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Métier: Dealer de drogue et manipulateur professionnel

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Il vient un temps où il faut savoir nommer les choses par leur nom et cessez d’avoir peur d’affronter la réalité.

Avant d’engager qui que ce soit, un individu ou une entreprise prendra le temps de prendre connaissance du curriculum et les accomplissements passés de cette personne ou entité avec qui on veut faire affaire pour savoir si elle est digne de confiance et fiable.

S’il en est ainsi pour la plupart des achats et transactions que nous effectuons, il en est certainement de même pour tout ce qui concerne la santé. Nous n’irions pas consulter un charlatan ou un dealer de drogue obscure pour trouver remède à nos maux et pour faire de la prévention visant à maintenir un état de santé optimal. Nous laisserions-nous berner si ce charlatan à la cure miracle facile mais dispendieuse ou notre sympathique mais louche dealer de drogue portaient un sarrau blanc, brassaient des milliards de dollars et se donnaient un air officiel?

Voici une partie de ce qui pourrait apparaître dans le curriculum du complexe pharmaceutique, celui qui demande notre confiance et nos dollars pour prendre soin de notre santé. Je vous demande si cela vous inspire vraiment confiance, si cela leur donne quelque crédibilité que ce soit et si cela représente que quelques incidents rares et isolés, ou s’il s’agit d’un court,  mais non moins éloquent échantillon d’une façon d’opérer et de pratiquer qui est digne du plus pur charlatanisme et de manipulation.

Une glorieuse histoire pharmaceutique et de la mafia médicale

Le géant pharmaceutique Pfizer est condamné à payer $75 millions pour avoir causé la mort d’enfants  lors d’essais de médicaments expérimentaux non approuvés au Nigeria

L’histoire remonte à 1966 alors que Pfizer avait besoin d’un essai sur des humains pour l’approbation de son nouvel antibiotique Trovan. Lorsqu’il y a eu une épidémie de méningite, de choléra et de rougeole éclata à Kano, Nigeria, la compagnie décida de rapidement monter une équipe de recherche et les envoya dans ce pays. Pfizer monta une tente non loin du centre médical où des Docteurs sans Frontières donnaient des soins gratuitement, et recruta 200 enfants pour participer à un essai médical non approuvé. Les parents n’avaient apparemment pas été avertis que des médicaments approuvés étaient distribués quelques mètres plus loin, que leurs enfants étaient inscrits à des essais de médicaments, ou que des études sur animaux avaient suggéré que le Trovan pouvait causer des dommages au foie et aux articulations. Onze de ces enfants en mourront et d’autres subiront des dommages cervicaux et autres effets secondaires débilitants.

Pfizer bat tous les records mondiaux et reçoit la plus haute amende criminelle attribuée à une compagnie pharmaceutique: $1.3 milliard

Ce montant fait partie d’une entente acceptée par la compagnie de dédommagement total de l’ordre de $2.3 milliards, rapporte le Département de la justice américain. Pfizer a été reconnue coupable de « off-label marketing », c’est-à-dire d’avoir vendu quatre de ses médicaments pour des usages différents de ce qui était affiché et approuvé sur les étiquettes de leurs produits. L’enquête a trouvé des évidences démontrant que Pfizer était engagée dans des opérations de pots de vin distribués à des docteurs pour mousser les ventes de neuf médicaments, incluant Viagra et Lipitor. Une raison pour laquelle l’amende est si élevée est que la compagnie avait contrevenu de façon répétitive la loi fédérale avec sa promotion de médicaments pour des usages non autorisés.

Merck créé un faux journal médical académique

Merck a inventé un journal à l’apparence réelle, revue par les pairs, dans lequel la compagnie publiait des données et rapports favorables de ses produits. C’est The Scientist qui a le premier rapporté que le Australasian Journal of Bone and Joint Medicine n’était qu’une façade servant les intérêts de la compagnie pharmaceutique pour faire la promotion frauduleuse de ses médicaments comme le Fosamax qui était ainsi brandi comme étant le plus performant sur le marché.

Quand les labos pharma essaient de dissimuler les effets secondaires de leurs médicaments

Le British Medical Journal revenait récemment sur le scandale du Seroxat en Angleterre et la dissimulation par GlaxoSmithKline des études 329 et 377 qui mettaient en évidence l’inefficacité et surtout la dangerosité du Seroxat pour les enfants de moins de 18 ans. Le labo américain avait dissimulé pendant plusieurs années les résultats de ces études mettant en danger la vie de milliers d’enfants.

Très récemment et dans le même genre, un article du St Petersburg Times révèle comment AstraZeneca essaie de garder secret des documents concernant les effets secondaires du Seroquel, documents qui devraient être rendus publics lors d’audiences à venir devant un tribunal de Floride. Ces documents sont des résultats d’essais cliniques jamais publiés et des lettres de la FDA, l’agence américaine de commercialisation des médicaments.

L’entreprise explique qu’il serait plus prudent pour la santé publique que les patients n’aient pas accès à ces documents. Selon AstraZeneca, la publicité de ces documents mettrait en effet en danger la santé publique en créant une confusion et une inquiétude chez les patients qui pourraient alors interrompre leur traitement sans avoir consulté de praticiens médicales.

Les arguments avancés par AstraZeneca rappellent malheureusement ceux déjà avancés par Eli Lilly lorsque des documents compromettants sur le Zyprexa avaient fui au New York Times et avaient été rendus publics en 2007.

Pour certains observateurs comme le Professeur à l’Université de Brown, David Egilman, les arguments d’AstraZeneca ne sont pas recevables et selon lui le labo ne veut simplement que personne ne soit au courant des effets secondaires de son médicament, ni les patients, ni les docteurs et ni la FDA.

Dans une réponse de AstraZeneca au St Petersburg Times, l’entreprise explique que ces documents n’ont tout d’abord aucune pertinence quant au cas pour lequel ils sont devant le tribunal et explique que les rendre publics pourrait perturber le processus délibératif de la FDA. Des arguments très convaincants…

Ces affaires entament sérieusement l’image et avant tout la confiance que les patients peuvent avoir dans les laboratoires pharmaceutiques. De telles pratiques sont inacceptables et dissimuler les effets secondaires de médicaments reste de toute façon une stratégie à court terme puisque comme ces exemples le montrent les documents compromettants finissent toujours par sortir.

Sources:

Seroquel Trial : Allegations of Sex-for-Secrets ; AZ Wants Papers Sealed”, 17 février 2009

AstraZeneca Wants To Hide Evidence Of Seroquel Problems From Patients, World”, 17 février 2009

Les décès découlant d’erreurs médicales évitables ont plus que doublés durant la dernière décennie

Des erreurs médicales et des infections qui auraient pu être évitées sont responsables de la mort de 200 000 personnes annuellement uniquement aux États-Unis, selon une enquête effectuée par Hearst media corporation.

Eli Lilly & Co. vend des médicaments sachant qu’ils ne peuvent aider

Lilly a poussé certains docteurs à prescrire Zyprexa à des personnes âgées affectées de sénilité, un usage qui n’est pas approuvé pour ce médicament, même si le fabricant avait des preuves qu’il ne fonctionnait pas pour de tels patients, selon des documents internes de la compagnie même.

Merck possédait une liste noire de docteurs critiques

Cette compagnie internationale tenait une liste de docteurs qui devaient être « neutralisés », ou discrédités pour avoir critiqué Vioxx, un médicament maintenant retiré du marché pour avoir causé la mort de plus de 100 000 personnes.

Les pharmaceutiques achètent des docteurs pour mettre vos enfants sous médicaments

Lors de procédures judiciaires, nous avons appris que des docteurs sont financés et achetés par des compagnies comme Johnson & Johnson pour faire la promotion de médicaments destinés aux enfants, tel que le Risperdal.

Wyeth Pharmaceuticals a payé pour de faux articles glorifiant la thérapie d’hormones de remplacement

Wyeth a utilisé des auteurs fantômes (ghostwriters) pour produire au moins 26 articles, et possiblement plus, puisque des sources en ont répertorié jusqu’à 40, dans des journaux médicaux respectés. Les faux articles appuyaient tous l’utilisation des thérapies d’hormones de remplacement chez les femmes et d’autres.

Cette thérapie a été interdite par la suite, dû à la grande augmentation des risques de développer un cancer du sein.

Des scientifiques trouvent des agents stérilisants dans les Vaccins contaminés contre la polio de l’UNICEF

En 2004, il était rapporté par Haruna Kaita, un scientifique en pharmacologie et directeur de la Faculté des sciences pharmaceutiques de l’Université d’Ahmadu Bello à Zaria, Nigéria, que la campagne de l’UNICEF pour vacciner les jeunes contre la polio était une façade pour stériliser la nation. Il a pris des échantillons pour les faire analyser dans des laboratoires en Inde. Utilisant des technologies recommandées par l’OMS, le docteur Kaita a trouvé des évidences que certains ingrédients contenus dans les vaccins étaient toxiques et dangereux, au grand choc des Indiens présents dans les laboratoires.

Firmes d’assurance-vie et santé investissent dans le tabac

Des compagnies d’assurances américaines, canadiennes et britanniques possèdent des milliards de dollars investis dans des compagnies de tabac, comme le rapporte une étude du New England Journal of Medicine. L’étude a trouvé qu’elles ont plus de $4.4 milliards investis dans des compagnies ayant des affiliés qui produisent des cigarettes, cigares et tabac à mâcher.

La FDA a l’audace d’affirmer que le mercure est complètement sans danger

Joshua Sharfstein de la FDA a donné son sceau approbation pour une exposition majeure des enfants américains au mercure, ainsi que pour dissimuler les risques neurologiques pour le cerveau en développement et les défaillances du processus d’évaluation.

A/H1N1 – La grande campagne de vaccination de masse

Le très respecté journal médical The Lancet, revu par les pairs, s’est récemment fait l’avocat de la prudence en regard de la campagne bâclée de vaccination contre le A/H1N1. Étrangement, The Lancet mentionne les adjuvants contenus dans les vaccins, mais n’en fait pas cas au niveau des effets secondaires possibles. Bien sûr, plusieurs ingrédients mériteraient d’être analysés, incluant le mercure sous forme de thimérosal, le squalène et les virus vivants. Malgré les assurances qu’on nous donne à l’effet que le thimérosal serait sans danger, il y a une quantité grandissante d’évidences revues par les pairs qui décrivent les effets pervers de ce préservatif. L’aluminium est associé à des dommages neurologiques et l’adjuvant squalène est associé à des pathologies arthritiques et le Syndrome de la guerre du Golfe. (Source)

Références:

1. Supply and safety issues surrounding an H1N1 vaccine
Lancet. 2009 Aug 1;374(9687):358.
http://download.thelancet.com/pdfs/journals/lancet/PIIS01406736096139…

This study investigated the association between vaccination with the Hepatitis B triple series vaccine prior to 2000 and developmental disability in children aged 1-9 years (n = 1824), proxied by parental report that their child receives early intervention or special education services (EIS).
National Health and Nutrition Examination Survey 1999-2000 data were analyzed and adjusted for survey design by Taylor Linearization using SAS version 9.1 software, with SAS callable SUDAAN version 9.0.1. The odds of receiving EIS were approximately nine times as great for vaccinated boys (n
= 46) as for unvaccinated boys (n = 7), after adjustment for confounders. This study found statistically significant evidence to suggest that boys in United States who were vaccinated with the triple series Hepatitis B vaccine, during the time period in which vaccines were manufactured with thimerosal, were more susceptible to developmental disability than were unvaccinated boys.

3.  Effects of aluminum on the nervous system and its possible link with neurodegenerative diseases
Kawahara M. J Alzheimers Dis. 2005 Nov;8(2):171-82.

Aluminum is environmentally abundant, but not an essential element. Aluminum has been associated with several neurodegenerative diseases, such as dialysis encephalopathy, amyotrophic lateral sclerosis and Parkinsonism dementia in the Kii peninsula and Guam, and in particular, Alzheimer’s disease. Although this association remains controversial, there is increasing evidence which suggests the implication of metal homeostasis in
the pathogenesis of Alzheimer’s disease. Aluminum, zinc, copper, and iron cause the conformational changes of Alzheimer’s amyloid-beta protein. Al causes the accumulation of tau protein and amyloid-beta protein in experimental animals. Aluminum induces neuronal apoptosis in vivo as well as in vitro. Furthermore, a relationship between aluminum and the iron-homeostasis or calcium-homeostasis has been suggested. Based on these findings, the characteristics of aluminum neurotoxicity are reviewed, and
the potential link between aluminum and neurodegenerative diseases is reconsidered.

4. Excellent source materials:

4a. Squalene: The Swine Flu Vaccine’s Dirty Little Secret Exposed
by Joseph Mercola, D.O.
http://tinyurl.com/lh57v8

4b. Extensive documentation about squalene’s adverse effects in:
Vaccine A: The Covert Government Experiment That’s Killing Our Soldiers–And Why GI’s Are Only The First Victims
Gary Matsumoto; 2004, Basic Books.

Bookfinder for used copies of Vaccine A:
http://tinyurl.com/m46n33

Amazon:
http://www.amazon.com/Vaccine-Government-Experiment-Killing-Soldiers/…

B&N
http://search.barnesandnoble.com/Vaccine-A/Gary-Matsumoto/e/978046504…

Comment Monsanto tue les nouvelles

http://www.brasschecktv.com/page/648.html

La presse libre en Amérique est menacée. Lorsqu’il s’agit de nourriture, il serait dans notre meilleur intérêt de réaliser qu’on nous ment sur une base quotidienne. Voici une petite vidéo qui illustre la manière dont les nouvelles sont manufacturées derrière la scène et pourquoi les médias et les grandes corporations ne sont pas fiables.

Une question de confiance et de crédibilité

Mais voilà, malgré tout cela, on nous demande de faire confiance à ce complexe pharmaceutique si peu crédible. On nous demande de tendre le bras sans inquiétude ni questionnement et se faire injecter des produits miraculeux qui sont supposés nous protéger des virus, nous dit-on.

Parfois je me dis qu’on joue avec notre santé comme au casino, mais d’une autre part, je vois souvent des compagnies pharmaceutiques se comporter comme des dealers de drogue obscurs et des manipulateurs professionnels qui jouent avec notre santé pour un rapide gain financier.

François Marginean

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Front commun contre les vaccins A/H1N1

Voilà où nous en sommes. Les campagnes de vaccinations contre le A/H1N1 approchent. Dès cet automne. Le Canada a déjà acheté plus de 50 millions de doses. On parle déjà d’une à quatre doses à recevoir, selon les cas. On nous assure que c’est pour notre bien, mais du même souffle on nous dit que ces vaccins et antiviraux ne seront pas complètement testés. Les grandes compagnies pharmaceutiques qui vont fabriquer ces remèdes (et empocher des milliards de dollars provenant de fonds public) ont reçu l’immunité en cas d’effets secondaires nocifs ou même de décès suite à l’utilisation de leur produits.

Ces mêmes entités ont aussi annoncé que leur produits vont contenir des ingrédients tels que le thimérosal, un préservatif dérivé du mercure, et du squalène (MF59 de Novartis et GlaxoSmithKline) qui lui est un adjuvant qui devient de plus en plus controversé puisqu’il devient clairement établi qu’il est en lien avec le Syndrome de la guerre du Golfe qui a atteint des dizaines de milliers de soldats américains ayant servi durant la première guerre contre l’Irak en 1991. Ce lien entre le squalène contenu dans les vaccins expérimentaux contre l’anthrax donnés par l’Armée US à ses soldats est contesté par les officiels, mais plusieurs études semblent le démontrer. C’est que le corps contient aussi du squalène naturellement, mais lorsqu’il est injecté directement dans le sang avec les vaccins, le système immunitaire commence à combattre le squalène partout où il le trouve. Alors on se retrouve dans une situation dans laquelle on a son propre système immunitaire qui combat le corps sans arrêt, ce qui a rendu tous ces soldats extrêmement malades et entrainé la mort de milliers d’autres.

Le formaldéhyde est un autre ingrédient couramment utilisé dans la fabrication des vaccins et il est classé dans la catégorie des produits cancérigène. Le mercurothiolate destiné à limiter le risque de contamination bactérienne est à 49,6% du mercure. Sa toxicité est équivalente à celle du méthyl mercure et le rapport sur le mercure au Congrès Américain met clairement en évidence la toxicité potentielle du thimérosal qui se cumule à celle du mercure alimentaire. L’hydroxyde d’aluminium pourrait contribuer à causer la maladie d’Alzheimer.

Ainsi, pour éviter une autre catastrophe incroyable qui risque de nous décimer, pour éviter le risque de A/H1N1, on nous offre la magnifique possibilité de prendre un autre risque peut-être encore plus grand et se faire injecter ces vaccins non testés pour lesquels les fabricants ont reçu une immunité légale et qui vont contenir l’un ou l’autre de ces ingrédients potentiellement nocifs pour le système nerveux central et la santé en général.

Quel choix. Quel faux choix.

On peut questionner leur valeur et leur innocuité, voir les refuser. Mais attention, cela vous attirera peut-être des ennuis car seulement questionner ces vaccins pourrait vous faire catégoriser «d’antivaccination qui crient au complot sur Internet» par des médias comme Le Devoir ou encore, de vous faire rassurer avec le même baratin habituel expliquant que «des inquiétudes quant à l’innocuité des vaccins contre la grippe pandémique» ne sont jamais fondés selon les officiels comme ceux de l’OMS. Si vous refusez de recevoir ces vaccins, ou pire, que vous refusiez que vos enfants se fassent vacciner, on va vous faire sentir cette réprobation sociale honteuse de ne pas aider à combattre ce virus et de ne pas protéger vos enfants. Il y a même possibilité d’importantes amendes et d’emprisonnement. Il semble qu’aux États-Unis la partie va être encore plus solide. Le Pentagone a annoncé qu’ils se préparaient à intervenir dans les campagnes de vaccination. L’armée, vous avez bien lu.

Et personne ne parle du soleil et de la vitamine D, du magnésium qui combattent encore plus efficacement tous les virus de la grippe que n’importe quel vaccins. Personne ne parle simplement de l’importance de maintenir un système immunitaire fort et comment y parvenir. J’imagine que cela ne rapporte pas assez d’argent et que ce n’est pas brevetable. En fait, la FDA a même menacé de saisir tous les produits naturels qui osent afficher qu’ils peuvent aider à protéger contre la grippe A/H1N1.

La question ultime se trouve dans ces questionnements:

Qui est le propriétaire de votre corps, vous ou le gouvernement? Qui possède votre corps, même dans ces périodes de peur illusoire ou réelle de pandémie? Qui décide ultimement de ce qui va y entrer ou pas?

Alors je suis du même avis que plusieurs, nous allons avoir besoin de former un front commun entre citoyens et blogueurs, divers sites Internet et intervenants spécialisés autant dans les médias alternatifs que de la santé pour s’assurer que nous soyons véritablement bien informés sur ce qu’on veut nous injecter et surtout, pour protéger notre liberté et notre droit ultime et inaliénable de choisir ce qui est bon pour soi-même.

Je ne crois pas que ce droit, peut importe la situation, sera mieux géré par une compagnie pharmaceutique ni un gouvernement. Les deux sont continuellement pris à manipuler et nous mentir pour leur profit personnel. Les médias ne sont pas bien mieux pour laisser entendre nos inquiétudes et questionnements. Je préfère m’en remettre à mon jugement éclairé.

Alors ce billet se veut un appel au rassemblement des forces citoyennes et de la blogosphère. Il est important de s’armer mentalement avec de l’information solide pour être en mesure de prendre de meilleures décisions. Nous avons besoin de faire circuler cette information et de poser les vraies questions pour obtenir les réponses qui comptent.
Le citoyen n’a pas de voix et il se doit de la retrouver. Il est libre de sa destinée, s’il ne l’est pas, il doit la retrouver rapidement. Pour l’instant, je ne vois que des politiciens et des fabricants de produits pharmaceutiques qui crient hystériquement nous assurant qu’une seconde vague de la grippe porcine s’en vient et que la solution est de recevoir ces vaccins. J’attends qu’on me prouve que ce virus soit si dangereux qu’on nous le dit et que la seule solution pour s’en sortir est de recevoir ces vaccins. Le fardeau de la preuve de l’innocuité de ces vaccins repose sur le dos des compagnies pharmaceutiques parce qu’il est de leur responsabilité d’éviter qu’une situation comme celle de 1976 aux États-Unis se reproduise alors que les vaccins sensés protéger la population contre une autre peur de pandémie de grippe porcine avaient tué entre 50 et 300 fois plus de personnes que le virus lui-même.

Pour débuter, vous pouvez commencer par vous informer en lisant ces articles précédents:

La salve des virus de la grippe porcine, aviaire et humaine – partie I

La salve des virus de la grippe porcine, aviaire et de la bêtise humaine – partie II

Pandémie et restrictions des libertés individuelles – partie III

Il y a aussi ces émissions de radio de L’Autre Monde dans lesquelles vous trouverez beaucoup de pistes de réflexions et d’information. Vous pourrez trouver tous les liens vers les articles et documents dont il est question dans ces émissions en cliquant sur le titre en italique:

L’Autre Monde 15 octobre 2009: Remettre les pendules à l’heure: A/H1N1, Obama prix Nobel de la paix et l’économie

L’Autre Monde 8 octobre 2009: La fin de l’hégémonie américaine et des mensonges au sujet du 9/11 et du A/H1N1

L’Autre Monde 13 aout 2009: Santé – Lorsque Big Pharma est plus dangereux que le H1N1 et les drogues illégales

L’Autre Monde 6 aout 2009: Trousse d’information A/H1N1 pour survivre aux vaccination de masse

Finalement, vous pouvez ajouter ici tout ce que vous jugerez pertinent à cette campagne de résistance par l’information et l’affirmation de notre libre arbitre. Même si ce n’est que de vous affirmer contre ces vaccins et le dire publiquement, car je sais qu’il y a beaucoup de gens qui pensent tout bas qu’ils ne se feront pas vacciner, mais qui n’osent pas vraiment le dire ouvertement pensant être un cas isolé et par soucis de pression sociale ou d’avoir à se faire juger négativement.

François Marginean

(Dernière modification: 24 octobre 2009)

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Documentaire: SILENCE, ON VACCINE

Suite à l’article Une cure de grippe aviaire et mercure, je vous propose ce documentaire sur les vaccins. On refuse souvent de se l’admettre, mais nous avons été victimes de propagande et de désinformation. Notre jugement en est affecté. La majorité de la population et surtout les professionnels de la santé comme les médecins et les infirmières sont mal informés et prennent pour acquis que les vaccins sont bénéfiques et largement sans danger. On part avec l’hypothèse de départ que les vaccins sont nécessaires et que la santé de nos enfants et des autres est menacée s’ils ne sont pas vaccinés. On vous fait sentir coupable, irresponsable et à la limite criminel si vous refusez de faire vacciner vos enfants. On vous regarde avec l’air scandalisé, avec un regard méfiant et incrédule, comme si vous étiez dérangé.

Pourtant. Les ingrédients contenus dans les vaccins sont loin d’être rassurants et il n’y a personne au monde qui peut nous assurer hors de tout doute qu’ils sont sans danger un coup injectés dans le sang de nos enfants. Les dernières recherches qui ont été effectuées sur les effets du thimérosal, un dérivé du mercure utilisé dans certains vaccins comme préservatif, remontent à 1929, aux États-Unis. C’était la première recherche sur le sujet… et la dernière d’ailleurs. Oui, en 1929 et sur 27 personnes seulement. Depuis, aucune agence de la santé gouvernementale n’a effectué d’analyses sur le thimérosal. Si vous vous demandez ce que le mercure cause comme dommage au cerveau et à ses neurones, même en quantité infinitésimales, je vous conseille fortement de visionner cette courte vidéo de quatre minutes (en anglais, mais les images valent mille mots, vous comprendrez tout) du département de biologie et biophysique de la faculté de médecine de l’Université de Calgary:

Ceci aide à mieux comprendre les effets dévastateurs que peut avoir le thimérosal, un dérivé du mercure, avec les doses répétées et cumulatives que les enfants reçoivent maintenant.

Une enquête du gouvernement américain admet maintenant le lien possible entre l’autisme et les vaccins. Les cas d’autisme sont passés de 1 enfant sur 100 000  il y a vingt ans, à 1 enfant sur 175 aujourd’hui, chiffre du Centers for Disease Control and Prevention. Les doses vaccinales ont augmentées de trois fois aux États-Unis. Lorsque les effets cumulatifs des quantités de thimérosal que les enfants reçoivent à travers la trentaine de vaccins furent finalement mesurés en 1999, la FDA a découvert que les jeunes enfants recevaient plus de 100 fois les doses maximales sécuritaires fixées par l’Agence de protection de l’environnement des États-Unis (EPA) dès l’âge de 18 mois. (Source)

Il y a une liste des ingrédients que les vaccins contiennent que vous pouvez consulter ici. En plus du thimérosal, vous découvrirez d’autres ingrédients dont je vous mets au défi de trouver un médecin qui vous assurera qu’ils sont totalement sans danger, avec les études et recherches pour le prouver.

Voici quelques uns de ces ingrédients:

– des organismes génétiquement modifiés (OGM),

-des organismes clonés,

-des virus vivants,

-des fluides, fluides, organes et sang d’animaux,

-du formaldéhyde,

-de l’hydroxyde et sulfate d’aluminium,

-du MSG,

-du sulfate d’ammonium,

-des tissus de fœtus avortés humains,

-sorbitol

Rappelez-vous qu’au Québec, il n’y a rien qui vous oblige à faire vacciner vos enfants. Pourquoi prendre une chance? Prenez le temps de voir ce documentaire pour vous faire une meilleure idée à propos de tout cela. Tout est entre vos mains. Vous êtes responsables.

Personnellement, après toutes ces années de recherches, de lecture, j’en suis venu à la conclusion que je ne ferais JAMAIS vacciner mes enfants. Le principe de précaution entre en jeu car la preuve n’a jamais été véritablement établie que les vaccins sont inoffensifs. En fait, toutes les raisons de croire le contraire sont là. Nous croyons qu’ils sont bénéfiques, parce nous avons intériorisé la propagande et la désinformation, alors qu’il n’existe aucune preuve de cela.

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SILENCE, ON VACCINE

Un film qui soulève bien des questions et qu’on essaie de dénigrer par tous les moyens. Les médias l’ont banalisé et discrédité.

http://www.dailymotion.com/video/x8lwte_silence-on-vaccine-part-14_news

http://www.dailymotion.com/video/x8lyba_silence-on-vaccine-part-24_news

http://www.dailymotion.com/video/x8lybo_silence-on-vaccine-part-34_news

http://www.dailymotion.com/video/x8lyxb_silence-on-vaccine-part-44_news

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Une cure de grippe aviaire et de mercure

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Photo de ibuzzo (flickr)

Le poisson, les vaccins et le mercure

Les agences gouvernementales comme Santé Canada et la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis ont comme mission la protection de la santé publique. Enfin, c’est ce qu’on en dit et c’est ce qu’elles prétendent. Mais est-ce que les faits confirment ces prétentions? Voyons voir.

Nous avons tous entendu ces avertissements de ne pas trop consommer de poisson, car il contient des taux de mercure qui peuvent être nuisibles à la santé humaine.  Le mercure est toxique sous toutes ses formes organiques et sous tous ses états chimiques. Son utilisation est souvent règlementée, voire interdite.

L’effet de la toxicité du mercure chez l’homme se dévoilant sous sa forme vapeur commence par les voies respiratoires, pour se solubiliser dans le plasma, le sang et l’hémoglobine. Par le sang, il attaque les reins, le cerveau et le système nerveux. Le risque chez les femmes enceintes est aussi présent : cette toxine se déplace facilement au travers du placenta pour atteindre le fœtus. Même après la naissance les risques sont perdurent puisque le lait maternel est aussi contaminé. (Source)

À la fin du mois de janvier, on apprenait qu’une nouvelle étude avait trouvé des traces de mercure dans le sirop de maïs à haute teneur en fructose (HFCS selon le signe anglais de High fructose corn syrup). Presque la moitié des échantillons de sirop de maïs à haute teneur en fructose commercial testés contenaient du mercure. Cet ingrédient se retrouvait dans environ un tiers des 55 produits de marques populaires de breuvage et nourriture testés dans l’étude, tel que le pain, les céréales, les barres de déjeuner, yogourt, soupe et condiments. En moyenne, les nord-américains consomment 12 cuillères à thé de HFCS par jour, ce qui est environ 5.5 fois les limites acceptables de mercure fixées par l’EPA qu’une personne peut absorber par jour. Le plus inquiétant, c’est les jeunes et autres grands consommateurs peuvent consommer jusqu’à 80% plus de HFCS que la moyenne.

Si nous sommes d’accord pour affirmer que le mercure est très toxique pour les gens, affectant et endommageant le système nerveux central et le cerveau, au point où on prend le soin d’avertir la population de ne pas trop manger de poisson, pourquoi est-il acceptable alors d’utiliser un préservatif dérivé du mercure (le thimérosal) dans plusieurs vaccins que l’on injecte à nos enfants et aux personnes âgées? Ou encore, dans les remplissages dentaires qui contenaient du mercure, comme les dentistes le faisaient il n’y a pas si longtemps?

Pas de panique. Rassurez-vous, le gouvernement du Québec et l’Agence de la santé et des services sociaux de Montréal vous assurent qu’il n’y pas de quoi s’en faire. Voici ce qu’ils en disent:

Le thimérosal est un agent de conservation à base de mercure utilisé dans le procédé de fabrication des vaccins et contenu dans certains flacons de vaccin à doses multiples afin de prévenir la croissance bactérienne et fongique et de stabiliser le vaccin de façon à en préserver l’efficacité dans le temps.

  • La quantité de thimérosal contenue dans les doses administrées aux bébés est minime et il ne permet  pas  une accumulation de mercure sanguin (démontré en 2003).  Contrairement au méthyl mercure présent partout dans l’environnement, le mercure présent dans le thimérosal des vaccins, l’éthyl mercure,  ne s’accumule pas dans l’organisme.
  • De nombreuses études, effectuées auprès d’environ 1 million d’enfants (au total), soit au Canada (Montréal), aux ÉU, en Angleterre, au Danemark, ne trouvent aucun lien entre les doses données de vaccins contenant du thimérosal et le développement de l’autisme. Pour ces études , une revue des dossiers des enfants a été effectué  jusqu’à l’âge de 10 ans (études publiées en 2002, 2003, 2004 et 2006). (Source)

Ils ont intérêt à avoir raison, car le nombre de poursuite en justice pour les cas d’autisme causés par le mercure contenu dans les vaccins continuent d’augmenter à un rythme effarant et si le lien venait qu’à être démontré, ce sont des poursuites de l’ordre de milliards de dollars qui seront entamées  contre le gouvernement et les compagnies pharmaceutiques.

Aux États-Unis, il y avait en 2008 plus de 4 900 poursuites en justice cherchant des indemnisations pour les dommages causés par le mercure contenu dans les vaccins pour enfants. Le lien a toujours été refusé par les compagnies pharmaceutiques et par le gouvernement. Mais pour la première fois, il y a eu une poursuite l’année dernière qui fut admise en cour par le gouvernement américain.

Il s’agit d’un cas d’une fillette qui a développé de l’autisme après avoir reçu une batterie de vaccins. La poursuite contre le gouvernement fut admise en cour de justice après que le personnel médical de la HHS Division of Vaccine Injury Compensation (DVIC) ait revu son cas pour en venir à la conclusion que « la demande de compensation était appropriée ». Les docteurs ont concédé que la fillette était en bonne santé et s’était développée normalement jusqu’à l’âge de 18 mois, moment où elle a reçu une batterie de vaccins contre neufs maladies d’un seul coup, dont deux qui contenaient du thimérosal. Quelques jours plus tard, elle commençait une spirale descendante dans une cascade de maladies et de problèmes pour se terminer sept mois plus tard avec un cas d’autisme diagnostiqué par le docteur Andrew Zimmerman, un important neurologiste de la clinique de neurologie de l’hôpital pour enfants Kennedy Krieger. Elle présentait des symptômes d’autisme comme la perte de réponse à des directions verbales, perte de capacités du langage, pas de contacts visuels, perte du lien relationnel avec autrui, insomnie et des hurlements incessants, pour ne nommer qu’eux.

Une enquête du gouvernement américain admet maintenant le lien possible entre l’autisme et les vaccins. Les cas d’autisme sont passés de 1 enfant sur 100 000  il y a vingt ans, à 1 enfant sur 175 aujourd’hui, chiffre du Centers for Disease Control and Prevention. Les doses vaccinales ont augmentées de trois fois aux États-Unis. Lorsque les effets cumulatifs des quantités de thimérosal que les enfants reçoivent à travers la trentaine de vaccins furent finalement mesurés en 1999, la FDA a découvert que les jeunes enfants recevaient plus de 100 fois les doses maximales sécuritaires fixées par l’Agence de protection de l’environnement des États-Unis (EPA) dès l’âge de 18 mois.

Pour les parents qui voudraient en connaitre plus sur les ingrédients contenus dans les vaccins avant de les injecter dans le sang de leurs enfants, il y a une liste des ingrédients que vous pouvez consulter ici. En plus du thimérosal, vous découvrirez que plusieurs contiennent plusieurs autres ingrédients à faire sourciller, tel que des organismes génétiquement modifiés (OGM), des organismes clonés, des virus vivants, des fluides d’animaux , du formaldéhyde, des éléments d’aluminium, du MSG et plus.

À Chicago, le Homefirst Medical Services traite des milliers d’enfants qui n’ont jamais été vaccinés. Le docteur Mayer Eisenstein a déclaré que des 30 000 ou 35 000 enfants non-vaccinés qu’ils ont traités au fil des ans, aucun cas d’autisme ne fut répertorié. Même situation pour les enfants des Amish qui ne sont pas vaccinés.

Ainsi donc, au lieu de prendre la chance suicidaire d’avouer que le mercure dans les vaccins et les remplissages dentaires sont nocifs et toxiques, la FDA qui était prise dans un paradoxe en nous avertissant du danger de la présence du mercure dans le poisson en même temps qu’elle nous assure que celui contenu dans les vaccins et les remplissages dentaires est sans danger, a décidé de déclarer que le poisson contaminé au mercure est sain et sans danger pour les bébés, les enfants et les femmes enceintes.

Puisque déjà engagée sur cette route de la protection des intérêts des compagnies pharmaceutiques, alimentaires et du gouvernement au détriment de la population, la FDA a récemment annoncé que la mélamine contenue dans la nourriture pour enfants était aussi sans danger pour la santé et même chose pour le Bisphénol-A que le Canada vient de bannir.

Bayer et les produits contaminés au HIV et l’hépatite C

La réalité est à confondre les anticomplotistes les plus crédules. Dans les années ’80, une division du géant pharmaceutique mondial Bayer, Cutter Biological, a vendu pour des millions de dollars de produits infectés avec le HIV et l’hépatite C à des hémophiles à travers le monde. Le sang requis pour fabriquer ces produits fut prélevé dans des prisons américaines alors que ni les donneurs ou le sang donné étaient testés pour le HIV. De plus, le sang n’avait pas été stérilisé.

Dès que la FDA a découvert le problème, ils ont demandé à Bayer de ne pas vendre ces produits contaminés aux États-Unis, tout en prenant soin de garder l’affaire silencieuse. Bayer continuera de vendre consciemment pendant plus d’un an des produits contaminés à des hémophiles de pays étrangers comme le Canada, l’Angleterre, l’Espagne, le Japon, Taiwan, la France, l’Argentine, la Malaisie, l’Indonésie, Hong Kong, Singapour, le Mexique, le Costa Rica, le Brésil, les Philippines et à plus de 7000 Américains alors même qu’ils avaient une nouvelle version plus sécuritaire. Il est estimé qu’environ 15 000 canadiens sont décédés du SIDA causé par la contamination des produits de Bayer. (Voir toutes les sources concernant ce dossier ici)

Étant donné que la logique capitaliste d’une compagnie est de faire de l’argent à tout prix, la compagnie a décidé de vendre ses produits contaminés au détriment de la vie de milliers de personnes qui furent par la suite contaminées par le HIV en utilisant les produits de Bayer, question de rentabiliser leurs investissements. Telle est la logique du système.

Baxter et le virus H5N1 de la grippe aviaire

Baxter International Inc. a admis le mois dernier que ses produits saisonniers contre la grippe étaient contaminés avec un virus vivant actif de la grippe aviaire de type H5N1. Un officiel de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré qu’ils suivaient de proche l’enquête ouverte autour des évènements qui ont eu lieu dans les laboratoires de Baxter à Orth-Donau, en Autriche. Ce qui reste sans réponse sont les circonstances entourant l’incident dans ces laboratoires.

Certains des produits contaminés qui contenaient un mélange du virus de la grippe H3N2 et de virus de la grippe aviaire H5N1 ont été vendus à des sous-contractants en République tchèque, en Slovénie et en Allemagne.

L’incident de contamination, qui est sous enquête dans quatre pays européens, est devenu apparent après qu’un des sous-contractants en République tchèque ait inoculés des furets avec les produits de Baxter résultant en la mort de ceux-ci. Les furets ne meurent normalement pas suite à l’exposition du virus humain H3N2. Les autorités de la santé publique qui ont décrit l’incident de « sérieuse erreur » de la part de Baxter, ont assumé que la mort des furets signifiait que le virus H5N1 contenu dans ces produits était vivant et actif.

Ce processus de mélange entre deux virus est nommé évolution par réassortiment des gènes. « C’est une des deux manières dont les épidémies virales se produisent » rapportait un article de The Canadian Press.

Un certain nombre de virus à ARN, dont le génome est constitué de plusieurs fragments, possèdent la propriété, lors d’une infection d’un même hôte par deux virus proches, de pouvoir échanger les différents gènes. Ce processus original est appelé réassortiment.
Les virus de la grippe A constituent un modèle bien connu d’évolution par réassortiment. Il s’agit de virus à génome segmenté, comprenant huit fragments d’ARN. Expérimentalement, par co-infection de cellules permissives au moyen de virus différents, il est possible de générer de nouveaux virus par le réassortiment des gènes lors de l’assemblage des virus. Ce phénomène existe également dans la nature et constitue un des supports de l’évolution des virus grippaux.

Les virus de grippe A (H2N2 et H3N2) apparus lors des deux dernières pandémies en 1957 et 1968 résultent de réassortiments génétiques entre virus humains et aviaires. Il a été postulé que le porc aurait joué le rôle de l’hôte intermédiaire au niveau duquel, à la faveur d’une co-infection, les réassortiments se seraient produits. (Source)

Il n’y a pas eu de suggestion jusqu’à maintenant qu’il y a eu réassortiment dans le cas de Baxter. Il demeure que cette histoire a des implications importantes. Le virus aviaire H5N1 est potentiellement mortel mais se transmet encore difficilement aux humains. Par contre, le virus de la grippe H3N2 est facilement transmissible et contagieux. Si une personne venait qu’à être exposé aux deux virus simultanément, elle pourrait servir d’incubateur à une nouvelle variété hybride qui pourrait se transmettre facilement aux autres personnes.

Cependant, il est important de souligner qu’un aspect clef de cette histoire est qu’il est virtuellement impossible pour un virus de la grippe aviaire de faire son chemin jusque dans des vaccins « par accident ». La conclusion choquante à laquelle on en vient est que cet évènement ne pouvait pas être un accident. Pourquoi? Parce que Baxter International adhère à quelque chose nommé BSL3 (Biosafety Level 3) – un ensemble de protocoles de sécurité en laboratoire pour prévenir la contamination croisée du matériel. Sous ce protocole de conduite BSL, il est impossible pour un virus vivant et actif de contaminer du matériel pour la production de vaccins destiné à être acheminé à des vendeurs autour de la planète.

Ceci nous laisse avec seulement deux possibilités pour expliquer ce grave incident:

Possibilité #1: Baxter ne se conforme pas aux directives de sécurité BSL3, ou bien ils négligent tellement leur travail qu’ils causent des erreurs monumentales qui menacent le reste de l’humanité. Si c’est le cas, alors pourquoi injectons-nous ces vaccins de Baxter à nos enfants?

Possibilité #2: Un employé dérangé (ou un plan psychopathe de la direction) est présent à Baxter, où des virus vivants de la grippe aviaire ont été intentionnellement placés dans le matériel pour vaccins dans l’espoir qu’ils soient injectés à des humains, déclenchant ainsi une épidémie globale de la grippe aviaire.

Cette épidémie entrainerait une hausse instantanée de la demande pour les vaccins contre la grippe aviaire. Les profits des fabricants de vaccins comme Baxter pourraient être astronomiques si une telle panique avait lieu.

Avant que les anticomplotistes s’énervent trop, il faut se rappeler que c’est exactement ce qui s’était passé à l’automne 2005, alors que la panique avait été semée par le gouvernement de Bush qui disait qu’un minimum de 200 000 personnes pourraient mourir de la prochaine épidémie de grippe aviaire, un nombre pouvant atteindre 2 000 000 de personnes seulement qu’aux États-Unis. Cette campagne de peur avait justifié l’achat massif de 80 millions de doses de Tamiflu, un vaccin qui s’est révélé être par la suite pratiquement inutile. Les États-Unis avaient placé une commande de 20 millions de doses à 100 dollars l’unité, pour un total de 2 milliards de dollars. Mais qui fabrique le Tamiflu? La compagnie Roche, qui a reçu les droits de vente et de marketing exclusifs de Gilead Sciences Inc. il y a une quinzaine d’années. Gilead Sciences Inc. est la compagnie qui a développé le Tamiflu. Qui en était le directeur, deux ans avant d’être nommé au poste de Secrétaire à la défense dans l’administration Bush? Donald Rumsfeld. L’homme même qui possédait encore des actions dans la compagnie qui était pour profiter énormément de la panique créée par le gouvernement Bush. (Source)

Voilà donc ce qu’on propose à la population: une cure de grippe aviaire et de mercure. Rien de moins. Tout est normal, il n’y a pas lieu de s’inquiéter. Rassurez-vous, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes…

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