CANADA Inc. (et la taxation à mort pour votre sécurité)

Prenez le temps de bien analyser cette image:

Il existe un problème conceptuel d’envergure lorsqu’on parle du Canada, de l’économie, de ses lois, de son fonctionnement en général ainsi que la place que nous y occupons et le rôle que nous jouons dans cette machine.

L’image que vous voyez provient du site de la U.S. Securities and Exchange Commission (SEC).  Vous pouvez trouver cette page en cliquant ici. Ce que vous avez devant vous est la preuve ultime que le Canada n’est pas un pays, tel qu’exposé dans ce texte précédent: Le Canada, ce pseudo-pays; mais bien une compagnie privée enregistrée sur la SEC.

La Securities and Exchange Commission (SEC) est l’organisme fédéral américain de règlementation et de contrôle des marchés financiers. C’est en quelque sorte le «gendarme de la Bourse» américain. (Source)

La compagnie privée «CANADA» fonctionne alors comme une société privée qui échange et transige sur les marchés boursiers et est inscrite comme telle à la SEC. Les Canadiens et Canadiennes sont ainsi des actionnaires de cette société et sont soumis à ses stratus qui passent pour des «lois», à ses taxations et impôts, et au pouvoir de ce gouvernement de facto qu’est le Parlement impérial à Ottawa tant et aussi longtemps qu’ils acceptent de faire partie de cette «société».

Déjà plusieurs hommes et femmes libres ont décidé de quitter cette société, cette compagnie privée, pour retrouver leur souveraineté individuelle et se soustraire aux statuts et à la juridiction du Canada qui ne s’appliquent qu’aux membres consentants de cette société (privée). Voilà le remède.

Lorsque le gouvernement s’endette en empruntant de l’argent à des banquiers privés pour mener des guerres à l’étranger, pour donner de l’argent des fonds publics à des banques canadiennes privées, ou pour la dépenser de toute autre façon odieuse, il le fait en garantissant le remboursement sur votre dos, sur votre labeur et celui des futures générations.

Ces instruments de négociation financiers sont échangés sur la SEC et leur valeur est assurée par vous. Tant que vous faites partie de cette société, vous lui appartenez. C’est la signification du «Security» de la Securities and Exchange Commission.

Et on va vous taxer à mort – pour votre sécurité –

Le mois de décembre dernier, Umar Farouk Abdulmutallab a tenté de détoner une bombe à bord du vol 253 en partance d’Amsterdam vers Détroit. Nous savons maintenant qu’un agent des services du renseignement américain l’a mis à bord de ce vol volontairement, sans passeport et ce, même si l’aéroport d’Amsterdam était déjà munie de ces scanneurs corporels qu’Ottawa veut maintenant nous imposer partout dans les aéroports canadiens.

Donc, un dispositif de «sécurité» extrêmement couteux et inutile puisqu’il ne règlera pas le problème qui a fait en sorte que Abdulmutallab ait pu se retrouver sur le vol 253.

Mais le gouvernement persiste (et les terroristes gagnent) à nous dire qu’il va falloir augmenter la sécurité dans les aéroports, se soumettre à des fouilles à nu virtuelles, faire du profilage ethnique à fond, attendre en file des heures, le temps de nous créer de nouveau une illusion de sécurité et de nous faire frire aux rayons X potentiellement mutagènes et cancérigènes.

Qu’à cela ne tienne, l’imposition d’un État policier est plus important et on va vous refiler la facture, bien sûr. Nous finançons joyeusement notre propre descente en enfer. Et ça coute cher, vous savez.

Alors, Ottawa a annoncé la semaine passée que tous les voyageurs aériens étaient pour payer ces nouvelles mesures de sécurité (inutiles) que nous n’avons jamais demandées et qui ne seraient pas nécessaires si les services secrets américains n’avaient tout simplement pas laissé monter Abdulmutallab à bord du vol vers Détroit.

On a appris que le cout serait de 1,5 milliard de dollars dur les cinq prochaines années. Pour couvrir ces dépenses inutiles et liberticides, les voyageurs devront débourser $2,50 de plus pour un vol simple au Canada, $4,37 pour un vol intercontinental et $8,91 pour un vol international. Ces nouvelles taxes devraient entrer en vigueur le 1er avril si le Parlement les approuve.

Bien sûr, John Baird, le ministre des transports, a déclaré qu’il s’agissait de «frais d’utilisation et non pas d’une taxe». On a peur du mot, vous savez. Donc, ce n’est pas une taxe, c’est… une «taxe», quoi. Et elle va venir siphonner encore plus d’argent de nos poches, tuer un peu plus l’industrie du tourisme et affaiblir les compagnies aériennes qui sont déjà en mode survie.

Norm Payne, un consultant pour Uniglobe Travel explique que «si vous prenez un vol d’ici vers Londres ce soir, le prix du billet est de $764. Les taxes sont de $394. Si vous ajoutez un autre $8 ou $10 pour la taxe sur la sécurité, cela signifie que la moitié du prix du billet est en taxe».

Mais Baird insiste, ces nouvelles mesures viennent en réponse à l’attentat de Noël par Umar Farouk Abdulmutallab et sont qualifiées de «nécessaire pour assurer la sécurité des voyageurs».

En conclusion, toutes les raisons sont bonnes pour CANADA Inc. pour vous taxer à mort et vous imposer une quantité grandissante de «lois» (statuts) liberticides, parce que ce qui est bon pour cette société privée n’est pas votre bien commun, mais bien son propre profit personnel, à vos dépends.

François Marginean

45 Commentaires

Classé dans Actualité, François Marginean

45 réponses à “CANADA Inc. (et la taxation à mort pour votre sécurité)

  1. Messages re-publiés au bon endroit!

    Liquide1
    2 mars 2010 à 12:04

    Bravo !

    Beau travail de recherche

    et des couilles pour l’écrire et le publier

    Enfin …

    Auquel je répondais:

    François M.
    2 mars 2010 à 12:08

    Merci! 😉

  2. Plus ça va et plus nous nous rapprochons du scénario de « 1984 ». Je me demande ce que Orwell en penserait…

  3. Il doit « spinner » dans sa tombe lui!!!

  4. @François

    Le Canada, comme n’importe quel émetteur de titres obligataires, doit est inscrit à la SEC pour émettre des obligations sur les marchés financiers américains.

    Ça ne démontre en rien que le Canada est une compagnie privée; ça ne fait que prouver que le Canada émet des titres de dette sur les marchés américains…

    Cela lui permet d’abaisser sa charge d’intérêt puisque les taux sont souvent plus bas chez nos voisins du sud (surtout par les temps qui courent).

    Pas besoin de chercher si loin pour prouver que le Canada émet de la dette!

    Dans une société minarchiste, le gouvernement pourrait quand même émettre de la dette, pour financer les infrastructures à long terme nécessaires à ses fonctions régaliennes de base.

    Cependant, il ne pourrait le faire pour financer « l’épicerie », i.e. ses déficits reliés aux dépenses de programmes.

    Je suis néanmoins d’accord avec le reste du texte.

  5. Francis

    Je suis en accord avec « minarchiste »
    mon ami possède de bonne connaissance en valeur mobilière et il m’affirme la même chose. Si le Canada est inscrit dans ce système, c’est qu’il émet des obligations.

  6. @minarchiste

    Votre explication est bonne, mais n’invalide en rien ce que j’avance. Avez-vous remarqué que ce n’est pas écrit « Canada », mais bien « CANADA »? Cela a une lourde conséquence et signification.

    Selon les informations que j’ai, vous seriez même un « share owner » (mais pas « shareholder », en ce moment).

    Cette part de compagnie, nommée « security », est créé à votre naissance. C’est elle qui permet au gouvernement de garantir le paiement de ses dettes; c’est votre futur labeur (d’esclave?), la « ressource humaine ».

    Et elle vaudrait, selon les estimations, entre 8 et 12 millions de dollars. Où est ce papier physique qui atteste de cela? Bonne question. Demandez au ministre des finances, j’imagine. Le retrouver et en prendre possession, c’est redevenir « shareholder » et vous permet de toucher ces dividendes, quatre fois par année. Faites le calcul….

    Tant que c’est le gouvernement du CANADA qui en est le shareholder, IL touche les dividendes et en fait des transactions sur les marchés boursiers qui sont régulés par la SEC.

    Je vous mets au défi de me prouver que j’ai tort et je vous remets une prime de $100. (je ne suis pas riche, désolé!) J’imagine que la seule preuve du contraire, pourrait venir d’une explication formelle provenant du gouvernement du CANADA, en réponse à un affidavit, ou plutôt un Avis d’intention et de la compréhension et la revendication du droit.

    François Marginean

  7. @François

    Premièrement, le mot « security » veut simplement dire une « valeur mobilière ». Les valeurs mobilières sont essentiellement des obligations, débentures, actions ordinaires et privilégiées, les options, warrants et contrats à terme, et le papier commercial.

    Les seules valeurs mobilières émises par le gouvernement canadien sont des obligations; i.e. des titres de dette.

    Les intérêts ne sont pas perçus par le gouvernement du Canada, mais bien par les acheteurs de cette dette (quand on s’endette, on paie de l’intérêt, et non le contraire…).

    Ces obligations sont implicitement garanties par le pouvoir de taxation du gouvernement émetteur. En réalité, le gouvernement canadien n’a qu’à créer de la monnaie s’il n’en pas suffisamment pour payer ses dettes (ce que la Grèce ne peut plus faire http://minarchiste.wordpress.com/2010/01/13/la-grece-et-letalon-euro/).

    Le seul risque est donc l’effondrement du régime.

    Théoriquement, la valeur nette du gouvernement (i.e. ses actifs moins ses dettes) appartient aux citoyens à parts égales; tout comme l’avoir net d’une entreprise appartient à ses actionnaires à parts égales (par action). Donc, chaque citoyen a implicitement une « action » du gouvernement.

    Par contre, la comparaison s’arrête là car on ne peut pas transiger ces actions ni percevoir de dividendes (puisque le gouvernement ne fait pas de profit, il ne peut y avoir de dividendes).

    Si c’était le cas et que les actions du Canada se transigeaient à la bourse, nous pourrions voir les prix et les volumes, mais je ne trouve rien.

    http://finance.yahoo.com/lookup?s=canada

    Finalement, pour moi les mots shareholder et shareowner veulent dire la même chose; il s’agit du détenteur d’un titre de propriété.

    En somme, je dirais que c’est plutôt à vous de nous prouver votre affirmation. Vous n’avez aucune preuve de ce que vous avancez.

  8. Aimé Laliberté

    En droit, on ne peut être que personne physique ou personne morale.

    Il n’existe pas une troisième catégorie appelée  »état »,  »pays » ou  »gouvernement.

    Une personne physique est un individu, une personne morale est une compagnie, une entité ou toute autre  »fiction » juridique, comme un pays, un état, un gouvernement.

    Une fiction juridique est toute  »personne » dont on ne peut serrer la main (pour simplifier).

    Il n’y a pas que les pays qui soient des personnes morales, les divers ministères, syndicats, ministres etc le sont également. D’ailleurs plusieurs de ces institutions sont cotées par Dunn & Bradstreet.

    Quand le Syndicat des gardiens de prison analyse ses états financiers, il cherche aussi à augmenter ses revenus, comme n’importe quelle autre corporation. Il fait donc des pressions sur Ottawa pour resserer les critères de libération conditionelle et durcir les lois, pour avoir plus de détenus, plus de gardes, plus de cotisations syndicales, de meilleurs revenus et une meilleure cote de crédit chez Dunn & Bradstreet.

    La question n’est pas de savoir si les titres de Canada Inc. se négocient en Bourse. La réponse est non. La question est de savoir quel est le statut juridique d’un  »pays » ou d’un  »état » qui se livre à des opérations de COMMERCE comme l’émission d’instruments financiers.

    La réponse est que cet état est une corporation, une personne morale, simplement parce qu’elle n’est pas une personne physique, et que c’est soit l’un, soit l’autre.

    Il n’y a tout simplement pas de troisième option pour les pays, états, gouvernements, ministères etc…

  9. @Aimé Laliberté

    Ce que vous dîtes fait plus de sens. Les gouvernements sont des entreprises à but non lucratif (sans profit) et avec une multitude d’actionnaires (les citoyens).

    En passant, la seule raison pour laquelle une personne morale serait cotée par Dunn & Bradstreet, Moodys, S&P ou Fitch, est parce qu’elle veut émettre des titres de dette. C’est d’ailleurs la personne morale elle-même qui paie les honoraires de ces firmes en échange d’une cote de crédit.

  10. Aimé Laliberté

    J’afficherais le lien mais ça ne fonctionne pas. Recherchez US is a corporation ou UK is a corporation sur Youtube ou Google et vous allez trouver beaucoup de références des tribunaux américains et des statuts américains qui confirment, noir sur blanc, en toutes lettres, que les USA est une corporation.

    Plutôt que de dire que François n’a aucune preuve de ce qu’il avance, je dirais plutôt que vous n’avez aucune preuve que le Canada est autre chose qu’une personne morale, une corporation et que vous croyez tout simplement la version officielle de ceux qui occupent un gouvernement  »de facto » c.-à-d. avec une autorité apparente (la croyance populaire) mais non légitime ( »de jure »).

    Si vous recherchez à l’époque ou le Canada a adopté le drapeau et l’hymne national, vous allez voir qu’au moins un député de la Chambre des Communes a soulevé le fait que le Canada n’avait pas de constitution (surtout après l’abrogation de l’Article 2 (le droit de succession des héritiers du Roi ou de la Reine)) par la Reine Victoria.

    Par la suite, en 1982, PET a fait un gros show pour rapatrier l’AANB au Canada, mais le Québec n’a jamais signé et, malgré tout, la Reine est toujours le chef d’état, du moins en apparence, et le Québec est toujours soumis à l’AANB de 1867.

    Donc, on voit bien que l’autorité n’est pas fondé sur un document que vous avez signé ou que votre représentant a signé. L’autorité est fondée sur l’apparence d’autorité, rien d’autre.

    Un homme ne peut juger un autre homme. L’homme est souverain, soumis uniquement à l’autorité de Dieu. Si vous ne comprenez pas cela, lisez la Bible version King James, le livre le plus lu de toute l’histoire de l’humanité et le plus important de tout le Commonwealth, selon le couronnement de la Reine Elizabeth. Le livre qui consitue la Loi royale que la reine a juré de faire respecter.

    Dans la Bible VKJ, la notion de personnes est centrale.

    Toute la Bible est une explication du monde fictif -vs- du monde réel. Comment les hommes qui ne savent pas la différence entre un homme et une personne sont transformés en esclaves. C’est un thème qui revient constamment, peu importe l’époque.

    Ceux d’entre vous qui croyez que le Canada est autre chose qu’une corporation, une fiction juridique, je vous soumets que vous n’avez jamais sérieusement réfléchi à cette question.

    Le Canada a le même statut juridique que les USA, soit celui d’une personne morale, d’une corporation.

  11. Aimé Laliberté

    Voici l’extrait pertinent de Bouvier (un des dictionnaires juridiques les plus utilisés pour les É-U) qui énonce clairement à la page 591 :

     »The United States of America are a corporation… »

  12. @Aimé Laliberté

    Wow! Relisez mes commentaires et vous verrez que je suis d’accord à l’égard du fait que le Canada est une personne morale.

    Ce que je désapprouve et demande des preuves est sur le fait que le gouvernement Canadien détient des actions sur nos têtes, que ces actions paient un dividende et qu’elles sont transigeables.

  13. À force de débattre sur le mot « security », on perd le sens général du texte.
    Ça ne change rien dans la pratique…
    Le Canada est un pays qui n’en est pas un.
    Le citoyen a une liberté qui n’en est pas une.
    La démocratie est une « gimmick » qui n’en est pas une.
    La reine et ses petits rejetons ne sont ni rois ni reine . ( Mais ils coûtent cher en titi! )
    Et le petit riche est un pauvre qui s’ignore.
    Il ne sait pas s’il est « shareholder » ou « shareowner », mais il voit bien son petit avoir baisser parce qu’on lui dit que … « ça va mal ».
    Ça va mal à cause de qui?
    Allez voir les banquiers.
    Ça pourrait s’intituler « La filière ».
    Quant aux mesures de sécurités exigées par nos voisins et « exportées » dans les G, nous payons tous le « malaise » étasunien.
    Voilà donc le petit canadien qui paye pour cette Rome décadente du 21ième siècle. Eux, les responsables d’une chute et qui s’agrippent partout comme des noyés sur un radeau.

    Vive la révolution! Dans le sens de tourner en rond…
    On fore notre trou!
    En se faisant forer.
    Tiens! Avec mes subtilités de politicien, j’ai fini par le dire en enlevant un U.

  14. Aimé Laliberté

    Minarchiste,

    En ce qui me concerne, je ne crois pas que le gouvernement du Canada ait des  »actions » sur nos têtes, ou que telles actions paient un dividende.

    On ne peut avoir une action dans une personne physique. L’esclavage est interdit, ce qui est permis, c’est la servitude volontaire.

    Ainsi, le gouvernement peut faire en sorte que la personne physique  »consente » à verser des fonds sous forme de droits, permis, taxes, impôts et amendes, ce qui est bien mieux que des dividendes.

    Par ailleurs, je ne crois pas être actionnaire du Canada. Si j’étais actionnaire, il y aurait un titre pour constater mes actions.

    Par contre, ce que certains prétendent c’est qu’il existe un compte au nom de votre personne et que ce compte contient des sommes réservés pour votre personne, mais que le gouvernement utilise ces sommes à ses fins. Je n’ai pas vérifié cet aspect.

    Certains prétendent que le certificat de naissance de chaque  »personne » est un instrument financier négocié sur les marchés financiers et que le numéro sur le certificat est unique et qu’on peut s’en servir pour vérifier la valeur du titre. Je n’ai pas vérifié cet aspect.

  15. @Minarchiste

    Je suis d’accord avec ce que vous me dites et je me suis peut-être mal exprimé. Nous sommes tous d’accords avec ce que vous décrivez, c’est de la connaissance publique et enseignée partout; je pense seulement que l’histoire va plus loin. Ce que je cherchais à vous dire personnellement, c’est ce que Aimé Laliberté décrit:

    « Par contre, ce que certains prétendent c’est qu’il existe un compte au nom de votre personne et que ce compte contient des sommes réservés pour votre personne, mais que le gouvernement utilise ces sommes à ses fins. »

    « Certains prétendent que le certificat de naissance de chaque »personne » est un instrument financier négocié sur les marchés financiers et que le numéro sur le certificat est unique et qu’on peut s’en servir pour vérifier la valeur du titre. »

    Je ne suis pas capable d’invalider ces propositions et selon mes recherches, je suis quasiment certain qu’elle sont véritable.

    Évidemment que cela n’est pas enseigné et crié sur les toits. Il faudrait un effort important et juridique qui obligerait les responsables de fournir la vérité. J’aimerais vraiment connaitre la vérité à ce sujet.

    Tant qu’on ne le vérifiera pas réellement, on en saura pas et ce que vous en pensez ne sera qu’une opinion. On peut dire que c’est une opinion que j’ai aussi, mais je la base sur des recherches et certaines évidences.

    Je ne peux encore le prouver, mais je ne peux prouver le contraire aussi, d’où mon concours de $100, pour s’amuser un peu. Je sais que vous êtes très connaissant et que vous aimez chercher, alors je me disais qu’on aurait pu tous collaborer et chercher la vérité à propos de celle-là, car si c’est vrai, nous sommes riches!

    Mais ce n’est qu’entre vous et moi. Mon but principal dans ce billet, et je serai bien heureux si c’est accomplit, c’est que les les gens réalisent que le CANADA est une corporation. Voilà la chose la plus importante pour le moment, étape par étape!

  16. Le « constat » technique d’un pays est qu’en réalité la somme de tout l’avoir d’un pays est partageable entre ses habitants.
    Peu importe le moyen technique.
    Ici, c’est que le moyen technique a fait verser dans les mains d’un groupe un pouvoir de transaction de nos avoirs dans les mains d’une élite qui boit nos sueurs et nous tient dans la pauvreté.
    Quand c’est en théorie répartie en égalité, on dit que c’est du communisme.
    Le capitalisme, lui, a haché le côté contrôlant ( visible) et l’a remplacé par une bonne et efficace propagande et le reste… Bien compliqué, mais efficace.

    C’est tout.
    Inutile de chercher sa montre à quatorze heures…
    ______
    Les chiens ont des médailles et les citoyens des numéros d’assurance-sociale.
    Sauf que le chien est bien élevé…

  17. Vous avez bien raison, Gaëtan. On sent tous qu’il y a quelque chose qui ne tourne vraiment pas rond dans tout ce système. Selon les chiffres de la Banque du Canada, nous avons perdu 96% de notre pouvoir d’achat en 100 ans.

    On se demande pourquoi la grande majorité des Premiers ministres sont des avocats et des juristes. Ils comprennent le système et son fonctionnement. Nous sommes la ressource humaine que la compagnie CANADA possède pour enrichir l’élite. Demandez vous après pourquoi ils cherchent tant à préserver l’ordre établi, le statu quo.

  18. Denis G

    Illusion d’une organisation de modernité financière, décadence d’une civilisation du commerce, stupide consensus électoral de la médiocrité acheté par la propagande des marchands voilà le mensonge de notre démocratie. Nous ne somme qu’un parc de ressourse humaine François, destiné à la productivité à l’efficace et au rentable, un troupeau docile au service de voleurs d’humanité.

    Aujourd’hui la réussite sociale ne se résume qu’à une seule valeur, l’argent. Valeur d’usage et valeur d’échange, matière première et travail humain, offre et demande, rendements et profits. Il est patent que l’argent est notre première valeur et il est implicite que nous croyons que c’est justement avec de l’argent que l’on peut obtenir les autres valeurs.
    Héritage du pharisaisme, le vice de la cupidité s’est transformé en vertu. Sous le credo de la mondialisation et en regard d’une unique valeur «l’économique», le marchand fait loi.
    Le panneau publicitaire a remplacé le drapeau, le « jingle«  a expulsé l’hymne national et le slogan éjecté la devise des nos pays. In Gold we Trust.

    Comme le déclarait le sophiste Protagoras  » En démocratie, c’est la majorité qui fait norme, qu’elle soit dans l’erreur ou dans la vérité ».

    L’illusion de démocratie que nous subissons astreint le  »politique » à deux fonctions: l’éducation et la gestion de ce parc de la ressource humaine qu’est notre civilisation, où la Cité s’est transformée en supermarché.

    Voici le nouvel ordre mondial; la Cupidité à son paroxysme, voici la Nouvelle Jérusalem.

  19. Aimé Laliberté

    La seule façon qu’un homme peut devenir une ressource humaine pour Canada inc., c’est en donnant son consentement.

    Proposition simple qui mérite réflexion.

    Combien de fois par jour, mois, année donnez-vous votre consentement à des offres de contracter qui vous sont transmises par Canada Inc., Québec Inc., la corporation municipale ou vous vivez, le ministère et l’agence de ci et de ça, etc… ??

  20. Ça, Denis, c’était un vrai cri du coeur, d’une âme attristée devant ce monde pourri. On le dénonce et l’expose. Il faut comprendre le problème pour pouvoir le régler. Maintenant, il faut passer à l’action au quotidien en donnant de l’expansion à notre humanité, à notre spiritualité et à notre puissant don de la créativité. Aimé Laliberté vise juste. Tout ce passe avec notre CONSENTEMENT implicite ou explicite. Il faut se sortir de cette torpeur.

    Ce qui compte, c’est qu’on prenne conscience qu’on nous a fait vivre un mensonge sur le véritable sens de la vie, qu’on nous a maintenu dans une prison mentale et qu’on a bêtement accepté d’y vivre.

    Acceptons nos erreurs et transcendons-les, maintenant, et allons plus loin que nous n’avons jamais été en tant qu’héritiers du plus beau cadeau: la vie et la possibilité d’en faire l’expérience, dans toute notre dimension humaine.

    Quand on réalise touts les choses que vous avez décrites, qu’on vit une illusion, ça me donne envie de connaitre ce qui est vrai et beau, de chasser les cauchemars.

    Mes amitiés,

    François Marginean

  21. Sébas

    @ Aimé Laliberté et François Marginean:

    Qu’arrive-t-il si un couple décide de ne pas « enregistrer » leurs enfants avec l’État débile… euh, l’État civil et l’assurance-maladie Étatique ?

    Décide de se marier et de ne pas enregistrer leur mariage avec l’État…

    Décide ne pas inscrire leurs enfants à l’école…

    Et que leurs enfants ne demandent pas de # d’assurance sociale ?

    Etc

    ***

    Si un « mouvement » de gens faisant tout ça… devenait populaire, qu’est-ce que l’État pourra faire pour l’arrêter ?

    😉

  22. Pour ma part, je pense qu’essentiellement, on accepte d’être responsable de soi-même et de sa destinée, d’être un individu souverain et libre.

    C’est un peu le choix entre se faire prendre en charge par autrui, lui donner son pouvoir en pensant que l’autorité réside à l’extérieur de soi, et assumer sa vie et ses responsabilités, ses choix en recouvrant son pouvoir en réalisant que la seule autorité réside à l’intérieur de soi. On n’a pas besoin de vivre en enfant sous la tutelle d’un parent, on peut décider de vivre en adulte mûr qui sait faire la part entre le vrai du faux, bon du mauvais, de la bonté et la méchanceté. On a besoin de se créer des lois, des forces de l’ordre, des gouvernements d’humains parce qu’on refuse d’écouter notre voix intérieure, divine, qui est comme l’instinct animal qui ne se trompe jamais, mais qui au niveau humain doit être développé en intuition devenue lucide sur ses conditions inhérentes de satisfaction véritable de soi, dont découle naturellement la joie de vivre. Ces valeurs de la vie sont biogénétiquement fondées. Il existe des valeurs immanentes à la vie, qui sont au-delà des morales et coutumes passagères selon les époques et les cultures. Ces valeurs immanentes définissent la sens de la vie.

    Nous avons le choix d’harmoniser nos désirs avec le sens de la vie et ses valeurs immanentes, ou pas. Mais nous n’avons pas le choix des conséquences, bien que nous en sommes responsables. La vie est implacable et la souffrance n’est qu’un signal d’alarme, bien salutaire d’ailleurs, que nous faisons fausse route. La joie de vivre est ce qui est ressenti lorsque nos choix, nos désirs sont harmonisés avec le sens de la vie. Cette notre pulsion spirituelle (à distinguer des religions) qui est ce radar et compas du monde intérieur, qui appelle vers le sens de la vie qui est l’évolution vers plus d’harmonie et de lucidité, plus de conscience et d’amour. Avec cela vient le vrai pouvoir, le pouvoir de l’amour.

    Alors pour répondre à votre dernière question:

    Si un « mouvement » de gens faisant tout ça… devenait populaire, qu’est-ce que l’État pourra faire pour l’arrêter ?

    RIEN!

    L’État, c’est nous! C’est une illusion, une fabrication! Il n’y a que des individus, des humains en chair et en os, et la vie! Si nous changeons individuellement, ou devrais-je dire, évoluons spirituellement dans le sens de la Vie, toute la réalité change!

    C’est pourquoi une révolution extérieure n’est pas la solution et est bien futile. Le pouvoir est à l’intérieur et nous avons tout ce dont nous avons besoin pour se gérer soi-même. Nous avons toutes les réponses nécessaires à l’intérieur. Il suffit d’écouter son coeur, son for intérieur, se connaitre soi-même, ses forces et faiblesses, d’en arriver à dégager cette voix de l’instinct qui devient un outil de guidage aussi précis qu’il puisse être au niveau humain, une intuition lucide des vraies conditions de satisfaction de nos désirs qui doivent être harmonisés et donc, de la joie de vivre. Alors la prochaine révolution sera intérieure et évolutive. Nous vivons une crise évolutive. Voilà tout. Une crise d’adolescence… dont on commence à en avoir marre, je le sens. On le sait tous qu’on est capables d’être et de faire beaucoup mieux que ça; que c’est une question de mauvaise volonté ou de peur.

    Nous avons perdu le sens de la vie collectivement parce que nous sommes perdus individuellement. Nous souffrons en tant que humanité. Il est temps qu’on se demande pourquoi et se mette en route. La solution n’est pas à l’extérieur, mais bien à l’intérieur. Voilà pourquoi nous faisons fausse route présentement. C’est dû à un paradigme de pensée qui est dépassé, archaïque et devenu inhumain. Il est temps de changer de paradigme, de se souvenir de qui nous sommes réellement et de redécouvrir encore une fois le sens profond de la vie.

    Mes amitiés,

    François Marginean

  23. @François,
    Le problème de la perte dudit pouvoir d’achat, si elle n’était qu’une perte pour le luxe serait … acceptable. Mais nous sommes rendus tellement au creux que cette « économie » rongée déstabilise complètement la structure sociale.
    C’est maintenant l’accès à l’essentiel qui risque de tout faire basculer. Et c’est la classe moyenne qui descend d’un cran. Du fait même, une création de pauvreté… Probablement une autre couche…
    À partir de là, le citoyen canadien, voit sa vie chambardée et la famille commence à être perçue comme une difficulté de plus.
    C’est la raison pour laquelle je m’insurge contre le fait qu’on étire les études universitaires sans raison et qu’il y a de moins en moins de souplesse dans le système pour qu’un citoyen migre vers un autre métier afin de s’adapter aux changements trop rapides. Et ce n’est pas fini…
    Pourquoi 4 ans d’université pour un prof de maternelle et 5 ans pour un médecin?
    Pourquoi les programmes sont-ils figés?
    Il y avait 2500 profs sans pédagogie l’an dernier. On les engage… Mais il n’y a pas de programme pour les faire s’inscrire dans une démarche à long terme.
    À croire que l’on encourage cette manière de faire qui permet de ne jamais les embaucher. Juste les garder sur le devant de la porte. En cas de besoin….
    Et quand on voit se pointer le célèbre rapport d’impôt, on décourage tout le monde.
    Tellement que j’encourage les gens à ne plus travailler pour engraisser une machine qui perd les pédales.
    ***
    « Nous avons perdu le sens de la vie collectivement parce que nous sommes perdus individuellement. Nous souffrons en tant que humanité. Il est temps qu’on se demande pourquoi et se mette en route. La solution n’est pas à l’extérieur, mais bien à l’intérieur. Voilà pourquoi nous faisons fausse route présentement. C’est dû à un paradigme de pensée qui est dépassé, archaïque et devenu inhumain. Il est temps de changer de paradigme, de se souvenir de qui nous sommes réellement et de redécouvrir encore une fois le sens profond de la vie. »
    ***
    On devrait enseigner ça dans les écoles: mais non, on parle d’argent… Mais on oublie les rapport entre les citoyens, les humains. En fait, on pense tout régler par une machine plutôt mal huilée.
    Scusez-là!
    🙂

  24. Sébas

    @ François Marginean:

    Je suis d’accord avec tout ce que vous dites, mais je trouve que ça manque d’exemples de solutions concrètes.

    Je connais bien votre discours, par contre… même si suis capable de parler comme vous (et parfois je le fais, car j’aime bien « m’envoler « philosophiquement ou spirituellement parlant), j’aime aussi vulgariser le « tout » et ramener ça à des démarches simples, concrètes et applicables dans nos vies de tous les jours.

    Par exemple, lorsque vous dites:

    C’est pourquoi une révolution extérieure n’est pas la solution et est bien futile. Le pouvoir est à l’intérieur et nous avons tout ce dont nous avons besoin pour se gérer soi-même.

    Je suis 100% d’accord…

    Et je rajouterais ensuite quelques exemples qui nous redonnent « ce pouvoir »

    Comme ne pas s’endetter: jamais SOUS AUCUN PRÉTEXTE.
    etc
    Par des solutions concrètes de ce genre, les bienfaits sont immenses et touchent pas seulement à nos vies matérielles. Elles peuvent justement nous permettre d’avoir du TEMPS pour méditer/prier pour -justement- « aller à l’intérieur de nous »…

    Nos ancêtres vivaient 100x que nous parce que pour eux, une dette = un esclavage

    J’arrête là, pour l’instat

  25. Sébas

    @ gaetanpelletier:

    « On devrait enseigner ça dans les écoles »

    Oh, tant d’énergies perdues à décrire les problèmes du « système »… alors qu’elles pourraient justement être utilisées pour s’instruire nous-même ou nos enfants… bâtir nos propres écoles NON-étatiques… etc.

    Nous pouvons aussi partir nos propres entreprises où -justement- nous ferons tout pour que ces diplômes ÉTATIQUES soient dévalorisés ou que les divers corporatismes envahissants soient contournés et que les vrais connaissances/expériences/aptitudes soient reconnues…

    Avez-vous des solutions ? Des solutions ? D’autres solutions? Encore des solutions ? Où sont donc les solutions ? Existent-elles? Est-ce déjà trop tard pour les appliquer ?

    🙂

  26. Sébas,
    Des solutions?
    Il y a une région pas très loin qui a décidé de se prendre en main et de ne pas attendre « l’action » du gouvernement… comme il est d’habitude.
    Je pense sincèrement que des groupes vont se prendre en main. Quand ils seront forcés de … Rendus à la limite de…
    Séparation par petites communautés…
    Et pour les dettes, nous n’en avons jamais eues. Sauf une maison, payée en 12 ans…
    Dette= esclavage
    Mais la « machine » vous vend l’idée que vous êtes riche et que vous pouvez consommer. Sorte de « va-de-soi ».
    Bonne journée!

  27. Aimé Laliberté

    @Sebas…
    Qu’arrive-t-il si un couple décide de ne pas « enregistrer » leurs enfants avec l’État débile… euh, l’État civil et l’assurance-maladie Étatique ?
    Décide de se marier et de ne pas enregistrer leur mariage avec l’État…Décide ne pas inscrire leurs enfants à l’école…Et que leurs enfants ne demandent pas de # d’assurance sociale ? Etc.

    Je ne donne aucun conseil juridique ou autre à quiconque, mais je vais tenter de répondre à tes questions.

    Le principe, c’est qu’une personne est soumise aux lois (statuts). Un homme qui sait qui il est n’a pas besoin de statuts pour le gouverner, il peut se gouverner soi-même. Par contre, pour en arriver là, il faut faire certaines démarches, y compris modifier son statut par rapport à  »sa » personne.

    Tes questions visent l’obligation qu’a la personne de s’inscrire ici et là et de faire diverses choses, comme envoyer son enfant à l’école.

    Les personnes sont soumises aux statuts, donc ce n’est pas une bonne idée de ne pas respecter les obligations légales imposées aux personnes, SURTOUT si l’on croit être une personne, ou qu’on s’est porté caution de  »sa » personne, ce qui est le cas de 99 % et + des gens. .

    Il existe une solution, mais pas celle que vous pensez. Ce n’est pas un village caché dans la forêt, ni un nouveau système politique, ou quoique ce soit du genre.

    La solution est individuelle et elle implique que vous établissiez que vous êtes un homme et que vous preniez le contrôle de  »votre » personne.

    Je suis surpris qu’aucun d’entre vous ne faites des recherches dans ce sens. Voici quelques mots clés pour vous aider: Strawman; Person; Maxims in Commerce; Sovereign; Lawful -vs- Legal; PPSA; UCC.

    Si vous voulez lire un excellent livre sur le sujet :

    Cliquer pour accéder à extortion.pdf

  28. Sébas,

    La solution concrète, c’est en premier lieu de changer son paradigme de pensée et ensuite passer à l’action. Voilà, c’est très bref et clair. Pour ce qui est de l’action, oui, il faut passer par une recherche, comme Aimé le suggère, qui va résulter en une véritable compréhension du système dans lequel on vit.

    Cela va vous permettre d’en arriver concrètement à ce qu’il dit: La solution est individuelle et elle implique que vous établissiez que vous êtes un homme et que vous preniez le contrôle de « votre personne ».

    Cela peut paraitre vague à prime abord, mais pourtant, c’est une solution très concrète et réelle.

    Elle sera mieux comprise après les recherches personnelles que vous avez à effectuer. On ne peut pas attendre que quelqu’un d’autre nous sauve, il faut se sauver soi-même.

  29. Hey François, parlant de sécurité ..as tu vu cette nouvelle là ?
    « Starting in December, some passengers on Canadian airlines flying to, from or even over the United States without ever landing there, will only be allowed to board the aircraft once the U.S. Department of Homeland Security has determined they are not terrorists. »

    http://www.montrealgazette.com/news/gets+which+Canadians/2639893/story.html

  30. Marc,
    Eh! Ben! On contrôle… Comme disait le comique, ils devraient fouiller dans leur pays…

  31. salut Gaetan,
    si je me souviens bien, le recensement est également sous contracté à une companie américaine sujette à leur Homeland Shit, ainsi que d’autres jobs gouvernementales où nous rentrons nos données vérifiées et « databasées » par le gouvernement Us.. ajoutons Nothcom et probablement d’autres trucs que je rate … mmmm… je pense me faire tatooer ( sur la fesse gauche vu que tu demandes-merci) une 52 ième étoile …

  32. Marc,
    Ne reste plus qu’à saluer M. Orwell.
    J’avais cru comprendre que c’était de la SF…
    😦

  33. Marc,

    Merci pour avoir rapporté cette nouvelle bouleversante. Je suis tellement écoeuré de me faire traiter comme un potentiel terroriste lorsque je voyage en avion.

    Il est clair que l’Union nord-américaine est en place, nous harmonisons nos lois avec celles des États-Unis et nous sommes gérés par eux.

    J’ai beaucoup plus peur d’eux, le Homeland Security, les services secrets, le FBI, le gouvernement canadien et américain que les supposés « terroristes » qui n’existent pas. Les terroristes, c’est les autorités qui ne cesse de harasser et faire peur aux voyageurs aériens.

    Les aéroports sont une zone d’entrainement et d’essai d’un régime totalitaire pour entrainer la population à être de bons petits esclaves bien soumis.

    Moins de libertés n’égale jamais plus de sécurité, mais bien plus de tyrannie.

    À bas avec les tyrans.

    Je vous conseille d’inonder les bureaux de gouvernement de vos messages de refus de coopérer avec de telles mesures totalitaires en leur promettant de ne plus jamais voter pour eux et de grâce, cessez de prendre l’avion pendant quelques années.

    Lorsque l’industrie du tourisme et des compagnies aériennes vont s’effondrer, ils vont peut-être réaliser que nous sommes ceux qui faisons vivre cette industrie et retrouveront peut-être leur sens. En attendant, cessons d’être victimes de telles politiques maniaques, liberticides et totalitaires.

  34. Ron Thorton

    J’aime beaucoup le débat ici engendré. On y trouve plein de points de vue et beaucoup d’informations. C’est enrichissant!
    Je voudrais essayer de m’avancer sur un point en particulier. En fait c’est plus une remarque ou question, parce que je ne suis ni un expert dans les domaines de légaux, ni économiques,etc. Cette remarque est en fait liée au document suposé soutenir un des points mentionnés ci-haut. Alors, est-ce que quelqu’un s’est attardé à aller voir un des documents cité ou bien un des arangements ficaux publié?
    On parle ici de  »l’ambassade » du Canada aux États-Unis et des relations avec celle-ci.  »Foreign governments and political subdivisions ». La subdivision, c’est le territoire occupé et possédé par le Canada à l’intérieur des États-Unis même.
    Ceci ne voudrait-il pas dire que c’est normal que les É-U prennent la peine de contrôler les activité et informations échangées et provenant d’une telle ambassade? Si on ne prend pas ceci en compte, tout les autres document liés aux autres ambassades Européennes, Afriquaines, Chinoises, etc. (et ici je présume qu’il existe de tels documents) seraient en fait des actes spécifiant la propriété même de ses pays sous forme de compagnies privées? J’en doute…
    De plus, j’ai lu les pages 590 et 591 citées comme étant la preuve que les États-Unis sont une corporation. La raison pour laquelle les États-Unis est une corporation ne serait-elle pas pour que justement ceux-ci soient reconnus en un pays en tant que tel, tout en gardant une certaine autonomie dans chacun des État? Ceux-ci sont différents, justement parce qu’il sagit d’une union d’états avec une certaine indépendance et non d’un pays  »ordinaire ». Ils ont choisis d’écouter un chef suprême pour les diriger dans le même sens, garder une certaine cohésion et une certaine  »égalité » une par rapport à l’autre, et ceci en ayant le droit d’émettre chacune leurs propes lois d’état, etc. En fait, ceci est tout comme le Canada, qui a été défini comme une confédération pour les besoins législatifs de la chose (et plus tard une fédération). De là à dire que le tout constitue une conspiration visant à la formation d’une entité corporative pouvant détenir d’autres pays, et ceci étant un stratagème qui remonterait donc à la création de la constitution des États d’amérique remontant jusqu’en 1787…

    Sentez-vous à l’aise de me reprendre où de me critiquer.

    Ron

  35. Richard

    Tromperie, tricherie, mensonge et manipulation sont les mots qui définissent tout-à-fait l’illusion du monde dans lequel nous nous trouvons.

    On nous dit mensongèrement que chacun peut contribuer à changer le monde qui l’entoure. Mais quoi changer au juste ?

    À bien y penser, je connais bien des gens qui, et vous aussi j’imagine, malgré toute la bonne volonté qui peut les animer, ont essayé et essaient toujours, pour certains le combat de toute une vie, de changer les institutions pour les rendre meilleures, plus justes ou plus équitables envers le peuple.

    Mais ces mêmes gens n’ont pas conscience que les moyens pour y arriver leur sont fournis par ces mêmes institutions qui les exploitent. Nous avons devant nous à la fois le loup et le berger ou plus singulièrement le loup dans la bergerie.

    Nous avons vu, par exemple, la communauté internationale, dans un geste de solidarité peu commune, recueillir l’argent servant à venir en aide au peuple haïtien. Est-ce le peuple haïtien en général qui va en bénéficier ? Bien sûr que non. Alors qui ? Une minorité seulement. Ce sont les Corporations étrangères, états-uniennes, françaises et canadiennes en particulier en collusion avec nos gouvernements et le FMI qui vont profiter de la reconstruction des infrastructures et des bâtiments gouvernementaux de ce pays. Le prêt consentis à Haïti sera utilisé par ces corporations et le peuple haïtien devra rembourser au FMI le montant de ce prêt plus les intérêts sans jamais en toucher un centime. On ne réinvente pas la roue. We are change ! Are we really ?

    Il m’arrive parfois de parler à des gens concernant le monde d’illusion dans lequel nous vivons, du système monétaire mondial frauduleux, de l’arnaque des banques qui créent l’argent à partir de rien, l’argent dette, le système de loi basé sur la loi du commerce, le gouvernement ou dictature mondiale, la monnaie unique et que sais-je.

    Je dis aux gens, si vous ne me croyez pas, allez vous informer. Quoique bien cachée, l’information peut être trouvée moyennant quelques efforts. Il n’y a pas d’excuses pour ne pas vouloir s’informer.

    Mais les gens me fuient comme la peste. Je dois leur inspirer la peur, pensant peut-être que je suis un paranoïaque, complotiste complètement détraqué,pourquoi pas terroriste et tant qu’à y être une menace à leur propre sécurité et bien-être. Je dois dire que dans ces moments je me sens bien seul mais je tiens bon.

    La majorité des gens croient ou préfèrent croire que le berger est bon pour eux et qu’il est perfectible. Nous sommes des esclaves heureux, des moutons peureux qui croyons vivre la réalité alors que nous sommes dans l’illusion la plus complète, dans l’inconscience la plus totale.

    Nos maîtres nous ont faire croire à la valeur réelle de l’argent. Seulement ce pouvoir se fonde sur nos croyances (illusions) car cette valeur demeure sans valeur réelle. L’argent n’a jamais existé, n’existe pas et n’existera jamais.

    L’humanité vit une crise de conscience. Le seul et véritable conflit de l’humanité réside dans la division entre son âme et son égo. C’est pour cela que nous vivons dans la peur. Moi, y compris. J’ai peur de perdre la sécurité de mon avoir au détriment de ma liberté, de l’émancipation de mon être.

    Mais que reste-t-il quand l’illusion a complètement disparue ? La réalité me direz-vous. La réalité de votre être, votre essence en définitive, votre divinité intérieure que vous aviez oublié et avec laquelle vous renouez. Et dans le plus profond de cet être, se trouve l’âme, la petite voix intérieure qui lui demande de se libérer de ses peurs. Et c’est là que réside le vrai pouvoir, la souveraineté ou l’autorité suprême étant à l’intérieur et non à l’extérieur. Je n’ai besoin ni de sauveurs extérieurs, ni de gouvernements ni de religions, ni de lois, etc. Je suis seul maître à bord. Je suis le Chemin de la Vie et de la Vérité. Je suis Amour infini.

    En terminant, si je reprends ma question du début, « Mais quoi changer au juste? » Maintenant, vous connaissez la réponse. Le seul et véritable changement provient de l’intérieur de l’être et non son contraire et c’est à partir de là seulement que peut s’opérer l’évolution de la conscience humaine.

    Alors tous autant que nous sommes, oserons-nous entreprendre cette aventure pour l’évolution de notre conscience. Je prend le pari que quelques-uns oseront le faire. J’espère en être du nombre, et vous ?

    Paix et amour

  36. Aimé Laliberté

    Ron,

    Félicitations d’avoir pris le temps de regarder les liens. Je ne me souviens pas d’avoir vu le mot  »conspiration » dans l’article ou les commentaires, mais je vais tenter de répondre à quelques-unes de tes questions.

    Quand j’ai commencé à rechercher l’illusion dans laquelle nous vivons, j’ai dû réapprendre le sens de plusieurs mots, parce que l’illusion dure depuis très longtemps. Ainsi, j’ai découvert que les mots n’ont pas tous le sens qu’on nous enseigne à l’école et avaient à l’origine un autre sens.

    Nous vivons dans un monde de commerce, et les lois du commerce sont les règles de droit maritime et mercantile (Merchant Law)… la loi de la mer. Toutes ses régles, lois et principes sont essentiellement rédigées en anglais, donc il faut absolument référer à la langue anglaise pour comprendre quoi que ce soit.

    Prenons un exemple… l’histoire.

    Ron demande comment on peut savoir si cette histoire est vraie, car ce n’est pas la version officielle.

    On sait que l’histoire est racontée par les vainqueurs. Le mot  »histoire », c’est  »history » en anglais, His-story (SON histoire).

    Donc, l’histoire et la vérité sont deux choses différentes. Pour comprendre le système dans lequel on vit, on doit mettre de côté ses préjugés et oublié ce qu’on nous a enseigné.

    Ton interprétation du statut juridique des états confédérés au début de l’Union est compatible avec la version officielle de l’histoire des É.-U., mais n’est pas nécessairement conforme à la réalité.

    Richard… tu dis plusieurs vérités.

  37. Aimé Laliberté

    Ron…

    Pour ne pas vous laisser sur votre appétit, voici un article qui résume plusieurs notions.

  38. Aimé Laliberté

    Voivi un film à voir contenant plusieurs entrevues inédites avec divers politiciens dont Paul Martin et John Turner réalisé par un jeune canadien, qui s’intitule :

    Oh Canada – Our bought and sold out land!

    http://ohcanadamovie.com/

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