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Mille raisons de ne pas faire confiance aux « autorités »

Par François Marginean

Image Flickr par terrenoire

Théorie du réchauffement climatique – aucun consensus (et la tyrannie des réchauffistes)

Le slogan de ceux qui croient au réchauffement climatique causé par l’homme est que la science aurait définitivement prouvé leur théorie et qu’il y aurait donc un « consensus scientifique » à ce sujet. Pourtant, cela ne pourrait pas être plus éloigné de la réalité. Voici une liste de 800 documents rédigés par des scientifiques respectés et honorifiques qui questionnent ou contredisent la théorie du réchauffement climatique anthropologique. La science n’est pas une question de « consensus » et en ce qui concerne la climatologique, elle est loin d’être à point et surtout, d’être définitive.

Et qu’est-ce que cette « science » lorsqu’elle est manipulée et tordue pour produire les résultats désirés? David Evans a publié une collection de photos qu’il a rassemblé dans ce document (PDF) démontrant la nature frauduleuse de l’arnaque climatique perpétrée par plusieurs à l’intérieur de l’establishment scientifique occidental. Ces photos mettent en lumière la localisation des thermomètres climatiques officiels qui sont intentionnellement placés proche de sorties extérieures d’unités d’air climatisé, et de sortie de ventilation, ou même en position de recevoir des jets de courants d’air chaud provenant d’avions à proximité, alors que d’autres de ces thermomètres manquent pas carrément. Troublant et incroyable.

Cette hystérie frauduleuse du réchauffement climatique causé par l’homme n’a d’autre but d’enrichir quelques individus et de servir à installer une gouvernance mondiale (tyrannique) pour manipuler les gens à accepter un contrôle complet sur leur vie « pour leur propre bien ». Le premier pas concret vers cet objectif est sur le point d’être mis à l’essai sur l’ile de Norfolk, en Australie. La population va peut-être bientôt devoir demander la permission aux réchauffistes pour manger. Il n’y a pas d’exagération lorsqu’on dit que le réchauffement climatique est le dernier outil des totalitaires.

Financé à l’ordre de $390 000 par le Conseil australien de la recherche et approuvé par le ministre de la science de la gauche socialiste Kim Carr, cette expérience verra des chercheurs de l’Université de Southern Cross distribuer des « cartes de carbone » aux volontaires qui habitent sur l’ile de Norfolk. Le plan est de mettre ces habitants sur un rationnement pour combattre le réchauffement climatique ainsi que l’obésité. Si ce projet fonctionne bien, il pourrait être étendu à l’ensemble du territoire australien. Et éventuellement, jusqu’à vous.

Chaque fois qu’il achèteront du pétrole, de l’électricité ou un vol aérien, ils se verront déduire des « unités de carbone » de leur réserve fixe allouée disponible sur leur carte. Des unités en plus seront perdues chaque fois que les gens achèteront des aliments gras ou d’autres qui sont importés sur de longues distances. À la fin de l’année, s’il reste des unités de carbone, ils pourront choisir de les vendre, mais s’ils auront dépassé ce qui leur aura été alloué, ils devront en acheter plus. Le truc est que chaque année, le nombre d’unités de carbone permis sera coupé, entrainant ainsi leur augmentation de prix et par ricochet, celui du prix de la nourriture et du pétrole parce que l’idée est de couper dans l’émission des gaz à effet de serre et de rendre les gens de Norfolk mince et moraux. Mais la question qui se pose est que se passe-t-il si les gens viennent qu’à manquer d’unités de carbone et qu’ils ne peuvent plus se permettre d’acheter des unités supplémentaires pour se procurer du pétrole, de l’électricité ou de la nourriture? On laisse les ces personnes et leurs enfants devenir affamés?

Les étranges activités de BP dans le golfe du Mexique

Lors d’une conférence de presse le 19 septembre 2010, BP a confirmé que les opérations de colmatage du puits du MC252 dans le golfe du Mexique étaient maintenant complétées. Depuis que ce puits (n’y en a t-il qu’UN SEUL et ont-ils vraiment été colmatés?) a finalement été confirmé comme colmaté, BP a complété le processus de boucher ce puits et de l’abandonner. Ils ont aussi commencé le démantèlement et la récupération l’équipement, ainsi que la décontamination des navires ayant été utilisés dans la région du site du Deepwater Horizon. Le coût de ces opérations de nettoyage, de colmatage du pétrole et de dédommagement depuis le 19 septembre se chiffre à environ 11,2 milliards de dollars.

Ce qui est bizarre, c’est que les activités sur le site, au lieu de diminuer et de se résorber, ne font qu’augmenter. Le nombre de bateaux travaillant dans la région ont augmenté ces derniers temps et il y a maintenant une nouvelle plateforme de forage en haute mer qui vient de se joindre à l’armada: le West Sirius. Sur ce site, il est possible de trouver le positionnement de cette nouvelle plateforme de forage pétrolier qui vient s’ajouter aux deux autres déjà présente dans le secteur du réservoir du Macondo. Le West Sirius s’y trouve depuis le 27 octobre dernier. S’il était envoyé pour remplacer une des deux premières plateformes, pourquoi sont-elles toutes encore sur place? Ces deux plateformes nommées DD2 et DD3 sur les images ont été originellement commissionnées pour forer les puits de secours C et D depuis le mois de mai. Chacune de cette plateforme coute entre un demi million et un million de dollars américains par jour. Pourquoi est-ce que BP voudrait trois plateformes dispendieuses à ce site?

Cela n’a aucun sens, spécialement lorsqu’il n’y a eu aucune annonce officielle de nouveaux forages au site du Macondo. A-t-on besoin de trois plateformes couteuses pour percer un nouveau puits? Cela cache-t-il un problème dont la population ignore? Dossier à suivre…

Harper pense à demeurer en Afghanistan jusqu’en 2014

Pourquoi sommes-nous en Afghanistan? Est-ce qu’on s’en rappelle? Cela fait si longtemps que nous y sommes qu’on en vient qu’à se demander ce qu’on fait encore là, quelle est notre « mission », quel est le but de tout cela. Pendant qu’on se pose ces questions, le secteur de l’armement et militaire privé fait des tonnes de profits, car disons-le clairement, ces guerres en Irak et en Afghanistan sont semi-privées. Il y a autant, sinon plus, de personnel provenant de compagnies privées qu’il y a de soldats réguliers et de personnel militaire reliés à l’armée. Lorsque des guerres rapportent autant au secteur privé, il va sans dire qu’ils ont tout intérêt à ce que ces guerres s’éternisent le plus longtemps possible. Ils sont sur la bonne voie: la guerre en Afghanistan a déjà duré plus longtemps que la Deuxième guerre mondiale et la guerre du Vietnam; un fait qui est loin d’être anodin.

Le Canada a commencé sa participation à cette guerre et occupation militaire à la fin de 2001. Depuis, il a été bien établi que cette guerre est simplement illégale et immorale. Le gouvernement canadien nous avait vendu le concept en se drapant des couleurs fades de la défense de la démocratie, de vouloir aider les femmes opprimées et de défaire les Talibans maléfiques que les États-Unis avaient auparavant laissé prendre le pouvoir, ces Talibans qu’ils accusaient alors de cacher le vilain Ossama Bin Laden, ou Tim Osman, l’homme de la CIA.

Depuis, le Canada nous avait promis de se retirer rapidement un coup la mission accomplie. Résultat, les femmes sont en pire situation qu’avant 2001, les Talibans contrôlent presque tout le territoire et les troupes de l’OTAN subissent des pertes de vie grandissante, avec 2009 et 2010 étant les pires années depuis le début de cette mésaventure colonialiste et impériale. La majorité des Canadiens et surtout des Québécois étant contre la participation infâme de nos troupes à occupation de l’Afghanistan, le gouvernement canadien nous propose des échéanciers pour se retirer, mais chaque fois que la date butoir arrive, il décide, contre notre gré, de poursuivre et de demeurer en Afghanistan quelques années de plus.

La dernière fois, le Premier ministre Stephen Harper avait promis de retirer les troupes canadiennes en 2011, mais voilà qu’encore une fois, les autorités songent à garder sur place des centaines de soldats jusqu’en 2014. La mission doit se poursuivre. Cette fois, les soldats auraient un rôle hors-combat, d’entrainement des forces afghanes en coopération avec l’OTAN. La décision pourrait être prise rapidement pour régler la question en vue du sommet des dirigeants de l’OTAN à Lisbonne, Portugal, le 18 novembre prochain.

Conclusion

Finalement, les autorités ne portent pas à la confiance, loin de là. S’ils sont des autorités, ils ne le sont que dans le domaine du mensonge, de la tricherie et de la manipulation. Prenons garde et soyons conscients…

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Amérique du sud: Prochaine cible de l’Empire

(Photo Flickr de Josemascona)

François Marginean

Un conflit militaire n’est pas initié du jour au lendemain. Il s’agit d’un processus qui implique en premier lieu d’influencer la perception et l’opinion publique – la diabolisation de la personne ciblée ou d’un gouvernement dans le but de justifier une agression. Subséquemment, des forces armées sont déployées dans la région pour assurer une action militaire efficace. Des tactiques, telles que les opérations de subversion et de contre-insurrection, sont utilisées afin d’affaiblir et de déstabiliser la nation visée de l’intérieur, augmentant sa vulnérabilité et causant un affaiblissement de ses défenses. (Source)

Une méthode qui a fait ses preuves

Cette méthode a été utilisée pour vendre la guerre d’agression contre l’Irak dans les mois avant mars 2003. On a diabolisé L’Irak et Saddam Hussein, pourtant arrivé au pouvoir à l’aide de la CIA, en faisant la promotion de trois mensonges intentionnels: qu’il était relié à l’Al Qaïda et donc au 9/11, qu’il cherchait à se procurer de l’uranium pour fabriquer des armes nucléaires enfin, que Saddam possédait encore des armes de destruction massive pouvant être déployées en 45 minutes vers Londres. Les armes de destruction massives n’existaient plus de 1991, un fait connu des inspecteurs de l’ONU et des services du renseignement américain; l’administration Bush a admis elle-même que Saddam Hussein n’avait aucun lien avec Al Qaïda et le 9/11 et finalement, les informations utilisées par la Maison Blanche pour terroriser la planète avec la perspective de voir l’Irak utiliser l’arme nucléaire provenaient d’un plagiat d’un travail d’étudiant. Cette guerre d’agression n’avait aucune base légale dans la loi internationale.

Identique application de la méthode qui avait aussi servit à diaboliser les Talibans de l’Afghanistan qui, eux aussi, avaient pris le pouvoir avec le consentement de Washington. Mais avec le 9/11 en poche, les néocons ont simplement eu à accuser les Talibans de protéger Ossama Bin Laden (Tim Osman), de maltraiter leurs femmes et d’être des radicaux extrémiste pour arriver à justifier l’invasion d’un des pays les plus pauvres de la planète.

Ensuite de cela, comme la méthode le prévoit, des forces armées sont déployées dans la région. Ces équipements lourds et la grande quantité de troupes impliquent une soigneuse préparation de longue date. On ne déplace pas porte-avions, chasseurs, missiles, chars d’assaut, soldats en 24 heures. Cela prend des mois, sinon des années de planification et de mise en place. Pour le cas de ces deux derniers pays, le tout était planifié depuis au moins le premier jour du premier mandat de Bush, en l’an 2000. D’autres évidences montrent que cela remontait même à des années plus tôt. Le Pakistan avait été averti en juillet 2001 que des opérations militaires étaient pour avoir lieu en Afghanistan vers le mois d’octobre 2001 et les forces militaires se trouvaient déjà dans le Golfe Persique un mois avant le 9/11. Nous connaissons tous la suite.

Scénario identique dans le cas de l’Iran

Cette façon de procéder est en application contre l’Iran depuis quelques années. Même propagande et désinformation qui furent utilisées contre l’Irak et Saddam Hussein, diabolisation systématique des leaders, de leur culture, etc. Les États-Unis  financent des opérations de subversion et de déstabilisation pour affaiblir le pays de l’intérieur allant jusqu’à financer des groupes terroristes tel que les Djundallah. L’Iran chercherait à fabriquer des armes nucléaires et, selon Israël qui est fiévreuse de déclencher une attaque sur ce pays, Mahmoud Ahmadinejad serait la nouvelle incarnation de Hitler. Il est à noter que le rôle d’Israël dans le déclenchement de la guerre en Irak semble être de premier plan. L’Histoire se répète, de même que l’utilisation de la même méthode pour initier des conflits militaires.

L’Amérique du sud est dans la mire de l’Oncle Sam

De manière plus discrète et insidieuse, ce plan déviant est aussi activement mis de l’avant contre le Vénézuela depuis de nombreuses années. La consolidation de l’unité régionale ainsi que l’intégration de l’Amérique latine menace les possibilités américaines de reprendre le contrôle et assurer sa domination de l’hémisphère. Les avancées de la Révolution bolivarienne ont entravé son « auto-destruction », provoquée par la subversion interne financée et dirigée par des agences des États-Unis. Néanmoins, l’Empire ne va pas cesser ses tentatives d’achever son objectif final et un potentiel conflit militaire demeure toujours à l’horizon. (Source)

Depuis le coup-d’État piloté par Washington en avril 2002, les constantes agressions menées contre le Vénézuela ne font que se multiplier et s’amplifier. Les tentatives de déstabilisation contre la Révolution bolivarienne se couronnent avec la plus grande expansion militaire de l’Histoire dans la région, à travers l’occupation américaine de la Colombie, la réactivation de la Quatrième flotte de la US Navy, ainsi que l’augmentation de la présence militaire américaine dans les Caraïbes, au Panama et en Amérique centrale depuis la dernière année. Ceci peut être interprété comme étant une préparation à un scénario de conflit dans la région.

Les opérations de démonisation vont bon train. Durant les derniers mois, le Vénézuela a été accusé de ne pas assez combattre les opérations narcotiques, de violations des droits de l’homme, « de ne pas contribuer à la démocratie et à la stabilité régionale », et d’être le chef de file anti-américain de la région. Cela fait partie d’une campagne de relation publique pour fabriquer le consentement et manipuler l’opinion publique pour justifier une agression directe contre le Vénézuela. Bientôt, Washington va publier sa liste annuelle des États qui soutiennent le terrorisme. Si le Vénézuela était placé sur la liste cette année, la région pourrait être sur le bord d’un conflit militaire sans précédent.

Un document datant de 2009 produit par la US Air Force justifiant le besoin d’une présence militaire accrue en Colombie révèle que ces nouvelles bases militaires américaines vont donner au Pentagone « …une occasion pour mener des opérations de grande envergure à travers l’Amérique du sud… ». (Source)

Ce document démontre les véritables intentions qui se cachent derrière l’accord militaire entre les États-Unis et la Colombie: « Une présence (américaine) augmentera aussi notre capacité de mener des opérations du renseignement, de surveillance et de reconnaissance, d’améliorer notre portée globale, de soutenir des nécessités logistiques, d’améliorer des ententes, d’améliorer la coopération sur la sécurité régionale et de donner de l’expansion aux capacités de guerre expéditionnaire ».  (Source)

Le premier rapport définissant les priorités en matière de défense et du renseignement de l’administration Obama a dédié une attention substantielle au Vénézuela. Le Rapport annuel d’évaluation des menaces de la communauté du renseignement américain a spécialement signalé le président Hugo Chavez comme posant une « menace » majeure aux intérêts américains, le classant aux côtés de l’Iran, de la Corée du nord et d’Al Qaïda. « Le président vénézuelien Hugo Chavez s’est établi comme des principaux détracteurs international des États-Unis, dénonçant les États « libéral-démocratiques » et le » super-capitalisme », et opposant des politiques et intérêts américains dans la région ».

Quelques jours après que le rapport soit publié, le Département d’État a présenté dans son budget de 2011 au Congrès, demandant une augmentation de financement de l’ordre de $15 millions pour la USAID (U.S. Agency for International Development) et la NED (National Endowment for Democracy) dans le but de financer des groupes d’opposition au Vénézuela, en plus de $48 millions pour déployer des équipes de « promoteurs de la démocratie » dans des pays où la démocratie est menacée. Lors de sa dernière tournée de l’Amérique du sud, Hillary Clinton n’a pas manqué d’attaquer le Vénézuela à travers différentes déclarations s’inquiétant de la question de la démocratie, des droits de l’homme et de ne pas contribuer de façon constructive au progrès régional.

La surveillance électronique à partir de la base du US SOUTHCOM à Aruba fonctionne depuis plusieurs années et on se prépare pour de sérieuses opérations contre le Vénézuela. Le Pentagone se prépare pour une offensive éclair contre ce pays.

Haïti, la nouvelle base des opérations américaines

Sous le beau vernis d’aide humanitaire, une tout autre situation se développe en Haïti. Une situation qui reflète la longue histoire de cette nation surexploitéeFox News a révélé qu’un autre lucratif contrat sans appel d’offre a été octroyé à un lobbyiste et ami de haut profile « politiquement connecté » à l’ancien président Bill Clinton. La USAID qui est un cheval de Troie, tout comme pour la NED, permet différentes opérations américaines sur le terrain, sous le couvert d’aide humanitaire. On a appris qu’il est prévisible que les troupes américaines demeurent en Haïti pour un temps considérable. Selon les sources, du 20 000 soldats américains présents suite au terrible tremblement de terre du 12 janvier, il en reste entre 6 500 et 10 000. Ce qui est planifié pour le moment, c’est de plus en plus de personnel de la USAID et de moins en moins de troupes. Il semble que toutes prétentions à l’effet que Haïti est un pays indépendant ont été évacuée par le gouvernement américain.

Dans les médias, on se demande ouvertement quel rôle les États-Unis devraient jouer, allant jusqu’à considérer une annexion d’Haïti dans le style de Puerto Rico. On propose de reconstruire le pays et sa structure gouvernementale à partir de zéro. Obama a indiqué au cours d’une conférence de presse, confirmé par le président haïtien, que la présence militaire américaine en Haïti continuera indéfiniment. On peut alors considérer que le pays est de facto sous contrôle des États-Unis. En plus de lui conférer une position géostratégique dans la région, tout près de ses plus grands ennemis, Cuba et le Vénézuela, cela a beaucoup à voir avec des arrangements complaisants pour mettre la main sur les ressources naturelles d’Haïti et pour préserver les conditions de travail des ateliers de misère dans les usines d’Haïti. Et les réelles conditions de vie épouvantables que la plupart du peuple haïtien endure ne s’amélioreront jamais: c’est ainsi conçu.

Conclusion

L’Amérique du sud est à nouveau la cible de l’Empire. Pas à pas, si nous n’y prenons pas garde et ne montons pas une féroce opposition à une nouvelle conflagration et déstabilisation de tout ce continent, il y a fort à parier que nous allons assister à un autre front de la guerre pour assurer l’hégémonie américaine. Il est grand temps d’instaurer une ère de paix véritable et d’emprisonner les interventionnistes.

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