Et le billet que j’ai pondu lundi passé à ce même sujet :
Je ne sais pas pour vous, mais je commence à en avoir ras le bol du discours rassurant des politiciens au lendemain de l’effondrement d’une structure en béton sur l’autoroute Ville-Marie :
C’est bien beau faire des déclarations après-coup, mais la population n’est pas stupide, elle a en tête le scénario de se retrouver au mauvais endroit au mauvais moment.
C’est surtout la déclaration de Sam Hamad qui me donne de l’urticaire, étant donné que c’est le gouvernement du Québec qui tient principalement les rênes dans le dossier du transport. Parce que le ministre des Transports ose carrément nous mentir. Toutes les routes ne sont pas sécuritaires (à moins que la dernière route non sécuritaire soit la 720, ce dont je doute très fortement). S’il n’y avait « aucun compromis avec la sécurité au Québec », il n’y aurait pas de catastrophes, donc pas de raisons de faire des discours rassurants. Pour ce qui est « des inspections régulières » et « d’effectuer des travaux rapidement », je veux bien croire, mais ça ne semble pas suffisamment régulier, ni assez rapide.
Aussi, c’est encore un discours qui nourrit le cynisme ambiant. Et nul doute que Sam Hamad protège le bilan Charest ici. Ce que j’aurais au moins aimé entendre c’est : il y a un gros problème avec les infrastructures et nous allons tout faire en notre possible pour le régler!
Ajout :
Ah! j’allais oublier! J’ai pondu hier un statut sur Twitter en lien avec ce sujet :
Encore aujourd’hui, notre bon Sam Hamad s’en lave les mains et tente par tous les moyens de renvoyer la balle. Alors, je suis d’accord avec le blogueur Patate quand il écrit :
Il y a l’histoire officielle WikiLeaks. On m’a pointé une série de textes qui la remet en question. J’ai bien voulu m’y ouvrir.
Nous sommes assurément en terrain conspirationniste, mais, contrairement à ce qu’on voit habituellement, les États-Unis ne sont pas le personnage principal. Plutôt quelque chose comme l’arroseur arrosé, ou encore mieux, un bouc émissaire :
Se basant sur le fait qu’aucune information diplomatique coulée par ce site ne met en danger Israël, on argue que le but de tout cela est de déstabiliser les États-Unis et d’ainsi pointer l’éclairage sur ce pays (lire : détourner l’attention du public) tandis qu’on ouvre la voie à une attaque de l’Iran. Je reste sur ma faim quant à l’Iran et je ne me taperai pas la lecture de toute l’information sur WikiLeaks pour vérifier l’assertion comme quoi Israël est plus blanc que blanc dans cette histoire, d’autres semblent avoir déjà fait le travail, et très bien en plus!
Autre théorie, cette avalanche de documents mis en disponibilité pour le public et les médias justifierait dans le futur une guerre globale des gouvernements contre la liberté d’information que permet le web, parce que cela constituerait une menace pour la sécurité internationale.
Pour justifier ces théories, il y a quand même un argument assez intéressant du côté de Pierre Bellefeuille :
Et il y a l’arrestation du grand manitou de WikiLeaks, Julian Assange, pour une affaire de « viol, d’agression sexuelle et de coercition » perpétrée sur deux Suédoises. À la base, le fait qu’il s’est rendu lui-même aux autorités est assez surprenant. Et du côté du site infowars.com on écrit que cela ressemble à un coup monté politique, car il a été révélé qu’une des deux femmes, une militante féministe qui a publié un guide sur « comment se venger des hommes et les faire souffrir », a des liens avec la CIA.
Personnellement, j’ai peine à m’y retrouver. Si tout cela s’avère véridique, c’est risible comment les États-Unis se font manipuler. Mais si c’était plutôt nous, en fin de compte, qui étions manipulés, et à plusieurs degrés?
Je n’ai malheureusement pas la réponse, mais ça donne froid dans le dos.
Comme il a été vu la semaine passée, les mesures de sécurité dans les aéroports américains et ailleurs comme au Canada, sont dommageables pour la santé, elles représentent une invasion de notre vie privée et un bris de nos droits et libertés, en plus d’être largement inutiles. Le but est principalement d’entrainer la population à obéir aveuglément aux autorités, de l’habituer à être traitée comme du bétail et la préparer à subir ce même type de traitement tyrannique un peu partout ailleurs.
Ces mesures commencent dans les aéroports, mais la prochaine étape est d’installer ces mesures répressives et envahissantes dans les lieux publics dont le transport, tels que les trains, métros, ports maritimes, etc. Comme quoi le lobbying finit par payer. Le secteur de la sécurité est en pleine explosion et l’argent coule à flots et les profits se chiffrent en milliards de dollars. Il y en a qui vont faire de l’argent avec cette nouvelle forme de tyrannie moderne. Big Brother est riche.
Voici ce que le Homeland Security a prévu pour la prochaine étape, s’ils n’en sont pas empêchés maintenant. Future Attribute Screening Technology, ou FAST. Ils se préparent à contrôler et surveiller toute la population dans les lieux publics. Si la population s’attend d’avoir le moindre degré de liberté dans ce pays à l’avenir, liberté de voyager en avion, en train, en autobus ou en voiture sans être inquiétés, liberté d’assister à des événements publics, ou juste la liberté de marcher à pied dans la rue, cette situation doit cesser dès maintenant.
Les gouvernements mentent sur la nécessité et l’efficacité des scanners corporels et des agressions par les agents dans les aéroports pour «sécurité». Ils ont beaucoup mieux et beaucoup moins cher comme moyens de détecter des explosifs et ils les utilisent pour leur propre protection. En Irak, l’armée US s’est débarrassé des scanners corporels parce qu’ils les ont jugés INUTILES! Ils ont recours aux chiens pisteurs d’explosifs.
Voici quelques faits:
* Le FBI n’utilise pas les scanners corporels pour protéger son quartier général à Washington DC – il utilise des chiens renifleurs d’explosifs qui ne sont pas seulement moins chers, mais aussi infiniment plus fiables;
* En Irak et en Afghanistan, où les kamikazes à la bombe sont un réel problème, les militaires américains n’utilisent pas l’électronique pour les détecter, ils utilisent des chiens renifleurs;
* En Russie, suite aux attentats au «soutien-gorge», la réponse a été d’apporter des chiens renifleurs et non pas d’agresser au hasard les femmes qui voyagent.
Comment cela pourrait-il être plus clair?
Les scanners et les tâtonnements ne sont pas des mesures de sécurité appropriées – le FBI le sait, l’armée américaine le sait, et la sûreté du transport aérien militaire en Russie le sait.
Il y a eu peu de discussions sur les fouilles complètes du corps prenant place dans les aéroports américains que ENFANTS subissent. De nombreuses vidéos montrant de très jeunes enfants être dépouillés de leurs vêtements en public, touchés contre leur volonté et en d’autres circonstances être carrément agressés par des agents de la TSA, ont fait surface ces dernières semaines.
N’est-ce pas ironique qu’on conseille aux enfants de ne pas parler ou ouvrir la porte à des inconnus, alors que les parents sont conseillés par la TSA de dire à leurs enfants que ces méthodes de «sécurité», dont la fouille complète corporelle, est comme un «jeu»? Puisque les enfants résistent naturellement à se faire toucher par des étrangers, la politique de la TSA a été de suggérer aux parents de prétendre à leurs enfants que les attouchements fait par les agents en uniforme de la TSA est un jeu!
Quelle a été la réaction des médias à ce sujet? Un silence assourdissant. Ils nous demandent plutôt si nous ne sommes pas un peu «trop sensible» et ils en rajoutent en nous disant que nous avons besoin de trouver un équilibre «entre la sécurité et la confidentialité».
On enseigne donc aux enfants que toute personne en uniforme a libre accès à leurs corps, qu’ils ne peuvent pas refuser et dire «non»… et que leurs parents sont dans l’impossibilité de les protéger. À leur tour, on inculque aux parents qu’ils ne peuvent pas protéger leurs enfants. Une entreprise colossale qui est criminelle, voilà tout.
Il y a deux possibilités: soit il s’agit d’une idiotie officielle et une arrogance de l’ordre le plus élevé, ou ce résultat était prévu et jugé acceptable. Une chose est certaine, c’est qu’en tant qu’agence gouvernementale qui collabore étroitement avec la CIA, le FBI, le Homeland Security, la TSA a accès à des centaines de psychologues et de psychiatres qui sont à leur service, sous contrat et disponible en tout temps.
Le plus récent sondage Gallup sur l’abus de l’enfance a révélé qu’en une seule année, plus d’un million d’enfants ont été abusés sexuellement et physiquement.
Dans le même esprit, l’American Medical Association a fait référence au viol et l’exploitation sexuelle des femmes et des enfants comme étant une violente et silencieuse épidémie.
Kenneth Wooden est un ancien journaliste et auteur du livre «Les enfants de Jonestown». Son expérience alors qu’il couvrait l’histoire de Jonestown et de voir des centaines de cercueils d’enfants revenant de la Guyane l’a motivé à créer une société de formation qui enseigne aux enfants comment identifier et se protéger eux-mêmes contre les prédateurs.
Il lui a été demandé ce qu’il pensait de la politique de la TSA commandant à ses employés de déshabiller les enfants et de leur faire subir des fouilles corporelles complètes ainsi que plus spécifiquement, son opinion à propos de l’idée de dire aux enfants de prendre cela comme «un jeu».
Il a répondu que la TSA a franchi la ligne de l’indécence. En tant que spécialiste de la sécurité nationale, il soutient que la TSA franchit la ligne quand elle permet à ses agents de tapoter les enfants pour des raisons de sécurité, qu’ils passent pour un jeu.
Compte tenu de ce contexte et du nombre de survivants qui ont été sexuellement maltraités et exploités – cela dépasse tout entendement de constater que la TSA et le Homeland Security puissent concevoir de tels contrôles de sécurité insensés et envahissants pour nos enfants et les jeunes. Pire encore, ils veulent faire passer ces attouchements corporels sur des enfants par des inconnus en uniforme comme un jeu! En tant que chercheur et journaliste d’enquête qui a interrogé plus d’un millier de délinquants sexuels, Kenneth Wooden peut documenter que le stratagème préféré pour attirer les enfants et les jeunes dans l’abus sexuel est de le déguiser en «jeu».
Comment est-ce que des «experts» travaillant pour la TSA peuvent-ils être si incroyablement mal informés et perdus pour penser que les fouilles intégrales du corps des enfants peuvent être dépeintes comme étant un jeu?! Cette façon de faire est totalement contraire à ce que ceux qui travaillent dans domaine de la prévention des abus sexuels ont essayé d’accomplir au cours des trente dernières années. Kenneth Wooden explique qu’une telle politique pourrait essentiellement désensibiliser les enfants à être touché de manière inappropriée et, finalement, rendre plus facile pour les délinquants sexuels de s’attaquer à nos enfants.
Cette politique est également très insensible aux innombrables victimes qui ont déjà été traumatisées par des attouchements non désirés dans leur vie et pourraient être traumatisés de nouveau par ces fouilles sommaires. Selon l’avis de ce journaliste et défenseur des enfants, les procédures de la TSA sont à la limite de la négligence criminelle et, juridiquement parlant, elle représente une «indifférence délibérée face à l’avenir du bien-être émotionnel de millions de
victimes et potentiellement de beaucoup trop de jeunes victimes à venir».
Mieux vaut le dire d’entrée de jeu, il serait préférable de cesser de prendre l’avion vers les États-Unis pour les temps à venir. C’est la consternation dans les aéroports américains depuis que la TSA (Transportation Security Administration), l’Agence nationale américaine de sécurité dans les transports qui fut créée après les événements du 11 septembre 2001, a introduit ces fameux scanneurs corporels et surtout, de nouvelles procédures de fouilles corporelles.
La raison évoquée par les autorités américaines, canadiennes et de nombreux autres pays européens est la sécurité. Il faut assurer la sécurité des passagers contre des attentats terroristes. Cela s’est accentué et justifié davantage depuis l’attentat bidon d’un étudiant nigérien de 23 ans, Umar Farouk Abdulmutallab, qui avait supposément tenté de détoner une bombe à bord du vol 253 de Northwest, en partance d’Amsterdam vers Détroit, le 25 décembre 2009.
La sécurité et les risques d’être tué dans un attentat terroriste
Au nom de la « sécurité », on demande à la population de se soumettre docilement à des fouilles perverses ou à poser nu pour des agents du gouvernement tout en se prenant une dose de radiation. Il serait alors peut-être bon de mettre les choses en perspective avant de sombrer dans l’hystérie collective et de réclamer plus de ces coûteux scanners dans les aéroports. Pour évaluer le bien-fondé de cette dite « sécurité » qui ne fait que reculer nos droits et libertés, il faut analyser les risques véritables de terrorisme qu’encourent les voyageurs aériens. Pour ce faire, cet article est des plus éloquents: LES CHIFFRES RIDICULES DU TERRORISME.
Voici ce qu’on peut y trouver:
– Ces dix dernières années, aux États-unis, il n’y a eu que six attentats ou tentatives d’attentat terroriste à bord d’un avion : les avions du 11 septembre, la bombe dans la chaussure de Richard Reid en 2001 et enfin la bombe dans le slip sur le vol NWA 253 en décembre dernier.
– Sur la même période, aux Etats-unis toujours, il y a eu 99 320 309 vols commerciaux qui ont atterri ou ont décollé (chiffres TSA). Si on divise par six, cela fait un attentat ou une tentative d’attentat tous les 16 553 385 envols ou atterrissages.
– Mis bout à bout, ces vols ont parcouru environ 69 415 786 000 miles nautiques (111 713 878 704 Km). Il y a donc eu environ un incident terroriste aérien aux Etats-unis tous les 11 569 297 667 miles parcourues. Cela équivaut à environ 1 459 664 fois le tour du monde, 24 218 allers-retours entre la Terre et la Lune ou deux allers-retours vers la planète Neptune.
– Si on estime une vitesse de vol moyenne de 425 miles/h (env. 600 Km/h), nos avions ont donc passé 163 331 261 d’heures en vol. Il y a donc eu environ un incident terroriste aérien aux Etats-unis toutes les 27 221 877 heures de vol. Ou si vous préferez, un incident terroriste tous les 1 134 245 jours de vol. Ou encore, un incident terroriste toutes les 3 105 années de vol.
Il y avait un total de 674 passagers, sans compter l’équipage ou les terroristes, sur les vols où se sont produits ces incidents. Sur la même période, il y a eu 7 015 630 000 passagers de vols commerciaux aux Etats-unis.
Ces dix dernières années, un passager aérien avait donc une chance sur 10 408 947 d’être sur un vol affecté par un attentat terroriste. Par comparaison, aux Etats-unis, vous avez environ une chance sur 500 000 d’être frappé par la foudre. Je ne vois personne se mobiliser pour faire installer des paratonnerres dans tous les lieux publics.
En 2005, le « Center for Disease Control » aux USA a publié les statistiques suivantes:
1 chance sur 126 de mourir d’une crise cardiaque
1 chance sur 169 de mourir d’un cancer
1 chance sur 400 d’avoir une malade cardiaque
1 chance sur 520 d’attraper un cancer
1 chance sur 1 245 de vous faire assassiner si vous viviez dans une grande ville dans les années 1990
1 chance sur 2 900 de mourir dans un accident
1 chance sur 7 000 de mourir dans un accident de voiture
1 chance sur 9 200 de vous suicider
1 chance sur 12 400 d’attraper la maladie d’Alzheimer
1 chance sur 18 100 de mourir assassiné
1 chance sur 21 004 de mourir du SIDA
1 chance sur 43 000 d’attraper une hernie
1 chance sur 88 000 de mourir dans un attentat terroriste
1 chance sur 1 500 00 d’être victime d’un attentat terroriste contre un centre commercial, partant du principe qu’il y aurait un attentat par semaine et que vous consacrez deux heures par semaine à faire vos courses.
1 chance sur 55 000 000 d’être victime d’une attaque terroriste contre un avion de ligne, partant du principe qu’il y aurait une attaque par mois et que vous prenez l’avion une fois par mois.
Voilà qui devrait mettre les choses en perspective. Pas encore convaincu? Voici une autre statistique qui fait réfléchir. Le Wall Street Journal a publié un article, accompagné d’un complément, qui traite de ce sujet en analysant quelques surprenantes statistiques. Depuis l’an 2000, les probabilités de mourir d’un acte de terrorisme à bord d’un vol commercial américain sont de 1 sur 25 millions. Les probabilités d’être frappé par la foudre sont de 1 sur 500 000. C’est bien cela, on a cinquante (50) fois plus de chances d’être frappé par la foudre que de mourir dans une attaque terroriste à bord d’un avion. N’est-ce pas révélateur?
Par conséquent, si les autorités et les médias hallucinent littéralement sur la « menace » terroriste au point de terroriser la population entière et de lui imposer des mesures de sécurité liberticides et criminellement envahissantes, où est le branle-bas de combat pour prévenir et protéger la population de la foudre? Où sont les dispositifs de sécurité et les pages premières de journaux?
De plus, les « terroristes », ils ne sont pas cons. Du moins, pas tous. Même si une sécurité pouvait être efficace à 100% et sans failles, ce qu’il est impossible à atteindre, les terroristes choisiront de faire exploser leurs engins ailleurs! S’ils ne peuvent monter à bord d’un avion, ils les feront exploser dans l’aéroport même, dans un autobus, un centre d’achats ou tout autre endroit public. Le résultat sera le même! Pourquoi prendre le risque de monter à bord d’un avion? Il y a énormément d’endroits encore plus sensibles et stratégiques.
Si une bombe venait qu’à exploser dans un centre d’achats, devra-t-on y installer des scanners corporels et instaurer des fouilles manuelles par des agents du gouvernement ou de compagnies privées de sécurité?
Tout le monde y passe
Cette histoire concerne tous les voyageurs aériens, partout dans le monde. Mais la situation est plutôt explosive et extrême aux États-Unis ces derniers temps. C’est qu’on ne permettrait pas à un étranger de prendre une photo à nu de soi ou encore de se faire toucher partout sur le corps par un inconnu. Seulement que l’idée de voir votre femme, votre jeune enfant ou votre vieille mère se faire palper par un individu inconnu ou de se faire prendre en photo complètement nu pourrait en mener plusieurs à la violence ou à des poursuites judiciaires pour attouchements sexuels ou même pédophilie.
Les scanners corporels – utilité et effets sur la santé
Ces scanners sont-ils réellement utiles, efficaces et sans danger pour la population? Voici quelques faits intéressants:
– Les scanners corporels sont un gaspille d’argent, selon un expert israélien de la sécurité aérienne. Rafi Sela a expliqué au gouvernement canadien qu’il avait perdu des millions de dollars en installant ces machines « inutiles » dans les aéroports à travers le pays. «Je ne sais pas pourquoi tout le monde se précipite pour acheter ces machines coûteuses et inutiles. Je peux surmonter les scanners corporels avec assez d’explosifs pour abattre un Boeing 747», a-t-il déclaré aux parlementaires d’une étude sur l’état de sécurité de l’aviation au Canada. «C’est pourquoi nous ne les avons pas installés dans notre aéroport « , a déclaré Sela, se référant à l’aéroport international David-Ben-Gourion à Tel Aviv, qui est parmi les plus sévères dans le monde au niveau de la sécurité. Sela, ancien chef de la sécurité de la Israel Airport Authority et un vétéran de 30 ans dans la sécurité aéroportuaire et de la technologie de défense, a aidé à concevoir la sécurité à Ben-Gourion.
– Les scanners corporels ont «des effets mutagènes». Un professeur en biochimie d’une université californienne a déclaré que l’affirmation de l’administration Obama selon laquelle les scanners corporels ne posent pas de risques pour la santé des voyageurs aériens, est une «erreur».
– Les scanners corporels pourraient être dangereux, selon des scientifiques. Ces scientifiques américains ont averti que les scanners à rayons X qui sont utilisés pour contrôler les passagers et les équipages des compagnies aériennes dans les aéroports à travers le pays, peuvent être dangereux: «Ils disent que le risque est minime, mais statistiquement, quelqu’un va développer un cancer de la peau, dû à ces rayons X», a déclaré le Dr. Michael Love, qui dirige un laboratoire de rayons X dans le département de la biophysique et la chimie biophysique à l’Université de médecine de Johns Hopkins University.
– Les scanners dans les aéroports sont tout aussi susceptibles de vous tuer qu’un terroriste à la bombe faisant exploser votre avion dans le ciel, un éminent chercheur a révélé. Ces machines controversées ont été installées dans les principaux aéroports à travers le monde, y compris au Royaume-Uni, faisant craindre qu’une exposition accrue aux rayons nocifs pourrait causer le cancer. Maintenant, un professeur de physique des États-Unis a ajouté au débat en affirmant que les scanners sont redondants parce que les gens sont tout aussi susceptibles de développer un cancer suite à l’exposition aux radiations que vous l’êtes de mourir dans un attentat terroriste sur un avion.
Un sergent-major de la US Army, qui sert aujourd’hui en Afghanistan, a écrit à propos de la nouvelle procédure de fouille accrue de la TSA. Le résumé de son message très puissant: dans le but d’éviter d’offenser gravement la population afghane et d’éviter de projeter l’apparence d’un état de sécurité hors de contrôle, l’armée américaine a interdit l’utilisation sur les civils afghans des mêmes pratiques que la TSA est en train de faire subir aux voyageurs civils dans les aéroports des États-Unis.
Qui profite?
Le gouvernement américain a utilisé 25 millions de dollars des fonds de relance économique pour acheter et installer des scanners corporels dans les aéroports dans un effort de renforcer la sécurité et créer des emplois. La TSA a utilisé ces fonds pour l’achat de 150 scanners corporels, selon la porte-parole de la TSA, Sarah Horowitz. Ces scanners qui utilisent les rayons X pour fournir des images détaillées d’objets cachés dans ou sous les vêtements d’une personne, sont fabriqués par Rapiscan, une filiale de Hawthorne (OSIS). Le coût unitaire des scanners est de $150 000 à $180 000, selon la compagnie.
Depuis la tentative d’attentat contre un avion américain le jour de Noël dernier, l’ancien secrétaire du Homeland Security, Michael Chertoff, a donné des dizaines d’entrevues aux médias vantant la nécessité d’acheter plus de scanners corporels pour les aéroports par le gouvernement fédéral. Ce qu’il n’a pas mentionné, c’est que le Groupe Chertoff, son agence de conseil en sécurité, possède un client qui fabrique ces machines. Chertoff divulgué ce lien sur un programme de CNN, en réponse à une question.
Tim Carney du Examiner, souligne qu’une société nommée Rapiscan a obtenu un contrat de 165 millions de dollars pour les scanners corporels seulement quatre jours après l’incident du vol 253 de Northwest de Noël dernier. Rapiscan est politiquement connecté, observe Carney, sans surprise. Tel qu’il l’est pour les autres connexions politiques de la compagnie, il apparaît également que nul autre que George Soros, le financier milliardaire, détenait 11 300 parts de OSI Systems Inc, la société qui possède Rapiscan. Le stock d’OSI s’est considérablement apprécié au cours de l’année. Soros est certainement un investisseur avisé.
Le chef de la direction de l’une des deux entreprises autorisées à vendre des scanners corporels à la TSA, a accompagné le président Barack Obama en Inde plus tôt ce mois-ci, un signe clair des liens profonds entre les politiciens de Washington et les entreprises des pressions pour que les scanners corporels soient installés à tous les aéroports américains. Deepak Chopra, président et chef de la direction des systèmes OSI (aucun lien avec le spiritualiste New Age), faisait partie d’un certain nombre de dirigeants qui ont voyagé avec le président lors de son voyage de trois jours en Inde, qui a porté essentiellement sur l’élargissement des liens commerciaux entre les États-Unis et la nouvelle puissance asiatique.
Le fait qu’un fabricant de scanners corporels ait accompagné le président américain lors de son voyage à l’étranger montre l’étendue des liens entre l’industrie et le gouvernement des États-Unis. C’est le fabricant d’un des scanners corporels a accompagné le président américain sur un voyage à l’étranger montre l’étendue des liens entre l’industrie et le gouvernement des États-Unis. De nombreux observateurs ont attiré l’attention sur Michael Chertoff, l’ex-secrétaire de la sécurité intérieure, et le fait que le Groupe Chertoff compte OSI comme client. Mais les dirigeants de la TSA ont affirmé ne pas être au courant des conflits d’intérêts de Chertoff. D’ailleurs, le chef de la TSA, John Pistol, a réitéré que l’administration n’avait absolument aucune intention de changer leurs politiques de surveillance, assurant que la TSA est «la dernière ligne de défense du gouvernement US» et que tous les incidents d’attouchements étaient «appropriés» pour arrêter les terroristes.
Un agent de la TSA a été arrêté le 3 janvier au Terminal Un à Los Angeles (LAX). Il venait tout juste de terminer son travail et se comportait de façon erratique, en disant: «Je suis Dieu, je suis en charge. » Pendant ce temps, une enquête interne de la TSA a permis de mettre à jour des preuves selon lesquelles des agents de la TSA à LAX avaient utilisé de la drogue lors d’une fête.
Alors, qu’elle est la véritable menace pour les voyageurs?
L’opposition fuse de toute part
Heureusement, une forte résistance se dresse devant ces mesures tyranniques. Dans ce sondage, plus de 97% des répondants se sont dits contre ces procédures et ont manifesté l’intention de changer leur habitude de voyage et de transport. Un large groupe de citoyens ont démarré une initiative ayant pour but de refuser de prendre l’avion pour se déplacer: WE WON’T FLY!
En ce 24 novembre, une rébellion est organisée pour inviter les gens à ne pas voyager par avion. Les gens de tous les horizons rejettent la mise en place de ces machines d’imagerie à radiation dans les aéroports et se défendent contre la brutalité et de tâtonnement auxquels les femmes et les enfants sont soumis de la part des responsables de la TSA. Plusieurs syndicats et associations de pilotes ont conseillé à leurs membres d’éviter les scanners, tout en dénonçant les fouilles sommaires renforcées comme étant humiliantes et sur un pied d’égalité avec le harcèlement sexuel. Dans un coup dur pour les scanners de la TSA, le président de l’Association des pilotes alliés (APA) a publié une lettre demandant instamment à tous les pilotes de ne pas utiliser les scanners corporels, aussi connus sous le nom Advanced Imaging Technology (AIT). «Les dispositifs AIT en cours de déploiement produisent des rayonnements ionisants qui pourraient être nuisibles à votre santé», a écrit le président de l’Allied Pilots Association, Dave Bates. Les agents de bord ont aussi envoyé le même message à la TSA.
Des protestants en Allemagne ont défilé presque nus dans un aéroport pour lutter contre ces scanners. Le sénateur Michael J. Doherty (R-Hunterdon, Warren) et le sénateur James Beach (D-Camden) ont annoncé qu’ils allaient présenter des résolutions au Sénat et à l’Assemblée, demandant au Congrès américain de mettre fin à des procédures de dépistage de la TSA. Leur action vient en réponse aux nombreuses préoccupations sur la vie privée et de radiation, ainsi que les rapports de conduite inappropriée des agents de la TSA au cours du processus de dépistage. L’aéroport international de Sanford à Orlando a décidé de se retirer du dépistage de la TSA. Il est temps de démanteler la TSA.
Vu toute cette opposition, est-ce que l’administration ou autres agents néfastes prépareront un «évènement terroriste» pour qu’Obama et la TSA puissent dire: «nous avons tout essayé de vous protéger, mais vous avez refusé de nous obéïr»?
Conclusion
Terminons avec un peu d’humour provenant d’un grand comédien américain qui savait dire les choses telles qu’elles sont, le tant regretté George Carlin:
On est reconnu pour ce à quoi on est bon. Les Japonais sont reconnus pour leurs sushis, leurs robots et leurs sumos parce qu’ils sont bons dans ces domaines. Les Français font de grands vins et sont reconnus pour cela, ainsi que pour leur cuisine. Wall Street et les banquiers privés nous volent notre argent et détruisent consciemment l’économie en spéculant sur sa démise et ils sont reconnus comme étant excellent dans ce domaine. Les compagnies de mercenaires privés et de l’armement se spécialisent dans la destruction, la mort et la reconstruction et c’est ce qu’ils font, parce qu’ils excellent dans cette branche. Les pétrolières comme BP sont en train de devenir très reconnues pour polluer la planète entière avec leur déversement record de pétrole dans l’océan, comme nous en sommes témoins présentement, dans le Golfe du Mexique, avec leur « Tchernobyl pétrolier » catastrophique.
Nous, au Canada et au Québec, nous sommes très bons dans la production de cirque économique élitiste protégé par un appareil d’État policier répressif. Nous sommes en passe d’être reconnus pour nos mesures d’État policier, anti-démocratiques et liberticides. Pour le prouver encore une fois, le Canada est sur le point de recevoir le G8 suivi immédiatement par le G20 et les mesures de sécurité seront sans précédent. Parce que nous, la sécurité et les procédés répressifs, c’est notre force et nous en sommes fiers. La preuve? Regardez notre impressionnant curriculum vitae:
– Québec, avril 2001: Sommet sur la Zone de libre échange des Amériques (ZLEA)
Alors que les pouvoirs financiers et corporatifs poussent les politiciens à s’entendre sur un accord de libre échange des Amériques, la population est tenue à l’écart des discussions et des prises de décisions ayant des répercussions sur leur vie quotidienne par un mur de plusieurs dizaines de kilomètres entourant la vieille ville de Québec. Responsables de défendre ce « mur de la honte » et les chefs d’état reclus et déconnecté de la ville entière, se trouvent des milliers de policiers et militaires mobilisés pour l’occasion. Environ 6 000 policiers étaient prévus, en plus d’unités de l’armée stationnées non loin de là. Le mur de la honte, érigé avec des blocs en béton et de grillage par le gouvernement fédéral, renforçait l’impression de militarisation. Les magasins ont aussi reçu l’ordre de placarder leur vitrine. Scène de guerre… opposant le peuple aux autorités qui décident de leur futur à huis clos.
– Ottawa, juin 2006: Sommet des Bilderberg
On les nomme le groupe Bilderberg et ils n’aiment pas discuter en public. Ceux qui suivent le groupe Bilderberg diront qu’ils ont incité l’Europe à adopter une monnaie commune, qu’ils ont mis en place Bill Clinton après avoir accepté d’appuyer l’ALENA et qu’ils prennent des décisions influençant le déroulement des évènements mondiaux. Ces rencontres réunissent les plus puissants de cette planète et demandent une protection contre le peuple encore plus intime que les agents de police d’Ottawa. Même ces policiers en uniforme étaient tenus de présenter leurs cartes d’identité à la demi-douzaine d’hommes en noir travaillant pour une société de sécurité privée nommée Globe Risk. Nous n’avons pas eu droit à la cavalerie flamboyante, car il s’agissait de garder cette rencontre le plus inaperçue possible, bien que les médias traditionnels n’aient pas eu bien le choix d’en parler puisque l’existence du groupe des Bilderberg est de plus en plus connue du public. Mais il demeure que la sécurité à l’extérieur de l’Hôtel Brookstreet a été beaucoup plus serrée que sur la colline du Parlement.
– Montebello, août 2007: Réunion du Partenariat sur Sécurité et la Prospérité (PSP)
L’aboutissement de la ZLEA est le PSP, qui est une initiative des grands industriels et multinationales du Canada, des États-Unis et du Mexique pour créer une zone de libre échange, d’harmonisation (à la baisse) des régulations et règlementation étatiques, commerciales, économiques et de la main d’oeuvre, création d’une zone commune frontalière, ainsi qu’une intégration militaire transcontinentale. Encore une fois, la population est gardée à l’écart des discussions que nos politiciens entreprennent avec le secteur privé et des agents étrangers (trahison?) par un appareil policier assez impressionnant. On pousse l’ignominie encore plus loin en voulant démoniser et discréditer les manifestants pacifiques en envoyant des policiers en agents provocateurs parmi la foule dans le but de faire de la casse devant les caméras des médias. Seul pépin pour eux, trois « manifestants » ont été mis à découvert et l’incident a été entièrement filmé et posté sur YouTube avant d’être repris par les médias traditionnels. La vidéo montre trois hommes masqués, dont l’un était armé d’une grosse roche, confrontant les manifestants pacifiques. Après que les hommes soient passés la ligne de police, puis ensuite immobilisés à terre, menottés et emmenés par les policiers, des photographies révéleront que leurs bottes correspondaient à celles des agents de police. Bien qu’ils aient d’abord nié que les individus en question étaient des agents provocateurs, la Sûreté du Québec a publié un communiqué de presse le 23 août en admettant que les trois manifestants étaient en fait des agents de la police en déguisement.
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Ce qui se passe réellement dans les coulisses pourrait avoir été révélé par le professeur Carroll Quigley, le mentor de Bill Clinton à l’Université de Georgetown. Un initié entretenus par les banquiers internationaux, M. Quigley a écrit dans La tragédie et l’espoir (Tragedy and Hope), en 1966:
« Les pouvoirs du capitalisme financier ont un autre but de grande envergure, qui n’est rien de moins que de créer un système mondial de contrôle financier entre des mains privées, capable de dominer le système politique de chaque pays et l’économie du monde dans son ensemble. Ce système devait être contrôlé de manière féodale par les banques centrales du monde agissant de concert, par des accords secrets conclus à de fréquentes réunions et conférences privées. » (Source)
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L’État policier canadien reçoit les sommets du G8 & G20
Puisque que le Canada est maintenant un expert en mesures de sécurité et d’État policier pour protéger la clique financière élitiste du reste de la population qui est affectée par leurs décisions prises derrière des portes closes, nous allons faire honneur à notre réputation. Le 26 et 27 juin prochain, nous serons les hôtes du sommet du G20, qui sera précédé par le sommet du G8, qui lui se tiendra le 25 et 26 juin 2010. Le sommet du G8 se tiendra à Huntsville, Ontario, alors que celui du G20 aura lieu au Metro Toronto Convention Centre à Toronto.
Les dirigeants mondiaux, ministres des finances, les gouverneurs de banques centrales, avec des milliers d’autres délégués assisteront à ces réunions secrètes. Et la cavalerie sera présente, en grand nombre. Il s’agira, en fait, du plus grand événement de l’histoire canadienne au niveau de la sécurité, surpassant de loin la sécurité présentée aux Jeux Olympiques de Vancouver. Le centre-ville de Toronto sera transformé en forteresse de sécurité avec des barrières, barricades, des points de contrôle et des fermetures de rues qui affecteront grandement les résidents locaux. Alors que les sommets G8/G20 attirera leur part des manifestants pacifiques, d’autres plus radicaux et de la frange peuvent essayer de capitaliser sur l’événement. Des agents provocateurs peuvent également être utilisés et leur comportement pourrait justifier une répression policière. Cela pourrait aussi être un moyen de diaboliser tous les manifestants, tout comme la tentative exposée de Montebello. Le sommet du G20 permettra d’approfondir les mesures d’État policier, ainsi que l’intégration progressive et constante de la police locale, provinciale, fédérale et de l’armée.
La sécurité qui sera déployée lors du prochain sommet du G20 sera la responsabilité du Groupe intégré de la sécurité (GIS): « La GRC a mis sur pied le Groupe intégré de la sécurité (GIS), qui est composé de membres de la GRC, de l’OPP (pour ce qui est du G8), des Forces canadiennes, du service de police de Toronto, du service de police régional de Peel, ainsi que d’autres experts en sécurité et en application de la loi qui auront pour mandat d’assurer la sécurité des personnes jouissant d’une protection internationale (PJPI), des personnes de marque (PDM) et des communautés ».
Ed Bolduc, un membre de l’équipe de planification du G20 et policier de la ville de Toronto a affirmé que « les Olympiques que vous avez vues récemment à Vancouver étaient en fait le plus grand déploiement de sécurité à prendre place au Canada. Le G20/G8 surpasse cela complètement ». Il poursuit en déclarant « qu’il y aura une massive – absolument massive – présence des policiers et de la sécurité sur le terrain comme vous ne l’avez jamais vu ». Il y aura une double clôture d’au moins trois mètres de haut, protégée par la GRC et la police. Le Globe and Mail rapportait qu’environ 10 000 policiers et 1000 gardes de sécurité seront déployés, avec un nombre non spécifié de soldats canadiens. Les dignitaires étrangers bénéficieront aussi de leurs propres éléments de sécurité. Les coûts associés à cette énorme cavalerie de la sécurité sont estimés à $179 millions de dollars par le gouvernement fédéral.
[Mises à jour: La sécurité va couter plus cher que prévu, une très légère et insignifiante augmentation de $654 MILLIONS, pour un nouveau total de $833 millions]
Les Forces canadiennes appuieront le Groupe de sécurité intégré (GSI) commandé par la GRC pour les prochains Sommets du G8 et du G20 qui auront lieu à Huntsville et à Toronto, Ontario en juin 2010. Elles fourniront l’appui avec « des ressources et des capacités militaires uniques fournies par l’armée, la marine et la force aérienne afin d’assurer la sécurité des participants aux Sommets et des Canadiens », nous dit-on sur leur site officiel.
Les tâches militaires associées aux Sommets comprennent la planification opérationnelle à grande échelle, la surveillance terrestre et aérienne, la sécurité sous-marine pour les lieux et certaines fonctions logistiques et de cérémonie. Le soutien comprend aussi d’obtenir de l’aide par le biais du partenariat continuel des FC dans le Commandement de la Défense aérospatiale de l’Amérique du Nord (NORAD).
Le Commandement Canada est responsable des opérations de routine et de contingence des Forces canadiennes au Canada et en Amérique du Nord. Le Commandement coordonne aussi, au besoin, le soutien des FC aux autorités civiles canadiennes de maintien de l’ordre. Le soutien des FC aux Sommets du G-8 et du G-20 2010 sera conduit sous le commandement de la Force opérationnelle interarmées (Central) (FOI(C)), une des six forces opérationnelles régionales relevant du Commandement Canada. (http://www.canadacom.forces.gc.ca/daily/archive-summit-fra.asp)
On ne rit plus: « …le soutien des FC aux autorités civiles canadiennes de maintien de l’ordre« . Ainsi, les militaires pourront assister les forces policières dans leur rôle du maintien de l’ordre. Ce n’est pas l’idée qu’on se fait généralement du Canada.
La sécurité commencera à être implémentée deux semaines avant le début du G8/G20. Pour accéder à la zone de sécurité, les résidents devront s’enregistrer ou être accrédités. Des zones de « liberté d’expression » (free speech zones) seront mises en place pour les manifestants et la police de Toronto a annoncé qu’ils utiliseraient un ancien studio de production de films comme prison temporaire pour enfermer les protestants indisciplinés durant l’évènement.
Nous avons déjà pu avoir un avant-goût de ce qui s’en vient lors du sommet du G20 alors que deux exercices d’entrainement ont eu lieu à Toronto ces derniers jours. Le premier était une simulation de prise d’otage dans le coeur du centre-ville de Toronto, comprenant la Toronto Police Emergency Task Force et du personnel privé de sécurité, ayant pour but de tester leur habilité de travailler de concert. C’est que durant le G8/G20, les forces de sécurité privées vont jouer un rôle important dans le contrôle des foules et mesures d’urgences. Ceci fait intégralement partie de l’intégration des forces de la sécurité publique et privée. Le deuxième exercice d’entrainement a impliqué deux hélicoptères militaires CH-146 Griffon volant autour du Metro Toronto Convention Centre et qui ont atterrit en face de la célèbre Tour du CN. Ces exercices ont pour but de tester les capacités des forces de sécurité, de coordonner les actions des différents intervenants publics et privés, mais visent aussi à acclimater la population à une augmentation de la présence policière et militaire.
Mais plus que tout, c’est les protestations et la menace du terrorisme qui sont le plus utilisées pour justifier ces immenses opérations de sécurité extrêmement couteuses pour protéger une bande clowns qui débarquent en ville pour faire leur cirque à huis clos, sans consulter la population. Les rôles des militaires et des policiers semblent être de plus en plus interchangeables, tout comme leurs tactiques et leur entrainement qui militarisent sans cesse. Tout cela commence à ressembler toujours plus à une approche agressive envers le contrôle du public et de la dissidence. Ces évènements deviennent des pratiques pour de nouvelles mesures d’État policier répressives et d’occupation de style militaire.
En juin prochain, se sera comme à la guerre à Toronto; une guerre opposant l’élite au peuple.
Nous avons vu la semaine passée que CANADA Inc., comme toute bonne compagnie privée, a pour importante mission de faire du profit, souvent en extorquant et taxant à mort sa ressource naturelle, la population.
Nous avons aussi vu que cette extraction, ce vampirisme économique se fait souvent au nom de belles prétentions et motivations de façade, comme par exemple, la « sécurité », la « santé », la « démocratie », etc.
Au nom de la sécurité, on va vous taxer de quelques milliards. Au nom de la santé et d’une peur d’un certain H1N1, on va vous inoculer avec des produits non-testés et contenant des ingrédients toxiques, qui n’ont aucune efficacité prouvée à part des croyances aveugles et naïves. Au nom de la démocratie, on va aller bombarder et occuper militairement des pays du Moyen-Orient où on a déjà entrainé la mort de 1.3 million d’Irakiens et des dizaines de milliers d’autres en Afghanistan. Un génocide. Et un biocide: on a contaminé la place avec de l’uranium appauvri qui sert à fabriquer des armes dont on se sert pour libérer les gens de ces pays, un truc radioactif pour au moins 4.5 milliards d’années. Tout ce qui a de plus humain; à la fine pointe de l’humanité.
Des « guerres humanitaires », sorties tout droit du dictionnaire des plus fameux oxymores de nos temps dits « modernes ». Dans le temps des barbares, on se battait avec des massues. Dans nos temps barbares modernes, on se bat avec des massues nucléaires. C’est beau l’évolution. Des guerres d’agression – anciennement punies par les tribunaux de Nuremberg comme constituant le « crime suprême » international, parce que ce crime renfermait tous les autres – sont devenues des guerres « préventives ».
Peut importe l’étiquette qu’on utilise pour masquer la réalité, le résultat sur le terrain est le même. La souffrance, signe qui avertit d’une fausse motivation, d’une pensée erronée, d’un faux calcul de satisfaction, inharmonieux et déphasé du sens de la vie. Cette guerre préventive est menée sur le plan physique est aussi menée insidieusement sur le plan psychologique et mental. Une guerre est menée contre notre humanité, pour contrôler ce qu’on pense. Les frontières de ce qui est acceptable de penser, de débattre et de questionner sont établies pour vous. C’est le conditionnement de masse des masses, l’influence de l’opinion publique, la manufacture du consentement, le contrôle du paradigme de pensée, tels que Noam Chomsky le décrivait ou mieux encore, tel que Edward Bernays le préconisait, celui qu’on a surnommé « le père de la propagande ».
Ceci étant dit, voyons la suite des évènements suite à ce que nous avons vu la semaine passée, avec la venue de ces nouvelles mesures de sécurité complètement inutiles, mais qui devront néanmoins être payées par les voyageurs, à leur détriment (implémentation d’un État policier, exposition à une irradiation potentiellement dangereuse pour la santé, atteinte directe à son droit fondamental à la vie privée et liberté).
Cette semaine, nous apprenons que les États-Unis vont déterminer qui pourront embarquer sur un avion… ou pas. « Commençant en décembre », décrit l’article du Montreal Gazette, « certains passagers sur des vols commerciaux canadiens volant vers, ou en provenance des États-Unis, ou même seulement en transit au-dessus du territoire américain sans y atterrir, ne seront pas autorisés à monter à bord de l’avion avant d’avoir reçu la permission du département de la Sécurité intérieure des États-Unis (U.S. Department of Homeland Security) après avoir déterminé qu’ils ne sont pas des terroristes ».
« Secure Flight, la plus récente arme dans la guerre américaine contre le terrorisme, donne aux États-Unis des pouvoirs sans précédent sur quiconque veut prendre un vol qui passe à travers l’espace aérien de ce pays ». Une autre preuve tangible que notre souveraineté est dissoute dans l’Union nord-américaine. Nous ne sommes plus maitre chez soi.
« Sous ce programme, Secure Flight, les compagnies aériennes canadiennes vont transférer les informations personnelles des voyageurs au département de la Sécurité intérieure des États-Unis, préférablement 72 heures avant le décollage ». Ensuite, l’agence nationale américaine de sécurité dans les transports (TSA) utilisera Infoglide, un programme d’identification complexe pour trouver et regrouper de l’information provenant de plusieurs sources, pour vérifier l’identité des passagers.
« Si nécessaire, les analystes de la TSA vérifieront d’autres banques de données classifiée secrètes ou publiques sur le terrorisme du gouvernement, de la police et des services du renseignement, incluant les bases de données du département de la Sécurité intérieure des États-Unis, du département de la Défense, du Centre national du contre-terrorisme et du FBI », tel que noté dans le document gouvernemental qui définit le programme Secure Flight.
Et après les scanneurs corporels, la dissolution de vos droits et libertés fondamentaux, va venir la prochaine version de l’État policier sous forme de scanneurs de la pensée, le règne où les machines vont devenir jugent de nos intentions et pensées, une technologie qui sera installée en premier dans les aéroports et bientôt un peu partout.
Déjà, ces mesures portent préjudices aux voyageurs et causent bien des malheurs. Elles briment les personnes et font en sorte que ceux qui font vivre l’industrie aérienne et du tourisme, les voyageurs, sont traités comme des criminels pour exercer le droit fondamental au libre déplacement et leur font manquer des vols.
La question de vous empêcher de voyager par des « autorités » américaines est des plus révoltante et insultante. Mais le plus pernicieux, c’est ce transfert arbitraire de données personnelles sans consentement vers des entités étrangères à l’extérieur du pays qui sont complètement incontrôlables et d’une transparence plutôt opaque.
À ces inquiétudes pressantes, s’ajoute le fait que le président Barack Obama vient de nommer à la tête de la TSA un ancien officiel militaire du renseignement. Sous le commandement de Robert Harding, la TSA, qui est responsable de la sécurité dans les aéroports américains suite au 9/11, sera probablement encore plus militarisée et transformée en une opération du renseignement. Cette nomination par Obama d’un ancien général de l’armée pour gérer la TSA indique que le gouvernement a un désir grandissant de militariser les aéroports civils.
Dans le passé, Robert Harding a travaillé comme adjoint au service de renseignement de l’Armée US G2. Il était responsable de la planification et de l’exécution des programmes du renseignement. De 1997 à 2000, il fut le directeur des opérations pour la DIA (Defense Intelligence Agency) et il a rempli les fonctions d’officier senior du renseignement humain au département de la Défense.
Avant de travailler pour la DIA, Harding a servi pour J2, Intelligence Directorate, United States Southern Command, sous le général Barry McCaffrey et Wes Clark en tant que chef du renseignement. Il a aussi dirigé le renseignement avec le Joint Interagency Task Force dans la pseudo guerre contre la drogue. Entre 2003 et 2009, Harding était un consultant auprès du gouvernement sur le renseignement humain et autres domaines connexes.
La DIA, la CIA, et la NSA ne sont que sélectivement soumis à l’examen du Congrès américain. La transparence y est aussi fréquente que l’honnêteté des politiciens. Sous le règne de Bush, la DIA fut infiltrée par les néo-conservateurs et en 2004, un analyste de la DIA a révélé à quel point l’agence était compromise. Cette histoire a d’ailleurs fait l’objet d’une enquête du FBI à propos de l’espionnage israélien. Cette infiltration a fait en sorte que l’Office of Special Plans, dirigée par Douglas Feith à ce moment-là, a mené à l’invasion de l’Irak basé sur de fausses informations et faux prétextes.
Il y a de ces signaux, des symptômes, qu’on ne peut ignorer qu’à notre propre risque. L’Histoire se répète.
Un autre de ces signes qui devraient attirer notre attention, c’est le nombre d’armes à feu vendues l’année dernière aux États-Unis qui en hausse vertigineuse. Ne paniquons pas, il n’y aura pas plus de tueries et de crimes causés par arme à feu, les statistiques indiquent le contraire. Ces ventes d’armes à feu ont une tout autre signification.
Les statistiques pour l’année 2009, publiées par le National Instant Criminal Background Check System (NICS) du FBI, montrent une augmentation de 10% du nombre d’armes à feu vendues par rapport à 2008; totalisant plus de 14 millions de fusils vendus.
Pour mettre cela en perspective, c’est plus d’armes à feu que le nombre de soldats actifs des 21 premières armées du monde combinées.
Lorsque les gouvernements nous perçoivent comme étant la menace, l’ennemi à surveiller, il y a fort à parier que la population commence à comprendre que l’ennemi qui en veut vraiment à ses droits et libertés, à sa vie privée et son libre mouvement, est précisément ces gouvernements hors de contrôle.
Dès lors, toute notion de sécurité apportée par ces gouvernements est futile, en plus d’être dangereusement et gravement illusoire.
Il existe un problème conceptuel d’envergure lorsqu’on parle du Canada, de l’économie, de ses lois, de son fonctionnement en général ainsi que la place que nous y occupons et le rôle que nous jouons dans cette machine.
L’image que vous voyez provient du site de la U.S. Securities and Exchange Commission (SEC). Vous pouvez trouver cette page en cliquant ici. Ce que vous avez devant vous est la preuve ultime que le Canada n’est pas un pays, tel qu’exposé dans ce texte précédent: Le Canada, ce pseudo-pays; mais bien une compagnie privée enregistrée sur la SEC.
La Securities and Exchange Commission (SEC) est l’organisme fédéral américain de règlementation et de contrôle des marchés financiers. C’est en quelque sorte le «gendarme de la Bourse» américain. (Source)
La compagnie privée «CANADA» fonctionne alors comme une société privée qui échange et transige sur les marchés boursiers et est inscrite comme telle à la SEC. Les Canadiens et Canadiennes sont ainsi des actionnaires de cette société et sont soumis à ses stratus qui passent pour des «lois», à ses taxations et impôts, et au pouvoir de ce gouvernement de facto qu’est le Parlement impérial à Ottawa tant et aussi longtemps qu’ils acceptent de faire partie de cette «société».
Déjà plusieurs hommes et femmes libres ont décidé de quitter cette société, cette compagnie privée, pour retrouver leur souveraineté individuelle et se soustraire aux statuts et à la juridiction du Canada qui ne s’appliquent qu’aux membres consentants de cette société (privée). Voilà le remède.
Lorsque le gouvernement s’endette en empruntant de l’argent à des banquiers privés pour mener des guerres à l’étranger, pour donner de l’argent des fonds publics à des banques canadiennes privées, ou pour la dépenser de toute autre façon odieuse, il le fait en garantissant le remboursement sur votre dos, sur votre labeur et celui des futures générations.
Ces instruments de négociation financiers sont échangés sur la SEC et leur valeur est assurée par vous. Tant que vous faites partie de cette société, vous lui appartenez. C’est la signification du «Security» de la Securities and Exchange Commission.
Et on va vous taxer à mort – pour votre sécurité –
Donc, un dispositif de «sécurité» extrêmement couteux et inutile puisqu’il ne règlera pas le problème qui a fait en sorte que Abdulmutallab ait pu se retrouver sur le vol 253.
Mais le gouvernement persiste (et les terroristes gagnent) à nous dire qu’il va falloir augmenter la sécurité dans les aéroports, se soumettre à des fouilles à nu virtuelles, faire du profilage ethnique à fond, attendre en file des heures, le temps de nous créer de nouveau une illusion de sécurité et de nous faire frire aux rayons X potentiellement mutagènes et cancérigènes.
Qu’à cela ne tienne, l’imposition d’un État policier est plus important et on va vous refiler la facture, bien sûr. Nous finançons joyeusement notre propre descente en enfer. Et ça coute cher, vous savez.
Alors, Ottawa a annoncé la semaine passée que tous les voyageurs aériens étaient pour payer ces nouvelles mesures de sécurité (inutiles) que nous n’avons jamais demandées et qui ne seraient pas nécessaires si les services secrets américains n’avaient tout simplement pas laissé monter Abdulmutallab à bord du vol vers Détroit.
On a appris que le cout serait de 1,5 milliard de dollars dur les cinq prochaines années. Pour couvrir ces dépenses inutiles et liberticides, les voyageurs devront débourser $2,50 de plus pour un vol simple au Canada, $4,37 pour un vol intercontinental et $8,91 pour un vol international. Ces nouvelles taxes devraient entrer en vigueur le 1er avril si le Parlement les approuve.
Bien sûr, John Baird, le ministre des transports, a déclaré qu’il s’agissait de «frais d’utilisation et non pas d’une taxe». On a peur du mot, vous savez. Donc, ce n’est pas une taxe, c’est… une «taxe», quoi. Et elle va venir siphonner encore plus d’argent de nos poches, tuer un peu plus l’industrie du tourisme et affaiblir les compagnies aériennes qui sont déjà en mode survie.
Norm Payne, un consultant pour Uniglobe Travel explique que «si vous prenez un vol d’ici vers Londres ce soir, le prix du billet est de $764. Les taxes sont de $394. Si vous ajoutez un autre $8 ou $10 pour la taxe sur la sécurité, cela signifie que la moitié du prix du billet est en taxe».
Mais Baird insiste, ces nouvelles mesures viennent en réponse à l’attentat de Noël par Umar Farouk Abdulmutallab et sont qualifiées de «nécessaire pour assurer la sécurité des voyageurs».
En conclusion, toutes les raisons sont bonnes pour CANADA Inc. pour vous taxer à mort et vous imposer une quantité grandissante de «lois» (statuts) liberticides, parce que ce qui est bon pour cette société privée n’est pas votre bien commun, mais bien son propre profit personnel, à vos dépends.
Il aura suffit de mettre un présumé terroriste aux explosifs sans passeport sur un avion pour voir s’envoler nos libertés individuelles. Les terroristes ont gagné. Peut importe si la sécurité de l’aéroport d’Amsterdam utilisait déjà les scanners corporels qu’on veut maintenant nous imposer ici, au nom de la sécurité, mais qui n’ont pas su détecter les explosifs. Peu importe que les services du renseignement américain étaient déjà au courant que Umar Farouk Abdulmutallab était fiché sur la liste des terroristes. Personne n’a été assez fiable pour empêcher cette menace de monter à bord du vol 253 de Northwest le jour de Noël dernier.
Peu importe.
C’est vos droits et libertés qui seront brimés, écrasée, encore une fois. Nous descendons plus profondément dans ce qui est déjà un État policier de surveillance où nos libertés individuelles sont anéanties au nom de la sécurité. Les terroristes ont gagné parce qu’ils haïssent qu’on soit libres. Et nous le sommes plus. Au nom de la sécurité. Dommage que l’histoire soit d’un tel ennui pour la population, parce qu’on se souviendrait peut-être que moins de liberté ne correspond jamais à plus de sécurité, mais résulte historiquement et invariablement à davantage de tyrannie.
Ainsi, nous allons devoir nous soumettre à ces scanners corporels pornographiques dans les aéroports alors que nos « experts en sécurité » n’ont même pas été capables d’arrêter le sans passeport Abdulmutallab. Ces crétins à la sécurité vont voir votre femme ou votre homme à poil, alors qu’ils ne sont même pas capables de faire la différence entre du miel et des explosifs…
En effet, saviez-vous qu’un aéroport en entier a dû être fermé et complètement évacué en Californie, parce que des agents de la TSA qui fouillaient les bagages d’un jardinier pensaient qu’il transportait des explosifs? Le FBI a interrogé le jardinier pendant quatre heures. Ce qui sentait comme des explosifs selon les agents de la TSA (agence de sécurité des aéroports américains) était en fait du…miel!
Voilà pour la sécurité accrue et les experts. Selon le scénario, c’est à ce moment-ci que la population doit se dire un « ouf » de soulagement, se sentir davantage en sécurité et remercier nos gouvernements de réduire nos libertés individuelles au nom de la sécurité. Laissez fondre la petite pilule de soma sous votre langue. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Voyez-vous comment ils manipulent non seulement l’info elle-même mais (surtout) la perception de l’information? Ici la manipulation est dans le modelage de la perception du lecteur. L’intox se trouve moins au niveau des « faits » relatés qu’au niveau du point de vue lui-même, du référentiel.
À propos des scanners liberticides et des leurs irradiations cancérigènes et hautement dommageables pour l’ADN: il suffit que les grands médias suggèrent une « peur du profilage racial » pour que le problème entier soit réduit à ça dans l’opinion publique. Le débat est délimité et dévié dès le départ. C’est pas une question de profilage racial, c’est une question d’anéantissement pure et simple de nos libertés individuelles, par-delà toutes distinctions d’âge, de sexe, de culture, de nationalité, de race, etc. ils comptent sur le fait que les moutons vont dire : »pas grave, je suis pas un ‘ethnique’ pis j’ai rien à me reprocher, pis c’est pour attraper les terroristes qui tuent du monde, donc c’est un mal nécessaire. » – David V.
Voilà le véritable enjeu: nous perdons nos libertés individuelles et surtout notre dignité humaine.
Prorogation du Parlement par Harper
Notre mini dictateur canadien Harper vient de proroger le Parlement. Adios l’illusion de la démocratie, une seconde fois, un an après que Harper ait demandé à la Reine de fermer le Parlement. Cela veut dire que le travail que Harper faisait pour passer ses nouvelles pièces de législation bien souvent contre la population, tel que le Projet de loi C-6, sont à recommencer depuis le début. C’est une bonne nouvelle, mais c’est extrêmement louche. Harper doit avoir une motivation plus importante en tête, car il a beaucoup à perdre en devant recommencer ces dizaines de législations qui meurent ainsi au feuilleton. Pourquoi alors proroger le Parlement jusqu’en mars, après les Jeux Olympiques?
Bien que ICTS est la compagnie qui assurait la sécurité de l’aéroport de Logan le 11 septembre 2001 et bien connue pour engager des anciens officiers du Shin Bet, Verint a aussi un passé troublant. Il n’y a pas de déni quant au fait que Verint est une branche de la compagnie israélienne Converse et était responsable majeur de la sécurité du Transit de Londres au moment des attentats à la bombe du 7/7. Les seules caméras qui n’ont pas fonctionné ce jour-là étaient exactement celles où les attentats ont eu lieu. Voilà pour les extraordinaires coïncidences.
Alors, dans l’éventualité d’un acte de terrorisme majeur durant les Jeux Olympiques de Vancouver, cela bénéficierait énormément à Harper qui aurait ainsi l’occasion de devenir encore un peu plus le grand dictateur qu’il aspire tant à être. Si telle situation venait qu’à se produire, la fermeture du Parlement lui laisserait les mains libres pour instituer des mesures restrictives au niveau des libertés individuelles, et surtout, distraire les Canadiens et Québécois de certains faits – que le Canada a participé à la torture, que Harper n’a pas l’intention de rapatrier les troupes d’Afghanistan en 2011 et que le Canada est dissout dans ce qui sera l’Union nord-américaine qui doit se compléter cette année.
Être un humain
En cette époque de darwinisme social, de transhumanisme et post-humanisme, idéologies autodestructrices et suicidaires, je vous convie à lire cette réflexion à propos des êtres humains et de l’humanité.
Ein Mensch, un être humain, est tout. Rien n’est d’une plus grande valeur qu’un être humain. Cette valeur ne peut être améliorée, ni enlevée. Elle est mienne pour toujours, mais seulement la mienne.
Je la partage avec chaque autre être humain sur Terre.
Il est certain que nous vivons à une époque où les êtres humains sont souvent considérés comme étant « rien », d’aucune valeur.
Nous vivons un âge où l’idéologie malthusienne fait un retour avec vengeance; où évidemment les êtres humains sont considérés être des « mangeurs inutiles », un « danger pour la planète ».
Nous vivons dans une époque où la valeur de la vie humaine est considérée comme négligeable par les maîtres du monde, « l’élite », les « joueurs mondiaux », les « rois philosophes ». Et lorsque la fin justifie les moyens, des centaines ou des milliers et souvent des centaines de milliers ou même des millions d’êtres humains peuvent être sacrifiés pour avancer l’agenda politique pour davantage de pouvoir et de contrôle pour ces élites. La torture et toutes formes d’humiliations sont justifiées pour atteindre ces buts, où la dignité humaine n’est d’aucun soucis pour ceux qui se perçoivent comme supérieurs, l’élite, les ultra riches, les intellectuels ou les génies scientifiques.
Ils recherchent des méthodes encore plus « parfaites » pour tuer des êtres humains ou produire des douleurs agonisantes pour terroriser et les pousser à se plier et à obéir, physiquement ou psychologiquement.
Un être humain n’est clairement rien pour eux, puisqu’ils se sont conditionnés eux-mêmes en un système de croyance anti-humain.
Ils croient que la race humaine détruit la planète ou que l’humanité est une forme de vie déficiente et chaotique qui est hors de contrôle et qui a besoin d’être ramené sous contrôle d’une certaine façon et par n’importe quel moyen, ou possiblement même altéré génétiquement.
Et bien, je crois que ce système de croyance élitiste est « fou », insensé et tout simplement faux. Et je crois que la fausseté de ces croyances élitistes peut être empiriquement prouvée.
Bien sûr, puisque ces élites sont de « vrais croyants », les gens comme David Rockefeller ou Henry Kissinger ne changeront pas d’idée de bientôt. Par contre, avec le temps plusieurs croyants vont le faire. Certains de ces convertis aux valeurs humaines pourraient même être les enfants et petits enfants des élites d’aujourd’hui, qui présentement se voient comme étant nés pour gouverner, contrôler, subjuguer et dominer.
Pour le mieux ou pour le pire, le changement est inévitable. Être humain signifie d’avoir à s’ajuster avec le changement et de s’y adapter. Être humain signifie d’avoir le potentiel pour l’espoir que le changement nous verrons sera inévitablement pour le mieux.
Je crois que ceux qui dénient la valeur de la plupart des êtres humains, pour augmenter leur propre valeur perçue, sont maintenant à se battre pour une guerre perdue contre l’inévitable perte de leur pouvoir. Ils ne gagneront pas, mais le plus longtemps qu’ils demeurent dans des positions de pouvoir trop important, plus ils causeront de terribles souffrances parmi les innocents.
Être humain signifie travailler ensemble vers l’objectif qu’un jour – le plus tôt possible – nous mettions fin au pouvoir de l’élite folle et barbare, pour qu’ils ne fassent pas plus de mal à l’humanité.
J’appartiens à la race la plus spéciale qui a vécu sur cette planète. La seule qui est consciente d’elle-même, avec la connaissance du passé et espoir pour le futur, capable de poser la plus importante question de toute: pourquoi? (Source)
Il semble que la principale guerre qui est menée est celle contre l’esprit humain; pour la déshumanisation totale des êtres humains. La vie en général et la valeur de la vie humaine sont réduites à rien. Notre dignité humaine est niée et détruite, peu à peu. On ne vous aime pas heureux, mais bien épeurés, terrorisés, obéissant.
Les terroristes gagnent et la résistance de masse ne semble pas surgir de nulle part.
Où sont donc passés notre dignité humaine, le sens et la valeur de la vie? Pourquoi avons-nous oublié notre génie humain, notre créativité, notre infini et incroyable potentiel de l’esprit humain? Où sont nos projets de société, nos visions du futur et nos valeurs humaines? Retrouvons rapidement nos esprits individuellement et collectivement. Il est temps de voir clairement qui sont les dangereux psychopathes qui sont au pouvoir et que nous avons malheureusement laissé faire trop longtemps.
Nous sommes responsables de l’état du monde et tant que nous ne changerons pas de direction, nous nous dirigerons vers un mur de totalitarisme et de tyrannie au lieu de faire chemin vers plus de liberté, de respect, de dignité humaine et d’épanouissement de la race humaine, en équilibre avec la nature. C’est un choix à faire qui nous appartient tous. Le futur dépend de nous à cette cruciale intersection de l’Histoire. Le résultat sera que nos descendants seront soit des êtres libres ou des esclaves.
C’est littéralement le choix auquel nous faisons face en tant que race humaine entière. C’est la croisée des chemins : tyrannie ou liberté?
Le dernier épisode de terrorisme Hollywoodien vient tout juste de se produire et déjà les critiques sont sévères. C’est que le scénario, les effets spéciaux et la mise en scène comportent de sérieux manques et contradictions. Voyons voir ensemble. L’histoire officielle va ainsi: un étudiant nigérien de 23 ans, Umar Farouk Abdulmutallab, a tenté de détoner une bombe à bord du vol 253 de Northwest, en partance d’Amsterdam vers Détroit, et ce, la journée de Noël même. Heureusement, l’engin explosif n’a pas bien fonctionné. Le feu ainsi causé ainsi que l’homme furent rapidement maitrisés.
Alors quel est le problème avec cette histoire? À peu près tout. À mesure que les informations font surface, ces dernières tendent à indiquer qu’il y a eu un échec retentissant du renseignement américain et un grave manque à la sécurité. Encore une fois, à la suite des attentats du 11 septembre 2001, le gouvernement et les médias déblatèrent en nous expliquant que tous ces extraordinaires manques sont le produit d’une simple négligence ou un échec de faire les liens nécessaires. Mais qu’en est-il réellement?
Nous pourrions commencer par demander comment Umar Farouk Abdulmutallab a pu être capable de monter à bord de l’avion qui partait d’Amsterdam vers Détroit sans passeport. Nous savons tous que le profilage ethnique existe, surtout envers les musulmans. Particulièrement depuis le 11 septembre 2001 et la subséquente guerre contre le terrorisme. Imaginez maintenant un jeune homme provenant d’un pays musulman voyageant seul et sans bagage, avec un billet allez simple en direction des États-Unis et sans passeport. Imaginez en plus de cela que le nom de cet homme soit fiché dans la banque de données sur le terrorisme des États-Unis depuis deux ans. Cet homme, qui représente exactement Abdulmutallab, ressemble à une alerte générale ambulante qui clignote rouge lorsqu’il entre dans un aéroport et tente de prendre l’avion en direction des États-Unis. C’est la raison d’avoir mis en place le Homeland Security à la suite des attaques du 9/11. On y a investi des milliards de dollars et transformé le pays en État policier depuis; coupé massivement dans les droits et libertés ainsi que le droit à la vie privée.
Le journal britannique The Telegraph, ne citant aucune source, nous dit que les explosifs étaient du même type que ceux que Richard Reid a utilisé, soit du PETN, l’homme au soulier qui a fait que depuis, nous sommes parfois obligés de retirer nos chaussures au contrôle de sécurité à l’aéroport. Si tel est le cas, comment se fait-il que nous n’ayons pas de dispositif mis au point depuis pour détecter ce type d’explosif? D’ailleurs, d’où provient ce PETN, un explosif militaire? La compagnie de sécurité qui a laissé Reid monter à bord du vol 63 de American Airlines était encore une fois ICTS (International Consultants on Targeted Security). Les directeurs de ICTS sont tous d’anciens officiels israéliens de la sécurité.
C’est largement ICTS qui a développé les procédures de « profilage » des passagers utilisés à Schiphol, Amsterdam et ailleurs à travers le monde à travers une de ses branches, ICTS Holland Products BV. ICTS a précédemment été lié à de l’espionnage israélien contre les États-Unis. ICTS International est basé à Amstelveen, en Hollande et assure une présence majeure dans la sécurité de plusieurs aéroports du monde, avec des contrats à Hong Kong, Bangkok, Suva, Auckland, Singapour, Macao, Chicago O’Hare, Londres Gatwick, Newark, Los Angeles, et Belfast. En 1999, l ‘aéroport Détroit, a brusquement annulé leur contrat de sécurité avec Argenbright Security Inc et les ont remplacé avec Huntleigh of St-Louis. Huntleigh a récemment été racheté par ICTS.
Revenons donc à Abdulmutallab: comment a-t-il pu monter à bord d’un avion en direction de Détroit? Son nom figurait sur la liste noire du terrorisme des États-Unis après que son propre père ait averti des officiels hauts placés du Département d’État qu’il était inquiet à propos des croyances radicales et des connexions que son fils partageait avec des extrémistes. Si son père avait été un plombier, pas certain que cela aurait laissé eu un grand impact. Mais la réalité est que son père, Dr. Umaru Mutalla, est un ancien directeur d’une importante banque nigérienne, un ministre, tête de l’industrie nationale de l’armement, un proche associé de l’ambassadeur américain et une des personnes la plus riche du monde. Il s’est donc fort probablement directement adressé à l’ambassadeur lui-même, en place à Abjua, Nigeria. Il est aussi confirmé que Mutallaha a rencontré le chef de la station de la CIA de son pays.
Umaru Mutalla a ainsi donc mené l’industrie nationales de l’armement (DICON) en partenariat avec Israël et particulièrement le Mossad. Il était en contact avec eux quotidiennement. Ils dirigent presque tout au Nigéria, de la production d’armement en passant par le contre-terrorisme. La piste ne s’arrête pas là. Notre ami Abdulmutallab est passé au Yémen pour rencontrer quelques copains à la tête de la cellule Al Qaïda que Bush avait libéré de Guantanamo et remis à l’Arabie Saoudite en 2007. Il est rapporté par SITE Intelligence Group que des groupes se disant être de l’Al Qaïda au Yémen, que l’attaque contre le vol vers Détroit était en réponse des attaques militaires américaines sur leurs bases dans ce pays. Mais le gouvernement du Yémen, tel que rapporté par BBC, soutient que les terroristes Al Qaïda, mené par ceux relâchés par Bush, sont en fait des agents israéliens. Le président yéménite, Ali Abdullah Sale, a déclaré que les forces de sécurité ont arrêté un groupe de militants dit musulmans, liés au service secret israélien. (Source)
SITE Intelligence Group est géré par une « ancienne » membre des Forces de la défense israélienne, Rita Katz, qui a un long passé de propagande favorable à l’agenda israélien.
Al Qaïda n’existe pas vraiment, selon la BBC. En réalité, ce groupe existe peut-être, mais il n’est pas ce que nous sommes induit à en penser, et surtout, pas dirigé et financé par ceux qu’on pointe du doigt de la part des autorités et des médias.
Le plus qu’on lit sur ce dernier attentat terroriste, plus on sent que c’est du tout faux, du préfabriqué.
La débâcle pour couvrir cette histoire va en crescendo. Chaque nouveau mensonge crée de nouveaux problèmes et contradictions, requérant de nouveaux mensonges, qui créent de nouvelles contradictions, etc. Plus on apprend au sujet du terroriste islamique Umar Farouk Abdulmutallab, plus l’absurdité de cette entière situation nous crève les yeux parce que non seulement cet incident aurait-il pu être prévenu, mais aussi parce que chacune des agences et autorité impliquées se sont comportées avec la plus complète incompétence.
Et pour palier à tout cela, on nous dit qu’il va falloir augmenter la sécurité dans les aéroports, se soumettre à des fouilles à nu virtuelles, faire du profilage ethnique à fond, attendre en file des heures, le temps de nous créer de nouveau une illusion de sécurité et de nous faire frire aux rayons X potentiellement mutagènes et cancérigènes.
Le clan des néo-conservateurs, cette faction d’idéologie militariste pour l’imposition d’une hégémonie américaine mondiale, tel que décrit et illustré par dans leurs propres documents et projet comme le PNAC, réuni l’extrême droite, le complexe militaro-industriel, évangélistes chrétiens, sionistes, banquiers internationaux, et des gens de descendance idéologique nazie comme George H.W. Bush et de factions de la CIA.
Ce sont ces gens qui ont voulu prendre avantage du momentum de la configuration stratégique américaine présente à la fin Seconde guerre mondiale, cristallisée ensuite durant la guerre froide, pour imposer leur nouvel ordre mondial. Ils se retrouvaient avec l’armée la plus puissante de l’histoire et beaucoup pensaient qu’il était insensé de ne pas s’en servir pour assurer leur contrôle sur le monde. Pour ce faire, on devait utiliser cette puissance militaire qui selon eux était d’une tristesse à posséder sans pouvoir s’en servir réellement pour imposer cet ordre, en combinaison avec la sphère financière et bancaire à travers lesquelles ils dominaient et dominent encore le reste du monde. Ces nouveaux maîtres du monde ne pouvait se servir de cette incroyable machine de guerre parce que le peuple américain et la Constitution des États-Unis ne leur permettraient jamais.
Il fallait donc miner et éventuellement anéantir ce dernier bastion de la liberté et de la souveraineté du peuple et des individus, en finir avec cette expérience unique de quelques centaines d’années à peine où pour la première fois de l’Histoire, le Peuple est souverain et donc pas soumis, esclave, serf, sujet d’un quelconque tyran, dictateur, leader religieux ou d’une monarchie.
Alors, pour imposer une telle politique étrangère agressive et criminelle à tendance eugénique, ils comprenaient que la démocratie, ou en fait, la République des États-Unis, était pour les en empêcher. La souveraineté du peuple et la liberté sont le véritable ennemi de l’élite, de l’establishment, de l’ordre établi. Elles sont l’antithèse du darwinisme social.
C’est ce qui explique la motivation derrière le coup d’État avorté de justesse dans l’affaire Smedley Butler impliquant la famille Bush ainsi que de grands industriels et banquiers.
Il s’agit du même dessein en ce qui concerne le 9/11 et la descente rapide dans un état policier fasciste qu’on peut observer en Amérique. Nous sommes témoins de l’érosion brutale – et dans plusieurs cas la perte – de nos droits et libertés ainsi que la protection de notre vie privée, sans compter les multiples transgressions de la Constitution des É-U.
Il y a longtemps que les multinationales et le secteur bancaire ont opéré un coup d’État silencieux prenant contrôle de nos institutions civiles et gouvernementales. Les gens qu’on nomme nos « représentants » ne le sont plus en grande majorité, surtout aux plus hauts échelons. Les créditeurs et les multinationales dictent la loi, font la pluie et le beau temps. Ils sont le gouvernement de facto. Ils organisent les choses en leur faveur, pour leurs intérêts. Par exemple, ils sont le moteur qui propulse le Partenariat pour la Sécurité et la Prospérité (PSP), ou plus simplement, l’Union nord-américaine. Une refonte du Canada, des États-Unis et du Mexique en un espace commun commercial favorable au secteur privé et financier, opéré via un nivellement vers le bas des conditions de travail, des salaires, des réglementations et protections des gens et de l’environnement.
Nous payons des impôts et des taxes, mais nous ne sommes plus représentés. Nous avons perdu $40 milliards de notre Caisse de dépôt et de placement et l’État de droit au Québec est en train de basculer vers la loi du plus fort et du crime organisé, mais les « autorités » refusent toute enquête publique! Ils parlent de monter la taxe de vente et votre compte d’électricité pour combler les déficits causés par leurs « erreurs », de dépenser des milliards de dollars pour investir dans la centrale nucléaire de Gentilly-2 et la remettre en marche avec tout ce que cela implique en terme de risque nucléaire et des matières radioactives, mais ne nous consultent jamais et ne font qu’à leur tête.
Le partenariat entre les compagnies et les forces armées/complexe militaro-industriel est l’axe essentiel par lequel l’élite anglo-saxonne pensait organiser leur collaboration pour créer une super-puissance dans le but d’imposer leur contrôle sur le monde et poursuivre l’expansion de l’emprise de l’empire anglo-saxon sur les ressources du monde et ainsi remplacer le colonialisme européen. La guerre contre le terrorisme est le parfait outil puisqu’elle est sans fin et permet de créer sans cesse de nouveaux ennemis qui eux sont là que pour justifier l’expansion de la plus grande économie militarisée que le monde est connu.
Il est un fait qui semble se dégager de plus en plus de l’histoire du régime nazi : ils avaient été appuyés en puissance par les banquiers de Londres et de Wall Street, et le 3e Reich de Hitler fut construit par les corporations des États-Unis et d’Angleterre dans le but de contrer la menace Communiste de l’Union Soviétique (financée et maintenue en place par les mêmes banquiers internationaux). Hitler s’est avéré un homme hors de contrôle et c’est les Soviétiques qui ont dû perdre entre de 20 à 40 millions d’hommes pour le défaire. Suite à la défaite du régime nazi, nous avons appris grâce à des documents américains déclassifiés, que sous le projet « Paperclip », des milliers de têtes nazis, dont des scientifiques, propagandistes, stratèges, hauts-gradés militaires, etc, furent rapatriés aux États-Unis, sous un chapeau nommé la CIA, nouvellement crée à cet effet.
George H.W. Bush est un des grand responsable de cette affaire, avec son père Prescott Bush qui amassa une fortune en aidant et finançant Hitler, blanchissant l’argent nazi et en investissant dans la machine de guerre nazie. Étaient aussi de fervents supporteurs: Henry Ford, IBM, JP Morgan, Rockefeller et la Standard Oil. Il est de plus en plus compris que la famille Bush et les gens qui leur sont reliés constituent la montée d’un 4e Reich aux États-Unis. Les nazis ont perdu une bataille en 1945, mais pas la guerre puisque les vrais architectes, constructeurs et profiteurs de la machine nazie et son idéologie n’ont jamais été publiquement identifiés, exposés et jugés pour leurs crimes.
Les médias sont lourdement concentrés entre les mains de quelques entités seulement. Il se trouve beaucoup d’actionnaires importants et propriétaires qui sont aussi investis et liés à des fabricants d’armement et des financiers de Wall Street. Ils répondent uniquement aux impératifs du marché et de la rentabilité, mais ils ont l’immense pouvoir de façonner notre perception de la réalité. Les médias n’accomplissent pas leur mission de chercher et rapporter la vérité, d’être les gardiens de la liberté et démocratie, de surveiller les gouvernements et les gens au pouvoir.
Nous savons maintenant que des milliards de dollars furent et sont dépensés par des gouvernements tels que celui des États-Unis ainsi que par des corporations pour produire de fausses nouvelles ayant toutes les apparences de nouvelles indépendantes produites par les médias. Il n’y a pas moyen de savoir si elles sont authentiques ou pas, ainsi que de connaître leur source de financement. Elles nous sont présentées dans les journaux ainsi qu’à la télévision comme si elles étaient authentiques, rapportées par de véritables journalistes.
Bien sûr qu’il ne s’agit pas de la totalité des nouvelles qui nous parviennent, ni probablement pas de la majorité, mais il est certain que cela s’est produit des centaines de fois seulement que dans la période avant le début de l’agression de l’Irak en mars 2003. On peut aussi penser à l’affaire des couveuses Koweït en 1991 alors que le gouvernement des États-Unis avaient engagé une firme de relation publique pour créer une fausse histoire de bébés jetés sur le sol froid par les soldats irakiens pour voler les couveuses des hôpitaux du Koweït. Cette campagne de désinformation avait pour but créer une indignation et un soutient chez les Américains et ainsi servir de justification pour attaquer l’Irak pour la première fois en 1991.
On peut penser au 11 septembre 2001, un domaine où les mensonges et fantaisies de la version officielle rapportés joyeusement par les médias sont si épais qu’ils n’arrivent plus à s’emboîter et former un tout compréhensible et logique, défiant les lois de la physique et de la nature.
Nous savons par les documents officiels maintenant déclassifiés aux États-Unis que les attaques de Pearl Harbor et du golfe de Tonkin qui ont mené les Américains à la Deuxième guerre mondiale et dans la guerre du Vietnam respectivement, ont été des évènements basés sur des mensonges: les États-Unis avaient délibérément provoqué les Japonais et savaient qu’ils étaient pour attaquer Pearl Harbor et n’ont rien fait pour les arrêter et prévenir leurs hommes en place; et dans l’autre cas, les Vietnamiens n’ont jamais attaqué la flotte américaine (qui elle se trouvait carrément dans leurs eaux territoriales), il s’agissait en fait d’un coup monté, une fausse attaque simulée par l’armée américaine.
Et ainsi de suite…
Il faut aussi comprendre le passé pour comprendre le présent: ceux qui ne connaissent pas ce que fut le programme Mockingbird de la CIA qui comptait plus de 3000 agents et journalistes sur leur liste de paye, et travaillant à travers tous les médias d’Amérique, auront du mal à comprendre à quel point l’information et la perception de la réalité peuvent être contrôlées et manipulées.
L’objectif étant de mener une guerre informationnelle et psychologique, de contrôler les informations transmises et pour la propagation de propagande. Les événements du 11 septembre 2001 ainsi que la version officielle du gouvernement américain de George Bush n’ont jamais fait l’objet d’enquête sérieuse de la part des médias. Ceci est d’autant plus grave que la guerre contre le terrorisme qui s’en est suivi, découle de ces tristes événements.
– Des enquêtes sur des fraudes fiscales majeures menant vers des poursuites judiciaires importantes concernant des compagnies comme Enron furent détruites lors de l’écroulement du Salomon Brother Building (WTC7), qui lui, ne fut jamais frappé par un avion et n’était la proie que de trois feux mineurs étant sous contrôle.
– Donald Rumsfeld avait annoncé la journée précédente au 11 septembre que le Pentagone avait perdu, écarté des livres de comptabilité, plus de $2.3 trillions ($2 300 000 000 000), un scandale de proportion historique. Le lendemain, un avion venait s’écraser en plein dans les bureaux du Pentagone où les enquêtes à ce sujet se déroulaient, après avoir pris le risque de faire une acrobatie sans pareil pour aller percuter ce côté précis du Pentagone.
Le Nouvel Ordre Mondial est composé principalement de deux clans: les socialistes/Société Fabienne d’Europe et les fascistes/capitalistes d’Amérique. Mais dans cette dernière, il y a une division Zbigniew Brzezinski/CFR/Commission Trilatérale/CIA/NED/Ford Foundation qui lui est en train de devenir spécialiste des révolutions colorées qu’on a pu observer dans différentes régions du monde. Ils se drapent d’une apparente révolution populaire/étudiante. Il semble que les derniers coups sont ceux qui nous ont apporté Barack Obama et le coup manqué contre l’Iran lors des dernières élections.
Il existe une sorte de continuum traversant les décennies et les générations, d’une idéologie interventionniste, colonialiste et de domination qui persiste jusqu’à nos jours. Elle vise l’imposition d’un ordre mondial à travers différentes crises pour faire émerger une solution commune: une gouvernance globale entre les mains de non élus. Que ce soit la crise du réchauffement climatique, la crise financière, la crise alimentaire, la crise A/H1N1, tous les chemins mènent à Rome, on nous dit que nous avons besoin d’une gouvernance mondiale pour nous sauver et sauver la planète.
Cela étant dit, ces autorités et leaders du monde ont l’air tout-puissants – et ils le sont dans une certaine mesure, tant il y a de gens qui acceptent de vivre leur vie à genoux – mais ils sont en fait extrêmement vulnérables, en petit nombre et complètement terrorisés face au peuple. La révolution de la façon dont circule l’information dans nos sociétés qu’a engendré la venue d’Internet et ensuite du mouvement pour la vérité qui y est né, animé par des millions de chercheurs de la vérité partout à travers la planète, est un facteur que l’élite n’a pas su prévoir et bien contrôler. Les menaces auxquels l’Internet libre et neutre fait face s’intensifieront en nombres et en gravité. Nous serons de plus en plus sollicités, mais ultimement, la vérité et la vie triompheront. Il y a une lutte, une guerre pour contrôler et soumettre l’esprit humain, une guerre de l’information qui fait rage.
Nous sommes en train de développer des mécanismes de protection, tel qu’un « firewall » mental, un instinct pour détecter les mensonges et les manipulations. Les révolutions et les grandes avancées humaines ont toujours été le fait de quelques individus ou petits groupes d’individus. Il y a présentement des millions de personnes connectées ensemble, faisant circuler l’information instantanément et l’enregistrant partout. Nous sommes devenus une immense agence du renseignement civile. En l’espace d’une heure seulement, une information ou des images vidéo peuvent faire le tour du monde et être vues, enregistrées et copiées des millions de fois avant même que les médias n’aient eu le temps de réagir. Le contrôle de l’information est devenu beaucoup plus difficile. Avec le recul historique, cette révolution sera certainement perçue comme étant un évènement clef de la libération du savoir et de l’information, et ultimement, de la sagesse humaine qui sera notre seul salut, la seule solution pour éviter que l’humanité s’autodétruise.
Il ne faut pas tomber hypnotisé et paralysé par les évènements du passé et les horreurs de présent, il faut les interpréter comme étant des symptômes d’un mal de société, d’une maladie de civilisation, qui a pour origine le cœur des hommes et femmes, l’individu qui est psychologiquement malade de par ses valeurs fausses découlant d’une grave incompréhension du sens profond et essentiel de la vie, ou simplement de son oubli. Mais les défauts et les fausses motivations ne sont que des qualités et saines motivations perverties. Il est impératif que nous retrouvions une vision du futur, que nous ayons un projet de société réel pour et par le peuple.
« La lutte de l’homme contre le pouvoir est la lutte de la mémoire contre l’oubli. » – Milan Kundera
« Celui qui ignore son passé est condamné à le revivre. » – Marc Bloch