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L’Autre Monde 14 janvier 2013 : Mouvement « Freeman on the land » et la liberté vs le système légal commercial / Vaccination / BP et le pétrole du Golfe du Mexique


L’Autre Monde 14 janvier 2013 : Mouvement « Freeman on the land » et la liberté vs le système légal commercial / Vaccination / BP et le pétrole du Golfe du Mexique

Nombre d’émission: 219
Diffusion en direct : Lundi à 15:00h

Animateur(trice) : François Marginean
Réalisateur(trice) : François Marginean

Archives d’émission

Pour écouter, ou pour télécharger, simplement cliquer sur le lien ici:

L’Autre Monde 14 janvier 2013

90 min / Radio de l’UQAM, CHOQ FM

Au programme cette semaine: 

Apprenez davantage sur le mouvement « Freeman on the land », où on apprend la différence entre votre personne en chair et en os et votre personne légale et ce que cela implique pour vous à tous les jours et votre liberté. 

 
Nous abordons encore une fois le sujet de Fukushima et les conséquences des retombées radioactives sur la populations et la faune – les dernières nouvelles sont de très mauvais augure. 
 
Nous touchons aussi au sujet des vaccins et de la médecine moderne. Nous terminons avec une synthèse de la situation économique mondiale.
C’est en rendez-vous le lundi dès 15h pour l’émission la plus écoutée de CHOQ FM, la radio officielle de l’Université du Québec à Montréal ! 
 

***Hyperliens vers les sources des informations discutées sur l’émission d’aujourd’hui, cliquez ici!

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Classé dans Actualité, François Marginean

Grandeurs et misères de la technologie

Par Renart Léveillé

 

Comme ceux qui me lisent, enfin la plupart si je ne m’abuse, l’ère technologique dans laquelle nous nous trouvons m’apparaît tout à fait positive. Elle nourrit beaucoup plus mes espoirs que mon cynisme, bien que le flot d’informations tend à démontrer le contraire. C’est-à-dire qu’elle fait miroiter un futur plus en phase avec le citoyen, bien qu’elle cultive l’impatience de ne pas y être déjà parfaitement et de toujours avoir l’impression qu’il y a pelletage en avant. Tout ce qui touche à la politique en est déjà un bon exemple.

D’un côté, en Islande, les travaux pour reviser la Constitution de ce pays avec l’aide des citoyens via les médias sociaux sont un succès :

en trois mois et demi de travaux, il y a eu plus de 3600 commentaires et 370 suggestions

La démarche doit maintenant faire le test de la réalité parlementaire pour se voir approuvée, modifiée ou rejetée, mais voilà déjà une belle preuve de l’utilité de la technologie. Et en espérant qu’elle fera d’autres petits (« le Maroc a aussi mis en place un site Internet où les citoyens du royaume peuvent discuter de la réforme constitutionnelle en cours »).

Plus près de nous, le gouvernement du Québec a mis en ligne un site de « Consultation publique Web 2.0 » où on peut y soumettre des idées. Au moment où j’écris, 80 idées y ont été soumises et c’est par celle de Nicolas Roberge (concernant nos chères infrastructures), promulgué sur Twitter, que j’ai pu le découvrir. Je suis quand même bien surpris de ne pas en avoir entendu « parler » avant…

Pour ce qui est de l’Islande, il n’y a aucun doute que le processus marquera cette société, si ce n’est pas déjà fait. Pour ce qui est de l’initiative québécoise, j’ai bien peur que ce ne soit que cosmétique, mais l’avenir nous le dira. Parce qu’il faut bien se l’avouer, c’est tout à fait dans l’air du temps de se donner des airs participatifs. Avoir l’air de se soucier de ce que pense le citoyen est bien utile pour adoucir l’air de supériorité d’un gouvernement. Mais au final, si la valeur de cette consultation ne fait qu’égaler les échanges banals de n’importe qui sur Twitter, Google + et Facebook, cela ne fera qu’engraisser le cynisme déjà balourd à souhait. Cela ne sera que de l’air. Aussi inutile que le phénomène du « air guitar »!

Mais là où la technologie prend des airs de film d’horreur, c’est au niveau « du marquage électronique de l’humain » :

Le congrès des États-Unis d’Amérique vient il y a quelques mois d’adopter une loi (HR 3200) qui permet de pucer l’être humain. Sous prétexte d’un accès au remboursement des soins de santé, par une identification des patients et des informations relatives à la santé, cette loi qui était un projet datant officiellement du 10 Décembre 2004 obligera l’américain moyen à se faire implanter un transpondeur à radiofréquences (qui réagira donc aux ondes radios) sous cutané capable de durer l’équivalent d’une vie.

Pour dire vrai, si c’est sur une base volontaire, je ne suis pas contre l’idée de voir la technologie faire son entrée dans le corps humain. Mais vous lirez l’article d’Agoravox, c’est loin d’être une superbe introduction en la matière… Cependant, au-delà de ça, si notre expérience humaine peut se magnifier par un mariage heureux entre la biologie et la technologie, nous serions bien perdants de le rejeter parce que cela serait « contre nature ». À ce compte-là, depuis que l’humanité est sortie de sa nudité originelle, tous les progrès sont en soi contre nature. Alors pourquoi la peau serait-elle l’ultime barrière du progrès?

Mais il faut le dire, alors que la technologie devient de plus en plus intime, il y a un effet de balancier entre la peur de perdre le caractère privé de sa vie et l’immense joie de se la faciliter. C’est un cliché de dire que l’apparition de la radio en a épouvanté plusieurs, idem pour la télévision… C’est aussi un cliché de dire que nous n’avons pas besoin d’obligation pour embarquer dans le train des nouvelles technologies, puisqu’il y a l’effet d’entraînement pour jouer son rôle consensuel à merveille. Ceux-là diront que les médias sociaux sont une sorte de prison, et les prisonniers en question continueront avec raison leurs danses aériennes malgré leurs chaînes et leurs boulets. Tout ça pour dire que c’est du donnant donnant. Hier contre demain. On délaisse un peu d’un mode de vie pour en apprivoiser un nouveau. Et ainsi de suite.

Avec le progrès, la notion de liberté est en perpétuel changement. L’exemple du « puçage » états-unien est parfait pour jouer le rôle de signal d’alarme. Sinon, il faut creuser plus longtemps pour débusquer les possibles dangers (tous capable de tenir dans l’image du « Big Brother »), et la majorité des gens n’a pas de pelle, encore moins d’énergie pour creuser. Et entre l’alarmisme et l’angélisme, tenir en équilibre est assez étourdissant.

Voilà où nous sommes.

(Photo : lgb06)

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Classé dans Actualité, Renart L'Eveillé

La pollution visuelle et mentale des pancartes électorales

 

En 2008, lors de la campagne électorale fédérale qui a mené Stephen Harper au pouvoir, j’ai fait à ma façon et à mon humble niveau la promotion de l’absence de pancartes électorales dans les rues. Comme je l’écrivais autrement, ces pancartes sont une grosse nuisance à l’esthétisme de l’environnement urbain et rural, en plus d’être un gaspillage de ressources. Ça ne s’arrêtait pas là :

Et question marketing, je me disais qu’un parti qui aurait eu le courage de me pas embarquer dans cette pollution visuelle aurait pu utiliser cet argent pour faire un beau coup de pub. Imaginez combien l’absence de pancarte d’un parti politique dans le paysage aurait eu d’impact si une pub avait réussi à lier fortement cette absence et ce parti.

Ce parti se serait retrouvé nulle part et partout à la fois.

Sans faire de lien de causalité, il s’est avéré qu’en 2009 Union Montréal et Vision Montréal ont décidé de ne pas s’afficher dans la ville pendant la campagne électorale municipale. On arguait que la raison principale était les coûts énormes de ce genre de campagne publicitaire. Question de mononcliser, dans mon livre à moi, c’est une autre bonne raison d’abandonner cette pratique.

Malgré cet exemple, il semble que tous les partis fédéraux vont placarder nos horizons de leurs slogans et autres sourires en plastique quand même. À notre grand dam. Alors, j’aimerais trouver une autre bonne raison de plus pour que l’avenir nous réserve un ciel plus monochrome…

Parce qu’il faut se le dire franchement, les pancartes électorales titillent tout sauf l’intelligence des gens. Elles ont peu à voir avec l’essence même de la démocratie représentative. On y présente les couleurs des partis, des slogans (l’antithèse du développement d’une idée) ainsi que des gueules figées dans le sens du plan de marketing choisi (même si la plupart du temps c’est d’un sourire plus ou moins réussi dont il s’agit). En gros, nous sommes dans le royaume des apparences, de la représentation. Ce qui est juste bon pour voter pour les mauvaises raisons.

Donc, voilà, j’accuse les pancartes électorales d’encourager la paresse intellectuelle auprès de ceux qui sont paresseux de nature. Pour qui va voter pour un candidat surtout parce qu’il a un air rassurant, nonobstant de ce qu’il prône réellement. Pour qui va voter pour cet autre parce qu’il le conforte dans ses préjugés physionomiques, avec tout ce qui vient avec : genre, origine. Sans oublier ceux qui n’iront pas voter en réaction de cette agression visuelle, quand c’est tout ce qu’ils peuvent retenir de la politique (contrairement à mes amis anarchistes abstentionnistes).

Dans ces conditions, la politique devrait se tenir aussi loin que possible de ces techniques publicitaires, qui sont par nature tapageuses, racoleuses, parfois même mensongères (et je ne me pencherai pas ici sur les messages publicitaires télé et radio). Puisqu’il n’est pas question de « vendre » quelque chose, mais bien de se choisir un moyen d’avancer. Et la meilleure façon de faire un choix de véhicule éclairé est sans conteste de faire fi des apparences et d’aller creuser, même si ça demande un effort. Qui achète une voiture en se basant seulement sur le design de la carrosserie?

Je pourrais continuer sur cette lancée en tentant de détruire aussi le traditionnel serrage de mains et même l’idée du porte-à-porte, mais bon, une chose à la fois…

(Photo : sashamd)

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Classé dans Actualité, Renart L'Eveillé

De la radio-poubelle jusqu’à Montréal…

J’ai toujours pensé que la radio-poubelle ne se trouvait qu’à Québec (et à quelques endroits en région). Mais depuis quelques semaines, en suivant le fil #TLMEP les dimanches soirs, je me suis rendu compte qu’il y avait un fier représentant montréalais : Terrain de jeux.

J’avoue d’emblée ne pas suivre beaucoup ce qui se passe du côté de la radio, mais ça me semble assez inédit. Et je n’ai pas besoin d’écouter cette émission en particulier pour vérifier ce que j’avance, le discours de la personne qui s’occupe du compte Twitter, sûrement l’animateur, est assez, comment dire… « ordurier » (pas tant dans son sens premier, mais bien plutôt par analogie avec « poubelle »).

Il y a un de ses messages qui m’apparaît assez représentatif du personnage et de sa parenté avec ses cousins québécois :

RT @terraindejeux: Y’a tu UNE semaine où #TLMEP sert pas d’outil de propagande pour la culture québécoise francophone ?

Quand j’ai lu ça, ma mâchoire s’est décrochée…

Je peux vous avouer que j’ai de la difficulté à mettre mes idées en place pour la suite de ma rédaction tellement ça me semble absurde. J’ai écrit dernièrement quelque part que j’étais capable de me mettre dans la peau de quelqu’un qui pense autrement que moi, mais là, c’est au-dessus de mes forces.

Il faut vraiment avoir sa propre opinion en absolue admiration pour ne pas comprendre que le titre de l’émission « Tout le monde en parle » n’est vraiment pas à prendre au pied de la lettre, qu’il est très normal qu’une émission Québécoise francophone ouvertement consensuelle se penche sur ce qui se passe au Québec, un endroit où il y a (encore) une vie culturelle, politique, sociale, etc. qui se passe majoritairement en français.

Mais le plus important, c’est que ça se passe à Radio-Canada et non à la CBC. Alors quoi, il faudrait que Guy A. Lepage invite chaque semaine seulement des invités internationaux pour faire plaisir à lui et ses amis ou, encore mieux, seulement des invités des États-Unis, parce que c’est la culture dominante dans le monde? Et puis, je vois là-dedans, dans l’idée « d’outil de propagande », que l’animateur et co-producteur de l’émission aurait un « agenda caché » — comme en aurait un Amir Khadir (un agenda islamiste celui-là…). C’est tellement clair que Guy A. Lepage veut contaminer la population québécoise contre son propre gré à la culture francophone d’ici, laissez-moi rire!

Il n’y a que ceux qui se parfument à l’eau de poubelle pour ne pas voir que c’est de la pensée malodorante. Parce qu’il y a un trop grand pas entre critiquer l’émission et enrober cette critique d’une paranoïa qui tient lieu d’idéologie, pour ne pas dire de dogme. (En passant, je ne me suis jamais gêné pour critiquer TLMEP, mais jamais, j’ose espérer, de cette manière…)

Parce que dans le fond c’est tellement évident que ce n’est pas une critique de l’émission, mais bien plus une critique générale qui n’a vraiment pas sa place sous cette forme, durant le moment de l’émission, sur le fil de Twitter. C’est carrément de la « propagande », et pour l’émission de radio, et pour la pensée de droite réactionnaire!

Parce qu’il y a des moments où on devrait se contenter de changer de poste. Ou, comme moi (dans le cas de cette émission de radio), de ne jamais syntoniser…

P.S. Certains se diront que je fais de la publicité pour cette émission de radio, mais ce sont les dommages collatéraux du pouvoir de publier facilement son opinion sur le web.

(Photo : swanksalot)

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Classé dans Actualité, Renart L'Eveillé

On parle du fluorure et de vaccins A/H1N1 sur les radios alternatives

Cette semaine, j’aimerais attirer votre attention sur les émissions de radio alternative sur lesquelles vous pouvez trouver d’excellentes informations difficiles à trouver dans les grands médias de masse.

Tout d’abord, il y a cette émission que j’anime, L’Autre Monde, sur CHOQ FM, la radio Internet officielle de l’UQAM. L’avantage de la radio Web est de pouvoir retrouver toutes les archives, les télécharger et les écouter à votre rythme, quand bon cela vous en dit, en podcast ou mp3.

La semaine passée, j’ai eu le plaisir de recevoir pour une troisième fois Monsieur Gilles Parent ND.A., auteur de «L’Inconséquence de la fluoration» 1975, coauteur de «La Fluoration: autopsie d’une erreur scientifique» Edition Berger, 2005, et porte-parole scientifique du Front Commun pour une eau saine, Eau Secours et pour l’Association des naturopathes agrées du Québec. La coalition Eau Secours travaille à protéger l’eau sous tous ses volets. Nous avons donc poursuivi le dossier passionnant des fluorures. Vous retrouverez les deux premières parties et la troisième ci-dessous. Les fluorures ont donc été démontrés en Cour comme étant des substances génotoxiques, mutagènes et cancérigènes.

L’analyse de l’aspect légal a été longuement élaboré par Maître John Remington Graham et Pierre J. Morin, dans Journal of Land Use & Environment Laws ainsi que dans le chapitre 7 de l’ouvrage «La fluoration : autopsie d’une erreur scientifique». Le mythe entourant les bienfaits du fluorure dans la prévention de la carie dentaire est en passe d’être révélé pour ce qu’il est réellement: une substance nocive et une erreur scientifique qui date depuis plus de 60 ans.

La médication de masse de la population sans leur consentement et sans regard quant aux dosages et particularités individuelles des personnes tels que leur âge, poids, sensibilité, etc, contrevient à la Charte des droits et libertés ainsi qu’au lois internationales relatives à la médication de masse sans consentement des sujets.

Les rangs des scientifiques, experts ainsi que les études ne cessent d’augmenter, démontrant que les fluorures se trouvant dans l’eau potable, les dentifrices et rinces bouche, produits dentaires, pesticides et engrais chimiques, sans compter les rejets de résidus industriels et militaires, constituent un grave problème, un danger pour notre santé et celle de l’environnement. Chez l’humain, il peut occasionner un empoisonnement, particulièrement chez les enfants en bas âge; la fluorose dentaire et une diminution du quotient intellectuel de 5 à 10 points, allant jusqu’à 20 points dans certains cas. Il cause le cancer et peut entraîner une mutation des gènes. Dans la nature, il peut décimer des populations de poissons, polluer les nappes phréatiques et endommager sérieusement la faune environnante.

Des quelques 27 000 études en faveur de la fluoration de l’eau dont le Ministère de la santé se dit appuyé dans son jugement de vouloir ajouter du fluorure à l’eau potable des Québécois, il n’en reste en réalité qu’une vingtaine lorsqu’on a pris le temps de toutes les vérifier. Et elles ne sont pas du tout concluantes. D’un autre côté, de nombreuses études montrent clairement le contraire. La fluoration est mythe, qu’on se le dise. Une longue et dangereuse erreur.

Heureusement, grâce au travail acharné de pionniers dans ce domaine comme Gilles Parent qui lutte contre les fluorures depuis les années ’70 et de groupes comme Eau Secours, nous n’avons plus que 3% des villes du Québec qui pratique la fluoruration de leur eau. Comparé au 70% de l’Ontario et de plusieurs villes américaines, c’est tout un exploit. Suite aux interventions de ces gens auprès des populations, conseils municipaux et sur différents médias comme la télévision et L’Autre Monde, la ville de Québec, Gatineau et Ste-Marie de Beauce ont cessées de fluoriser leur eau.

Je vous invite donc à découvrir cette série inédite de trois émissions à propos des fluorures avec Gilles Parent :

1- L’Autre Monde 27 mars 2008: La Fluoration de l’eau, une erreur scientifique

2- L’Autre Monde 29 mai 2008: Les fluorures sont des substances génotoxiques, mutagènes et cancérigènes

3- L’Autre Monde 17 septembre 2009: La fin du mythe de la fluoration

• Power Point – Visionnez la présentation préparée par M. Gilles Parent, expert du Front commun pour une eau saine:

Partie 1, Partie 2, Partie 3, Partie 4

——————–

D’une autre part, je souhaiterais vous inviter à découvrir l’excellente émission de Benoit Perron qui fait un très bon boulot de salubrité publique sur les ondes de CISM 89,3 FM, avec son émission Zone de Résistance. Vous y entendrez un magazine socio-économique à tous les mardis matin qui ne vous laissera pas indifférent. Perron ne prend aucun détour pour vous expliquer les choses telles qu’elles sont. Sa crédibilité est bien établie et son travail documenté. Allez y jeter un coup d’oreille pour mieux comprendre comment les dessous du système et de l’actualité fonctionnent.

Mais la semaine passée, Benoit Perron a reçu la réalisatrice du documentaire Silence on vaccine, que je vous présentais dans cet article. Si vous avez vu ce documentaire choc à propos des vaccins, vous aimerez sûrement entendre cette superbe entrevue avec cette dame. Vous en apprendrez probablement beaucoup à propos des vaccins et de cette campagne de peur grippante A/H1N1.

Dépêchez-vous à la télécharger, car au contraire de CHOQ FM, les émissions de Zone de Résistance ne sont disponibles que pour deux à quatre semaines en archives!

Allez, bonne écoute de la radio alternative!

François Marginean

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Nouveau départ pour Pierre Chantelois

Raymond Viger Dossier Médias et publication

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Biographie

Après une dizaine d’années dans le secteur privé des communications (radio-télévision), Pierre Chantelois s’est orienté vers le secteur de la Fonction publique du Canada et du Québec du 1970 à 2005. Conseiller, gestionnaire et analyste, Pierre Chantelois s’est particulièrement intéressé à la télédiffusion des débats parlementaires, aux services en ligne gouvernementaux et aux communications stratégiques gouvernementales. Pierre Chantelois a aussi touché au domaine des relations internationales et du développement international au sein du gouvernement du Canada et auprès d’une importante université francophone du Québec. Pierre Chantelois a oeuvré auprès d’une société internationale d’informatique à titre d’analyste-conseil avant de prendre sa retraite en 2006.

La retraite et la naissance du blogueur

Que devient un retraité comme Pierre Chantelois? Un blogueur très actif e18f17e9a8f9b54280dce839ba2c3f43et très  présent dans la blogosphère. Pierre Chantelois a publié plus de 1 000 billets. Des billets songés, écrit avec la main de l’expérience et de la sagesse.

Pierre Chantelois a été actif sur son blogue, De ce côté-ci de l’Amérique. Pierre Chantelois a aussi été un blogueur très actif sur des blogues tels que Agoravox, Les 7 du Québec ainsi que Cent Papiers. Actif parce qu’il publiait régulièrement, mais aussi parce qu’il commentait régulièrement d’autres billets. Des commentaires tout aussi songés et pertinents que ses billets.

La retraite du blogueur

Le 14 mars dernier, Pierre Chantelois nous annonce une nouvelle retraite. Pierre Chantelois ne sera plus un blogueur comme il l’a été. Il sera un blogueur photographe. S150_auton11241ous le nom Les beautés de Montréal, le nouveau blogue de Pierre Chantelois nous présente des photos de Montréal. Des photos qu’il prend quotidiennement, des photos sensibles et humaines de Montréal. Sous le noms Les beautés de Montréal Bis, Pierre Chantelois présente sa photo du jour.

Pierre Chantelois veut que ses photos voyagent. Vous pouvez le contacter pour l’utilisation de ses photos. Il sera ravi de prendre arrangement avec vous.

Ce fût un grand plaisir et un honneur de vous croiser dans le cyber-espace M. Chantelois. Les photos que vous nous laisser découvrir sont remplis d’une sensibilité extrême et d’une chaleur humaine remarquable. Bonne continuité dans votre nouvelle passion.

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Classé dans Actualité, Raymond Viger