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La connerie onusienne

Comme si installer la Lybie à la présidence de sa commission des droits de l’homme et les cirques de Durban n’étaient pas complètement suffisants pour discréditer l’ONU au niveau de la défense des droits humains (pour ne rien dire de la nomination de l’Iran à la commission de la condition de la femme); l’ONU déclare que l’accès à l’internet est un droit humain et que tous les états doivent tout entreprendre pour fournir l’accès à tous leurs citoyens. Ah! Ce que le rêve de Churchill est sombré bas dans les abysses de la connerie humaine! De défenseur de liberté, l’ONU est devenu un instrument d’esclavage.

Mais pourquoi l’accès à l’internet ne serait-il pas un droit, aussi essentiel soit-il dans la vie de milliards d’êtres humains? Ça devrait pourtant être évident, mais pour ceux et celles qui ne saisissent pas la nuance, il convient de définir ce qu’est réellement un droit. Depuis que la race humaine existe et certainement depuis l’ère des lumières, l’homme s’interroge sur sa nature. Il en est venu à définir certains droits inaliénables dont tous les êtres humains devraient pouvoir jouir, peu importe leur sexe ou leur couleur. Le premier de ces droits est le droit à la vie. Tout être humain a le droit de vivre, peu importe ses circonstances, et aucun autre être humain n’a le droit de lui enlever. Ce qui ne veut pas nécessairement dire que nous avons droit à une vie aisée, nous avons simplement le droit de vivre. De ce droit à la vie découle tous les autres droits. Le droit de vivre nous donne droit de propriété sur notre propre corps, de notre labeur et de ce que nous produisons en combinant ce labeur à la matière que nous avons acquis par la transformation de la terre précédemment inoccupée, ou par transactions volontaires avec d’autres hommes. Parallèle à la propriété de notre corps est celle de notre esprit et de ce que nous produisons par lui. De ce droit découle le droit de conscience et le droit de libre-expression. Ces droits ne proviennent pas d’autres humains, ils sont le produit de notre propre humanité. Certains disent d’eux qu’ils nous proviennent de notre créateur, peu importe comment vous choisissez de l’appeler. Ce qui distingue vraiment un droit véritable d’un pseudo-droit est que l’exercice d’un véritable droit n’empêche pas les autres d’exercer leurs propres droits.

Ainsi, l’exercice de mon propre droit à la vie ne prévient à aucune autre personne le droit d’exercer le leur, ni aucun autre de leurs droits. Exercer mon droit de conscience ne lèse personne. Ma liberté d’expression, même si elle peut choquer certains, n’empêche personne d’exercer leurs propres droits, à moins que je n’essaie d’inciter d’autres à les tuer ou violer leurs droits. Mon droit de conscience n’empêche personne d’exercer leurs droits et ainsi de suite.

Ce n’est pas le cas de pseudo-droits comme le droit à l’accès à l’internet, ou le droit à des soins de santé, etc. Ces droits ne sont pas des droits. L’accès à l’internet est un service qui doit être produit par quelqu’un. Les soins de santé sont également un service qui doit être produit par quelqu’un. De réclamer un droit sur ces service signifie que vous désirez vous approprier ce service gratuitement, ou à un prix que le fournisseur de ce service n’accepterait pas volontairement. En d’autres mots, c’est s’approprier ce bien ou service par la coercition. Ce genre d’appropriation du labeur d’autrui ou du fruit de ce labeur n’est autre chose qu’un vol déguisé. C’est forcer quelqu’un à vous fournir quelque chose sans en payer le juste prix. Réclamer un droit à des soins de santé gratuits ou à une connexion internet gratuite équivaut à forcer autrui de payer pour ce service à votre place, que ce soit le fournisseur du service lui-même, ou les contribuables par le biais de la taxation et l’impôt. Est-il besoin de souligner que ces soi-disant droits, sont des violations des droits d’autrui? Je me demande qui peut moralement sanctionner cela?

Non, l’accès à l’internet n’est pas un droit. Pas plus que le droit à des services de santé, le droit à de l’eau potable, le droit à un emploi (le droit de travailler, oui, mais personne n’est obligé de vous engager) ou tant qu’à y être, le droit à des vacances payées par autrui, ou le droit d’avoir du filet-mignon une fois par semaine. Ce sont des biens et services qui se paient et non des droits que les non-méritants peuvent réclamer de ceux qui les produisent.

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Classé dans Actualité, Philippe David

Le terroriste nigérien Abdulmutallab prend le vol 253 de Northwest sans passeport; fiché dans la base de données sur le terrorisme

Le dernier épisode de terrorisme Hollywoodien vient tout juste de se produire et déjà les critiques sont sévères. C’est que le scénario, les effets spéciaux et la mise en scène comportent de sérieux manques et contradictions. Voyons voir ensemble. L’histoire officielle va ainsi: un étudiant nigérien de 23 ans, Umar Farouk Abdulmutallab, a tenté de détoner une bombe à bord du vol 253 de Northwest, en partance d’Amsterdam vers Détroit, et ce, la journée de Noël même. Heureusement, l’engin explosif n’a pas bien fonctionné. Le feu ainsi causé ainsi que l’homme furent rapidement maitrisés.

Al Qaïda aurait revendiqué l’attentat terroriste, en revanche des attaques américaines sur le Yémen la semaine auparavant. Les États-Unis ont accusé Abdulmutallab d’être lié à une cellule d’Al Qaïda située au Yémen et en Arabie Saoudite. Vous vous rappelez quand on nous disait qu’Al Qaïda était en Afghanistan? Nous avons ensuite envahit. Et la fois où on nous disait que l’Irak était devenu la nouvelle base d’Al Qaïda? Nous avons aussi envahit le pays. Que pensez-vous que nous risquons de voir se produire si Obama et les médias clament que le Yémen et l’Arabie Saoudite sont la nouvelle demeure du célèbre groupe terroriste crée à l’origine par la CIA?

Alors quel est le problème avec cette histoire? À peu près tout. À mesure que les informations font surface, ces dernières tendent à indiquer qu’il y a eu un échec retentissant du renseignement américain et un grave manque à la sécurité. Encore une fois, à la suite des attentats du 11 septembre 2001, le gouvernement et les médias déblatèrent en nous expliquant que tous ces extraordinaires manques sont le produit d’une simple négligence ou un échec de faire les liens nécessaires. Mais qu’en est-il réellement?

Nous pourrions commencer par demander comment Umar Farouk Abdulmutallab a pu être capable de monter à bord de l’avion qui partait d’Amsterdam vers Détroit sans passeport. Nous savons tous que le profilage ethnique existe, surtout envers les musulmans. Particulièrement depuis le 11 septembre 2001 et la subséquente guerre contre le terrorisme. Imaginez maintenant un jeune homme provenant d’un pays musulman voyageant seul et sans bagage, avec un billet allez simple en direction des États-Unis et sans passeport. Imaginez en plus de cela que le nom de cet homme soit fiché dans la banque de données sur le terrorisme des États-Unis depuis deux ans. Cet homme, qui représente exactement Abdulmutallab, ressemble à une alerte générale ambulante qui clignote rouge lorsqu’il entre dans un aéroport et tente de prendre l’avion en direction des États-Unis. C’est la raison d’avoir mis en place le Homeland Security à la suite des attaques du 9/11. On y a investi des milliards de dollars et transformé le pays en État policier depuis; coupé massivement dans les droits et libertés ainsi que le droit à la vie privée.

Et pour quel résultat?

Celui qu’un apprenti-terroriste ait pu monter sur un avion sans passeport, alors qu’il était sur la liste du terrorisme des États-Unis, tout cela en transportant joyeusement des explosifs attachés à sa jambe (ou ses sous-vêtements, si les médias et les autorités peuvent se brancher sur leur version officielle, qui elle, ne cesse de changer!), alors que l’aéroport d’Amsterdam utilise déjà ces super-scanners « on-vous-voit-complètement-à-poil » dont on parle tant de ces jours-ci dans les médias. Dire que le Canada planifie nous installer des douzaines de ces charmants super-scanner XXX pour assurer notre sécurité et celle de nos enfants, que Abdulmutallab a pu si habilement déjoué. Ou était-ce bien lui… Nous avons appris que la sécurité de cet aéroport était assurée par ICTS, la même et identique compagnie israélienne qui était responsable de la sécurité à tous et chacun des aéroports desquels les terroristes du 9/11 sont partis, apparemment en déjouant la sécurité là encore. Pensez-y.

Et qui est cet homme d’apparente nationalité indienne « habillé de façon élégante » et qui a convaincu le personnel à la porte de sécurité de laisser passer Umar Farouk Abdulmutallab sans passeport? Plus précisément, quelle position cet homme possédait-il pour que le personnel de l’aéroport accède à ses souhaits?

Le journal britannique The Telegraph, ne citant aucune source, nous dit que les explosifs étaient du même type que ceux que Richard Reid a utilisé, soit du PETN, l’homme au soulier qui a fait que depuis, nous sommes parfois obligés de retirer nos chaussures au contrôle de sécurité à l’aéroport. Si tel est le cas, comment se fait-il que nous n’ayons pas de dispositif mis au point depuis pour détecter ce type d’explosif? D’ailleurs, d’où provient ce PETN, un explosif militaire? La compagnie de sécurité qui a laissé Reid monter à bord du vol 63 de American Airlines était encore une fois ICTS (International Consultants on Targeted Security). Les directeurs de ICTS sont tous d’anciens officiels israéliens de la sécurité.

C’est largement ICTS qui a développé les procédures de « profilage » des passagers utilisés à Schiphol, Amsterdam et ailleurs à travers le monde à travers une de ses branches, ICTS Holland Products BV. ICTS a précédemment été lié à de l’espionnage israélien contre les États-Unis. ICTS International est basé à Amstelveen, en Hollande et assure une présence majeure dans la sécurité de plusieurs aéroports du monde, avec des contrats à Hong Kong, Bangkok, Suva, Auckland, Singapour, Macao, Chicago O’Hare, Londres Gatwick, Newark, Los Angeles, et Belfast. En 1999, l ‘aéroport Détroit, a brusquement annulé leur contrat de sécurité avec Argenbright Security Inc et les ont remplacé avec Huntleigh of St-Louis. Huntleigh a récemment été racheté par ICTS.

Revenons donc à Abdulmutallab: comment a-t-il pu monter à bord d’un avion en direction de Détroit? Son nom figurait sur la liste noire du terrorisme des États-Unis après que son propre père ait averti des officiels hauts placés du Département d’État qu’il était inquiet à propos des croyances radicales et des connexions que son fils partageait avec des extrémistes. Si son père avait été un plombier, pas certain que cela aurait laissé eu un grand impact. Mais la réalité est que son père,  Dr. Umaru Mutalla, est un ancien directeur d’une importante banque nigérienne, un ministre, tête de l’industrie nationale de l’armement, un proche associé de l’ambassadeur américain et une des personnes la plus riche du monde. Il s’est donc fort probablement directement adressé à l’ambassadeur lui-même, en place à Abjua, Nigeria. Il est aussi confirmé que Mutallaha a rencontré le chef de la station de la CIA de son pays.

Umaru Mutalla a ainsi donc mené l’industrie nationales de l’armement (DICON) en partenariat avec Israël et particulièrement le Mossad. Il était en contact avec eux quotidiennement. Ils dirigent presque tout au Nigéria, de la production d’armement en passant par le contre-terrorisme. La piste ne s’arrête pas là. Notre ami Abdulmutallab est passé au Yémen pour rencontrer quelques copains à la tête de la cellule Al Qaïda que Bush avait libéré de Guantanamo et remis à l’Arabie Saoudite en 2007. Il est rapporté par SITE Intelligence Group que des groupes se disant être de l’Al Qaïda au Yémen, que l’attaque contre le vol vers Détroit était en réponse des attaques militaires américaines sur leurs bases dans ce pays. Mais le gouvernement du Yémen, tel que rapporté par BBC, soutient que les terroristes Al Qaïda, mené par ceux relâchés par Bush, sont en fait des agents israéliens. Le président yéménite, Ali Abdullah Sale, a déclaré que les forces de sécurité ont arrêté un groupe de militants dit musulmans, liés au service secret israélien. (Source)

SITE Intelligence Group est géré par une « ancienne » membre des Forces de la défense israélienne, Rita Katz, qui a un long passé de propagande favorable à l’agenda israélien.

Al Qaïda n’existe pas vraiment, selon la BBC. En réalité, ce groupe existe peut-être, mais il n’est pas ce que nous sommes induit à en penser, et surtout, pas dirigé et financé par ceux qu’on pointe du doigt de la part des autorités et des médias.

Le plus qu’on lit sur ce dernier attentat terroriste, plus on sent que c’est du tout faux, du préfabriqué.

La débâcle pour couvrir cette histoire va en crescendo. Chaque nouveau mensonge crée de nouveaux problèmes et contradictions, requérant de nouveaux mensonges, qui créent de nouvelles contradictions, etc. Plus on apprend au sujet du terroriste islamique Umar Farouk Abdulmutallab, plus l’absurdité de cette entière situation nous crève les yeux parce que non seulement cet incident aurait-il pu être prévenu, mais aussi parce que chacune des agences et autorité impliquées se sont comportées avec la plus complète incompétence.

Et pour palier à tout cela, on nous dit qu’il va falloir augmenter la sécurité dans les aéroports, se soumettre à des fouilles à nu virtuelles, faire du profilage ethnique à fond, attendre en file des heures, le temps de nous créer de nouveau une illusion de sécurité et de nous faire frire aux rayons X potentiellement mutagènes et cancérigènes.

François Marginean

Image par Nomad Photography

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