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Front commun pour les vaccins A/H1N1

Swine Flu Mortality

Rendons à César ce qui lui appartient. Nous devons nous incliner bien bas de respect et d’admiration devant une des plus impressionnante campagne de relation publique menée au Québec. Ce n’est plus qu’une simple campagne de vaccination que nous vivons, mais bel et bien un moment historique hors pair. Tel qu’annoncé partout dans les médias du Québec, nous sommes témoins de LA plus grande campagne de vaccination de l’histoire du Québec, un évènement à célébrer, un moment historique magique à vivre. D’ailleurs, apparemment que le comité qui rédige le Livre de record Guinness ait été contacté pour homologuer ce record inédit qui nous rend si fier.

Bien que le gouvernement du Québec se disait inquiet des très bas taux d’intention des gens de se faire vacciner il y a quelques semaines, ce problème est dorénavant chose du passé grâce à cette campagne de relation publique du tonnerre. Il aura suffit de montrer à la population toujours proie facile de la peur et la panique quelques images d’un jeune garçon de 13 ans qui aurait été foudroyé par le virus H1N1. Génial. Peut importe si le garçon n’était pas réellement mort du virus H1N1, mais bien d’une méningite, comme le rapportait le Dr Alain Poirier quelques jours plus tard, lors de l’émission 24 heures en 60 minutes, animée par Anne-Marie Dussault.

Superbe travail encore une fois de la part des médias qui ont été rapides pour semer la panique, mais bien lents à rectifier la réelle cause de la mort. Peut importe, comme le disait le père des relations publiques et de la publicité, Edward Bernays, on ne convainc pas les gens avec des discours rationnels, mais bien par les émotions, ce qui est de loin le plus efficace. Un coup l’image imprimée dans l’esprit des gens, entourée d’une aura de peur et de panique, même une admission de la part des médias que le garçon n’était pas mort du H1N1, mais bien d’une méningite, n’arrivera pas à déloger la première impression qui est pourtant fausse.

Résultat: plus de 80% de la population québécoise dit maintenant vouloir se faire vacciner. Cela ne s’appelle pas du contrôle des masses, mais bien une campagne de protection de la population par des autorités extrêmement soucieuse de notre santé. Nous devrions en être reconnaissant. Devant l’ennemi, nous devons être des patriotes et prendre une injection au nom de la nation, peut importe nos soucis et préoccupations concernant l’innocuité de ces vaccins.

De toute façon, merci encore une fois aux médias et aux autorités, nous savons maintenant que la question de l’innocuité et de l’efficacité des vaccins A/H1N1 est réglée une fois pour toute. Si on nous dit qu’ils sont sécuritaires et la seule façon de combattre le virus extrémiste, nous devrions nous la fermer et faire tout ce que les autorités nous disent de faire.

Qui suis-je pour décider de ma propre santé et celle des autres? Je ne suis pas un médecin, ni un expert. Je n’ai pas un mot à dire concernant ce qui entre dans mon corps. Si le gouvernement et l’OMS disent qu’il y a urgence, il est bien normal que le bien public passe en premier de tout, quitte à devoir injecter des substances toxiques dans mon corps, sans mon consentement et octroyer des pouvoirs inédits aux autorités, allant même jusqu’à contrevenir à la Charte des droits et libertés. C’est pour notre bien, pour nous protéger. C’est par amour des autres qu’on doit prendre une chance de jouer à la roulette russe avec sa santé. Il serait bien narcissique, ultra individualiste et égoïste de refuser. Et j’aime jouer. Surtout qu’avec les vaccins H1N1, nous avons 14 fois plus de chance de gagner qu’à la 6/49! On peut se mériter un superbe syndrome Guillain Barré à cette loterie toute spéciale. À gagner: effets secondaires RARES dû à des ingrédients de vaccin que les autorités ont approuvés.

En fait, la question cruciale dont on devrait tous se préoccuper jour et nuit est de savoir comment mettre les mains sur une de ces doses de super protection contre le virus envahisseur. Mais Yves Bolduc, a déclaré qu’il n’y aurait plus de passe droit au Québec, il faudra attendre son tour. À nous de gérer notre sentiment d’insécurité si on a la sensation de rareté des vaccins et d’avoir à attendre son tour. C’est un mal pour un bien; cela augmente notre désir d’avoir notre dose. Notre tour viendra. C’est comme si c’était « une chance », de gagner le gros lot. L’effet de « rareté » est donc une autre superbe facette de cette campagne de vaccination (la plus grande de l’histoire du Québec, faut-il le répéter). Peu importe que le Globe and Mail ait révélé que des millions de doses du vaccin H1N1 dorment dans des entrepôts.

Et des chanceux, il va y en avoir. Rien à voir, cependant, avec le fait qu’on vaccine les gens depuis environ deux semaines puis que tout d’un coup, comme par enchantement, les urgences sont débordées de cas de grippe H1N1. Ne soyons pas paranoïaques et comme les complotistes, que nous suspectons d’ailleurs d’être des extrémistes affiliés avec l’Al Qaïda.

Si vous entendez de la bouche d’un de ces extrémistes anti-vaccins que les effets secondaires du vaccin H1N1 commencent à sortir suite aux débuts de la vaccination de masse, nous pouvons nous rassurer car les autorités nient que le vaccin puisse être en cause. Ils nous expliquent que c’est le virus A/H1N1 qui tue, puisque le vaccin n’est pas effectif avant au moins 10 jours. Cela n’est pas une raison de croire que c’est une manière de masquer les effets dévastateurs qui pourraient survenir après vaccination.

Ne croyez pas à tout ce qui est écrit sur Internet. Ce n’est pas parce qu’on vous montre des vidéos YouTube d’une jeune meneuse de claques, par exemple, qui a eu des effets secondaires graves après la vaccination contre la grippe, que cela signifie que ce sera pareil pour nous ou que ce soit réellement relié aux vaccins. Notre confrère a dû se méprendre lui aussi; il n’y a certainement pas lieu de s’inquiéter.

Il faut le faire pour protéger la santé des autres.

Ce n’est pas les morts et les effets secondaires qui se multiplient en Suède qui vont nous arrêter dans cette campagne historique de vaccination de masse dont nous sommes si fiers.

Nous devons aussi souligner l’effort extraordinaire que cette centaine d’employés d’un centre d’hébergement ont déployé pour la protection du public, en dépit d’avoir été victimes d’une erreur dans la préparation du vaccin qu’ils ont reçu qui contenait deux doses d’adjuvant. Deux fois plus de squalène que la dose admise. Sans broncher, ces employés seront revaccinés avec le mélange adéquat pour protéger leur santé et celles des autres.

L’erreur est humaine. C’est exactement ce que les onze enfants de l’Ontario qui ont reçu le double d’une dose recommandée de vaccin H1N1 par une infirmière devront comprendre. Cette dernière continue toujours à ce jour de « protéger » la population.

Voilà que de bonnes nouvelles.

Et il a été confirmé, une fois qu’il a été documenté que ce virus A/H1N1 avait un taux très bas de mortalité, que l’OMS a changé sa définition d’une « pandémie » au mois de mai 2009, pour laisser tomber le besoin d’avoir un haut taux de mortalité et ainsi déclarer la pandémie de toute façon un mois plus tard, en juin. Et oui, cela leur donne le pouvoir de donner des ordres aux autorités de la santé de tous les pays membres de l’ONU pour des vaccinations obligatoires avec des amendes punitives et des quarantaines pour les extrémistes anti-vaccins. Mais ce n’est que par amour, pour nous forcer à protéger notre santé. Quel autre motif un organisme comme l’OMS pourrait possiblement avoir? Au lieu d’être parano, on devrait être plein de gratitude, cesser tout ce questionnement et faire tout ce qu’ils disent.

Et lorsqu’en janvier dernier, un manufacturier officiellement désigné pour fabriquer des vaccins contre le H1N1 admettait avoir fait une erreur ayant résulté en la production et livraison de larges quantités de matériel pour fabriquer des vaccins contre la grippe saisonnière qui s’était avéré mortel dans des tests sur animaux et contenait des virus vivants hautement contagieux, cela n’était qu’un exemple isolé d’une erreur. Il n’y a absolument rien là d’inquiétant. Il n’y a pas de temps à perdre pour se demander comment une telle « erreur » a pu se produire sous le protocole de sécurité le plus avancé qui existe, mis en place exactement pour rendre ce type d’erreur complètement impossible. On fait tous des erreurs, n’est-ce pas? Pardonner et oublier. Je suis certain que rien de tel ne se reproduira.

D’accord, peut-être bien que les gouvernements ont octroyé une complète immunité juridique aux manufacturiers pharmaceutiques, les protégeant de toutes poursuites judiciaires en cas de dommages et d’effets secondaires indésirables, les ont laissé utiliser des additifs non testés et les ont exemptés des tests usuels d’innocuité. Mais ils ne prennent de tels risques que parce qu’ils nous aiment tellement et qu’ils veulent se précipiter pour nous protéger contre cet horrible virus de l’influenza terroriste que la vaste majorité du monde prend quelques jours d’inconfort pour s’en remettre.

Si le seul moyen de nous protéger est de nous exposer à tous ces ingrédients qui peuvent nous endommager de façon permanente et même nous tuer, et bien, les autorités ne vont pas laisser ces inquiétudes pour la vie humaine être dans le chemin de notre protection. On est prêt à prendre la chance de nous rendre malade et nous tuer pour nous sauver la vie.

Alors, quelle différence cela fait-il de savoir ce qu’il y a dans ces vaccins ou pas; ou s’ils ont été testés ou pas? L’important est d’avoir une entière confiance envers le gouvernement pour prendre soin de nous.

Cela rend humble de savoir que tant de personnes puissantes sont si intensément concernées à propos de notre santé et notre bien-être qu’ils ne laisseront aucune loi les empêcher d’assurer notre protection.

Donc, entre les pouvoirs confiés à l’OMS durant une pandémie déclarée et les pouvoirs spéciaux conférés à la branche exécutive du gouvernement durant un « état d’urgence » déclaré, la population du monde entier a toutes les raisons de se sentir *super en sécurité*. Je partage certainement ce sentiment.

Pas même besoin de savoir que la vitamine D se révèle être la pierre angulaire pour combattre les rhumes et grippes saisonnières. Santé Canada va probablement perdre son temps à enquêter sur le rôle de la vitamine D dans la protection contre ces problème de la santé qui nous affectent tous chaque hivers, alors que nous sommes majoritairement déficient en vitamine D, qui est produite dans la peau avec l’action du soleil.

Je ne peux qu’espérer et prier, alors que cette merveilleuse machine de protection nationale et globale pour « prendre soin de nous » se met en route, que les hurluberlus de théoriciens du complot ne vont pas tout ruiner avec leurs outrageuses fantaisies paranoïaques. Donc, sentez-vous libres de faire circuler ce message rassurant autant que possible.

Nous sommes tous ensembles dans cette galère!

François Marginean

Image Flickr: Michæl Paukner

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Le mythe des crème solaires

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L’idée que les crèmes solaires préviennent le cancer est un mythe. C’est un mythe soutenu par l’industrie du cancer et celle des compagnies de crèmes solaires, unies dans un effort pour générer des profits. L’industrie des lotions solaires fait de l’argent en vendant des produits qui contiennent des éléments chimiques cancérigènes. Ensuite, ils donnent une portion de cet argent à l’industrie du cancer via des organismes à but non-lucratifs comme l’American Cancer Society, qui en retour, produisent des publicités à faire briser le coeur incitant les gens à utiliser de la crème solaire pour «prévenir le cancer».

Les évidences scientifiques, cependant, montrent clairement que les lotions solaires favorisent le développement du cancer de la peau en bloquant l’absorption du rayonnement ultraviolet (UV) par le corps qui produit de la vitamine D dans la peau. La vitamine D, tel que démontré par de récentes études, aide à prévenir 77 de tous les cancers chez les femmes (cancer du sein, du colon, du cerveau, des poumons, tumeurs cervicales, le myélome multiple, etc). Pendant ce temps, les produits chimiques toxiques entrant dans la composition de la plupart des crèmes solaires sont en fait cancérigènes et n’ont jamais été testés pour leur sécurité ni approuvé pour leur sécurité par la FDA (Food and Drug Agency – agence de régulation et contrôle émettant les autorisations de mise sur le marché aux US). (Source)

Presque tout ce que vous mettez sur votre peau passe dans la circulation du sang. Il est alors surprenant qu’il n’existe aucune règlementation pour les substances causant le cancer contenues dans les produits de soin de la peau. Il existe présentement plus de 150 substances toxiques cancérigènes utilisées dans la fabrication de produits cosmétiques. Il est requis par la loi fédérale de signaler le danger lorsque des produits contiennent des substances cancérigènes. Mais la FDA n’applique pas la loi en ce qui concerne les cosmétiques ou des produits de soins personnels. Les consommateurs achètent donc ces produits potentiellement nocifs pour la santé tel que la crème solaire.

La peau absorbe facilement les produits chimiques

Mis à part l’eau, un grand nombre de substances pénètrent par la peau. Ce simple fait a été nié pendant des années par les partisans de la médecine traditionnelle qui disaient que la peau agissait comme une sorte de barrière. Ceci c’était avant qu’ils ne se rendent compte qu’ils pouvaient utiliser la peau pour faire absorber des médicaments; maintenant nous avons des systèmes de patchs pour la nicotine, le contrôle des naissances, et même des patchs contre la maladie d’Alzheimer qui en fait fournissent une certaine dose de médicaments par la peau.

Malgré cela, l’industrie cosmétique continue de fabriquer des produits contenant des produits chimiques extrêmement dangereux. La FDA affirme que ces produits sont inoffensifs parce qu’ils ne sont pas consommer par voie orale. Vous seriez surpris de voir quels sont les produits autorisés à la vente par la FDA tant qu’ils portent la mention « seulement à usage externe ». On présume qu’ils resteront à l’extérieur et qu’ils ne seront pas absorbés dans le corps, donc leur toxicité n’est pas reconnue. Mais nous savons maintenant que ce n’est pas vrai. Les produits chimiques toxiques appliqués sur la peau mènent rapidement à avoir un sang contaminé dans le corps. (Source)

Les bienfaits de la crème solaire sont un mythe. Les promoteurs disent qu’elles préviennent les coups de soleil, mais en réalité, la cause réelle des coups de soleil n’est pas vraiment l’exposition aux rayons UV. Il s’agit plutôt d’une nutrition déficiente en antioxydants. Commencez à manger beaucoup de baies, des micro algues (spiruline, astaxanthine (voir ceci aussi), algues bleu-vert, etc.), des carottes et vous allez commencer à produire une protection solaire interne qui va protéger votre peau des coups de solaire, mais de l’intérieur. Les coups de soleil sont véritablement causés par des déficiences nutritionnelles qui rendent la peau vulnérable aux mutations de l’ADN par radiation; mais si vous renforcez votre nutrition et protégez votre système nerveux avec des nutriments à base de plantes, vous résisterez naturellement aux coups de soleil. Ces mêmes nutriments, en passant, protègent aussi le nerf optique et l’oeil des dommages causés par le rayonnement solaire. C’est pourquoi la consommation de baies et de carottes est historiquement associée à une bonne santé oculaire. Les mêmes nutriments qui protègent les yeux protègent aussi la peau.

La vitamine A se transforme en vitamine D dans le corps lors de l’exposition à la lumière du soleil. À son tour, la vitamine D ainsi produite agit comme une lotion solaire interne. Son effet est si important qu’une recherche conduite à l’école de médecine de l’Université de Creighton au Nebraska a trouvé qu’un supplément accru de vitamine D et de calcium pouvaient réduire les risques de cancer de 77%. Cela inclut le cancer des seins, du colon, de la peau et d’autres formes de cancer. Cette recherche apporte de fortes évidences que la vitamine D est le médicament le plus efficace contre le cancer, surpassant de loin les bénéfices de n’importe quel médicament de la science moderne.

Donc, si les crèmes solaires sont si mauvaises pour les humains, alors pourquoi est-ce que les médecins les recommandent? Ceci peut paraitre difficile à croire, mais il n’y a pas si longtemps les docteurs recommandaient de fumer des cigarettes aussi. Le Journal of the American Medical Association a publié plusieurs publicités faisant la promotion des cigarettes Camels comme étant «recommandées par plus de docteurs que n’importe quelle autre cigarette!». Les docteurs parlaient des «bénéfices» de fumer des cigarettes, invitant les gens à commencer à fumer dans le but d’améliorer le fonctionnement du cerveau et même pour renforcer les dents! La réalité est que les médecins sont facilement influençables par les intérêts commerciaux et sont amenés à recommander pratiquement n’importe quoi, peut importe la toxicité des produits en question. Seulement qu’à penser au cas de Vioxx pour nous fournir un exemple éloquent. Gardons à l’esprit aussi que les médicaments prescrits par des médecins et les erreurs médicales sont la quatrième cause de décès aux États-Unis. Entre 44 000 et 98 000 Américains meurent chaque année, suivant les conseils de leur docteur. Les liens que possède l’American Cancer Society avec les compagnies pharmaceutiques, chimiques et de radiologies sont aussi déconcertants.

L’industrie pharmaceutique et celle du cancer savent pertinemment que si les médecins se mettaient à prescrire du soleil et de la vitamine D pour prévenir et toutes sortes de cancers, leurs profits en souffriraient énormément. Est-ce que cela veut dire de courir dehors et de s’exposer brutalement au soleil pendant des heures? Évidemment que non. Si vous commencez à manger des aliments riches riches en nutriments, vitamines A, D et en calcium, il faut compter une période de 30 jours pour augmenter les niveaux de protection naturelle de la peau aux rayons UV. Il faut aussi fait des tests graduels d’exposition au soleil pour connaitre notre niveau de tolérance personnel. Portez un chapeau lorsque de longues périodes temps à l’extérieur s’imposent et si vous choisissez d’acheter une crème solaire, en choisir une qui est biologique et complètement naturelle, sans produits pétrochimiques. Puisque qu’à peu près tout ce qui est en contact avec la peau est absorbé et passe dans le sang, certains donnent comme principe ultime de précaution de ne pas mettre sur la peau autre chose qu’on serait prêt à mettre dans notre bouche.

Personnellement, ça fait deux ans que je n’utilise plus de crème solaire et que je préconise la production naturelle de protection solaire par le corps. J’ai de très bons résultats, aucun coup de soleil même sous le soleil d’Asie et beaucoup moins de problèmes qu’avec l’utilisation de crème solaire. Par contre, ces informations sont offertes sur une base informationnelle seulement et ne constitue en aucune manière un conseil médical et ne doit pas être interprété comme tel. Il est primordial de consulter un professionnel qualifié de la santé avant d’effectuer des changements à votre diète, prescription de médicaments, ou autre facette de votre santé. Ces informations sont présentées tel quel et le lecteur assume tous les risques découlant de l’utilisation, de la non-utilisation ou de la mauvaise utilisation de ces informations.

Profitez de la belle saison, bon été!

François Marginean

Image gracieuseté de Mike Adams – www.NaturalNews.com

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