Oyé oyé! Conférence à ne pas manquer: S’adapter au nouvel ordre mondial!

capitalism

Attention, attention, la grande coterie se rencontre. Les pharaons en cravates se rencontrent, les grands esprits se retrouvent.
Tout d’abord, à Athènes, certains des plus importants hommes d’affaires et politiciens de la planète se sont rencontrés pour tenir leur rencontre annuelle secrète avec le groupe des Bilderberg, sous un contrôle de sécurité très étroit. Le luxueux hôtel, le Astir Palace, était protégé par des douzaines de policiers qui avaient pour mission de garder à l’écart la presse et le public, rapporte un journaliste de AFP.

Ensuite, le Sunday Times nous apprend qu’un club de milliardaires de l’Amérique s’était réuni pour discuter de leurs lourds soucis concernant la menace désastreuse environnementale, sociale et industrielle. Parmi les soucis les plus importants à émerger de cette rencontre est la surpopulation de la planète, ainsi que des différents moyens pour parvenir à la contrôler et la réduire. Dépopulation mondiale. Ils se sont eux aussi rencontrés en privé, à l’abri des regards indiscrets, « pour considérer comment leurs fortunes pouvaient être utilisées pour ralentir la croissance de la population mondiale et accélérer les améliorations en santé et en éducation. Les philanthropes qui ont assisté au sommet organisé par l’initiative de Bill Gates, le co-fondateur de Microsoft, ont discutés de joindre leur force pour vaincre les obstacles politiques et religieux qui s’opposent au changement. »

Ce club nommé le « Good Club » par un « insider » inclue David Rockefeller Jr, le patriarche de la dynastie la plus fortuné de l’Amérique, Warren Buffett et George Soros, des financiers, Michael Bloomberg, le maire de New York, et des dirigeants de grands médias, tels que Ted Turner et Oprah Winfrey.

Mais nous ne seront pas en reste. À Montréal va se tenir une conférence du 8 au 11 juin 2009, à l’Hôtel Hilton Montréal Bonaventure, intitullée: S’adapter au nouvel ordre mondial. Le tout se passe dans le cadre de la 15e conférence annuelle du Forum économique international des Amériques. Ça va être fantastique, amener vos enfants et des sandwichs. Parmi les fiers commanditaires de cet évènement, on retrouve Power Corporation du Canada du clan Desmarais, La Banque Royale du Canada, Rio Tinto Alcan, Génome Québec, GDF Suez, la Société générale de financement du Québec, Exportation et développement Canada (EDC), VIA Rail Canada, la Banque de développement du Canada (BDC),  Investissement Québec, la firme d’avocats Fraser Milner Casgrain, Deloitte, SNC Lavalin, le CRDI et la CSST, le HEC Montréal, La Presse, le National Post, le gouvernement du Québec et du Canada ainsi que de quelques banques internationales.

Au programme:

S’ADAPTER AU NOUVEL ORDRE MONDIAL

Nous traversons actuellement une période de crise économique et financière planétaire qui instaurera un nouvel ordre mondial. Les leaders internationaux et gouvernementaux, chefs d’État, gens d’affaires, universitaires, membres de syndicats et représentants de la société civile doivent se réunir et repenser leurs stratégies. Le moment est venu de développer des solutions multidisciplinaires innovatrices qui nous permettront de faire face aux nombreux défis que représente ce monde multipolaire et en améliorer l’état.


LES GRANDS THÈMES DES QUATRE JOURNÉES DU FORUM :

Lundi 8 juin 2009 : économie et gouvernance

Mardi 9 juin 2009 : Journée du millénaire : développement durable, santé et énergie

Mercredi 10 juin 2009 : le commerce international et les Amériques

Jeudi 11 juin 2009 : finance internationale

Vous aurez la chance, vous et vos enfants, d’entendre des somptueux invités spéciaux, tels que Madeleine ALBRIGHT, ancienne secrétaire d’État des États-Unis; Mark CARNEY, gouverneur de la Banque du Canada; Stockwell DAY, ministre du Commerce international et ministre de la porte d’entrée de l’Asie Pacifique, Robert B. ZOELLICK, président, Groupe de la Banque mondiale; Paul Desmarais, président du conseil et co-chef de la direction, Power Corporation du Canada; L’honorable Pierre S. Pettigrew, conseiller de la direction, Deloitte et ex-ministre des Affaires étrangères et du Commerce international (Canada); Michael Wilson, ambassadeur du Canada aux États-Unis et plusieurs autres superbes personnages.

Alors, régalez-vous, il y en a pour tout le monde. Les prix vont de $400 par personne pour la moitié d’une journée à $1600 pour les 4 jours. Les tarifs exécutifs varient de  $1 150 à $2 850. Une aubaine.

Si c’est cela que ça prend pour s’adapter au nouvel ordre mondial, et bien moi, je n’hésite pas. On se retrouve là-bas!

À bientôt!

François Marginean

59 Commentaires

Classé dans Actualité, François Marginean

59 réponses à “Oyé oyé! Conférence à ne pas manquer: S’adapter au nouvel ordre mondial!

  1. Alain B.

    Eux aussi cherche la lumiere et ils ont trouvé, mais chez le porteur de lumiere,je parle de l’élite.
    Je parle en parabole pour ceux qui peuvent en comprendre le sens…

  2. koval

    Bon écoutez, c’est tant pis pour vous, en nous traitant de nonos ignorants parce que nous ne voyons pas le monde via votre lorgnette, vous allez faire dans le ptits consensus plate et votre site sera sans discussions intéressantes. Ce n’est pas à moi que ça va faire de la peine….

    Ciao! Je vais me taper du cinéma payé par le grand Capital d’Hollywood….

  3. @koval,
    Attention! C’est peut-être le film qui vous regarde 🙂

  4. koval

    @gaetanpelletier

    C’était un film de complot en plus….

  5. mike

    j’aimerais passer le message qu’au québec il existe aussi une organisation , qui controle les accidents du travails ,donc beaucoup de milliards notre argents à tous..!!

    avez vous envis de dénoncer ceci ? contacter moi ça prend un recourt collectif contre ce système qui mérite une enquête publique ,.
    Avez vous remarqué que beaucoup de scandales éclates?..

  6. Fern

    Voici des articles très intéressants et qui font réfléchir:

    mondexplor.blogspot.com/2009/01/vers-2012-message-du-milieu-maya.html

    suntzu.vox.com/library/post/vid%C3%A9os-dutilit%C3%A9-publique.html

  7. –MISE À JOUR–

    Voici deux trucs intéressants pour en savoir plus sur cette conférence de Montréal et sur l’autre meeting des Bilderberg qui a eu lieu en Grèce.

    The Bilderberg Plan for 2009: Remaking the Global Political Economy
    – by Andrew G. Marshall – 2009-05-26

    The Obama administration was heavily represented at this years Bilderberg meeting. Among the attendees were:

    -Keith B. Alexander, a Lieutenant General of U.S. Army and Director of the National Security Agency, the massive spying agency of the United States;

    -Timothy Geithner, US Treasury Secretary and former President of the Federal Reserve Bank of New York;

    -Richard Holbrooke, the Obama administration’s special envoy for Afghanistan and Pakistan;

    -General James Jones, United States National Security Advisor;

    -Henry Kissinger, Obama’s special envoy to Russia, longtime Bilderberg member and former Secretary of State and National Security Advisor;

    -Dennis Ross, special advisor for the Persian Gulf and Southwest Asia to Secretary of State Hillary Clinton;

    -David Patraeus, Commander of CENTCOM, (U.S. Central Command, in the Middle East),

    -Lawrence Summers, Director of the White House’s National Economic Council, former Treasury Secretary in the Clinton administration, former President of Harvard University, former Chief Economist of the World Bank;

    -Paul Volcker, former Governor of the Federal Reserve System and Chair of Obama’s Economic Recovery Advisory Board;

    -Robert Zoellick, former Chairman of Goldman Sachs and current President of the World Bank;[30] and Deputy Secretary of State James Steinberg.

    Private Bankers

    As usual, the list of attendees was also replete with names representing the largest banks in the world. Among them, David Rockefeller, former CEO and Chairman of Chase Manhattan, now JP Morgan Chase, of which he was, until recently, Chairman of the International Advisory Board; and still sits as Honourary Chairman of the Council on Foreign Relations, Chairman of the Board of the Americas Society and Council of the Americas, Honourary Chairman of the Trilateral Commission, which he founded alongside Zbigniew Brzezinski; also a founding member of the Bilderberg Group, prominent philanthropist and is the current patriarch of one of the world’s richest and most powerful banking dynasties.

    Canadian bankers include W. Edmund Clark, President and CEO of TD Bank Financial Group, also a member of the board of directors of the C.D. Howe Institute, a prominent Canadian think tank; Frank McKenna, Deputy Chairman of TD Bank Financial Group, former Canadian Ambassador to the United States, former Premier of New Brunswick; and Indira Samarasekera, President of the University of Alberta, who is also on the board of Scotiabank, one of Canada’s largest banks.

    Central Bankers

    Of course, among the notable members of the Bilderberg Group, are the world’s major central bankers. Among this years members are the Governor of the National Bank of Greece, Governor of the Bank of Italy, President of the European Investment Bank, James Wolfensohn, former President of the World Bank, and Nout Wellink, on the board of the Bank for International Settlements (BIS).[28] Jean-Claude Trichet, the President of the European Central Bank was also present.

    Other Notable Names

    Among many others present at the meeting are Viscount Étienne Davignon, former Vice President of the European Commission, and Honourary Chairman of the Bilderberg Group; Francisco Pinto Balsemão, former Prime Minister of Portugal; Franco Bernabè, CEO of Telecom Italia and Vice Chairman of Rothschild Europe; Carl Bildt, former Prime Minister of Sweden; Kenneth Clarke, Shadow Business Secretary in the UK; Richard Dearlove, former head of Britain’s Secret Intelligence Services (MI6); Donald Graham, CEO of the Washington Post Company; Jaap De Hoop Scheffer, Secretary-General of NATO; John Kerr, member of the British House of Lords and Deputy Chairman of Royal Dutch Shell; Jessica Matthews, President of the Carnegie Endowment for International Peace; Richard Perle of the American Enterprise Institute; Romano Prodi, former Italian Prime Minister; J. Robert S. Prichard, CEO of Torstar Corporation and President Emeritus of the University of Toronto; Peter Sutherland, former Director General of the General Agreement on Tariffs and Trade (GATT), first Director General of the World Trade Organization (WTO), and is currently Chairman of British Petroleum (BP) and Goldman Sachs International as well as being a board member of the Royal Bank of Scotland, Chairman of the Trilateral Commission, Vice Chairman of the European Roundtable of Industrialists, and longtime Bilderberg member; Peter Thiel, on the board of directors of Facebook; Jeroen van der Veer, CEO of Royal Dutch Shell; Martin Wolf, Associate Editor and Chief Economics Commentator of the Financial Times newspaper; and Fareed Zakaria, US journalist and board member of the Council on Foreign Relations.[32] There were also some reports that this years meeting would include Google CEO Eric Schmidt, as well as Wall Street Journal Editor Paul Gigot,[33] both of whom attended last years meeting.

    Conclusion

    Clearly, it was the prerogative of this year’s Bilderberg meeting to exploit the global financial crisis as much as possible to reach goals they have been striving toward for many years. These include the creation of a Global Treasury Department, likely in conjunction with or embodied in the same institution as a Global Central Bank, both of which seem to be in the process of being incorporated into the IMF.

    Naturally, Bilderberg meetings serve the interests of the people and organizations that are represented there. Due to the large amount of representatives from the Obama administration that were present, US policies revolving around the financial crisis are likely to have emerged from and serve the interests of the Bilderberg Group. Given the heavy representation of Obama’s foreign policy establishment at the Bilderberg meeting, it seemed surprising to not have received any more information regarding US foreign policy from this year’s meeting, perhaps having to do with Pakistan and Afghanistan.

    APPENDIX 1: Bilderberg Connections to the Billionaire’s Meeting

    APPENDIX 2: Creating a Central Bank of the World

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    ASSOCIATION POUR LA TAXATION DES TRANSACTIONS FINANCIÈRES ET POUR L’ACTION CITOYENNE

    Avis aux médias – 8 juin 2009
    Conférence de Montréal : le refus de s’adapter attac Québec

    Sur le Web : http://www.quebec.attac.org/article.php3?id_article=542

    Lettre ouverte signée par le collectif d’auteurs suivant :
    Robert Jasmin, Claude Vaillancourt (ATTAC-Québec), Omar Aktouf, Normand Baillargeon, Maude Barlow (Conseil des Canadiens), Roméo Bouchard (Coalition pour un Québec des régions), Gaétan Châteauneuf (Conseil central du Montréal métropolitain – CSN), Paul Cliche (Coalition pour un Québec des régions, section montréalaise), Éric Darier (Greenpeace), Gilles Dostaler, Jacques B. Gélinas, Lorraine Guay (Collectif D’abord solidaires), Michel Lambert (Alternatives), Maria-Luisa Monreal (AQOCI), Sylvie Paquerot, Christian Pépin (ASSÉ), Dominique Peschard (Ligue des droits et libertés), Éric Pineault, Jean-Marc Piotte, Marie-Claude Prémont, Cécile Sabourin (FQPPU), François Saillant (FRAPRU), Laure Waridel, Comité pour les droits humains en Amérique latine (CDHAL)

    Comme à chaque année, le Forum économique international des Amériques organise la Conférence de Montréal qui rassemble certains des plus importants décideurs au monde. Grands banquiers, gens d’affaires, dirigeants d’institutions financières internationales, politiciens se rencontrent pour discuter du sort de l’humanité, comme ils l’ont fait quelques mois auparavant au Forum économique de Davos. Cette année, la Conférence revêt une importance particulière. Ces personnalités réunies à Montréal ont mis en place et soutenu le système financier et économique qui s’est effondré depuis la crise des subprimes, symptôme d’une faillite beaucoup plus large : les crises alimentaire, environnementale, énergétique et sociale qui se succèdent et s’emboîtent montrent bien que l’économie s’appuie aujourd’hui sur des fondements qui ne tiennent plus.

    Le titre de la Conférence de cette année est prometteur : « s’adapter au nouvel ordre mondial ». Les conférenciers invités feront-ils leur mea culpa et proposeront-ils de relancer l’économie du monde sur de nouvelles bases ? Un examen attentif du programme montre que très peu d’idées nouvelles seront mises en jeu et que les solutions face à la crise, dont les organisateurs de l’événement reconnaissent les effets, risquent de se résumer à une relance des politiques qui l’ont créée.

    Libre-échange et exploitation des ressources naturelles

    Ainsi, le commerce international est considéré une fois de plus sous l’angle unique du libre-échange. Les participants entendront parler d’« occasions d’affaires », de compétitivité, de partenariats public-privé à l’échelle internationale, même si ces derniers se sont montrés inefficaces dans la quasi totalité des cas. Les accords de libre-échange sont des outils de déréglementation : est-ce vraiment ce qui convient en temps de crise, alors que cette déréglementation a justement provoqué les faillites et abus pour lesquels il faut aujourd’hui payer ? Rien ne laisse entendre que ces accords seront abordés avec une approche nouvelle qui prioriserait la coopération entre les pays, le respect des droits humains, l’équité, la protection de l’environnement.

    La présence d’Alvaro Uribe Vélez, président de la Colombie et de Catherine Ashton, commissaire au commerce de l’Union européenne, montre bien la volonté de promouvoir deux accords de libre-échange, l’un entre le Canada et la Colombie et l’autre entre le Canada et l’Union européenne. Le premier, en processus de ratification, soulève une vive opposition. Il favorise surtout les intérêts de minières canadiennes, peu préoccupées du respect de l’environnement et des normes du travail. Il se conclut avec un pays où les droits humains sont gravement violés et où des syndicalistes et des défenseurs des droits humains se font régulièrement assassiner, sans que les coupables ne soient poursuivis.

    Le développement durable et l’énergie sont aussi au programme. On peut toutefois souligner le manque de distance critique avec lequel ces sujets seront abordés. Au lieu de choisir des spécialistes de l’environnement, la Conférence de Montréal préfère donner la parole à des intervenants qui sont à la fois juge et partie. Gérard Mestrallet, PDG de GDF Suez, une firme qui table grandement sur l’exploitation de l’énergie nucléaire et du gaz naturel, donnera une conférence intitulée « Énergie et développement durable : où en sommes-nous ? » Jeffrey Immelt, PDG de General Electric, fabriquant de moteurs d’avion, d’équipements pétroliers et gaziers, d’appareils électro-ménagers, abordera la question de l’innovation et du développement durable. La compagnie Rio Tinto, l’un des plus grands groupes miniers au monde (aluminium, or, cuivre, charbon, diamant, fer) remettra quant à elle le prix Rio Tinto de la durabilité !

    Et la démocratie ?

    La Conférence de Montréal de juin 2009 ferme les yeux sur le nouvel ordre mondial et sur la crise que nous traversons. Aucune proposition forte ou nouvelle n’émerge du programme préliminaire : on ne trouve aucune réflexion sur l’activité irresponsable des banques, la limitation de la spéculation, la stabilisation de l’économie. Rien pour combattre la pauvreté, pour contrer les inégalités (ces deux mots sont d’ailleurs absents du programme). Rien pour lancer un développement véritablement basé sur les énergies renouvelables et sur une consommation beaucoup plus responsable de l’énergie, des ressources naturelles et de l’eau.

    Dans le confort de l’Hôtel Hilton de la place Bonaventure, les Paul Desmarais, organisateur de l’événement, Dominique Strauss-Kahn, directeur de Fonds monétaire international, Robert B. Zoellick, président de la Banque mondiale, Madeleine Albright, ex-secrétaire d’État des États-Unis et consorts continueront de réfléchir en vase clos au maintien des intérêts des grandes corporations, sans tenir compte de l’effet de leurs décisions sur les populations. Cette conférence ne donne en effet que très peu de place au débat contradictoire, aux intervenants dont les idées divergeraient de celles des patrons des multinationales. Et le coût d’inscription à la Conférence a de quoi décourager toute participation de ceux qui ne gagne pas de gros salaires.

    Pour leur part, les élus Jean Charest, Raymond Bachand, Lawrence Cannon serviront de présentateurs pour les grandes conférences, alors que les thèmes « développement durable, santé et énergie » et « le commerce international et les Amériques » seront abordés réciproquement en collaboration avec Rio Tinto et RBC marché des capitaux. Cette collusion entre le monde des affaires et les élus, qui exclut le reste de la société civile, est un recul pour la démocratie.

    Qui devra s’adapter au nouvel ordre mondial ? Au bénéfice de qui ? À l’occasion de la Conférence de Montréal, nous joignons les nombreuses voix dans le monde qui répondent que ce ne sont pas aux populations, et en particulier les plus pauvres, à s’adapter et à payer pour les méfaits et l’irresponsabilité des élites d’affaires et des gouvernements qui persistent à défendre une vision du monde et de l’économie insoutenable sur les plans sociaux, environnementaux et humains.

  8. Jo

    « Parmi les fiers commanditaires de cet évènement, on retrouve Power Corporation du Canada du clan Desmarais »

    J’ai toujours cru que le clan Desmarais faisait parti du Nouvel Ordre Mondial.

  9. Je suis en accord avec vous, sur le blog fromageplus j,ai voulu d’ébattre de ce que vous affirmez; resultat de la part de certains membres …des insultes sur mon manque de virgules dans le texte voila ce que le nouvel ordre mondial ,à a nous offrir des inconscients qui encombrent serieusement des sites comme celui-ci …

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