire hôpital de la Navy USNS Comfort. Un autre 36 cents va au financement de l’assistance d’urgence de la US AID. Uniquement 10 cents ont déjà été dépensés pour de la nourriture.

Le président vénézuelien Hugo Chavez a annoncé qu’il effaçait la dette qu’Haïti avait encourue envers le Vénézuela pour du pétrole.

Il demeure que selon les informations disponibles, Haïti dispose de réserves de pétrole encore plus importantes que le Vénézuela, ainsi que de l’or et de l’iridium. Les compagnies minières attendaient un bon prétexte pour pouvoir mettre le pied sur l’île depuis quelques années déjà. Cela explique peut-être l’occupation/invasion de cette nation par les forces de l’ONU et des États-Unis. L’Union Européenne va aussi envoyer sa police à Port-au-Prince.

Les troupes des Nations Unies ont par ailleurs utilisé du poivre de Cayenne contre une foule d’Haïtiens affamés qui faisaient la queue pour recevoir de la nourriture dans le camps monté sur la place présidentielle. « Ils ne sont pas violents, seulement que désespérés. Ils ne veulent que manger » a déclaré Fernando Soares, un colonel de l’armée brésilienne. « Le problème est qu’il n’y a pas assez de nourriture pour tout le monde ».

Et voilà pour les opérations de relations publiques et de photos montrant l’armée US distribuant de la nourriture et du réconfort pour les gens désespérés. Cette occupation n’est qu’une main mise militaire sur Haïti ultimement pour le profit corporatif provenant des riches ressources en pétrole, or et autres minéraux.

Conclusion

Allons-nous, collectivement, avoir la sagesse et le courage de reconnaître la face de bête, maintenant qu’elle montre son visage sous différentes formes dans notre réalité; ou allons-nous ignorer les signes des temps comme l’ont fait les Allemands, les Italiens et le reste de la communauté internationales il y a quelques générations à peine, par indifférence et naïveté?

Les yeux de l’Histoire sont rivés sur nous…

François Marginean

19 Commentaires

Classé dans Actualité, François Marginean

Les terroristes gagnent

Il aura suffit de mettre un présumé terroriste aux explosifs sans passeport sur un avion pour voir s’envoler nos libertés individuelles. Les terroristes ont gagné. Peut importe si la sécurité de l’aéroport d’Amsterdam utilisait déjà les scanners corporels qu’on veut maintenant nous imposer ici, au nom de la sécurité, mais qui n’ont pas su détecter les explosifs. Peu importe que les services du renseignement américain étaient déjà au courant que Umar Farouk Abdulmutallab était fiché sur la liste des terroristes. Personne n’a été assez fiable pour empêcher cette menace de monter à bord du vol 253 de Northwest le jour de Noël dernier.

Peu importe.

C’est vos droits et libertés qui seront brimés, écrasée, encore une fois. Nous descendons plus profondément dans ce qui est déjà un État policier de surveillance où nos libertés individuelles sont anéanties au nom de la sécurité. Les terroristes ont gagné parce qu’ils haïssent qu’on soit libres. Et nous le sommes plus. Au nom de la sécurité. Dommage que l’histoire soit d’un tel ennui pour la population, parce qu’on se souviendrait peut-être que moins de liberté ne correspond jamais à plus de sécurité, mais résulte historiquement et invariablement à davantage de tyrannie.

Ainsi, nous allons devoir nous soumettre à ces scanners corporels pornographiques dans les aéroports alors que nos « experts en sécurité » n’ont même pas été capables d’arrêter le sans passeport Abdulmutallab. Ces crétins à la sécurité vont voir votre femme ou votre homme à poil, alors qu’ils ne sont même pas capables de faire la différence entre du miel et des explosifs…

En effet, saviez-vous qu’un aéroport en entier a dû être fermé et complètement évacué en Californie, parce que des agents de la TSA qui fouillaient les bagages d’un jardinier pensaient qu’il transportait des explosifs? Le FBI a interrogé le jardinier pendant quatre heures. Ce qui sentait comme des explosifs selon les agents de la TSA (agence de sécurité des aéroports américains) était en fait du…miel!

De plus, si vous pensiez qu’il est impossible de sauvegarder et transmettre ces images, détrompez-vous. C’est possible. Sans compter les dommages potentiels à votre ADN.

Voilà pour la sécurité accrue et les experts. Selon le scénario, c’est à ce moment-ci que la population doit se dire un « ouf  » de soulagement, se sentir davantage en sécurité et remercier nos gouvernements de réduire nos libertés individuelles au nom de la sécurité. Laissez fondre la petite pilule de soma sous votre langue. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Voyez-vous comment ils manipulent non seulement l’info elle-même mais (surtout) la perception de l’information? Ici la manipulation est dans le modelage de la perception du lecteur. L’intox se trouve moins au niveau des « faits » relatés qu’au niveau du point de vue lui-même, du référentiel.

À propos des scanners liberticides et des leurs irradiations cancérigènes et hautement dommageables pour l’ADN: il suffit que les grands médias suggèrent une « peur du profilage racial » pour que le problème entier soit réduit à ça dans l’opinion publique. Le débat est délimité et dévié dès le départ. C’est pas une question de profilage racial, c’est une question d’anéantissement pure et simple de nos libertés individuelles, par-delà toutes distinctions d’âge, de sexe, de culture, de nationalité, de race, etc. ils comptent sur le fait que les moutons vont dire : »pas grave, je suis pas un ‘ethnique’ pis j’ai rien à me reprocher, pis c’est pour attraper les terroristes qui tuent du monde, donc c’est un mal nécessaire. » – David V.

Voilà le véritable enjeu: nous perdons nos libertés individuelles et surtout notre dignité humaine.

Prorogation du Parlement par Harper

Notre mini dictateur canadien Harper vient de proroger le Parlement. Adios l’illusion de la démocratie, une seconde fois, un an après que Harper ait demandé à la Reine de fermer le Parlement. Cela veut dire que le travail que Harper faisait pour passer ses nouvelles pièces de législation bien souvent contre la population, tel que le Projet de loi C-6, sont à recommencer depuis le début. C’est une bonne nouvelle, mais c’est extrêmement louche. Harper doit avoir une motivation plus importante en tête, car il a beaucoup à perdre en devant recommencer ces dizaines de législations qui meurent ainsi au feuilleton. Pourquoi alors proroger le Parlement jusqu’en mars, après les Jeux Olympiques?

Comme il en était question dans l’article de la semaine passée ( Le terroriste nigérien Abdulmutallab prend le vol 253 de Northwest sans passeport; fiché dans la base de données sur le terrorisme ), la sécurité de l’aéroport d’Amsterdam était assurée par ICTS, la même compagnie israélienne qui était responsable de la sécurité à chacun des aéroports desquels les terroristes du 9/11 sont partis, apparemment en déjouant la sécurité.

En ce qui concerne l’aéroport international de Vancouver, c’est la compagnie Verint qui assure la sécurité depuis 2002. Verint est d’ailleurs aussi responsable de la sécurité du Métro de Montréal et du transit de Copenhague depuis 2004. Ils étaient aussi aux Olympiques de Beijing en 2008 et il n’y a aucun doute que Verint est aussi impliquée dans les Jeux Olympiques de 2010 à Vancouver.

Bien que ICTS est la compagnie qui assurait la sécurité de l’aéroport de Logan le 11 septembre 2001 et bien connue pour engager des anciens officiers du Shin Bet, Verint a aussi un passé troublant. Il n’y a pas de déni quant au fait que Verint est une branche de la compagnie israélienne Converse et était responsable majeur de la sécurité du Transit de Londres au moment des attentats à la bombe du 7/7. Les seules caméras qui n’ont pas fonctionné ce jour-là étaient exactement celles où les attentats ont eu lieu. Voilà pour les extraordinaires coïncidences.

Alors, dans l’éventualité d’un acte de terrorisme majeur durant les Jeux Olympiques de Vancouver, cela bénéficierait énormément à Harper qui aurait ainsi l’occasion de devenir encore un peu plus le grand dictateur qu’il aspire tant à être. Si telle situation venait qu’à se produire, la fermeture du Parlement lui laisserait les mains libres pour instituer des mesures restrictives au niveau des libertés individuelles, et surtout, distraire les Canadiens et Québécois de certains faits – que le Canada a participé à la torture, que Harper n’a pas l’intention de rapatrier les troupes d’Afghanistan en 2011 et que le Canada est dissout dans ce qui sera l’Union nord-américaine qui doit se compléter cette année.

Être un humain

En cette époque de darwinisme social, de transhumanisme et post-humanisme, idéologies autodestructrices et suicidaires, je vous convie à lire cette réflexion à propos des êtres humains et de l’humanité.

Ein Mensch, un être humain, est tout. Rien n’est d’une plus grande valeur qu’un être humain. Cette valeur ne peut être améliorée, ni enlevée. Elle est mienne pour toujours, mais seulement la mienne.

Je la partage avec chaque autre être humain sur Terre.
Il est certain que nous vivons à une époque où les êtres humains sont souvent considérés comme étant « rien », d’aucune valeur.

Nous vivons un âge où l’idéologie malthusienne fait un retour avec vengeance; où évidemment les êtres humains sont considérés être des « mangeurs inutiles », un « danger pour la planète ».

Nous vivons dans une époque où la valeur de la vie humaine est considérée comme négligeable par les maîtres du monde, « l’élite », les « joueurs mondiaux », les « rois philosophes ». Et lorsque la fin justifie les moyens, des centaines ou des milliers et souvent des centaines de milliers ou même des millions d’êtres humains peuvent être sacrifiés pour avancer l’agenda politique pour davantage de pouvoir et de contrôle pour ces élites. La torture et toutes formes d’humiliations sont justifiées pour atteindre ces buts, où la dignité humaine n’est d’aucun soucis pour ceux qui se perçoivent comme supérieurs, l’élite, les ultra riches, les intellectuels ou les génies scientifiques.

Ils recherchent des méthodes encore plus « parfaites » pour tuer des êtres humains ou produire des douleurs agonisantes pour terroriser et les pousser à se plier et à obéir, physiquement ou psychologiquement.

Un être humain n’est clairement rien pour eux, puisqu’ils se sont conditionnés eux-mêmes en un système de croyance anti-humain.

Ils croient que la race humaine détruit la planète ou que l’humanité est une forme de vie déficiente et chaotique qui est hors de contrôle et qui a besoin d’être ramené sous contrôle d’une certaine façon et par n’importe quel moyen, ou possiblement même altéré génétiquement.

Et bien, je crois que ce système de croyance élitiste est « fou », insensé et tout simplement faux. Et je crois que la fausseté de ces croyances élitistes peut être empiriquement prouvée.

Bien sûr, puisque ces élites sont de « vrais croyants », les gens comme David Rockefeller ou Henry Kissinger ne changeront pas d’idée de bientôt. Par contre, avec le temps plusieurs croyants vont le faire. Certains de ces convertis aux valeurs humaines pourraient même être les enfants et petits enfants des élites d’aujourd’hui, qui présentement se voient comme étant nés pour gouverner, contrôler, subjuguer et dominer.

Pour le mieux ou pour le pire, le changement est inévitable. Être humain signifie d’avoir à s’ajuster avec le changement et de s’y adapter. Être humain signifie d’avoir le potentiel pour l’espoir que le changement nous verrons sera inévitablement pour le mieux.

Je crois que ceux qui dénient la valeur de la plupart des êtres humains, pour augmenter leur propre valeur perçue, sont maintenant à se battre pour une guerre perdue contre l’inévitable perte de leur pouvoir. Ils ne gagneront pas, mais le plus longtemps qu’ils demeurent dans des positions de pouvoir trop important, plus ils causeront de terribles souffrances parmi les innocents.

Être humain signifie travailler ensemble vers l’objectif qu’un jour – le plus tôt possible – nous mettions fin au pouvoir de l’élite folle et barbare, pour qu’ils ne fassent pas plus de mal à l’humanité.

J’appartiens à la race la plus spéciale qui a vécu sur cette planète. La seule qui est consciente d’elle-même, avec la connaissance du passé et espoir pour le futur, capable de poser la plus importante question de toute: pourquoi? (Source)

Il semble que la principale guerre qui est menée est celle contre l’esprit humain; pour la déshumanisation totale des êtres humains. La vie en général et la valeur de la vie humaine sont réduites à rien. Notre dignité humaine est niée et détruite, peu à peu. On ne vous aime pas heureux, mais bien épeurés, terrorisés, obéissant.

Les terroristes gagnent et la résistance de masse ne semble pas surgir de nulle part.

Où sont donc passés notre dignité humaine, le sens et la valeur de la vie? Pourquoi avons-nous oublié notre génie humain, notre créativité, notre infini et incroyable potentiel de l’esprit humain? Où sont nos projets de société, nos visions du futur et nos valeurs humaines? Retrouvons rapidement nos esprits individuellement et collectivement. Il est temps de voir clairement qui sont les dangereux psychopathes qui sont au pouvoir et que nous avons malheureusement laissé faire trop longtemps.

Nous sommes responsables de l’état du monde et tant que nous ne changerons pas de direction, nous nous dirigerons vers un mur de totalitarisme et de tyrannie au lieu de faire chemin vers plus de liberté, de respect, de dignité humaine et d’épanouissement de la race humaine, en équilibre avec la nature. C’est un choix à faire qui nous appartient tous. Le futur dépend de nous à cette cruciale intersection de l’Histoire. Le résultat sera que nos descendants seront soit des êtres libres ou des esclaves.

C’est littéralement le choix auquel nous faisons face en tant que race humaine entière. C’est la croisée des chemins : tyrannie ou liberté?

François Marginean

43 Commentaires

Classé dans Actualité, François Marginean

Le terroriste nigérien Abdulmutallab prend le vol 253 de Northwest sans passeport; fiché dans la base de données sur le terrorisme

Le dernier épisode de terrorisme Hollywoodien vient tout juste de se produire et déjà les critiques sont sévères. C’est que le scénario, les effets spéciaux et la mise en scène comportent de sérieux manques et contradictions. Voyons voir ensemble. L’histoire officielle va ainsi: un étudiant nigérien de 23 ans, Umar Farouk Abdulmutallab, a tenté de détoner une bombe à bord du vol 253 de Northwest, en partance d’Amsterdam vers Détroit, et ce, la journée de Noël même. Heureusement, l’engin explosif n’a pas bien fonctionné. Le feu ainsi causé ainsi que l’homme furent rapidement maitrisés.

Al Qaïda aurait revendiqué l’attentat terroriste, en revanche des attaques américaines sur le Yémen la semaine auparavant. Les États-Unis ont accusé Abdulmutallab d’être lié à une cellule d’Al Qaïda située au Yémen et en Arabie Saoudite. Vous vous rappelez quand on nous disait qu’Al Qaïda était en Afghanistan? Nous avons ensuite envahit. Et la fois où on nous disait que l’Irak était devenu la nouvelle base d’Al Qaïda? Nous avons aussi envahit le pays. Que pensez-vous que nous risquons de voir se produire si Obama et les médias clament que le Yémen et l’Arabie Saoudite sont la nouvelle demeure du célèbre groupe terroriste crée à l’origine par la CIA?

Alors quel est le problème avec cette histoire? À peu près tout. À mesure que les informations font surface, ces dernières tendent à indiquer qu’il y a eu un échec retentissant du renseignement américain et un grave manque à la sécurité. Encore une fois, à la suite des attentats du 11 septembre 2001, le gouvernement et les médias déblatèrent en nous expliquant que tous ces extraordinaires manques sont le produit d’une simple négligence ou un échec de faire les liens nécessaires. Mais qu’en est-il réellement?

Nous pourrions commencer par demander comment Umar Farouk Abdulmutallab a pu être capable de monter à bord de l’avion qui partait d’Amsterdam vers Détroit sans passeport. Nous savons tous que le profilage ethnique existe, surtout envers les musulmans. Particulièrement depuis le 11 septembre 2001 et la subséquente guerre contre le terrorisme. Imaginez maintenant un jeune homme provenant d’un pays musulman voyageant seul et sans bagage, avec un billet allez simple en direction des États-Unis et sans passeport. Imaginez en plus de cela que le nom de cet homme soit fiché dans la banque de données sur le terrorisme des États-Unis depuis deux ans. Cet homme, qui représente exactement Abdulmutallab, ressemble à une alerte générale ambulante qui clignote rouge lorsqu’il entre dans un aéroport et tente de prendre l’avion en direction des États-Unis. C’est la raison d’avoir mis en place le Homeland Security à la suite des attaques du 9/11. On y a investi des milliards de dollars et transformé le pays en État policier depuis; coupé massivement dans les droits et libertés ainsi que le droit à la vie privée.

Et pour quel résultat?

Celui qu’un apprenti-terroriste ait pu monter sur un avion sans passeport, alors qu’il était sur la liste du terrorisme des États-Unis, tout cela en transportant joyeusement des explosifs attachés à sa jambe (ou ses sous-vêtements, si les médias et les autorités peuvent se brancher sur leur version officielle, qui elle, ne cesse de changer!), alors que l’aéroport d’Amsterdam utilise déjà ces super-scanners « on-vous-voit-complètement-à-poil » dont on parle tant de ces jours-ci dans les médias. Dire que le Canada planifie nous installer des douzaines de ces charmants super-scanner XXX pour assurer notre sécurité et celle de nos enfants, que Abdulmutallab a pu si habilement déjoué. Ou était-ce bien lui… Nous avons appris que la sécurité de cet aéroport était assurée par ICTS, la même et identique compagnie israélienne qui était responsable de la sécurité à tous et chacun des aéroports desquels les terroristes du 9/11 sont partis, apparemment en déjouant la sécurité là encore. Pensez-y.

Et qui est cet homme d’apparente nationalité indienne « habillé de façon élégante » et qui a convaincu le personnel à la porte de sécurité de laisser passer Umar Farouk Abdulmutallab sans passeport? Plus précisément, quelle position cet homme possédait-il pour que le personnel de l’aéroport accède à ses souhaits?

Le journal britannique The Telegraph, ne citant aucune source, nous dit que les explosifs étaient du même type que ceux que Richard Reid a utilisé, soit du PETN, l’homme au soulier qui a fait que depuis, nous sommes parfois obligés de retirer nos chaussures au contrôle de sécurité à l’aéroport. Si tel est le cas, comment se fait-il que nous n’ayons pas de dispositif mis au point depuis pour détecter ce type d’explosif? D’ailleurs, d’où provient ce PETN, un explosif militaire? La compagnie de sécurité qui a laissé Reid monter à bord du vol 63 de American Airlines était encore une fois ICTS (International Consultants on Targeted Security). Les directeurs de ICTS sont tous d’anciens officiels israéliens de la sécurité.

C’est largement ICTS qui a développé les procédures de « profilage » des passagers utilisés à Schiphol, Amsterdam et ailleurs à travers le monde à travers une de ses branches, ICTS Holland Products BV. ICTS a précédemment été lié à de l’espionnage israélien contre les États-Unis. ICTS International est basé à Amstelveen, en Hollande et assure une présence majeure dans la sécurité de plusieurs aéroports du monde, avec des contrats à Hong Kong, Bangkok, Suva, Auckland, Singapour, Macao, Chicago O’Hare, Londres Gatwick, Newark, Los Angeles, et Belfast. En 1999, l ‘aéroport Détroit, a brusquement annulé leur contrat de sécurité avec Argenbright Security Inc et les ont remplacé avec Huntleigh of St-Louis. Huntleigh a récemment été racheté par ICTS.

Revenons donc à Abdulmutallab: comment a-t-il pu monter à bord d’un avion en direction de Détroit? Son nom figurait sur la liste noire du terrorisme des États-Unis après que son propre père ait averti des officiels hauts placés du Département d’État qu’il était inquiet à propos des croyances radicales et des connexions que son fils partageait avec des extrémistes. Si son père avait été un plombier, pas certain que cela aurait laissé eu un grand impact. Mais la réalité est que son père,  Dr. Umaru Mutalla, est un ancien directeur d’une importante banque nigérienne, un ministre, tête de l’industrie nationale de l’armement, un proche associé de l’ambassadeur américain et une des personnes la plus riche du monde. Il s’est donc fort probablement directement adressé à l’ambassadeur lui-même, en place à Abjua, Nigeria. Il est aussi confirmé que Mutallaha a rencontré le chef de la station de la CIA de son pays.

Umaru Mutalla a ainsi donc mené l’industrie nationales de l’armement (DICON) en partenariat avec Israël et particulièrement le Mossad. Il était en contact avec eux quotidiennement. Ils dirigent presque tout au Nigéria, de la production d’armement en passant par le contre-terrorisme. La piste ne s’arrête pas là. Notre ami Abdulmutallab est passé au Yémen pour rencontrer quelques copains à la tête de la cellule Al Qaïda que Bush avait libéré de Guantanamo et remis à l’Arabie Saoudite en 2007. Il est rapporté par SITE Intelligence Group que des groupes se disant être de l’Al Qaïda au Yémen, que l’attaque contre le vol vers Détroit était en réponse des attaques militaires américaines sur leurs bases dans ce pays. Mais le gouvernement du Yémen, tel que rapporté par BBC, soutient que les terroristes Al Qaïda, mené par ceux relâchés par Bush, sont en fait des agents israéliens. Le président yéménite, Ali Abdullah Sale, a déclaré que les forces de sécurité ont arrêté un groupe de militants dit musulmans, liés au service secret israélien. (Source)

SITE Intelligence Group est géré par une « ancienne » membre des Forces de la défense israélienne, Rita Katz, qui a un long passé de propagande favorable à l’agenda israélien.

Al Qaïda n’existe pas vraiment, selon la BBC. En réalité, ce groupe existe peut-être, mais il n’est pas ce que nous sommes induit à en penser, et surtout, pas dirigé et financé par ceux qu’on pointe du doigt de la part des autorités et des médias.

Le plus qu’on lit sur ce dernier attentat terroriste, plus on sent que c’est du tout faux, du préfabriqué.

La débâcle pour couvrir cette histoire va en crescendo. Chaque nouveau mensonge crée de nouveaux problèmes et contradictions, requérant de nouveaux mensonges, qui créent de nouvelles contradictions, etc. Plus on apprend au sujet du terroriste islamique Umar Farouk Abdulmutallab, plus l’absurdité de cette entière situation nous crève les yeux parce que non seulement cet incident aurait-il pu être prévenu, mais aussi parce que chacune des agences et autorité impliquées se sont comportées avec la plus complète incompétence.

Et pour palier à tout cela, on nous dit qu’il va falloir augmenter la sécurité dans les aéroports, se soumettre à des fouilles à nu virtuelles, faire du profilage ethnique à fond, attendre en file des heures, le temps de nous créer de nouveau une illusion de sécurité et de nous faire frire aux rayons X potentiellement mutagènes et cancérigènes.

François Marginean

Image par Nomad Photography

53 Commentaires

Classé dans Actualité, François Marginean